Ainsi selon une étude de l'Institut de Veille sanitaire (InVS)
"une exposition forte aux rejets atmosphériques des incinérateurs d'ordures ménagères dans les années 1970-1980, pourrait être associée, au cours de la décennie 1990, à une augmentation de 6 % de tous les cancers féminins, de 9 % des cancers du sein et de 18 % des lymphomes malins non hodgkiniens chez les femmes. Dans les mêmes conditions, l'excès de risque de lymphomes malins non hodgkiniens est de 12 % pour les deux sexes confondus et, chez les hommes, l'excès est de 23 % pour les myélomes multiples".
Dioxines, CO2, acide chlorhydrique, dioxyde de soufre, cadmium, mercure… les incinérateurs rejettent des tonnes de molécules nocives dans leurs fumées.
( Un milliard de m3 d'air par année, 6'000 litres d'eau par heure, 30 % de machefers ultra toxiques pour le seul Tridel de Lausanne...)
Mais on retrouve également du plomb ou encore de l'arsenic dans les mâchefers, des résidus issus des foyers de combustion qu'on utilise pour le revêtement supérieur des routes.
...On ne fera jamais disparaître les dioxines, estime le Dr Bruno Bourgeon.
Surtout, on ne sait pas ce qu'elles vont devenir dans 20 ans."
Pour le Dr Heye, "il faut donc appliquer le principe de précaution".
Commentaires:
Que de propos lénifiants...d'études biaisées et truquées...pour quelques dollars, on rend gravement malades des millions de citoyens...et on fabrique des embryons monstrueux.
Deplus, toutes ces "études partiales" oublient le pire, ce sont les micro-particules et les nano-particules qui "donnent" en plus l'Alzheimer.
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