Le système bancaire actuel cause la pauvreté en face de
l'abondance en endettant tous les pays et personnes. Les prêts à intérêts ne sont pour la plupart que de simples écritures tirées du néant, c'est à dire de la fausse monnaie, selon Maurice Allais, Prix Nobel d'économie en 1988
dans « La crise mondiale aujourd'hui »
(Ed. Clément Juglar 1999).
.
Pollution www.m-c-s.ch
Le seigneuriage
La création monétaire donne un revenu à celui qui en le pouvoir. Ceci peut
choquer certains, comme le prix Nobel Maurice Allais, qui n'hésite pas à traiter les
banquiers de faux-monnayeurs. Le but de cette fiche est de bien identifier en quoi
consiste aujourd'hui ce seigneuriage, appelé ainsi car il était historiquement réservé aux
seigneurs, battant monnaie, avant que ce pouvoir devienne un monopole régalien puis
étatique…puis soit transféré majoritairement aux banques.
On peut aujourd'hui distinguer trois types de revenus de seigneuriage,
correspondant à trois cas de création monétaire et trois bénéficiaires distincts.
1 La fabrication de pièces de monnaie
Les pièces de monnaie sont fabriquées en général par les Etats (ou à leur profit
quand l'opération de fabrication est sous-traitée). En France c'est le Trésor Public, via
l'administration des monnaies et médailles, qui est responsable de cette fabrication. La
banque centrale en assure l'écoulement. Ces pièces coûtent beaucoup moins cher à
fabriquer et à distribuer que leur valeur faciale. La différence est un revenu, qui était
l'essentiel du seigneuriage historique1; il est aujourd'hui devenu marginal. Mais le Trésor
n'hésite pas parfois à se faire quelques recettes de poche en émettant des monnaies
commémoratives splendides et fort chères.
2 La fabrication de billets de banque
Les billets, comme les pièces, ne coûtent pas cher à fabriquer. Mais le volume est
plus important (aujourd'hui 1 à 2 milliards d'euros par an pour la France). C'est la
banque centrale qui assume la responsabilité et le coût de fabrication des billets. En
Europe la BCE répartit cette frappe entre les Etats membres suivant une proportion fixe.
Contrairement aux pièces de monnaie la différence entre prix de revient et valeur
faciale des billets n'est pas un revenu direct pour son émetteur, la banque centrale. En
effet, les billets sont « vendus » aux banques secondaires contre un paiement en
monnaie centrale (voir Fiche N°4), mais c'est la banque centrale qui fournit cette
monnaie aux banques contre rémunération de leur part ou cession d'actifs. Il y a donc
tout de même un revenu, soit sous forme d'intérêts, soit sous forme d'actifs
rémunérateurs.
3 Les intérêts sur la création de monnaie scripturale
Les banques peuvent prêter un argent qu'elles créent ex nihilo (voir fiche xxxx) et
qui ne leur coûte qu'un jeu d'écritures. Mais le revenu tiré par les banques de cette
création monétaire n'est pas égal à 100 % de cette création monétaire. Leurs gains
bruts peuvent être estimés en appliquant un taux d'intérêt moyen (7%) à la création
monétaire sous forme scripturale (environ 400 milliards d'euros en France), soit 28
milliards d'euros de marge brute. Il faut en déduire quelques2 frais de gestion. De plus il
faut reconnaître que, par rapport aux revenus dégagés par la masse globale de prêts
1 Les seigneurs et les rois n'ont cessé de réduire la quantité de métal précieux contenue dans une pièce en
maintenant la valeur faciale, réalisant ainsi les premières « dépréciations » monétaires, confondues
inexorablement avec des dévaluations. Ces dépréciations sont à l'origine de l'opprobre qui règne sur cette
pratique, et de la valorisation morale d'une monnaie forte…
2 Difficile à chiffrer mais sans doute assez faible. Par ailleurs les banques facturent de plus en plus de frais
divers. Les revenus encaissés à l'occasion commencent en France à devenir une part très significative du
revenu bancaire (parfois plus de 50 %).
ayant une épargne en contrepartie, ces prêts « gratuits » représentent aujourd'hui peu
de chose.
Fiche N° : 5 Rédacteur : Alain Grandjean Date : 05/01/2005
Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une "conspiration monolithique"..
Voici une vidéo très intéressante (mais en anglais) de John Fitzgerald Kennedy lors d'un discours public prononcé à New-York devant l'Association des Editeurs de Journaux, le 27 Avril 1961 alors qu'il était Président des Etats-Unis en exercice depuis plusieurs mois, à propos des sociétés secrètes et de leurs plans d'infiltration, de menaces, de conspirations, voire de domination mondiale.
JFK parle des sociétés secrètes… et du NWO !
Voici quelques extraits importants traduits en français de cette vidéo édifiante de John Fitzgerald Kennedy :
Les médias se plaisent à railler les conspirationnistes qui s'intéressent de trop près aux conditions plus qu'étranges de sa mort et de la mort de son assassin présumé… et dans le même temps, ces médias omettent de rappeler que JFK s'intéressait tout particulièrement aux agissements néfastes des sociétés secrètes et aux conspirations de tous ordres menaçant son pouvoir et le pouvoir du Monde libre.
Voici un extrait traduit de son discours :
"Notre mode de vie est attaqué. Ceux qui se font notre ennemi s'avancent autour du globe. La survie de nos amis est en danger. Et pourtant on n'a déclaré aucune guerre; aucune frontière n'a été traversée par des troupes en marche; aucun missile n'a été tiré. Si la Presse attend une déclaration de guerre avant qu'elle n'impose l'autodiscipline des conditions de combat, alors je peux seulement dire qu'aucune guerre n'a jamais posé une menace plus grande à notre sécurité. Si vous attendez une découverte de danger clair et présent, alors je peux seulement dire que le danger n'a jamais été plus clair et sa présence n'a jamais été plus imminente. Cela exige un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par chaque homme d'affaires, chaque leader de travail et par chaque journal. Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d'influence par l'infiltration plutôt que l'invasion, la subversion plutôt que les élections et l'intimidation au lieu du libre arbitre. C'est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d'une machine étroitement soudée et d'une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n'est mise en question, aucune rumeur n'est imprimée, aucun secret n'est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu'aucune démocratie n'espèrerait jamais vouloir égaler… C'est pourquoi le législateur athénien décréta comme criminel tout citoyen se désintéressant du débat… Je sollicite votre aide dans l'immense tâche qui est d'informer et d'alerter le peuple américain avec la certitude qu'avec votre aide l'homme deviendra ce pour quoi il est né libre et indépendant." - Extraits du discours de John F. Kennedy du 27 Avril 1961 à New York
Ainsi, JFK a prononcé un discours exposant des machinations dans les coulisses qui ne sont jamais publiées, et son discours en 3 partie continue sur des révélations tout aussi étonnantes, comme on peut le lire en anglais sur le site internet du Musée JFK.
Ce discours, déterminé, précis, prononcé devant un parterre extrêmement important de journalistes afin sans doute de lui donner la portée la plus large possible, n'est jamais repris par les médias alignés, et même wikipédia ne le mentionne pas dans sa fiche dédiée à JFK, alors qu'il constituerait un mobile évident pour un complot destiné à l'éliminer.
Lorsqu'il est repris, il est ramené à la menace commuiste, alors que si on lit bien le texte, on voit qu'il ne peut pas s'agir de cette menace-là uniquement : dans son discours, JFK appelle à révéler la conspiration secrète monolithique d'une part en révélant les informations cachées, tout en prenant garde à ne pas exposer le pays à ses ennemis tels que le Communisme, et reconnait qu'il est difficile de concilier les deux.
JFK précise que c'est cette "conspiration monolithique" conduit la guerre froide (pourtant bi-partisane)…
Après le fiasco du débarquement de la Baie des Cochons à Cuba, manigancé par la CIA, JFK voulait sans doute rassurer le peuple et l'informer des nombreuses manipulations orchestrées dans les sociétés secrètes (services secrets, Franc-maçonnerie, associations estudiantines secrètes, cellules d'actions secrètes, conspiration monolithique secrète, etc… ?) et dont il était lui-même victime, car si dans un discours rendu public, il se déclare seul responsable du désastre, en privé, il déclare que la CIA lui a menti et l'a manipulé pour qu'il donne l'ordre de l'invasion totale de Cuba.
Allen Welsh Dulles, directeur de la CIA, sera limogé par le Préseient pour sa participation à la préparation de l'audacieux document « Opération Northwoods » dont le but était d'utiliser la CIA dans des attaques réelles ou simulées et d'en accuser Cuba et le reste du mandat de Kennedy sera marqué par une certaine méfiance envers la communauté des services de renseignements (CIA et FBI).
Et 2 ans plus tard, John Fitzgerald Kennedy était éliminé le 22 novembre 1963 par un complot pour certains, et par un homme seul selon la commission d'enquête officielle, la Commission Warren, qui rend Lee Oswald seul auteur et acteur de l'assassinat.
Voici une vidéo juste avant ce tragique assassinat. On y voit le retrait des gardes du corps du Président, contre leur propre gré et contre le protocole pourtant très strict, alors que JFK est à découvert dans une décapotable et sans que lui-même semble à l'origine de cet ordre de retrait :
L'étrange retrait des gardes du corps de JFK
Mais les évènements troublants ne s'arrêtent pas à ce fait d'armes.
A peine 2 jours plus tard, l'assassin présumé de JFK était lui-même assassiné, présumé car aucun procès, ni même le début d'une instruction judiciaire, n'a pu avoir lieu après qu'il a été abattu par Jack Ruby moins de 48 heures après son arrestation.
Jacky Ruby, en fait de son vrai nom Jacob Leon Rubenstein, était un immigré polonais d'origine juive qui gérait un club de strip-tease et fricotait passablement avec la mafia.
Il déclara avoir assassiné Oswald sous l'emprise d'un coup de folie, mais beaucoup d'observateurs indépendants en doutent et pensent qu'il a agi sous l'ordre de la mafia ou d'autres prescriptueurs qui avaient intérêt à ce que Lee Oswald soit éliminé pour cacher un complot éventuelle.
Et malgré la plaidoirie d'un célèbre pénaliste pour le faire acquitter et passer pour fou, la justice retint la préméditation puisque Ruby fut condamné à mort en première instance, avant de voir sa peine commuée grâce à ses avocats, le temps d'un nouveau procès.
Durant sa détention, Ruby supplia de se faire transférerà Washington DC car il craignait pour sa vie, certains observateurs estimant que ses prescripteurs souhaitaient se débarrasser de lui.
Il n'avait pas tout-à-fait tort, car il mourut quelques mois plus tard en prison, durant son appel, officiellement d'une embolie pulmonaire consécutive à un cancer à l'âge de 55 ans, certains observateurs estimant là aussi que cette mort était suspecte.
Ainsi se rompait avec la mort de Ruby le dernier fil qui aurait pu conduire la justice aux véritables commanditaires de l'assassinat de JFK, si complot il y avait…
Pour autant, si la justice n'a pas pu enquêter librement sur l'affaire JFK en 1963 comme elle n'a pas pu le faire sur les attaques du 11 Septembre en 2001, rien n'empêche les observateurs indépendants de se replonger dans les faits à la lumière des nombreux éléments regroupés depuis, notamment à la lumière des attentats du 11 Septembre et du Nouvel Ordre Mondial.
Ainsi, lorsque l'on visionne de nouveau l'assassinat tragique de JFK (attention, les images sont choquantes), on aperçoit un étrange manège des la part des gardes du Corps du Président, qui se retirent opportunément de la voiture contre toutes les règles officielles, juste avant que la balle magique ne puisse atteindre sa cible :
Assassinat de JFK selon Alex Jones et Prisonplanet.com (en anglais)
Il semble alors évident que l'Histoire officielle est entâchée de nombreuses invraisemblances… mais comme le disait Napoléon lui-même, ce sont les vainqueurs qui écrivent l'Histoire.
Si chacun(e) est libre de croire comme les 2/3 des Etasuniens que JFK a été tué lors d'une vaste conspiration, couverte au plus haut niveau, et destinée à éliminer un président devenu gênant, son discours de mise en garde sur les Sociétés secrètes et les conspirations au plus haut niveau est, lui, bel et bien certain et avéré… Et résonne comme un avertissement plus que jamais d'actualité.
Si cette mise en garde au plus haut niveau contre une conspiration invisible monolithique pouvait être retenue, JFK ne serait pas mort pour rien !
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