Ci-dessous ce LIEN de la presse Ivoirienne. Le président Gbagbo y stigmatise le système bancaire. Certes, ce ne sont pas les mêmes circonstances et les termes de la même classe qu'avait employé le cardinal Agré. Et le présent propos du président Ivoirien, qui est un propos dirigé sur un sujet précis, ne donne pas d'indice sur la conscience réelle et exacte qu'il a sur les méfaits du système bancaire et le remède à y apporter. Mais aussi, en tant que président d'un pays, il ne peut pas s'exprimer directement, sinon par des détours (en plus les Ivoiriens sont en pleine période électorale...).
Toutes choses bien comprises par ailleurs, un tel propos venant d'un président (et en période de campagne électorale) ne peut nous laisser indifférents.
L'on peut espérer que le travail de communication et d'enseignement effectué jusqu'à ce jour en Côte d'Ivoire sur le Crédit-Social pourra avoir - filtré - jusqu'aux principales instances politiques de la Côte d'Ivoire? Car nous avions eu un très fort contact avec un des proches du parti politique du prédient Gbagbo. En effet, François Diby (fonctionnaire dans l'Enseignement étant inspecteur au service des examens a ordinairement accès au ministre de l'Enseignement) puis Madame Catherine Boni tous les deux font partie de la Coordination pour le Crédit-Social en Côte d'Ivoire et moi-même, avons rencontré début août Monsieur Mahmoud Diallo (que François Diby connaît très bien) homme principal et à tout faire du parti politique du Président Gbagbo. Donc Monsieur Diallo dont l'accueil (une heure) fut très chaleureux et détendu m'écouta avec une très grande attention et prolongea un peu l'entretien. Depuis, François Diby, avec qui j'ai eu quelques communications téléphoniques m'a laissé entendre que l'ami Diallo ne serait pas resté "inactif". Telles sont les indications que j'ai depuis environ un mois lors de mon dernier coup de téléphone en date avec François Diby.
Voir: http://news.abidjan.net/article/?n=347209
Une petite indication supplémentaire que, d'ailleurs, vous avez peut-être déjà pris en compte relativement au fait des prochaines élections ivoiriennes qui devraient avoir lieu, en principe, le 29 novembre prochain. Je ne suis pas toujours au courant des nouvelles au jour le jour, mais des rumeurs ont courru que cette date pourrait être légèrement reportée de quelques semaines pour des raisons purement pratiques, entre autre, l'état civil des gens n'aurait pas été mis à jour depuis 10 ans paraît-il.
Quoi qu'il en soit, sans ralentir en rien tout ce qui est fait et doit être fait et entrepris pour l'enseignement et la propagation du Crédit Social en Côte d'Ivoire, de l'avis des Ivoiriens rencontrés en Côte d'Ivoire même et c'est aussi l'avis de nos deux grandes Amies ivoiriennes Lucie et Sophie récemment à Rougemont et rentrées en Côte d'Ivoire il y a peu de semaines, que rien ne se fasse et ne se dise en Côte d'Ivoire au sujet du Crédit Social qui puisse interférer avec cette période électorale. Une fois les élections passée, la "précaution de discrétion" ne devrait plus être nécessaire, ou moins nécessaire. Non pas que nous croyons que telle élection politique va nécessairement changer grand'chose à la marche actuelle de l'économie, des finances et du social en Côte d'Ivoire, mais dans une société comme la société ivoirienne, on aurait vite fait de faire des associations touchant à la politique et qui n'auraient pas lieu d'être... Le pays sortant à grand'peine de la très grave crise interne encore récente, la plus grande prudence est de mise sur tous les plans. Je pense que, outre le cardinal Agré, Monseigneur Dadiet est sûrement l'un des plus sûr conseiller en la matière.
Aujourd'hui ou demain, car je ne voufrais pas vous "saturer", je vous enverrai, d'une part un article de Mamadou Koulibaly, ivoirien, qui prône que la Côte d'Ivoire sorte du Franc CFA, bien trop lié aux exigences de l'ancienne métropole, la France. En effet, l'administration fiscale française conditionne en grande partie l'usage par les Ivoiriens du franc CFA, cette main-mise extérieure sur la Côte d'Ivoire n'a pas lieu d'être. Et d'autre part je vous enverrai un site qui représente bien l'état des recherches et des débats sur la question monétaire, ce site affiche également le Crédit-Social dans ses options.
PAR NOTRE DAME D'AFRIQUE
R. L.
Toutes choses bien comprises par ailleurs, un tel propos venant d'un président (et en période de campagne électorale) ne peut nous laisser indifférents.
L'on peut espérer que le travail de communication et d'enseignement effectué jusqu'à ce jour en Côte d'Ivoire sur le Crédit-Social pourra avoir - filtré - jusqu'aux principales instances politiques de la Côte d'Ivoire? Car nous avions eu un très fort contact avec un des proches du parti politique du prédient Gbagbo. En effet, François Diby (fonctionnaire dans l'Enseignement étant inspecteur au service des examens a ordinairement accès au ministre de l'Enseignement) puis Madame Catherine Boni tous les deux font partie de la Coordination pour le Crédit-Social en Côte d'Ivoire et moi-même, avons rencontré début août Monsieur Mahmoud Diallo (que François Diby connaît très bien) homme principal et à tout faire du parti politique du Président Gbagbo. Donc Monsieur Diallo dont l'accueil (une heure) fut très chaleureux et détendu m'écouta avec une très grande attention et prolongea un peu l'entretien. Depuis, François Diby, avec qui j'ai eu quelques communications téléphoniques m'a laissé entendre que l'ami Diallo ne serait pas resté "inactif". Telles sont les indications que j'ai depuis environ un mois lors de mon dernier coup de téléphone en date avec François Diby.
Voir: http://news.abidjan.net/article/?n=347209
Une petite indication supplémentaire que, d'ailleurs, vous avez peut-être déjà pris en compte relativement au fait des prochaines élections ivoiriennes qui devraient avoir lieu, en principe, le 29 novembre prochain. Je ne suis pas toujours au courant des nouvelles au jour le jour, mais des rumeurs ont courru que cette date pourrait être légèrement reportée de quelques semaines pour des raisons purement pratiques, entre autre, l'état civil des gens n'aurait pas été mis à jour depuis 10 ans paraît-il.
Quoi qu'il en soit, sans ralentir en rien tout ce qui est fait et doit être fait et entrepris pour l'enseignement et la propagation du Crédit Social en Côte d'Ivoire, de l'avis des Ivoiriens rencontrés en Côte d'Ivoire même et c'est aussi l'avis de nos deux grandes Amies ivoiriennes Lucie et Sophie récemment à Rougemont et rentrées en Côte d'Ivoire il y a peu de semaines, que rien ne se fasse et ne se dise en Côte d'Ivoire au sujet du Crédit Social qui puisse interférer avec cette période électorale. Une fois les élections passée, la "précaution de discrétion" ne devrait plus être nécessaire, ou moins nécessaire. Non pas que nous croyons que telle élection politique va nécessairement changer grand'chose à la marche actuelle de l'économie, des finances et du social en Côte d'Ivoire, mais dans une société comme la société ivoirienne, on aurait vite fait de faire des associations touchant à la politique et qui n'auraient pas lieu d'être... Le pays sortant à grand'peine de la très grave crise interne encore récente, la plus grande prudence est de mise sur tous les plans. Je pense que, outre le cardinal Agré, Monseigneur Dadiet est sûrement l'un des plus sûr conseiller en la matière.
Aujourd'hui ou demain, car je ne voufrais pas vous "saturer", je vous enverrai, d'une part un article de Mamadou Koulibaly, ivoirien, qui prône que la Côte d'Ivoire sorte du Franc CFA, bien trop lié aux exigences de l'ancienne métropole, la France. En effet, l'administration fiscale française conditionne en grande partie l'usage par les Ivoiriens du franc CFA, cette main-mise extérieure sur la Côte d'Ivoire n'a pas lieu d'être. Et d'autre part je vous enverrai un site qui représente bien l'état des recherches et des débats sur la question monétaire, ce site affiche également le Crédit-Social dans ses options.
PAR NOTRE DAME D'AFRIQUE
R. L.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire