De nombreuses autorités militaires et quelques civils ont suivi l'exercice d'Eurocorps.
PLUS de 2.000 soldats de vingt nations, sous le commandement du général de corps d'armée espagnol Pedro Pitarch, commandant le corps européen, participent au plus grand exercice de l'année « Common Effort 08 » depuis le 13 novembre : une première à Mourmelon !
Avec des moyens de l'Otan
Né en 1992 de la volonté franco-allemande de contribuer à la sécurité européenne, l'Eurocorps a accueilli la Belgique, l'Espagne et le Luxembourg comme « Nations cadres ». Outre les cinq nations cadres et les nations contributrices (Pologne, Grèce, Turquie et Autriche) qui constituent les neuf nations représentées au QG de l'Eurocorps ; les États-Unis, l'Italie, la Roumanie, la Bulgarie, la République Tchèque, la Slovaquie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse et le Canada avaient envoyé des militaires pour participer à cet exercice.
L'opération fictive, légitimée par des résolutions des Nations unies, se déroulait pour la première fois sous mandat de l'Union Européenne avec la contribution des moyens de l'Otan.
Absence remarquée de la presse nationale
Mardi, de nombreuses autorités civiles et militaires ont assisté à la présentation de l'exercice dont le général Jean-Louis Georgelin, chef d'État-major des armées. Au titre des autorités civiles, seuls deux élus français, le député René Rouquet, membre de la commission de la Défense nationale et des forces armées et le 1er vice-président du conseil régional de Champagne-Ardenne, Gérard Berthiot étaient présents alors que l'on comptait la présence de quatre sénateurs espagnols. La quasi-absence de la presse française dénoterait-elle un moindre intérêt des Français aux questions de défense européenne ?
Si l'informatique apparaissait comme l'outil majeur de cette guerre tactique, les 2000 militaires présents géraient le déploiement fictif d'une armée virtuelle de 40.000 militaires, de quoi donner le vertige. Si l'informatique apparaissait comme l'outil majeur de cette guerre tactique, les 2000 militaires présents géraient le déploiement fictif d'une armée virtuelle de 40.000 militaires, de quoi donner le vertige.
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Comme un jeu vidéo virtuel…
La zone de trouble se situe en Andalousie. Seul élément réel : la géographie espagnole, pour le reste, on entre dans la fiction de l'exercice. Au Nord, Vulpecula, pays non démocratique agresse Auriga et Aquila.
Pour compliquer, ses pays abritent plusieurs ethnies et des groupes terroristes armés par Vulpecula.
Les agressions se multiplient malgré les interventions diplomatiques européennes. Sous mandat de l'Union Européenne, l'Eurocorps et les forces des nations européennes se déploient en Auriga et Perseus, plus au sud. Sur la carte espagnole, le PC avant est situé à Grenade, le PC arrière à Séville.
La White Cell assure l'animation de l'exercice, créant les incidents auxquels les militaires doivent réagir.
La fiction inclut les réactions de la presse auxquelles les militaires s'entraînent à répondre par conférence ou communiqué. Il faut aussi gérer sur le terrain les interventions des organisations non gouvernementales.
Mais la guerre, c'est avant tout gérer tous les risques y compris les risques NRBC (nucléaires, radiologiques, bactériologiques et chimiques)…
Tout cela nécessite une communication parfaitement sécurisée entre les différentes PC et les QG !
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Le chef d'état-major des armées, le général Georgelin et le général Pitarch, commandant l'Eurocorps, visitent la brigade franco-allemande.
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Admiration.
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Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
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