mercredi 20 mai 2009

Dénis de justice, magouilles de tous genres entre juges et élus politiques du canton du Valais (Suisse)



De TESLAROMANDIE ,Jean SZILASI et Leïla HABERRA
CH-1890 ST-MAURICE

Dénis de justice, magouilles de tous genres entre juges et élus politiques du canton du Valais (Suisse)

Madame, Monsieur,

L'historique dont il est question dans les lignes qui suivent, sera exclusivement axée sur des dénis de justice, magouilles de tous genres entre juges et élus politiques du canton du Valais (Suisse), contre de pauvres pékins que nous sommes et de surcroît étranger ! En fait il s'agit de quatre procédures, qui n'ont jamais été traité en séance publique, mais à huis clos, afin sans doute que l'on ne puisse découvrir, d'où venait le mal, les avocats et la cours ayant orchestré à notre insu, que ces affaires soient traitées, avec des plaidoiries écrites, ce qui n'est pas conforme d'une part avec les us et coutumes et pas d'avantage, au regard de la CEDH, d'autre part.

Une des personnes ayant joué un rôle capital dans deux de ces affaires, fut le chef des sinistres à l'Allianz-Continentale, qui était lieutenant-colonel dans l'armée suisse, d'une part, juge assesseur dans un tribunal administratif à Lausanne d'autre part et soi-disant diplômé de l'école de police de l'école polytechnique de Lausanne, de tierce part, cet éventail de casquettes, fut étalé par le mandataire de l'Allianz-Continentale, sans doute dans un but bien précis, d'influencer le cours de la justice et selon ce même mandataire, ce qui ne lui permettait pas de mentir, or nous avons les preuves irréfutables, qu'il n'a eu cesse de mentir et s'est à sa demande qu'une autre compagnie d'assurance-vie, a rédigé une attestation revêtissant, un caractère très grave de faux en Ecriture, car jamais, au grand jamais, cette compagnie ne nous a refusé d'assurance-vie, mais c'est à la lecture du dossier assez volumineux, que l'on y découvre le mensonge, dans toutes ces affaires, qui étaient très simples à juger, nous avons été confrontés à une association de malfaiteurs, certains osent écrire que la justice valaisanne est pire que la mafia et ceci est révélateur du climat qui règne dans les prétoires de ce canton.

La dénonciation pénale était dirigée, contre l'agent général de l'Allianz-Continentale, qui avait été bien avant : " Garde-frontière et était aussi simultanément à son activité d'agent général, président de la première ligue de football ", en parallèle parmis les trois juges, qui ont été amené à régler ces affaires : l'un était Président de l'association valaisanne de football, un autre était un membre du même parti politique radical de Martigny, et l'autre devait sans doute et selon toute vraisemblance, obéir à leurs injonctions, surtout aux injonctions du lieutenant-colonel SCHNEEBELI. Lequel avait orchestré et distillé, ces allégations fallacieuses. ( Amis du ballon rond et amis politiques ).
Il est à noter que : si la dénonciation pénale n'avait pas été stoppée par le juge Jean-Pascal JACQUEMET ( ce dernier prétendant que nous avions mis un terme à la procédure, ce qui n'était pas le cas ) l'agent général de l'Allianz-Continentale, ne serait jamais devenu juge de commune et partant, je suis convaincu que nos autres procédures, auraient eu une autre issue, car une personne condamnée pour vol de salaire, faux dans les titres, n'est plus crédible devant une instance judiciaire.

Il est en outre à noter que dans l'affaire assurance-vie, alors qu'elle avait tous les éléments ( faux en écriture ) pour parvenir à ses fins, la compagnie d'assurance Allianz-Continentale, avait prévu une autre stratégie, elle avait également élaborée, de faire établir un rapport médical, selon lequel, Madame Leïla HABERRA, fut malade depuis bien longtemps, ce qui était également faux, car jamais elle n'avait consulté de médecin, donc ne s'est jamais servi de sa caisse maladie, Leïla souffrait d'une fybromialgie mais à cet époque, les médecins, surtout les psychiatres, déduisaient que la personne était paranoïaque d'où présence de troubles psychosomatiques, c'était tellement plus simple, surtout lorsque cela était demandé par le lieutenant-colonel SCHNEEBELI, car j'ai appris qu'il visitait tous les médecins avant que ces derniers, effectuent leur diagnostique ?

In fine, pour chaque procédure ci-dessous citée, nous détenons de véritables allégués nouveaux, qui peuvent à eux seuls relancer toutes les procédures.

Cette histoire commence en juillet 1983, lors de l'achat d'une maison familiale sur plan.
A la fin des travaux, nous nous sommes aperçus que la maison, n'était ni conforme aux documents graphiques et pas d'avantage au cahier des charges.

Nous déposons immédiatement une demande de preuves à futur, ceci afin de sauvegarder nos droits, du moins nous y avions cru !

Cette procédure dura plus de huit années, allant d'expertise en expertise, mais lesquelles étaient toujours en notre faveur, du reste la dernière (celle qui fut demandée par le consortium des constructeurs) relevait des vices cachés irréversibles même si l'on devait démolir le tout, ceci pour un montant global de 202'000.-FS ( Deux cents et deux mille francs suisses )

En finalité le tribunal fédéral (ultime instance judiciaire du pays), nous accordait royalement une diminution de quelques 50'000 F.S. avec intérêts à raison de 5% l'an, ce qui donnait en bloc 62'000 F.S. mais le plus surprenant dans ce jugement, au bas de celui-ci, était mentionné que le consortium, n'était pas à considérer comme la partie qui succombe, ce même tribunal fédéral, nous condamnait à payer 50% des frais et honoraires de la partie adverse, très étonnant comme jugement !

En septembre de cette même année 1983, mon épouse Leïla HABERRA, devient subitement malade ( crispations musculaires dans toutes les parties du corps ) ? Le corps médical, n'avait pas encore diagnostiqué ce genre de troubles, et curieusement Leïla, fut dirigée vers la psychiatrie, laquelle relevait une attitude psychosomatique, ce que réfutait son médecin traitant, spécialiste en rhumatologie. ( En finalité Leïla fut déclarée invalide à 80%) mais aujourd'hui, nous savons que le mal qui afflige Leïla, s'appèle la fybromialgie, maladie reconnue par le corps médical et extrêmement invalidant.

Le 4 janvier 1985, je suis victime d'un accident du travail ( glissade sur une plaque de verglas et je dégringole, dans un escalier en dalles bétonnées ), fracture du crâne, coup du lapin avec distorsions cervicales, et atteinte au lombaires), et une algoneurodystrophie donnant un caractère d'impotence , je suis à cette époque inspecteur d'assurances et je suis assuré contre les accidents ( selon la Loi ), mais je croyais être assuré à 80% du salaire mensuel, en réalité je l'étais mais à 100% du salaire mensuel, recalculé sur une base trimestrielle, car les primes d'acquisitions, n'étaient versées qu'en fin de chaque trimestre, ce qui donnait un salaire bien plus important : Fixes mensuels, plus frais, plus 25%o sur chaque affaire policée ( assurance vie mixte ).

Or comme j'ai été en incapacité totale de travailler, durant de longs mois, l'agent général de cette compagnie d'assurance, me versait chaque mois, un salaire plein (fixes + allocations familiales) mais ce que j'ignorais, c'est qu'il recevait d'avantage de l'assurance accident et il gardait chaque mois une partie de ce qui devait me revenir de droit.

Comme j'avais un mandataire qui oeuvrait dans le cadre de l'affaire maison, je lui en ai fait part et cet avocat déposait une dénonciation pénale pour dol et faux dans les titres et c'est à partire de ce moment bien précis que commence la véritable histoire.

Très humilié par le dépôt de cette dénonciation pénale, la compagnie d'assurance mis tout en œuvre pour nous déstabiliser ( mobilisation des juges, etc.…) tous faisant partie d'un seul et même parti politique " Les radicaux " parti bourgeois !

Dans un premier temps, la dénonciation pénale était bloquée et n'a jamais abouti, les raisons en sont très simples le juge qui recevait cette dénonciation faisait partie de la coalition, les agents de la sûreté, nommés, pour entendre les témoins, étaient déjà achetés par la compagnie d'assurance et c'est d'ailleurs pour cette raison que l'un d'entre eux est aujourd'hui inspecteur pour cette compagnie, en fait ce flic ripoux, avait rédigé un procès verbal d'audition des témoins, de telle sorte qu'un goret n'y aurait retrouvé ses petits ( le juge Jean-Pascal J., devenait Alain J. et moi le plaignant, j'étais entendu durant plus de 6 heures dans les locaux de la P.J.) et en finalité, notre véritable juge, interprétait un retrait de plainte Civile en un arrêt stricto sensu de la dénonciation pénale, si bien que l'affaire devenait sans objet, mais ce qu'il faut savoir : c'est que je n'ai à aucun moment retiré ma dénonciation pénale, plus grave encore la plainte initiale, portait sur un montant d'environ 7'000 F.S, et en cours d'instruction ce montant avait terriblement gonflé, car le préjudice portait sur environ 30'000 S.F., ceci s'explique par le fait que l'agent général qui devait me verser des commissions de 25%o, ne versait que des commissions de 22%o et gardait le reste dans sa poche.

Or puisse que j'avais osé agir de la sorte avec un agent général de la Continentale-vie ( devenue par la suite Allianz ), j'allais voir de quel bois se chauffait cette compagnie.

Avant de poursuivre, il faut impérativement informer que le régleur en chef des sinistres, n'était autre que le lieutenant-colonel André SCHNEBBELI et que ce Monsieur, avait d'autres titres, dont celui d'être assesseur au tribunal administratif de Lausanne, et de surcroît, diplômé de l'école de police de l'EPFL, ce qui lui donnait un certain poids, lorsque ce dernier témoignait au tribunal, d'ailleurs le mandataire de la Continentale, ne manquait pas de le rappeler, je le cite : " Monsieur SCHNEEBELI, ne peut mentir, étant donné que, il est …, …, … "

Or à ce moment bien précis, la Continentale, n'avait qu'un seul objectif, la vengeance et pour arriver à cette fin, ils ont tous ensembles échafaudés une stratégie qui ne pouvait qu'aboutir.

Monsieur André SCHNEEBELI, afin que cette compagnie lui délivre une attestation par laquelle, elle aurait refusé de nous assurer sur la vie … ! Or cette compagnie d'assurance, n'a pas hésité à rédiger une telle attestation, ce qui devenait un faux en écritures, et comme ce faux a circulé, dans les mains des juges, cela devenait faux et usage de faux en écritures.

De ce fait et avec ce faux en écritures, la Continentale a eu l'opportunité d'invoquer la réticence et d'annuler notre assurance-vie, ( nous perdions d'un seul coup, les rentes pour incapacité de gain et l'assurance-vie, laquelle devait amortir le prêt hypothécaire.

La vengeance, ne s'est pas arrêtée là, la Continentale refusait de payer également mes salaires LAA ( Loi sur l'assurance accident ) en invoquant que mon handicap, n'était pas dû à l'accident mais bien à de la maladie antérieure à l'accident. Et d'un seul coup, je perdais tous les salaires LAA, et je me retrouvais indigent, ne sachant plus rien payer et ceci perdure depuis 1988 !

( Je détiens tous les faux documents, et toutes les preuves attestant le contraire ), ce qu'il faut dire également que mon dossier LAA, a dû être déposé au tribunal cantonal des assurances à Sion, et dans ce tribunal, pour connaître mon degré d'invalidité, les juges, ont donné à l'expert médical, les dossiers relatifs à, les non - conformités de la maison et celui de l'assurance-vie, soit : 622 pages A4, ( ce que l'experte aurait dû refuser en tant que psychiatre ) et au travers de ces documents, ils ont eu l'opportunité de dire que je n'avais aucune invalidité décelable, ils ont même rejeté l'épilepsie post-traumatique, et refusaient l'octroi de perte à l'intégrité, laquelle, selon le barème de la loi, devait accorder 30% en versement unique, du total du salaire annuel.

Nous nous tenons volontiers à votre disposition pour que vous puissiez consulter et lire tous les dossiers et jugements.

Veuillez agréer Madame, Monsieur, l'assurance de nos salutations les plus distinguées.

Jean SZILASI et Leïla HABERRA



P.S. De par l'issue de ses affaires. Nous sommes devenus extrêmement indigents et ne pouvions et ne pouvons plus faire face à certaines échéances, alors que j'aurais dû toucher pour le moins le 100% de mon salaire, soit environ : 65'000. SF par année, j'en suis réduit à 17' 400.SF par année, ceci par la seule faute des juges valaisans et de certains bourgeois de ce pays, mais également avec la complicité active de notre propre avocat, lequel a agit contre nous, sans doute pour motif vénal et par pression politique, car rappelons que ce dernier outre le fait qu'il était avocat, il était également député au grand conseil valaisan et vice-président de l'ordre des avocats valaisans ? (Excusez du peu)

Alors que nous avions un modus vivendi avec la compagnie GENERALI, selon lequel, elle attendrait la fin de la procédure contre l'EOS, depuis vendredi soir, l'office des poursuites de St-Maurice, à la demande de GENERALI, veut la réalisation du gage et ceci sans attendre la fin proche de la procédure engagée contre l'EOS, …ne devons-nous pas, subodorer une manœuvre expéditive, alors que sans doute l'EOS aurait été condamnée …


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