samedi 27 juin 2009

Vaccins et certaines manipulations médicales

Vaccins dangereux et un peu de perspective historique sur certaines manipulations médicales.

Pas d'autistes chez les Amish

Sylvie Simon


Résumé : En observant attentivement la société, on peut obtenir des résultats parfois plus
probants que les tests cliniques toujours pratiqués sur des nombres limités de patients.
C'est ainsi que l'Etat d'Illinois, au Sud du lac Michigan, exempte ceux qui refusent les
vaccinations pour raisons religieuses. On dispose ainsi d'un groupe de 15 000 enfants
non vaccinés. De même les Amish, cette communauté (rendue célèbre par le film
« Witness ») qui vit comme au 18ème siècle, ignore la vaccination.



Chez ces deux groupes, les cas d'autisme sont pratiquement inexistant, alors que
la moyenne nationale est d'un autiste sur 166 enfants.
Or, les vaccins contiennent souvent du thimérosal (éthyle de mercure) qui a déjà été
incriminé comme favorisant l'autisme et d'autres problèmes neurologiques.
Mais ces études sont occultées. On peut donc vraiment se poser la question : les
autorités médicales qui connaissent ces faits seront-elles enfin disposées à affronter un
jour les puissantes compagnies pharmaceutiques ?
Le Dr Mayer Eisenstein, directeur médical du Homefirst Health
Services, signale: "Depuis des années, nous avons suivi 30 000 à 35 000
enfants dès leur naissance, et nous n'avons pas rencontré un seul cas
d'autisme parmi les enfants qui n'ont jamais reçu de vaccins. Nos médecins
ont aidé à faire naître plus de 15 000 bébés dont la plupart n'ont jamais été
vaccinés. Les quelques rares cas d'autisme ont été décelés chez des enfants
vaccinés avant que leur mère ne s'adresse à nous pour leur enfant suivant."
Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l'Illinois, ont
permis de faire baisser les moyennes d'autistes de cet État à 38 pour 10 000
(d'après le Ministère de l'Education), alors qu'elles sont de 60 pour 10 000
dans le reste du pays (d'après le CDC, Centre de Contrôle des Maladies).
Les amish s'opposent à la vaccination et les autistes sont
pratiquement inexistants chez eux
Eisenstein ajoute que ces chiffres sont significatifs et qu'il est
impossible d'ignorer la différence. Les vaccinations sont obligatoires dans
l'Illinois, mais l'État accepte les exemptions pour raisons religieuses.
Homefirst laisse les parents libres de leur choix, mais Eisenstein critique
ouvertement la politique de vaccination du CDC depuis les années 1990,
lorsqu'on a introduit le vaccin contre l'hépatite B dès le jour de la
naissance.
Il est l'auteur du livre Don't Vaccinate Before You Educate ! (Ne
vaccinez pas avant d'éduquer).
Le Dr Paul Schattauer, qui fait partie de Homefirst depuis vingt ans
et traite au moins 100 enfants par semaine, confirme : "Tout ce que je sais
c'est que, dans ma pratique, je ne rencontre pas d'autistes. Nous sommes

loin des 1cas sur 166 officiels dans notre pays." En 1991, on ne trouvait
qu'un enfant autiste sur 2 500 dans cette région.
Le même constat concerne les amish dont les convictions
religieuses s'opposent à la vaccination. Chez eux, les autistes sont
pratiquement inexistants. Au début de l'année 2005, le Dr Jeif Bradstreet,
pédiatre en Floride, spécialiste de l'autisme, a déclaré qu'on ne trouvait
pratiquement aucun cas d'autisme chez les enfants non vaccinés pour des
raisons religieuses et élevés au sein de leur famille afin d'échapper aux
vaccinations scolaires. Ces déclarations confirment les observations du Dr
Eisenstein.
Les autorités fédérales de santé et les laboratoires nient avec
vigueur tout lien entre l'autisme et les vaccins, même ceux qui contiennent
du mercure. Or, de nombreuses études ont confirmé que le thimérosal,
composé à 49,6 % d'éthyle de mercure, avait un rapport avec l'autisme et
d'autres problèmes neurologiques. Cependant le thimérosal se trouve
toujours dans la plupart des vaccins injectés à des millions d'enfants dans
les pays développés.
Le CDC recommande de vacciner les femmes enceintes et les
enfants de 6 à 23 mois contre la grippe. John Clements, de l'OMS, a déclaré
en juin 2000: "Mon travail consiste à vacciner 100 millions d'enfants avant
la fin de l'année, puis l'année prochaine et les années suivantes. Et cela se
fera avec des vaccins qui contiennent du thimérosal." Cette proclamation a
été faite après la parution des études incriminant le thimérosal, car, en 2004,
l'Institut de médecine déclara que "ni les États-Unis ni les autres pays ne
pouvaient inclure l'autisme comme un risque potentiel".
Une étude gardée secrète: depuis 1991, l'autisme a été
multiplié par 15 aux États-Unis
En juin 2000, sous l'égide du CDC, un groupe de scientifiques et
d'officiers de santé du gouvernement américain s'est réuni à Simpsonwood,
dans un centre de retraite méthodiste isolé qui permettait la discrétion.
L'agence s'était gardée d'annoncer publiquement la réunion et n'avait invité
que 52 personnes du CDC, de la FDA (Food and Drug Administration), les
spécialistes de la vaccination à l'OMS et des représentants des principaux

fabricants de vaccins, tels Glaxo SmithKline, Merck, Wyeth et Aventis
Pasteur.
Ces gens avaient été rassemblés pour discuter d'une récente étude
qui soulevait d'importantes questions sur la sécurité des vaccins administrés
journellement aux nouveau-nés et aux jeunes enfants. D'après Tom
Verstraeten, un épidémiologiste du CDC qui venait d'examiner les données
médicales de 100 000 enfants, il était apparu de manière irréfutable que le
mercure contenu dans les vaccins était responsable de l'effrayante
augmentation d'autisme et de désordres neurologiques chez ces enfants.
Verstraeten cita alors les nombreuses études antérieures démontrant
bien le lien entre le mercure (thimérosal) et les problèmes auxquels étaient
confrontés ces enfants.
Tout au long de la conférence, le CDC a répété aux participants que
les travaux et les interventions devaient rester secrets. Ils ne pourraient faire
de photocopies des documents ni emporter de papiers en partant.
L'événement était d'importance car, depuis 1991, l'autisme a été
multiplié par 15 aux États-Unis, ce qui est effarant. Ces conclusions ont
affolé de nombreux participants. "Vous pouvez retourner ces données dans
tous les sens, les résultats sont significatifs", a déclaré le Dr Bill Weil,
consultant de l'American Academy of Pediatrics.
Cependant, au lieu de décider d'alerter immédiatement le
public et de débarrasser les vaccins du thimérosal, les participants passèrent
le plus clair de ces deux jours à rechercher les moyens de cacher ces
données alarmantes. D'après la transcription des travaux, obtenue grâce à
l'intervention du Freedom of Information Act, la plupart des participants
s'inquiétaient uniquement de l'impact de ces révélations sur l'industrie
pharmaceutique.
Le CDC a demandé à l'Académie de médecine de mener une
nouvelle étude afin de blanchir le thimérosal et de minimiser ses
risques, ordonnant aux chercheurs "d'éliminer" les liens avec l'autisme
"Nous serons en mauvaise position pour nous défendre en cas de
poursuites", a déclaré le Dr Robert Brent, pédiatre à l'hôpital pour enfants
Alfred-du-Pont dans le Delaware. Le Dr Robert Chen, chef du service de la
sécurité des vaccinations au CDC, a exprimé son soulagement d'avoir

conservé ces informations hors de portée de personnes "moins
responsables". Le Dr John Clements, conseiller de l'OMS pour les vaccins,
a avoué qu"il aurait mieux valu que cette recherche n'ait pas eu lieu". Il a
ajouté que les résultats "devaient être remaniés" car l'étude risquait de
tomber dans des mains étrangères et d'être "utilisée de manière différente,
hors du contrôle de leur groupe".
En fait, le gouvernement a prouvé qu'il souhaitait limiter les dégâts
plutôt que de protéger la santé des enfants. Le CDC a demandé à
l'Académie de médecine de mener une nouvelle étude afin de blanchir le
thimérosal et de minimiser ses risques, ordonnant aux chercheurs
"d'éliminer" les liens avec l'autisme. Le Centre occulta les travaux de
Verstraeten, et raconta au Freedom of Information Act que les données
originales avaient été perdues et ne pouvaient donc être reproduites.
Lorsque Verstraeten publia finalement ses travaux, en 2003, il avait
été engagé par GlaxoSmithKline et révisa évidemment ses données afin
d'enterrer le lien entre le thimérosal et l'autisme.
Les fabricants de vaccins ont à présent commencé à supprimer le
thimérosal des injections données aux nouveau- nés américains, mais ils ont
continué à vendre leurs vaccins au mercure jusqu'à l'année dernière. Le
CDC et la FDA les ont aidés à exporter ces vaccins vers les pays en voie de
développement et leur ont permis de continuer à utiliser ce produit pour
certains vaccins américains, dont des vaccins pédiatriques contre la grippe
et le tétanos, administrés aux enfants de ll ans.
Les compagnies pharmaceutiques ont également bénéficié de l'aide
d'influents hommes politiques à Washington. Le chef de la majorité au
Sénat, Bill Frist, a reçu 873 000 dollars de l'industrie pharmaceutique afin
de protéger les fabricants de vaccins dans le cadre des 4 200 procès intentés
par des parents d'enfants handicapés.
Àcinq occasions différentes, Frist essaya de cacher tous les
documents relatifs aux vaccins — y compris les transcriptions de
Simpsonwood — et de protéger des assignations Eli Lilly, l'inventeur du
thimérosal. En 2002, Frist fit voter ce que l'on appelle le "Eli Lilly
Protection Act" ; en récompense, la Compagnie contribua à sa campagne
électorale pour 10 000 dollars et acheta 5000 exemplaires de son livre sur le
bioterrorisme.

Le Congrès abrogea le décret en 2003, mais, en 2005, Frist présenta
un nouveau projet "antiterroriste" qui devait permettre de refuser toute
indemnité aux enfants souffrant de désordres relatifs aux vaccins. "Les
plaintes sont tellement nombreuses qu'elles pourraient mettre au chômage
de nombreux producteurs de vaccins et limiter notre capacité à enrayer une
attaque biologique d'origine terroriste", a osé dire Dean Rosen, conseiller
de Frist pour la politique de santé.
Le Los Angeles Weekly annonça alors: "Les encouragements de
Frist pour les lobbyistes de la vorace industrie pharmaceutique n'ont pas de
limites. Frist n'est pas le sénateur du Tennessee, il est le sénateur d'un État
appartenant à l'industrie pharmaceutique.
Il possède plus de 2 millions de dollars dans le secteur de la santé,
ce qui lui confère le douteux privilège de recevoir plus d'argent des services
de santé que 98 % de ses collègues."
Nombre de conservateurs sont choqués par les efforts du
gouvernement actuel pour couvrir les dangers du thimérosal. Actuellement,
aucun responsable des vaccinations n'accepte d'accorder le moindre crédit
au fait qu'il n'existe pas d'autisme chez les amish, ni dans les rangs du
Homefirst à Chicago, ni chez les enfants scolarisés dans leur famille. Ce fait
constitue une omission très significative.
Et le Dr Julie Gerberding, du CDC, ne pouvant nier l'exception
chez les amish, ose même avancer qu'elle est due à des dispositions
génétiques différentes de celles des autres secteurs des États-Unis.
A-t-on vraiment envie de supprimer l'autisme ? Tout le monde sait
qu'il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre ; mais, dans ce cas
précis, les instances de santé sont criminelles de ne pas essayer de
comprendre la raison de l'augmentation effrayante de cette maladie et,
surtout, pourquoi elle ne touche pas les enfants non vaccinés. Il est plus
facile d'évoquer des facteurs génétiques fantaisistes. Les gènes ont bon dos
!
Ainsi, les dispositions génétiques se cantonneraient, sagement, dans
les secteurs où se trouve l'enfant non vacciné à cause des croyances
religieuses ou éthiques de leurs parents. Les croyances auraient-elles un
impact sur les gènes? Ces propos stupides permettent de se reposer la
question: a-t-on vraiment envie de supprimer l'autisme?

Annexe. L'asthme et le diabète juvéniles
Le Dr Schattauer a également confirmé que les enfants traités par
les médecins du Homefirst sont rarement sujets à l'asthme et au diabète,
alors que le pourcentage d'asthme chez les enfants est d'environ 10 % dans
le reste de la population.
Le Dr Eisenstein commente "J'ai d'abord cru que cette protection
était due à l'allaitement maternel ; mais nous trouvons des asthmatiques
chez les enfants nourris au sein alors qu il n'y en a pas chez les enfants
nourris au sein et non vaccinés."
Certaines études ont mis au jour des risques d'asthme après la
vaccination, d'autres affirment le contraire. Cependant, il est notoire que ces
dernières sont menées par des chercheurs qui ont des liens avec les
laboratoires et n'incluent pas d'enfants non vaccinés.
*

Repris de Votre santé n° 77, février 2006.
et
Le Cep n° 38. 1er trimestre 2007








Virus A (H5N1)
 Virus Influenza A, type H5N1 (en doré), élevés dans des cellules de rein de caninés (en vert)
Virus Influenza A, type H5N1 (en doré),
élevés dans des cellules de rein
d

Une expérience[3] a consisté à injecter à des souris enceintes, non pas un virus grippal mais une molécule à base d'ARN viral, non dangereuse, mais reconnue comme étrangère par l'organisme, pour obtenir une réponse immunitaire sans infection. Les souris nées de ces mères se sont comportées comme la progéniture de mères infectées par une grippe (anormalement et beaucoup plus craintives que les souris normales, moins enclines à explorer et à interagir avec d'autres souris), suggérant que c'est bien la réponse immunitaire et non le virus (ni un gène de prédisposition activé par l'infection virale) qui affecterait la formation du cerveau (l'autopsie a montré que les neurones de ces souris étaient anormalement distribués). Ceci laisse penser que certaines schizophrénies pourraient avoir des causes environnementales (comme certaines maladies auto-immunes) et des origines pré-natales à des infections de la mère durant la grossesse.

Paradoxalement, ces résultats posent aussi la question de la recommandation des CDC américains de vacciner les femmes enceintes (car la vaccination provoque une réaction immunitaire, qui pourrait parfois aussi durablement agir sur le cerveau du fœtus) et les précautions à prendre en cas de pandémie grippale.

Une infection dans la prime enfance voire chez l'adulte pourrait parfois aussi être cause de maladie mentale, non directement mais via une réaction auto-immunitaire, mais ceci reste à confirmer[4].

Ina Weiner [5] étudie si des antipsychotiques pourraient prévenir des schizophrénies d'origine environnementale de ce type. Des souris choisies dans un lot exposé in utero à un toxique chimique qui a conduit beaucoup d'entre elles à développer des symptômes et des anomalies cérébrales évoquant à la schizophrénie chez l'Homme.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Schizophr%C3%A9nie

Risques de pandémie H5N1

Les pays en développement seraient beaucoup plus touchés avec 96 % du total des morts, pour un nombre total de mort qui serait compris entre 51 et 81 millions, ce qui correspond à un doublement du nombre de mort normalement enregistré chaque année. Ce calcul reste très théorique, car seuls les pays riches et organisés disposaient à cette époque de statistiques relativement fiables (cf. contexte de guerre en 1918 et de reconstruction en 1919). Cette étude a aussi permis de rappeler que les gestionnaires de risques devaient anticiper des taux de mortalité très variés selon les pays et régions. En 1918, le taux de mortalité n'était par exemple que de 0,2 % au Danemark, mais a atteint 7,8 % en Inde. Dans certains village il atteignait 50 % voire 100 % exceptionnellement, alors que d'autres zones dans un même pays étaient épargnées



http://fr.wikipedia.org/wiki/H5N1

--
Avec mes meilleures salutations.
François de Siebenthal
14, ch. des Roches
CH 1010 Lausanne
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