Economie et pouvoir financier, Hitler, Napoléon, le Pharaon voulaient déjà dépeupler...
La volonté de dépopulation ne relève pas du fantasme.
Michel-Schooyans a rédigé un livre très riche sur ce thème titré " la face cachée de l'ONU "
http://www.amazon.fr/Face-cach%C3%A9e-lONU-Michel-Schooyans/dp/2866793021
Voici son article résumant son livre, très documenté
http://perso.infonie.be/le.feu/ms/lilfr/texte.htm
la dépopulation ne fait pas partie d'une simple "utopie" de dégénérés isolés,au contraire, il s'agit de prix Nobel de la paix, de néo-"écolos" très importants
Voici leurs citations
http://www.alterinfo.net/Tuez-les-tous-!_a20303.html
Economie et pouvoir financier, Hitler, Napoléon, le Pharaon voulaient déjà dépeupler...
Tuez-les tous !
Dans la série "Tuez-les tous!", voici quelques exemples de "grands penseurs" de l'écologie radicale, défenseurs acharnés du malthusianisme.
Aujourd'hui, nous voyons apparaître une nouvelle forme déguisée de malthusianisme où ressurgit le mythe de la surpopulation et de l'homme parasite : critique de la croissance et du développement, réchauffement global causé par l'homme, empreinte écologique, décroissance, développement durable, création d'un nouvel organisme mondial pour l'environnement sous l'égide de l'ONU, etc.
Selon moi, la question de la place de l'homme dans l'univers est fondamentale pour envisager le futur de l'humanité et pour déterminer la politique de développement mondial des cinquante prochaines années.
Comment notre siècle perçoit-il la science, le progrès et l'homme? L'homme est-il un parasite? L'homme peut-il au contraire améliorer la terre?
Réalisé sans trucages.
Extraits de l'Essai sur le principe de population de Thomas Malthus (1766-1834) :
"La nécessité, cette loi impérieuse de la nature qui régit tout, retient les germes de la vie dans les limites prescrites. La race des plantes et la race des animaux se plient à cette grande loi de restriction. Et la race des hommes ne peut y échapper par aucun effort de sa raison."
"Plutôt que d'inciter les pauvres à la propreté, nous devrions encourager des habitudes contraires. Dans nos villes, nous devrions rendre les rues plus étroites, entasser plus de gens dans les maisons, et favoriser le retour de la peste. A la campagne, nous devrions implanter les villages dans des zones où l'eau est stagnante, particulièrement là où c'est marécageux et inconfortables. Mais par dessus tout nous devrions bannir les remèdes qui combattent les maladies mortelles; et retenir ces hommes de bonne volonté mais néanmoins dans l'erreur, qui pensent rendre un service à l'humanité par des mesures de protection tendant à l'éradication de tel ou tel désordre. "
Prince Philip, Duc d'Edimbourg, prince consort de la Reine Elizabeth II d'Angleterre. Le prince Philip participera à la création du World Wildlife Fund (WWF) et en sera le président international entre 1981 et 1993, puis président d'honneur :
"Vous ne pouvez pas maintenir un troupeau de moutons plus important que ceux que vous êtes en mesure de nourrir. En d'autres termes, pour la conservation de la nature il peut être question de débarrasser du surcroît de bêtes d'une espèce de façon à conserver un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans chaque type d'habitat spécifique. Je suis conscient que c'est un sujet très sensible, mais le fait demeure que l'humanité fait partie du monde vivant (..) Tout nouvel acre mis en culture est un acre retiré aux espèces sauvages ".
"Je crois que la pression exercée par la population - le simple nombre de gens sur cette planète - est la cause la plus importante de la dégradation de l'environnement naturel […] Tout ceci a été rendu possible par la révolution industrielle et le développement explosif de la science a été propagé dans le monde entier par la nouvelle religion économique du développement."
Le même prince Philip, cité par la Deutsche Press Agentur, août 1988 :
"Au cas où je serais réincarné, je souhaiterais l'être sous la forme d'un virus mortel afin d'apporter ma contribution au problème de la surpopulation."
Le WWF, sur son site:
L'empreinte écologique de l'humanité dépasse de 25% la capacité biologique de la planète. Si nous adoptions tous le style de vie américain, 5 planètes comme la Terre seraient nécessaires pour vivre durablement. Si tout le monde vivait comme un Français, il faudrait 2 planètes supplémentaires.
L'empreinte écologique des pays à hauts revenus est 6 fois supérieure à celle des pays à faibles revenus.
Si nous ne faisons rien, l'empreinte écologique mondiale pourrait en 2050 dépasser de 100 % la bio capacité de la Terre.
Paul Ehrlich, dans La bombe de la population:
"Le cancer est une multiplication incontrôlée des cellules; l'explosion de la population est une multiplication incontrôlée des gens (..) Nous devons transférer nos efforts du traitement des symptômes vers l'éradication du cancer. L'opération demandera de nombreuses décisions apparemment brutales et froides".
En savoir plus ici
Aurelio Peccei, co-fondateur du Club de Rome dans son livre Cent pages pour l'avenir (1981):
"Un autre comportement de notre espèce l'inculpe lourdement au tribunal de la vie. C'est sa prolifération exponentielle, qu'on ne peut définir que comme cancéreuse. Excepté les insectes, rares sont les espèces qui se multiplient aussi farouchement et aveuglément que la notre".
En savoir plus ici
Tertullien, théologien d'Afrique du Nord, au 2ème siècle!:
"Notre population est si énorme que la Terre peut difficilement nous soutenir".
"La faim, la guerre et les tremblements de terre représentent le remède qu'elle possède pour éliminer l'excès de population."
Michael Soverstein, Président d'Environmental Economics :
"Si nécessaire, on doit forcer les populations du Tiers Monde à rester pauvres dans la mesure où leur développement menace les ressources desquelles toute la vie dépend".
Dr Arne Schiotz, (WWF), Directeur de la conservation, 1984 :
"Les faits ont conforté le diagnostic de Malthus, la réalité est finalement en train de lui donner raison. Le Tiers Monde est surpeuplé, c'est le marasme économique, ils ne peuvent pas s'en sortir avec une population en croissance forte. Notre philosophie, c'est le retour au village".
Dr Patrick Moore, un co-fondateur de Greenpeace (qui répudia totalement le mouvement par la suite):
"Le mouvement environnemental est devenu la plus puissante force qui existe pour empêcher l'essor des pays en voie de développement. (...) Je pense qu'il est légitime que je les qualifie d'"anti-humains"
Julian Huxley, qui fut président de l'UNESCO et créateur du WWF en 1961, affirme dans le Weekend Review (années 30), au nom du comité pour la légalisation de la stérilisation eugénique:
"La sélection de ceux qui vont survivre a été énormément affaiblie par la médecine moderne, (..) par l'hygiène, (..) les aides sociales (..) et la miséricorde". Il met en garde contre la tendance "qu'ont les plus pauvres, et de façon générale, les éléments les moins désirables de la population, à avoir les familles les plus grandes".
Dans Essais d'un humaniste (sic), 1964:
"Bien trop souvent, ils [les pauvres] doivent être soutenus par des aides publiques et deviennent un fardeau pour la communauté. Malheureusement, ils ne sont pas dissuadés de mener leurs affaires de reproduction: et la taille moyenne de leurs familles est très grande, beaucoup plus grande que la moyenne de l'ensemble du pays (...)
Des tests d'intelligence et autres ont révélé qu'ils avaient un QI moyen très bas, et nous avons des indications qu'ils sont génétiquement sous-normaux dans bien d'autres qualités comme l'initiative, la persévérance, le désir et l'intérêt général de découverte, l'énergie, l'intensité émotionnelle et le pouvoir de volonté. Dans l'ensemble, leur misère et manque de prévoyance ne sont pas leur faute mais leur malchance: notre système social fournit un terrain sur lequel ils peuvent croître et multiplier, mais sans espoir d'éviter la pauvreté et la misère noire."
Dans L'Homme, cet être unique (1941) :
"Je considère comme absolument probable que les nègres authentiques ont une intelligence moyenne légèrement inférieure à celles des Blancs ou des Jaunes."
Bertrand Russel (1872-1970). Membre de la Royal Society, conseiller de Julian Huxley à l'UNESCO, scientifique et mathématicien, "pacifiste militant", il reçoit le prix Nobel de littérature en 1950 pour son œuvre écrite.
"La nécéssité d'un gouvernement mondial se dégage avec évidence des principes de Darwin, et il sagit d'en tenir compte si l'on désire résoudre avec humanité le problème de la surpopulation (...) Cette autorité aura pour tâche de répartir les denrées du monde entier entre toutes les nations, proportionnellement au chiffre de la population de chacune d'elles au moment de la création de cette autorité".
Le commandant Cousteau, dans le Courrier de l'UNESCO de novembre 1991 :
"L'élimination des virus relève d'une idée noble, mais elle pose à son tour d'énormes problèmes. Entre l'an 1 et l'an 1400, la population mondiale n'a pratiquement pas changé.
A travers les épidémies, la nature compensait les abus de la natalité par des abus de mortalité. (...) Nous voulons éliminer les souffrances, les maladies? L'idée est belle mais n'est peut être pas tout à fait bénéfique sur le long terme. Il est à craindre que l'on ne compromette ainsi l'avenir de notre espèce. C'est terrible à dire. Il faut que la population mondiale se stabilise et pour cela, il faudrait éliminer 350.000 hommes par jour".
Les VHEMT (Mouvement pour l'Extinction Volontaire de l'Humanité, mouvement marginal mais représentatif du problème), sur la page de présentation de leur site internet:
L'extinction progressive de l'espèce humaine par l'abandon volontaire de la reproduction permettrait à la Biosphère de recouvrer une bonne santé. Le manque d'espace vital et les pénuries en ressources naturelles trouveraient leur solution si la population humaine était moins nombreuse et moins dense.
Le Mouvement pour l'Extinction Volontaire de l'Humanité est une alternative humaniste aux désastres humains.
Nous n'insisterons pas seulement sur la façon dont l'Être Humain s'est révélé être un parasite avide et amoral de cette planète qui fut jadis saine. Ce type de négativisme n'offre aucune solution aux horreurs inexorables causées par l'activité humaine.
Le Mouvement présente plutôt une alternative encourageante à l'exploitation irrationnelle et à la destruction de l'écologie terrestre.
Comme les Volontaires du VHEMT le savent bien, l'alternative optimiste à l'extinction de millions, si ce n'est de milliards d'espèces de plantes et d'animaux est l'extinction volontaire d'une seule de ces espèces : l'Homo sapiens, c'est-à-dire nous.
A chaque fois que l'un d'entre nous décide de ne pas ajouter un autre "d'entre nous" à la masse déjà énorme qui s'est amassée sur cette planète ravagée, un nouveau rayon d'espoir perce l'obscurité.
Et pour finir, retour à Malthus dans son Essai sur le principe de population:
"Un homme qui est né dans un monde déjà occupé, s'il ne peut obtenir de ses parents la subsistance, et si la société n'a pas besoin de son travail, n'a aucun droit de réclamer la plus petite portion de nourriture, et en fait il est de trop. Au grand banquet de la nature, il n'y a pas de couvert mis pour lui. Elle lui commande de s'en aller, et elle met elle-même promptement ses ordres à exécution s'il ne peut recourir à la compassion de quelques-uns des convives du banquet."
Le nouveau malthusianisme, le racisme et le génocide
"Si tous les habitants du globe atteignaient le niveau de vie d'un occidental, il faudrait cinq à six planètes supplémentaires".
Cette phrase, vous l'avez sûrement lue ou entendue quelque part. A force de la voir répétée dans la plupart des médias consensuels, elle est devenue évidente et irréfutable pour beaucoup de monde. Pourtant cette affirmation est fausse. Fausse et surtout dangereuse.
L'apparition de ce genre d'ânerie a débuté dans les années 1970, au moment où étaient publiés les rapports "du Club de Rome, Halte à la Croissance, et La bombe de la démographie, qui répandaient dans la population un nouveau pessimisme culturel, s'inspirant des « luddites » briseurs de machines dans l'Angleterre du XIXe siècle. Les intérêts financiers qui contrôlaient le Club de Rome lancèrent une idéologie malthusienne et post-industrielle afin de briser le développement économique du tiers-monde. Cela représentait une menace insupportable pour leur pouvoir, basé sur la rente financière et le contrôle des matières premières." (source: Fusion).
L'idée de base, relayée par les médias, c'est que le développement est dangereux, la science incontrôlable et que l'homme, dans sa folie créatrice, n'est qu'un vilain parasite qui ne pense qu'à détruire la planète.
Mais revenons à notre sentence du début: "Si tous les habitants du globe atteignaient le niveau de vie d'un occidental, il faudrait cinq à six planètes supplémentaires". La conséquence logique de cette affirmation, c'est d'interdire l'accès aux technologies modernes pour les pays "émergents" et de les maintenir dans un état d'apartheid technologique et économique. On devine ici la grande hypocrisie de cette idée du "modèle de développement occidental". Posons nous sérieusement la question: qu'est-ce-que le niveau de vie moyen d'un occidental? Des hôpitaux modernes et sûrs, des transports rapides et fiables, de l'énergie en quantité suffisante, de l'eau pour tous, une agriculture productive de qualité et une recherche scientifique innovante. Notons au passage que la politique économie ultra-libérale de ces trente dernières années a souvent réduit le niveau de vie des pays dits "civilisés". Derrière cette idéologie se cache en réalité une forme de racisme qui considère que "ces pays-là" n'ont pas besoin de développement technologique, que ce n'est pas dans leur tradition ou leur culture. C'est bien connu, "les noirs ont le rythme dans la peau, la peau sur les os et les os dans le nez" (Desproges). A ce sujet, il est bon de lire les biographies et les textes de quelques héros africains qui souhaitaient un vrai développement économique et technologique pour leurs pays. Citons, pour parler de l'Afrique, Patrice Lumumba, Cheikh Anta Diop ou N'Krumah.
Ce qui caractérise l'homme, c'est sa capacité à transformer l'univers par un acte créateur. L'histoire de l'humanité est faite d'individus qui ont permis aux hommes de vivre mieux, plus longtemps, plus nombreux. Nier ce pouvoir de transformation, c'est nier ce qui distingue l'homme du bonobo. Il y a eu des âges "d'or" et des âges des "ténèbres", ce n'est pas un phénomène linéaire ou cyclique, car l'homme est capable, grâce à son libre-arbitre, de déterminer le futur de l'humanité.
Contre le pessimisme culturel et scientifique, soyons vigilants.
Une définition du malthusianisme (Wikipédia): Le malthusianisme est une politique prônant la restriction démographique, inspirée par les travaux de l'économiste britannique Thomas Malthus (1766–1834). Le terme est utilisé pour la première fois par Pierre Joseph Proudhon en 1849.
A l'origine, doctrine hostile à l'accroissement de la population d'un territoire ou d'un État, et préconisant la restriction volontaire de la natalité. Le mot "malthusianisme" désigne aussi par extension toute attitude craintive devant la vie et le développement.
Cette phrase, vous l'avez sûrement lue ou entendue quelque part. A force de la voir répétée dans la plupart des médias consensuels, elle est devenue évidente et irréfutable pour beaucoup de monde. Pourtant cette affirmation est fausse. Fausse et surtout dangereuse.
L'apparition de ce genre d'ânerie a débuté dans les années 1970, au moment où étaient publiés les rapports "du Club de Rome, Halte à la Croissance, et La bombe de la démographie, qui répandaient dans la population un nouveau pessimisme culturel, s'inspirant des « luddites » briseurs de machines dans l'Angleterre du XIXe siècle. Les intérêts financiers qui contrôlaient le Club de Rome lancèrent une idéologie malthusienne et post-industrielle afin de briser le développement économique du tiers-monde. Cela représentait une menace insupportable pour leur pouvoir, basé sur la rente financière et le contrôle des matières premières." (source: Fusion).
L'idée de base, relayée par les médias, c'est que le développement est dangereux, la science incontrôlable et que l'homme, dans sa folie créatrice, n'est qu'un vilain parasite qui ne pense qu'à détruire la planète.
Mais revenons à notre sentence du début: "Si tous les habitants du globe atteignaient le niveau de vie d'un occidental, il faudrait cinq à six planètes supplémentaires". La conséquence logique de cette affirmation, c'est d'interdire l'accès aux technologies modernes pour les pays "émergents" et de les maintenir dans un état d'apartheid technologique et économique. On devine ici la grande hypocrisie de cette idée du "modèle de développement occidental". Posons nous sérieusement la question: qu'est-ce-que le niveau de vie moyen d'un occidental? Des hôpitaux modernes et sûrs, des transports rapides et fiables, de l'énergie en quantité suffisante, de l'eau pour tous, une agriculture productive de qualité et une recherche scientifique innovante. Notons au passage que la politique économie ultra-libérale de ces trente dernières années a souvent réduit le niveau de vie des pays dits "civilisés". Derrière cette idéologie se cache en réalité une forme de racisme qui considère que "ces pays-là" n'ont pas besoin de développement technologique, que ce n'est pas dans leur tradition ou leur culture. C'est bien connu, "les noirs ont le rythme dans la peau, la peau sur les os et les os dans le nez" (Desproges). A ce sujet, il est bon de lire les biographies et les textes de quelques héros africains qui souhaitaient un vrai développement économique et technologique pour leurs pays. Citons, pour parler de l'Afrique, Patrice Lumumba, Cheikh Anta Diop ou N'Krumah.
Le rêve d'agriculture de nos bobos-écolos-obscurantistes
L'autre grande erreur de ce nouveau malthusianisme, c'est de ne pas prendre en compte la créativité humaine. En effet, dans une économie "saine", une grande partie des crédits est detinée à la recherche scientifique et technologique. Il est ainsi possible de résoudre des problèmes qui pouvaient, jusque-là, sembler insolubles. C'est tout simplement l'histoire de l'humanité et de ses successions de découvertes. Avec une réelle volonté politique internationale, nous pourrions résoudre rapidement les plus grands problèmes mondiaux. Avec le nucléaire, nous pourrions fournir au monde entier de l'énergie (base indispensable d'un vrai développement économique et social) et aussi dessaler l'eau de mer pour résoudre en grande partie le problème effroyable de l'eau. Des voies de transports rapides permettraient de désenclaver certaines régions du monde et de créer un dialogue économique et culturel entres pays. De grandes avancées sont encore à venir dans l'agriculture (aéroponique, hydroponique..), la santé, etc. Nous pouvons, sans problème, faire vivre la planète entière dans des conditions dignes et humaines. Résoudre le problème des guerres et du terrorisme, c'est d'abord un vrai plan Marshall pour les pays qui souffrent. Pas besoin de revenir à l'âge des cavernes ("back to the trees!"), de liquider les deux tiers de l'humanité ou d'envoyer une armée de "libérateurs" comme en Irak. La paix par le développement économique, voilà la solution.Ce qui caractérise l'homme, c'est sa capacité à transformer l'univers par un acte créateur. L'histoire de l'humanité est faite d'individus qui ont permis aux hommes de vivre mieux, plus longtemps, plus nombreux. Nier ce pouvoir de transformation, c'est nier ce qui distingue l'homme du bonobo. Il y a eu des âges "d'or" et des âges des "ténèbres", ce n'est pas un phénomène linéaire ou cyclique, car l'homme est capable, grâce à son libre-arbitre, de déterminer le futur de l'humanité.
Contre le pessimisme culturel et scientifique, soyons vigilants.
"Back to the trees!":
Le mouvement pour la décroissance milite pour un retour aux âges des cavernes et pour maintenir la moitié de la planète dans un état d'apartheid technologique.Une définition du malthusianisme (Wikipédia): Le malthusianisme est une politique prônant la restriction démographique, inspirée par les travaux de l'économiste britannique Thomas Malthus (1766–1834). Le terme est utilisé pour la première fois par Pierre Joseph Proudhon en 1849.
A l'origine, doctrine hostile à l'accroissement de la population d'un territoire ou d'un État, et préconisant la restriction volontaire de la natalité. Le mot "malthusianisme" désigne aussi par extension toute attitude craintive devant la vie et le développement.
Samedi 31 Mai 2008
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Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
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