jeudi 30 avril 2009

La vraie liste remise à Pierre Bérégovoy CEDEL – CLEARSTREAM...

France 2 consacrera toute sa soirée du 1er mai prochain à l'homme politique. En première partie de soirée, la chaîne diffusera le téléfilm Un homme d'honneur, fiction de 90 minutes reviendra sur la vie de l'ancien Premier ministre de François Mitterrand, retrouvé "suicidé" de deux coups de feu dans le dos le 1er mai 1993. La soirée se poursuivra en deuxième partie de soirée avec Laurent Delahousse qui consacrera un numéro de son magazine Un jour, un destin à Pierre Bérégovoy.

Dans la gorge et sous la plume de François Mitterrand, le 4 mai 1993, il y avait de la tristesse, de la colère, et des mots qui rendent hommage tout en faisant réfléchir :

"l'émotion, la tristesse, la douleur qui vont loin dans la conscience populaire depuis l'annonce de ce qui s'est passé samedi, en fin de journée, près de Nevers, sa ville, notre ville, au bord d'un canal où il était souvent venu goûter la paix et la beauté des choses, lanceront-elles le signal à partir duquel de nouvelles façons de s'affronter tout en se respectant donneront un autre sens à la vie politique ? Je le souhaite, je le demande et je rends juges les Français du grave avertissement que porte en elle la mort voulue de Pierre Bérégovoy".


"Je n'ai pas le pouvoir, la France comme le reste du monde est assujettie à une dictature financière qui gère tout."
François Mitterand, cité par la Tribune de Genève, le 22.11.2007 dans l'article au sujet de Danielle Mitterand par M. van Berchem, Paris.
Quelques images en vidéo pour mieux saisir les enjeux...
Cliquer le lien ci-dessous, les autres ont été à nouveau censurés...
http://video.google.fr/videoplay?docid=-7751407403451499540
Vidéo ( trop souvent censurée...)
« Sans aucun doute »
Julien COURBET - TF1 12 mai 2000
Emission censurée sur ordre de Dominique Strauss Kahn, alias DSK, maintenant PDG du FMI, le jour même de sa diffusion prévue et annoncée ! Bernard Nicolas, qui était présent sur le plateau de « Sans Aucun Doute » ... Julien COURBET - TF1 12 mai 2000, censurée... Julien Courbet: Vers quelles pistes il va falloir se diriger ? Réponse de Bernard Nicolas à 13:10 Et bien, écoutez, Jacques Martin et Kader Ben Riba, qui ont commencé à travailler sur ce dossier ont vu, au travers des documents qu'ils ont pu consulter et des gens qu'ils ont pu contacter par téléphone qu'il y avait une foultitude de personnages, c'est-à-dire vous avez d'anciens policiers de la DST, devenus détectives privés, des hommes d'affaires qui sortent d'on ne sait où, attirés par le gâteau financier apparemment et surtout des comptes ouverts dans plusieurs grandes banques dans le monde entier. L'argent s'est tout d'un coup évaporé, escamoté. Et, à l'évidence, il faut, comme le disait feu le juge Falcone, en Italie, un des grands magistrats anti-corruption italien qui a payé de sa vie son courage. Il disait: " Pour trouver le criminel, il faut suivre la piste de l'argent, donc il va falloir que vos deux journalistes suivent la piste de l'argent pour essayer de trouver qui s'y intéresse aujourd'hui et qui va tenter de retirer le maximum du magot. 14:27 Me Vergés... Autre source, plus tard... Bernard Nicolas, journaliste d'investigation , interrogé par Sophie Coignard (Le Rapport OMERTA 2 - page 261) - Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ?

« Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… »

Plus une deuxième vidéo de 17 minutes d'entretien entre l'inventeur et M. Burdet pour vous expliquer les grandes lignes de la corruption des pouvoirs judiciaires et politiques.
Cliquer le lien ci-dessous, les autres ont été à nouveau censurés...
http://video.google.fr/videoplay?docid=-698047735755472484&q=ferraye
Et attendre quelques minutes le chargement des images, merci.
http://www.googleswiss.com/fr/geneve/jf/video.html Pour large diffusion, merci.
Voir la suite par Sophie Coignard
http://ferraye.blogspot.com/2009/04/la-franc-maconnerie-et-laffaire-ferraye.html

Listes du chapitre " Mémoire" dans le lien ci-dessous.

http://www.googleswiss.com/fr/geneve/f/jf-princ.html


Listes des Personnes impliquées, notamment  :

ST-HILAIRE Eric Notaire de FERRAYE à Paris
STRAUSS KAHN Dominique PS Ministre de l'Industrie – contrôlait INPI – IFP et ELF
STREBEL André Associé IWR Institut Wirtschaftsrecherchen GmbH Saarbrücken,
STUDER Robert PRD Président UBS SA – Conseil adm. de ELF lors des faits
TABBAH Nagib Corruption par 500 millions de dollars
TAMRAZ Joe Directeur de TAMOIL
TANNER Marco Signataire de EVERTON Ltd
TAPPOLET Marc VERT Juge d'instruction genevois qui a été désigné après JUNOD
TARALLO André Président de ELF Afrique – Permis C à Genève
TENNET George J. Directeur CIA – Blanchiment des fonds
TESSLER Jeffrey Directeur CLEARSTREAM – Ex dir. général Bank of New York
TEXIDOR Christine Avocate de FERRAYE à Paris
TORNARE Didier Ex notaire – RONIS Conseils – Audition MOTTU pour BARILLON
TRICHET Jean-Claude Président Banque Européenne – contribution au blanchiment...
TROPEE-DESGUE Joël-B. Complice Christian BASANO


Associés de Joseph FERRAYE - Noms et adresses – Groupe A
BASANO Christian 67 bis av. Brancolar, Nice - CB2510@gmail.com - cb5132@yahoo.fr
Ancienne adresse : 8, rue des Boërs, Nice
TILLIE Etienne Route de Saint Paul 336, 06480 La Colle sur Loup
COLONNA François Rte de Calarossa 20137 Lecci, Corse & 11, rue Maîstre, Nice
FOLCO Arlette Secrétaire de BASANO – reçu 100'000'000.- USD
SAHAKIAN Marie-Rose Secrétaire de BASANO – reçu 100'000'000.- USD
Mandataires de Joseph FERRAYE - Noms et adresses – Groupe B
REBOURS Serge 8 rue Picardie, Nice
HOBEICH Fouad 8 av. Maréchal Juin, 06270 Villeneuve-Loubet
GEBRANE Victor Palais Impérial, 11 Alexandre III, Cannes


Autres commanditaires du complot directement impliqués

– Liste alphabétique non exhaustive
ABECASSIS Cyril Avocat genevois de FERRAYE – Complicité directe avec MOTTU
ACKERMANN Josef Président CREDIT SUISSE et fausse banque CS
AIME Jean-Claude Chef UNCC – Commission compensation Guerre du Golf
AJIBOLA Bola A. Comptable de l'UNCC qui a établi le doc. d'indemn. S/AC.26/1996/5
AL ADASANI Mustapha Ingénieur à KUWAIT OIL Co
AL ASSAD Refaat Ancien chef armée syrienne bénéf. butin de guerre de la coalition
AL AYBAN Mussaed Min. d'Etat Arabie Saoudite – Transmis dos. ARAMCO à HADDAD
AL BADER Mohamed Général Koweitien – Responsable du Comité de sécurité de l'Etat
AL BADER Hamad idem
AL BADER Youssef Président AL BADER Trading Co WLL – transactions avec Ministère
AL HOMEIZI Souad Complice par le Général AL BADER
AL NAHYAN BIN SULTAN Zayed Prince EMIRATS ARABES UNIS – Directoire BCCI
AL NAIM Abdelrahnan Frère du directeur des produits pétroliers ARAMCO
AL NAIM (Frère) Resp. produits pétroliers ARAMCO
AL OUMANI Youssef Resp. KUWEIT Petroleum Corp. – Complice Mustapha AL ADASANI
AL RAHMANI Mahmoud Président KUWAIT PETROLEUM Corp. – Prés. Comité extinctions
AL RAQBAH Hmoud Ministre du Pétrole au KOWEIT
AL RAZOOKI Tareg Ambassadeur du KOWEIT à Paris
AL RAZOOKI Darar Ambassadeur à la Mission du KOWEIT à Genève
AL SABAH Jaber Al Ahmad – Emir du KOWEIT condamné par TGI de Paris
AL SABAH Saad Jaber Al Ahmad – Premier Ministre (Aujourd'hui Emir du KOWEIT)
AL SABAH Ahmad Nasser Prince Koweitien
AL SABAH Amal Empêché FERRAYE d'aller au KOWEIT s/dem. Youssef AL BADER
AL SAGER Isam Président de AL BANK ALWATANI
AL SAMHAN Magid Affaires étrangères du KOWEIT – certification accord antidaté
AL SAOUD Bandar Ambassadeur de l'Arabie Saoudite à Washington
ALLIOT-MARIE Michèle UMP Min. défense – « grande muette » complice CLEARSTREAM
ANGHELOPOULO André Complice de SORDET et de Diane ANGHELOPOULO
ANGHELOPOULO Diane Avocate de FERRAYE qui a touché USD 627,25 mio
ANTOUN Antoine Comptable de l'UNCC qui a établi le doc. d'indemn. S/AC.26/1996/5
APPERT Olivier Actif dans le complot au sein du Ministère de l'Industrie
APPOLIS André idem
ARCHILLA Jean-Pierre Complice de BASANO
ARNAUBEC Olivier Avocat de FERRAYE à Nice – neveu de BLANCHOT à Marseille
MEMOIRE
8 / 200
ARNON Jonathan Investig. bancaires – TNR Transnationale Research – anc. MOSSAD
ASSAEL Robert Complice de MOTTU
ATTALI Jacques PS Président Air France – Transport matériel – ami de MITTERAND
AUBRY Michèle Brigade financière de Genève
AUBRY Martine PS (représentée par Aurélien GARCIA – Ministère Comm. extérieur)
AUCHI Nadhmi BNP Paribas – reçu plus de 400 mio FF de ELF
BACKES Ernest Ex 3e responsable de CLEARSTREAM – auteur de révélation$
BADEL Luc Complice de SIRVEN – Blanchiment des fonds ELF pour le PS…
BADIE François Procureur à Aix-en-Provence
BAERISWYL Pierre Juge GE subordonné à Paul PERRAUDIN
BALLADUR Edouard UMP Premier Ministre
BARBEY Carole Juge d'instruction genevoise
BARDOLA Curdin Analyste financier de PERRAUDIN dans la procédure ELF
BARNEVIC Percy Président de ABB Vetco Gray – a déclaré systèmes au nom de ABB
BAROCHE Jean-Michel Proche de Edith CRESSON (voir lettre Cresson du 5.6.1991)
BARILLON Jacques Avocat FERRAYE 1999 - 2000 Honoraires CHF 50'000.- de FERRAYE
BAROUDI Edmond Intermédiaire avec les Etats – résidences à Paris, Monaco, etc.
BAROUDI Rudi Neveu de Edmond BAROUDI – Sté pétrolière dans le Golf
BARRIL Paul PS Tueur au service des gouv. français et arabes du Golfe Persique
BAÜMELIN Yves KROLL Associates – Présenté LEVAVASSEUR – act. INTELINKS
BECHTEL Steeve BECHTEL Oil, London
BELL Patrick Complice de DAVIS agissant auprès des administrations aux USA
BEN LADEN Yeslam PDG SAUDI Investment Co. SICO – Interm. réseau blanchiment
BERRETH Hans Complice de REBOURS – Architecte de AL ARAB TOWER à Dubaïl
BERSIER Rémy Collaborateur Crédit Suisse Genève (collab. de POSSA)
BERTOSSA Bernard PS Procureur à Genève – a fait disparaître les preuves du dossier
BERTOZZI José Avocat de REBOURS, HOBEICH et GEBRANE
BIN MAHFOUZ Khaled BCCI – Banque CRIMINELLE complice d'UBS et CREDIT SUISSE
BLAKE Catherine Secrétaire UNCC
BLANCHOT René Avocat de FERRAYE à Marseille – a mêlé DI-CARA au complot
BLANCHUT ? Complice de BONNANT qui lui a remis des documents de transferts
BONNANT Marc LIB Avocat de FERRAYE à Genève – dirige le complot
BONNET Yves UDF Dir.de la DST (Dir. surveillance territoire) – couvre corruption
BONVIN Bruno SBS à Genève auteur de multiples fausses déclarations
BOTTAÏ Sophie Avocate de FERRAYE – Complice de SENN
BOURDON Jean-Claude Président IFP et HORWELL – Usurpation des systèmes à l'insu JF
BOUREAU Guy BNP Luxembourg
BOURNISTOVA Ekaterina A. Ayant droit bénéficiaire de EVERTON Ltd centaines de milliards
BRATSCHI Reynald Clerc du notaire Pierre MOTTU à Genève
BRAXATOR Kamil Administrateur de ILONA AG Vaduz
BROADBENT John Avocat aux Iles CAIMANS – Regroupements des fonds
BRERO Mario Détective ALP Services SA – collègue de PANDELIS
BRESSOT Jean PS Ambassadeur de France au KOWEIT
BRUNSCHWIG-GRAF Martine LIB Cons. d'Etat finances GE – Vice prés. WILSDORF/ MOTTU
BRUPPACHER Mark Avocat de FERRAYE à Zurich – Responsable du blanchiment
BUSH George Républicain Président USA – Escroquerie des systèmes
BUSH George W. Républicain Président USA – Blanchiment
CALMY-REY Micheline PS Conseillère d'Etat – Dépt finances Genève (auj. Cons. Fédérale)
CAMPBELL Bill Chef DEA (Drug Enforcement Adm.) Berne – Poulain de WEBSTER
CARRON Geneviève Avocate de Ahmad Nasser AL SABAH, Prince Koweitien
CATTANEO Fausto S'est occupé de l'affaire – obtenu nombreux doc. et s'est éclipsé
CERESOLA Robert Avocat de BASANO et COLONNA
CHAMARRE Patrick Gérant de CORSIMA SA – ELF – autorité de Jean-Marie GHISLAIN
CHAMY Edouard Avocat à Paris – Etabli les contrats entre ELF – FORASOL – IFP –
CHAMY René HORWELL – GEOSERVICES – PIPELINE SERVICES – KUWAIT
DELBES Guy PETROLEUM Corp. - ARAMCO (sous réserve d'autres compagnies)
CHATELAIN Roland Juge d'instruction vaudois à Lausanne
CHAYTO Emile Ami Claude HAEGI Cons. d'Etat – trafic avec REICHSTEINER Urs
CHAYTO Simone Amie Georges ZECCHIN – a dit « j'ai le dossier et j'ai désigné un juge »
CHENEY Dick Républicain Président HALLIBURTON
9 / 200
CHEVENEMENT Jean-Pierre PS Corrompu dans ELF – Infiltré dans toutes les magouilles
CHIRAC Jacques UMP Président Français lors Mandat d'assassinat fam. FERRAYE
CLERC André Avocat fribourgeois de FERRAYE – Resp. mort frère FERRAYE
CLINTON Bill Démocrate Président USA – FED + Président d'hon. CITIGROUP
COHEN Elie PS Directeur Centre National de Recherches Scientifiques
COHEN Jean-Pierre Complices mandataires FERRAYE, construction centres commer-
COHEN Louis ciaux et hôtels luxe au Golf Persique (ex. AL ARAB Tower, Dubail)
COLNE Paul-Marc Signataire de l'accord antidaté avec ARAMCO (assassiné)
COMBALDIEU Jean-Claude Président de l'INPI
COMTE François Notaire de l'Etude MOTTU cité dans la convention du 3.10.1995
COQUERAND Marcel Brig. financière VD – assas. SANCHEZ – refusé témoignage JF
COQUOZ Christian Substitut du procureur à GE – A ce jour MP de la Confédération
COTTI Flavio Cons. Féd. – Humiliation Suisse – fonds déshérence – SANCHEZ
COURROYE Philippe Juge d'instruction de Paris
CRAMER Robert VERT Cons. d'Etat GE – Remis à l'ordre par Procureur ZAPPELLI
CRAUSAZ Gérard Inspecteur N° S8205 Brigade Financière à Genève
CRE$$ON Edith PS Premier Ministre français
CRESSOT Claude Gérant de fortune à Genève – faux dans les titres et extorsion
CROCHET Jean-Louis PS Proc. à Genève – Déclaré FERRAYE fou, pour classer plainte
CUINAT François Juge à la Cour d'Appel de Paris
DAHER Georges Avocat de FERRAYE à Paris a mêlé FADLALLAH et TEXIDOR
DAVIS DELOUVIER Henri Complicité aux USA pour se faire corrompre
DAWSON Christiane Sœur de Patrick – Bénéf. patrimoine lors de la fuite de Patrick
DAWSON Patrick Chef de la DEA (Drug Enforcement Administration) pour la France
DAWSON Paul Frère de Patrick – Bénéf. du patrimoine lors de la fuite de Patrick
DECLOET Henri Détective et ancien policier – Complice de TILLIE et de PEDROSA
DELACHAUX Jean-Louis CA CREDIT SUISSE et WILSDORF/Mottu et fausse banque CS
DELBES Guy PS Complice de CHIRAC – Voir aussi CHAMY
DEL PONTE Carla Procureur général de Suisse
DE PRETTO Renato Collab. impliqué de UBS – European Financial Group EFG
DE PREUX Pierre Avocat de Yeslam BEN LADEN – mandaté par MOTTU
DE WECK Pierre CA UBS – Libération RICH condamné à 325 ans prison aux USA
DI-CARA Gérard Avocat marseillais de SANCHEZ
DILLANGE Pierre Procureur à Paris
DINTILHAC Jean-Pierre Procureur à Paris
DOERIG Hans-Ulrich Vice président CREDIT SUISSE et fausse banque CS
DOLNY Christophe Exécutait les transferts pour le CREDIT SUISSE Zurich
DUBUIS Pascal Complice MOTTU
DUFOIX Georgina Ministre française – LEVAVASSEUR déclare « elle est dans tout »
DUMAS Roland Ministre des affaires étrangères
EGLIE-RICHTERS Claude Avocat de FERRAYE associé à GIRARD – complices de MOTTU
ELPIDINE Pierre Obtenu pièces de l'Adm. Fiscale de GE par Jean LOCCA
ESPEL Joël Juge Nice class. plaintes – Disparition preuves LA HAYE - Bastia
ESPOSITO Stéphane Président du collège des juges de GE
ESTROSI Christian UMP Ministre complice de CHIRAC
ETCHEVERRY d' Pierre Banque Royale Canada Montréal – Nié les fonds Basano
EUBANKS Léonard Directeur First Home Bank – regroupement des fonds
FADLALLAH Ibrahim Avocat de FERRAYE à Paris
FELDER Nicole Collab. de BRUPPACHER – a co-confirmé destruction conventions
FALQUET Etienne Sté Commercial informations GE – obtenu documents et éclipsés
FALQUET Jean Idem – Ensuite la société a été revendue…
FATOURI Salah Complice de Claude HAEGGI et de CHAYTO Emile
FLAK Larry Coordinateur des travaux d'extinction au KOWEIT
FLANDRE ? Sécurité Civile (voir lettre Cresson du 5.6.1991)
FOURNIER Pascal Interpol à Berne
FRESCHELL Jean-Claude Notaire à NICE
FRICK Edmund Administrateur ILONA AG, Vaduz
FRIEDEN Luc Min. Luxembourg – justice et trésor – budget – Banque mondiale
GANASCIA Michèle Juge d'instruction (vice-présidente) TGI Paris
GARNIER Michel Police de Nice – Complice de REBOURS
10 / 200
GHALI Boutros Boutros Secr. Général ONU jusqu'en 1997 – Modif. des réclam. À l'UNCC
GHISLAIN Jean-Marie Gérant WILDROSE contrôlait STANDFORD – ILONA – EVERTON
GIANINAZZI Adriano D. Avocat à Genève – faux dans les titres
GIANNA Christian Responsable financier de AMADEUS France
GIRARD Georges Avocat de FERRAYE à Cannes
GOLDSTONE Richard Chargé d'investiguer sur la corruption de l'ONU – étouffe le principal
GOMEZ Jean-Claude Juge d'instruction du TGI Paris
GRATTIROLA Miguel Avocat de FERRAYE à Nice (1992) – Complice de LOUC Gilles
GREENSPAN Alan Président de la Federal Reserve
GRELAUD Guy Président de PIPELINE SERVICES à Abou Dhabi
GUIGOU Elisabeth PS Ministre Justice lors du classement des plaintes successives
GUELFI André Dédé LA SARDINE – Baigne dans ELF – Constr. Hôtels grand luxe
GUT Rainer E. PRD Prés. CREDIT SUISSE – Carte de signature sur EVERTON
HABBOUCH Riad Corrompu par Bandar Abdelaziz AL SAOUD – Ambassadeur USA
HADDAD Georges Transmis dossier vente des systèmes par ARAMCO à BERTOSSA
HAEGI Claude LIB Conseiller d'Etat GE – Complice de BERTOSSA et CHAYTO
HALPHERN ? Avocat de la ROYAL BANK OF CANADA
HAMMER ? Brigade financière GE – Transmis documents à SORDET
HARIRI Rafic PM liban assas. – ARAB BANK – Complice DELBES – ARAMCO etc.
HARRISSON Alan Ingénieur anglais PIPELINE SERVICES
HAYOZ ? Sous-directeur de SBS et complice de BONVIN
HENRI Brigitte 2e responsable des RG au Ministère de l'Intérieur
HEPP Thierry Adm. fiscale GE – Responsable des Droits de timbres – avocat
HESS Hans-Ulrich Complice dans EVERTON
HIDDEN Henri Cité par SANCHEZ – Etait TI selon CLERC – orthogr. non garantie
HOLZER Didier Intermédiaire pour ELF dans les affaires LEUNA – corruption KOHL
HOLZER Hans-Erich Détective, ancien policier – Trahi FERRAYE avec SORDET /témoin
HUTCHISON Tamara Sorti de l'ONU documents prouvant 90 milliards réclam. KOWEIT
HUG Dieter Collaborateur de l'avocat ZH Mark BRUPPACHER – EVERTON Ltd
JAAFAR Azzat Conseiller de l'Emir du KOWEIT
JACQUARD Pierre Président de L'IFP Institut Français du Pétrole
JAFFRE Philippe Président de Elf en 1993 sous BALLADUR
JOLY Eva Juge d'Instruction affaire ELF au TGI de Paris
JOSPIN Lionel PS Auteur du vers. de 16 mia aux Princes Koweitiens par l'ONU
JOXE Pierre PS (représenté par Aurélien GARCIA – au Ministère de la Défense)
JUMAÏH Abdallah S. Président de ARAMCO
JUNCKER Jean-Cl. PM du Luxembourg – aurait dû recevoir Légion Horreur de CHIRAC
JUNOD Christine Juge d'instruction – présidente du collège des juges à Genève
JUPPE Alain UMP Premier Ministre français – complice de DSK et ST-HILAIRE
KAETING-HART Jean Juge Cour d'Appel Paris – Cassé indem. 10'000.-/jour c/KOWEIT
KASPER-ANSERMET Laurent Procureur à GE (auj. resp. programme Pétrole c/nourriture ONU)
KIERSZENBAUM Serge Avocat KOWEIT – complice Proc. DILLANGE contre FERRAYE
KARP Michel Avocat de FERRAYE au Luxembourg
KASHOOGGI Adnan Financier Saoudien impliqué par le KOWEIT
KNOEPFLER François Avocat NE – Obtenu doc. - ensuite déclaré être ami BONNANT
KOFI Annan Secrétaire Général de l'ONU – Corruption Pétrole contre nourriture
KOHL Helmut CDU Chancelier allemand – Corruption dans LEUNA et MINOL
KRAFT Urs O. Collaborateur de l'avocat ZH Mark BRUPPACHER – EVERTON Ltd
KRAUER Alex PRD Président de Société de Banque Suisse, Bâle
LAINE Françoise Complice de DAVIS aux USA
LAFORET Marie Corrompue par CHF 200 millions lors des élections françaises
LAVANDEYRA Eric Complice de SIRVEN – Blanchiment des fonds ELF pour le RPR
LEADING Harold Avocat de HABBOUCH qui a mêlé STAUFFER avocat US
LEBESNERAIS François Ing. à INPI, Paris – Complice $TRAU$$ KAHN, tenté retrait brevet
LEDUC Marie INPI – abus pouvoir - tentative abusive et fausse de rejet des brevets
LE FLOCH PRIGENT Loïc Président de ELF France
LE MAZOU Jean-Yves Avocat de FERRAYE à Paris
LE MAZOU Pierre-Yves idem
LEVAVASSEUR Daniel Ex agent services secrets – détective de FERRAYE (assassiné)
LOCCA Jean Employé de l'administration fiscale GE – complice de ELPIDINE
11 / 200
LORENZINI Christine Juge corrompue à Nice – délit d'escroquerie non constitué
LOUC Gilles Avocat de FERRAYE à Nice – Complice de GRATTIROLA Miguel
LOUIS-GUILLOU André Beau-Père du Général TROPEE-DESGUE – Complice de BASANO
LUDOT Emmanuel Avocat de FERRAYE à Paris et Reims
MADELIN Alain UMP Ministre Industrie – proche CHIRAC et BALLADUR
MAGENDIE Jean-Claude Juge TGI de Paris – Classé plainte c/$TRAU$$-KAHN - CRESSON
MAJROOH Georges Complice Libanais de AL SAGER au KOWEIT
MARCHAND Philippe (représenté par Aurélien GARCIA – Ministre de l'Intérieur)
MARTI Alain Avocat de FERRAYE à Genève
MASCOTTO Claudio Procureur Genève – relayé KASPER-ANSERMET puis CROCHET
MASQUETH Bonesie Responsable à l'INPI
MAUGEIN Patrick Ami CHIRAC reçu des millions de barils lors vente systèmes à IRAK
MAUCHER Helmut Président NESTLE, CA CREDIT SUISSE et fausse banque CS
MAYORAZ Francis Expert comptable Bureau Genevois d'adresses
Mc AULIFFE John Avocat US de FERRAYE mêlé par PONZI
MENU Pascal 1er Clerc du notaire Pierre MOTTU à Genève
MEMBREZ François Avocat à GE – Complice de STREBEL
MENARD Luc Avocat à Montréal – Retrouvé fonds BASANO Royal Bank Trust CA
MERIMEE Jean-B. Ambassadeur Mission de France à Genève
MISTRAL Jean-Claude Procureur à Aix-en-Provence – Complice de Me René BLANCHOT
MITTERAND François PS Président de la République
MOTTU Pierre LIB Notaire à Genève
MURCIANO Jean-Pierre Juge au TGI à Grâce
NALLET Henri PS Ministre de la Justice – Complice STRAUSS-KAHN
NARANJO Bernard Extorsion de FF 238'000.- et complice de la justice genevoise
NATURAL Pierre Notaire GE au service de MOTTU – Désignation J.-M. GHISLAIN
NAYLIES Jean Complice de GRATTIROLA et LOUC avocats à Nice
NERON Gisèle Présidente Ligue Européenne défense des Droits Victimes Notaires
NIES Jeannot Procureur du Luxembourg
OSPEL Marcel PRD Président UBS SA, Détournement, blanchiment et escroquerie
PANDELIS B. Détective ALP Services – ex c/o KROLL – amant ANGHELOPOULO
PASQUA Charles RPF Ministre Intérieur quand famille FERRAYE mandat assassinat
PECLARD Olivier Au service de BONNANT – Bête et incompétent
PEDROSA Rémy Détective – Complice de TILLIE et de DECLOET
PERRAUDIN Paul Juge d'instr. Genève – Instruit ELF – soustraction doc. d'instruction
PHILIP Allan Comptable de l'UNCC qui a établi le doc. d'indemn. S/AC.26/1996/5
PICO Lucio Rens. commerciaux – Travaillé dans affaire ELF pour d'autres
PIETH Mark Chargé d'investiguer sur la corruption de l'ONU – étouffe le principal
POLLET H. Fondé de pouvoir SBS Genève en 1996 – complice BONVIN
PONZI Tullio Ami et complice de William WEBSTER
POSSA Léonard Crédit Suisse Genève
PRATT R. Attaché à l'Ambassade de France au KOWEIT
REICHSTEINER Urs Chef police sûreté Genève – pouvait sortir ensemble doc. Bancaires
RENARD Noël Complice de BASANO
RENEVIER Renaud Avocat de TILLIE
RIAT Pascal Brigade financière de Genève
RICE Condolezza Républicaine Secr. Etat US – Directrice CHEVRON 1991-2001
RICONO Bertrand Psychiatre à Nice déclare FERRAYE fou – Condamné faux rapport
ROBERT Véronique Journaliste
ROCARD Michel PS Premier Ministre – Décret 91432 du 13.05.1991
ROCHEBIN Darius TSR – Reçu Yeslam BEN LADEN – Censure entretien – Côtoie YBL
ROSSI Alex Collaborateur de LEVAVASSEUR
ROSSI Graziella Crédit Suisse Genève (collab. de POSSA)
ROYAL Ségolène PS Ministre Environnement – Proche de GUIGOU de 2001-2002
RUEDE Jean-Marie Juge d'instructions vaudois – assassinat SANCHEZ
RUMSFELD Donald Républicain Défense US – Cons. d'adm. ABB 1990-2001
RYFFEL Philipp Détective et investig. bancaire – obtenu documents et s'est éclipsé
SAFRA Edmond Prés. Royal National Bank of New York – Ami BONNANT – assas.
SAJJAN Kiara Complice Libanais de AL SAGER au KOWEIT
SANCHEZ André BCS Capital Finance Lausanne – Gestion fonds séq. (assassiné)
12 / 200
SANTER Jacques PM Luxembourg Trésor, Finances – B. mondiale + Européenne etc.
SARKOZY Nicolas UMP Ministre Intérieur – témoin mariage : PASQUA et ARNAULT
SCHULLER Didier UMP Ministre de Jacques CHIRAC
SENN Kurt Inspecteur à la Police fédérale à Berne
SERGUIENKO Vladimir Ayant droit bénéficiaire de EVERTON Ltd centaines de milliards
SIDAWI Mohamed Journaliste Koweitien – Vol de documents originaux
SINCLAIR Anne PS Infl. s/TF1 couvrir son mari $TRAU$$-KAHN – Vidéo SaucunD
SIRVEN Alfred ELF Aquitaine Internat. – Permis C à GE – recherché par Interpol
SORDET Christine PRD Avocate de FERRAYE qui a touché USD 627,25 mio
SOUPART Claude Complice de PONZI – a été corrompu
SPOERRI Micheline LIB Conseillère d'Etat – Justice et police, GE
STAUFFER L. William Avocat de FERRAYE à Washington
STICKEL Gilles/Josianne Avocats de Marie LAFORET qui a reçu CHF 200 mio
ST-HILAIRE Eric Notaire de FERRAYE à Paris
STRAUSS KAHN Dominique PS Ministre de l'Industrie – contrôlait INPI – IFP et ELF
STREBEL André Associé IWR Institut Wirtschaftsrecherchen GmbH Saarbrücken
STUDER Robert PRD Président UBS SA – Conseil adm. de ELF lors des faits
TABBAH Nagib Corruption par 500 millions de dollars
TAMRAZ Joe Directeur de TAMOIL
TANNER Marco Signataire de EVERTON Ltd
TAPPOLET Marc VERT Juge d'instruction genevois qui a été désigné après JUNOD
TARALLO André Président de ELF Afrique – Permis C à Genève
TENNET George J. Directeur CIA – Blanchiment des fonds
TESSLER Jeffrey Directeur CLEARSTREAM – Ex dir. général Bank of New York
TEXIDOR Christine Avocate de FERRAYE à Paris
TORNARE Didier Ex notaire – RONIS Conseils – Audition MOTTU pour BARILLON
TRICHET Jean-Claude Président Banque Européenne – contribution au blanchiment
TROPEE-DESGUE Joël-B. Complice Christian BASANO
TURCO Guy Doyen de la Faculté des Sciences de Nice
VANDERLINDEN Daniel Complice de CHAMARRE
VAN DIJK Guerry Avocat de FERRAYE en 1991
van RUYMBEKE Renaud Juge d'Instruction affaire ELF au TGI de Paris
VEIL Jean Avocat de $TRAU$$-KAHN complicité MAGENDIE et DILLANGE
VENEAU Michel Soumis à LEVAVASSEUR – SANCHEZ présentait son assassinat
VICHNIEVSKY Laurence Juge d'Instruction affaire ELF au TGI de Paris
WARLUZEL Dominique Assistant de BONNANT
WEBSTER William Mandaté par FERRAYE – avocat US – membre fondateur CIA
WELLER W L Manager ROYAL Trust Toronto – Swift operations – nié les fonds
WIDMER Anton Chef Kurt SENN Police fédérale suisse – Complice BERTOSSA
WILLMOTTE Jean-Pierre Complice de Carmelo ZAÏTI – Chef police des polices en Belgique
WOLFENSOHN D. James Ami de $TRAU$$-KAHN auprès de la Banque Mondiale
WYSSA Olivier Avocat de FERRAYE à Genève
ZAÏTI Carmelo Chef de la Police des Polices en Belgique
ZANNI Dario Procureur à GE – class. plainte s/fausses décl. Me REYMOND
ZAPPELLI Daniel PRD Procureur Général à Genève
ZECCHIN Georges Juge d'instr. – 2006 Directeur Indosuez et Crédit Agricole (Sic !)
13 / 200
Banques impliquées : Appendices 05 – 06 et 07 et base de données spécifique de plus de 4000 sociétés à fin octobre 2006
Compagnies impliquées :
AIR LIQUIDE GROUP AL BADER Trading Co ALBA FIRE FIGHTERS
ARAMCO BECHTEL SA BOOTS & COOTS
CUDD WELL CONTROL ERTOIL FORASOL
GEOSERVICES GLOBAL INDUSTRIES GSM
HALLIBURTON HORWELL KEY SAFETY
KUWAIT OIL COMPANY KUWAIT PETROLEUM Corp. LEUNA Allemagne
MINOL Allemagne PETREL Resources PIPELINE SERVICES
PLANET FINANCE PRIDE RED ADAIR Co
SAFETY BOSS SOFREMI TAMOIL SA (Oil Capital Ltd)
TOTAL FINA ELF VIVENDI Universal WILD WELL CONTROL Etc.
Liste non exhaustive – voir base de donnée spécifique
Organisations Internationales impliquées
ONU OPEC UNCC
Compagnies impliquées selon Christian BASANO :
CITY Investment I.B.A.C. Service PTE Ltd, Singapore INCOME Management
INCOME Prospecties REALITY Investors Group TEXRICE N.V. Curacao
Sociétés fiduciaries :
ATAG Asset Management liée à ELF (Propriété 100 % de la Basellandschaftliche Kantonal Bank
Membre du CA : Claude JANIAK, président du Conseil National Suisse
en 2006 – avocat – premier Citoyen Suisse, garanti l'impunité…)
ATAG Ernst & Young AG Société de révision du groupe ATAG AM – Ci-dessus et WILDROSE page 98
Société de Révision Bancaire SRB (Ernst & Young…)
KPMG (toutes sociétés) Sociétés du CREDIT SUISSE GROUP
DELOITTE
ARTHUR ANDERSON
ZOLLICONT Treuhand AG
Luc BADEL Fiduciaire Complice de SIRVEN – Blanchiment des fonds ELF pour les socialistes
Beaumont Finance SA LAVANDEYRA Complice SIRVEN – Blanchiment fonds ELF pour RPR
Primatrust Sté d'opérations financières – Dominique WARLUZEL est administrateur
Zollicont Marc BRUPPACHER etc.
Etc. Une multitude de fiduciaires privées impliquées dans les détournement et
blanchiment
Les banques sous juridiction Suisse UBS SA – CREDIT SUISSE GROUP – HSBC – SAFRA – etc.
font partie des criminels suisses cités dans les appendices 05 – 06 et 07.
Sociétés complices par le blanchiment de l'information :
EDIPRESSE TSR Idée Suisse
Sociétés de détournement et de blanchiment constituées par Pierre MOTTU et ses complices :
WILDROSE Investors Group Inc Panama
STANFORD Worldwilde Ltd Illes Vierges
EVERTON Enterprises Ltd Illes Vierges
ILONA International SA Iles Vierges
ILONA AG Liechtenstein
EXION International SA Iles Vierges constituée 2 jours après perquisitions MOTTU et BRUPPACHER et pour
Appendice 4 page 98 intégrer ILONA…
Liste non exhaustive
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On apprend au point 1 de l'historique, que Joseph FERRAYE a trouvé fortuitement son invention en
1985, bien avant l'invasion du KOWEIT par Saddam HUSSEIN.
Après l'incendie des puits, FSB annonçait à l'époque que plus de 5'000'000 de barils de pétrole brut
brûlaient chaque jour, en émettant quelque 5'000 tonnes de suies qui se propageaient sur plus de
800 miles (1'300 Km).
Pour sauver l'humanité d'une catastrophe écologique sans précédent qui aurait rendu l'air irrespirable
pour l'ensemble de la planète à court terme, FERRAYE a accepté de déposer ses brevets dans
l'urgence afin que ses inventions puissent contribuer à l'extinction et au blocage des puits dans un
temps record.
Devant le gigantisme des capitaux en jeu, Ministres, associés, mandataires et autres contrevenants
cités plus haut, ont tout simplement pété les plombs et ont tout mis en œuvre pour s'approprier des
droits de manière illégitime.
Non seulement, les commanditaires du complot au sein des gouvernements ont escroqué l'Inventeur
et les contribuables de Suisse et de France, mais ils ont agit en association internationale de
malfaiteurs pour que FERRAYE ne reçoive pas un seul DOLLAR, afin de ne pas lui donner la
possibilité ensuite de se défendre.
C'est ici le plus grand complot mondial de détournement et de blanchiment de fonds, de toute
l'histoire de l'humanité, que nous allons vous démontrer.
Le préjudice financier dont est Victime FERRAYE, s'étend également aux intérêts de
70 millions de Citoyens français et suisses, puisque ce sont des dizaines de milliards de dollars
qui ont aussi échappé aux caisses de l'Etat, sous forme d'impôts.
Crimes d'escroquerie, blanchiment, faux dans les titres, détournement de fonds, crimes organisés,
association de malfaiteurs, soustraction de documents de l'instruction, abus de pouvoir, corruption,
fraude fiscale, etc. sont un exemple des délits qui ont été réalisés et qui devaient être poursuivis
d'office dans un Etat de Droit.
Comment considérer dans ce cas, des Gouvernements qui n'appliquent pas les règles élémentaires
du Droit, pour soustraire des membres de leur Gouvernement aux LOIS en cours, auxquelles ils
doivent être soumis au même titre que n'importe quel CITOYEN dans des ETATS DE DROIT. Alors
que la Démocratie implique la séparation des pouvoirs, dans le cas présent et contrairement aux
règles impératives démocratiques, les Escrocs des gouvernements ont impliqué la justice dans leurs
crimes. C'est ainsi que le gouvernement français a eu la main mise non seulement sur la justice en
France, mais aussi en Suisse, aux Etats-Unis et dans tous les Pays qu'ils ont impliqués, ainsi que
l'ONU (UNCC), pour faire main basse sur les centaines de milliards de dollars de royalties revenant à
FERRAYE.
Ne pas respecter cette règle de Droit élémentaire, dénote l'existence sous-jacente d'une dictature.
A ce stade du dossier, il est indispensable de prendre connaissance de l'historique avant de
poursuivre la lecture du mémoire.
1. Après le dépôt de ses 2 systèmes à l'INPI qui était sous le contrôle du Ministre français
Dominique STRAUSS KAHN, FERRAYE a appris que ses deux inventions lui étaient volées. La
classification illégale des inventions en « secret défense » pour la France, est une preuve
indubitable de la volonté des commanditaires français du complot, d'avoir voulu détourner les
inventions à leur profit, en toute impunité. voir Historique points 8ss (page 57) – 24ss et 43ss + Appendice 14
Les interventions de FERRAYE pour faire valoir ses droits compromettaient la crédibilité des
pouvoirs judiciaires. Pour y remédier, les Escrocs et leurs complices corrompus au pouvoir, ont
fait déclarer FERRAYE atteint dans sa santé mentale sur la base d'un faux rapport psychiatrique !
Voir point 88 ci-dessous
Depuis août 1991, FERRAYE avait contacté KROLL Associates afin d'identifier les comptes
bancaires des royalties détournées. En octobre 1994, Yves BAUMELIN responsable c/o KROLL a
signalé à FERRAYE qu'il pouvait l'aider à condition de traiter l'affaire à travers Daniel
LEVAVASSEUR, ex agent des services secrets français.
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C'est depuis cette date que KROLL a collaboré avec LEVAVASSEUR et identifié les comptes aux
noms des associés et mandataires de FERRAYE pour des dizaines de milliards de dollars.
Ces investigations de LEVAVASSEUR ont conduit au séquestre de plus de USD 100 milliards
pour lesquels il a obtenu un 1er jugement de séquestre.
Voir détails appendice 8 – points 1 à 8 (page 149) et Appendice 13 points19ss (page 180) et 25ss
2. Un vendredi de l'été 1994, après que Géraud VITRAC, ingénieur pétrolier, ait expliqué à Eric
BARBAROUX, responsable à la DATAR (Délégation à l'aménagement du territoire et à l'action
régionale), que la production et commercialisation des systèmes permettaient de créer 10'000
emplois en France, BARBAROUX qui connaissait l'affaire depuis 1991, a répondu qu'il allait
demander à son Ministre (Charles PASQUA) de libérer les systèmes du « secret défense ».
Ceci veut dire que BARBAROUX savait bien que PASQUA avait placé les systèmes concernés
sous le « secret défense » et qu'il était un des principaux commanditaires du complot.
3. Le lundi suivant, BARBAROUX n'était plus atteignable et refusait, par ses secrétaires, tout contact
avec FERRAYE et VITRAC.
Le cours de ce dossier démontre l'implication directe de Charles PASQUA qui, averti par son
collaborateur que l'affaire pouvait ressortir, a coupé court à tout dialogue.
A cette date, où l'IRAK était sous embargo, les commanditaires du complot n'avaient pas encore
pu vendre les systèmes à Saddam HUSSEIN et l'IRAK était intéressé à traiter avec FERRAYE
En libérant les systèmes du « secret défense », PASQUA aurait perdu le marché IRAKIEN qui
représentait plusieurs dizaines de milliards de dollars. C'est finalement les commanditaires du
complot qui ont eu le marché contre des centaines de millions de barils dont ont bénéficié
CHIRAC, PASQUA (non dissociable de SARKOZY) et leurs complices. C'est ce scandale qui a
été qualifié, pour faire diversion : « Les largesses de SADDAM publiées en France dans les
Medias ». Décomposition des 100 milliards : Point 53 de l'Historique page 68
En février 1994, FERRAYE avait engagé des transactions avec l'IRAK pour vendre ses systèmes
d'extinction et de blocage en direct et il avait obtenu les visas pour s'y rendre.
Pièce 001 02.07.1994 Offre FERRAYE à l'IRAK
Des raisons de sécurité à l'époque ont empêché FERRAYE de se rendre en IRAK. Mais comme
on l'a vu plus haut (BARBAROUX), l'IRAK ne disposait toujours pas de ces systèmes en 1996 et
c'est après 1994 que PASQUA les a vendu à l'IRAK, suite aux interventions de FERRAYE.
1993 à 1995 PASQUA témoin mariage SARKOZY Ministre de l'Intérieur
1993 à 1995 SARKOZY Ministre du Budget et porte-parole Gouvernement
1995 Période des séquestres de centaines de milliards des fonds FERRAYE
1999 PASQUA est accusé d'avoir bénéficié de 10.7 millions de barils dans le
programme pétrole contre nourriture
(En réalité vente des système FERRAYE à l'IRAK pendant l'embargo ?)
1995 à 2002 SARKOZY Membre de la Commission des Finances
1997 à 1999 STRAUSS-KAHN Ministre Economie, Finances et Industrie
Voilà un beau TRIO gauche – droite qui maîtrisait tous les circuits par lesquels les systèmes
FERRAYE étaient détournés… Ouvrons une petite parenthèse sur ces connivences :
SARKOZY n'est de loin pas aussi innocent qu'il le prétend. Sans lui,
PASQUA, l'Escroc Public N° 2 après CHIRAC en France, n'aurait
jamais pu être réélu à l'âge de 77 ans… Pourtant, cette réélection était
capitale pour SARKOZY, afin que PASQUA garde son immunité
parlementaire sans laquelle il serait poursuivi et entraînerait
immanquablement son poulain SARKOZY dans sa chute !
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On oublie aussi de dire que SARKOZY a fait toute sa carrière dans les Hauts de Seine de
PASQUA et qu'il est né et a grandi politiquement dans cette marmitte-là. Le « Klan » des
PASQUA, BALKANY, SCHUELLER et consorts.
En 2004, il y a eu un échange de poste entre PASQUA et SARKOZY pour la Présidence du
Conseil Général des Hauts de Seine. PASQUA a, disons-le, légué, donné en héritage sa
présidence à SARKOZY. Rien de moins. Et contrôler les Hauts de Seine, c'est contrôler le
département le plus riche de France. Ca peut aider pour la suite... Tremplin pour l'Elysée?
Qu'a donc bien pu obtenir PASQUA en échange ? Car PASQUA ne donne rien sans rien, ce n'est
pas le genre de la maison. PASQUA savait qu'il allait perdre son siège de député européen et
par-là même son immunité. Un deal pouvait donc être scellé : «je te file la présidence et tu me
donnes un coup de pouce en « convaincant » quelques grands électeurs de voter pour moi pour
les sénatoriales afin de récupérer mon immunité... Juste assez pour être élu et que cela ne se
voie pas trop.
On ne peut pas imaginer une seconde, que dans sa quête de l'Elysée et sa soif de pouvoir,
SARKOZY n'ait pas pensé à ce petit deal avec son mentor et vice versa. En plus les deux ont
soutenu BALLADUR en 1995 et ont un compte à régler avec CHIRAC, c'est un secret de
polichinelle.
SARKOZY, comme Ministre d'Etat, Ministre de l'Intérieur, Ministre du Budget (1993 – 1995 lors du
séquestre de centaines de milliards de dollars…), Ministre de l'Economie, ami intime de PASQUA, proche de
CHIRAC, président du RPR etc. ne POUVAIT tout simplement pas méconnaître les escroqueries
à l'encontre de FERRAYE ! Il est certain qu'il en a bénéficié quelles qu'en soient ses déclarations
et son nom retrouvé dans les listings de CLEARSTREAM n'est pas le fait du hasard ou d'une
quelconque falsification, mais bien la réalité des faits ! Le Journaliste Stéphane Denis affirme
qu'il a transmis à SARKOZY un message du général RONDOT. SARKOZY dément. Compte tenu
de ce qui précède et de ses implications dans les différents ministères, SARKOZY était au
courant de tout, mais c'est un rusé et un manipulateur, couplé d'un menteur !
Stéphane DENIS, "parent" et "ami" du général RONDOT, éditorialiste au Figaro, relate,
dans un interview, que le général l'avait chargé à l'été 2004 de "dire à SARKOZY qu'il avait
enquêté sur l'affaire" CLEARSTREAM, et qu'il tenait "le dossier complet à sa disposition".
Si SARKOZY n'a pas voulu contacter RONDOT, c'est qu'il savait ce que comportait ce dossier et
que les recherches remonteraient jusqu'à lui… Mieux valait pratiquer la politique de l'autruche et
par la suite nier toute connaissance des faits ! Est-ce d'une telle personnalité dont la France veut
se doter comme Président… (sic !) ? Il est prouvé aujourd'hui que les attentats du 11.09.2001 ne
sont pas seulement dus à l'action de Oussama BEN LADEN Appendice 16 page 193 mais que le
Gouvernement américain y est directement impliqué. La SEC investiguait sur 4'000 fichiers de
fraude boursière, narcodollars etc. au sein même des tours jumelles qu'il fallait détruire… La
liaison aurait été faite sans problème avec CLEARSTREAM si les attentats n'avaient pas détruit
les tours et les fichiers avec. La video annexée démontre que ces tueurs sont pires que le
terroriste Oussama BEN LADEN et que le sort de 69 passagers d'un des vols qui s'est posé est
toujours inconnu...
Comme on le voit au point 31, le réseau BEN LADEN a été utilisé pour détourner et blanchir les
fonds FERRAYE ! Ceci fait du Gouvernement français un complice direct dans les attentats du
11 septembre 2001 aux Etats-Unis !
Pour cacher les crimes organisés du gouvernement, EURONEXT veut maintenant fusionner avec
NEW YORK STOCK EXCHANGE pour mieux diluer les traces des transactions illégales et rendre
impossible le retour aux sources… Le mariage avec DEUTSCHE BOERSE propriétaire de
CLEARSTREAM était trop flagrant…
SARKOZY a déclaré au point : « Vous imaginez le grotesque de la situation. C'est moi qui
aurais dû appeler ALLIOT-MARIE et RONDOT ? Je ne connaissais même pas le nom, ni
l'existence de ce dernier", ajoute le ministre de l'Intérieur ». C'était en septembre 2004.
SARKOZY avait été Ministre de l'Intérieur de mai 2002 à mars 2004… Comme responsable de la
sécurité intérieure il ne connaissait pas RONDOT ? Pour reprendre sa propre expression, c'est
grotesque ! Pourquoi dans ce cas, n'a-t-il pas réagi à ces dénonciations au printemps 2004 lors

de la première dénonciation de la première présentation des listes CLEARSTREAM au juge VAN
RUYMBEKE ?
Nicolas SARKOZY n'a-t-il pas été aussi surnommé " Sarkozy l'Américain " ? En avril 2004,
nouveau ministre de l'Économie, il se rend à Washington et demande à rencontrer deux des plus
hauts responsables de l'administration BUSH, Colin POWELL et Condoleezza RICE, afin de
"dédramatiser les désaccords que nous avons pu avoir " à propos de la guerre d'Irak. Les
désaccords France – USA occasionnerait-ils des différends entre les protagonistes concernant
les comptes sur lesquels les milliers de milliards ont été détournés et qui lient aussi directement
le gouvernement BUSH ???
Mais d'autres Ministres (fin du point 3 – pages 18 et 19) en place au moment des faits sont aussi tous
directement impliqués dans le détournement des fonds FERRAYE entre autres par les sociétés
CEDEL – CLEARSTREAM. Ce n'est certainement pas pour rien que SARKOZY a dirigé à deux
reprises ce ministère…
MINISTRE$ DE L'INTERIEUR
Philippe Marchand 29 janvier 1991 2 avril 1992
Paul Quilès 2 avril 1992 29 mars 1993
Charle$ Pa$qua 29 mars 1993 18 mai 1995
Jean-Louis Debré 18 mai 1995 4 juin 1997
Jean-Pierre Chevènement 4 juin 1997 29 août 2000
Daniel Vaillant 29 août 2000 7 mai 2002
Nicolas Sarkozy 7 mai 2002 31 mars 2004
Dominique de Villepin 31 mars 2004 31 mai 2005
Nicolas Sarkozy 31 mai 2005 En poste
MINISTRE$ DE L'ECONOMIE ET DES FINANCE$
Pierre Bérégovoy
Michel Sapin
Edmond Alphandéry
Alain Madelin
Jean Arthuis
Dominique $trau$$-Kahn
Christian Sautter
Laurent Fabiu$
Francis Mer
Nicola$ $arkozy
Hervé Gaymard
Thierry Breton Légion d'horreur
du 12/05/1988 au 02/04/1992
du 03/04/1992 au 30/03/1993
du 30/03/1993 au 18/05/1995
du 18/05/1995 au 26/08/1995
du 26/08/1995 au 03/06/1997
du 04/06/1997 au 02/11/1999
du 02/11/1999 au 27/03/2000
du 27/03/2000 au 06/05/2002
du 07/05/2002 au 31/03/2004
du 31/03/2004 au 29/11/2004
du 29/11/2004 au 25/02/2005
31.05.2005 - En poste
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AFFAIRES ETRANGERES
10 mai 1988 14 mai 1991 Roland Dumas PM : Michel Rocard
15 mai 1991 31 mars 1992 Roland Dumas PM : Édith Cresson
2 avril 1992 28 mars 1993 Roland Dumas PM : Pierre Bérégovoy
29 mars 1993 16 mai 1995 Alain Juppé PM : Édouard Balladur
18 mai 1995 7 novembre 1995 Hervé de Charette PM : Alain Juppé
7 novembre 1995 2 juin 1997 Hervé de Charette PM : Alain Juppé
2 juin 1997 6 mai 2002 Hubert Védrine PM : Lionel Jospin
6 mai 2002 17 juin 2002 Dominique de Villepin PM : Jean-Pierre Raffarin
17 juin 2002 31 mars 2004 Dominique de Villepin PM : Jean-Pierre Raffarin
31 mars 2004 2 juin 2005 Michel Barnier PM : Jean-Pierre Raffarin
2 juin 2005 Philippe Douste-Blazy PM : Dominique de Villepin
JUSTICE
Daniel LEVAVASSEUR avait révélé à FERRAYE en juillet 1995, que même Georgina DUFOIX
avait des comptes provenant de cette affaire. Georgina DUFOIX était pour Ministre de l'emploi et
affaires sociales, donc son Ministère n'était pas du tout concerné par les extinctions des puits.
Ceci démontre qu'en fait, tous les ministres des différents gouvernements ont été corrompus par
solidarité, en paiement de leur silence.
FERRAYE a également entendu citer le nom de Ségolène ROYAL, ministre de l'environnement
de 1992 à 1993 lors de la vente des systèmes aux autres Pays pétroliers… LEVAVASSEUR,
directement lié à la DST et à la DGSE par ses anciennes occupations, affirmait et l'a ouvertement
déclaré aux Journalistes de l'Est Républicain Frédéric MENU et Alain DUSART : « Ils sont tous
dedans, FERRAYE ne sait même pas le 10 % des implications et de ce qui s'est Passé ! »
Pièce 002 1991 – 2006 Premiers Ministres et leurs Gouvernements
Rappelons que Pierre BEREGOVOY a été assassiné le 7 avril 1994 Appendice 14 page 187 et que les
incohérences de la thèse du suicide prouvent qu'il s'agit d'un assassinat. Pierre BEREGOVOY
avait succédé comme Premier Ministre à Michel ROCARD et Edith CRESSON, les deux
principaux concernés avec Dominique STRAUSS-KAHN dans le détournement des systèmes
FERRAYE. Il a été assassiné par le Gouvernement français parce qu'il avait été averti de ce
complot à plusieurs reprises par FERRAYE et voulait rétablir la VERITE ?
...
En 1999, l'offre faite à FERRAYE de USD 800 mio du Gouvernement par l'intermédiaire de
Brigitte HENRI – RG sous CHEVENEMENT après DEBRE – Premier Ministre JOSPIN après
BALLADUR et JUPPE ainsi que STRAUSS-KAHN aux finances – relevait directement d'une
proposition de corruption ! Ainsi, selon CHIRAC et sa bande de voleurs, des DROITS ACQUIS se
transforment en corruption et la corruption en droits gouvernementaux… Aux périodes des
séquestres et lors de leur déblocage (1995-1996) CHIRAC était Président et JUPPE premier
ministre ! Voir point 110 ci-dessous.
Quand CHIRAC et sa bande comprendront que les escroqueries et autres crimes ne relèvent pas
du monde des affaires mais de la CIMINALITE ORGANISEE et que les affaires et leur rendement
sont le fruit du travail et de la sueur, l'économie française et la France seront sauvés. Mais pour
tourner cette page, la France doit jeter radicalement son Président, son Gouvernement et tous
les responsables politiques au pouvoir – gauche et droite réunis !
4. FERRAYE s'est adressé au Président de la République Jacques CHIRAC, en sa qualité de
Président du Conseil supérieur de la Magistrature (sic !) Appendice 11 page 161 pour qu'il oblige les
magistrats judiciaires à faire leur travail, sachant que le Président connaît parfaitement les
méandres de ce complot. Par lettre du 6 mars 1997, CHIRAC a encouragé FERRAYE à
poursuivre ses recherches de la Vérité avec l'aide de la « justice » sur laquelle il a la mainmise et
qu'il corrompt…
Pièce 003 Lettre présidence du 6 mars 1997
5. Sur recommandation précitée de la Présidence de la République française, FERRAYE a
recouru aux Autorités compétentes pour aboutir au règlement de ce dossier et rétablir une fois
pour toutes l'état de Droit.
Sous le contrôle de CHIRAC, les juges et procureurs chargés de l'instruction de ce dossier, on
subi des pressions et ont étouffé toutes les procédures successives de Joseph FERRAYE et/ou
se sont laissés corrompre comme on le voit ci-après.
Le PV d'audition de LEVAVASSEUR du 24.11.1999 Pièce 040 où il indiquait : « J'ai pu discuter avec
plusieurs magistrats que je connaissais en raison de mes anciennes fonctions de policier de la DST. Ils
m'ont dit que le magistrat aurait fait l'objet de nombreuses pressions dans ce dossier. M. MURCIANO,
actuellement Doyen des juges d'instruction de Grasse m'a fait part de ce que M. ESPEL n'avait pas été très
zélé dans ce dossier ».
6. Concernant les implications politiques, le notaire genevois Pierre MOTTU les dénonce également
dans ses auditions : « 1ère audition – Pièce N° 166 : Ces personnes (LEVAVASSEUR et ST-HILAIRE)
avaient besoin d'un notaire en Suisse pour des raisons fiscales et politiques françaises. 2ème audition – Pièce
N° 167 : Lors de mes entretiens avec Me ST-HILAIRE, celui-ci avait fait allusion à une société pétrolière
française, ainsi qu'aux références d'un ancien membre du gouvernement. 3ème déclaration à TORNARE –
Pièce N° 168 : Des membres importants du Gouvernement français, voire proches d'ELF (SIRVEN), ont
perçu aussi des montants importants».
Pièce 166 06.02.1996 Audition MOTTU notaire 34 mia disparus
Pièce 167 04.03.1996 Audition MP MOTTU
Pièce 168 29.09.1999 Tornare Didier à Barillon – déclarations de MOTTU
7. Ces déclarations dénoncent le rôle des deux notaires MOTTU et ST-HILAIRE, qui connaissaient
l'implication de membres importants du Gouvernement français et ont tout mis en œuvre pour
dissimuler leur implication, tout en agissant pour blanchir les parts de chacun à travers les
cessions de droits qu'ils faisaient signer à Joseph FERRAYE sous la menace.
Ces interventions des notaires visaient à faire débloquer les comptes séquestrés par la justice et
ceci prouve une bonne fois pour toute, que les fonds étaient bel et bien à leur disposition. Sans le
séquestre, l'établissement des conventions n'aurait jamais été nécessaire… Appendices 1 et 4.
8. Le notaire parisien ST-HILAIRE, associé de MOTTU l'a clairement précisé dans son audition du
19.11.2002 : « Nous leur avons montré les comptes dont nous avions connaissance et indiqué quels
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étaient les éléments en notre possession au sujet de cette affaire. Nous avons finalement proposé une
transaction consistant à l'abandon, par chacun des anciens partenaires (associés et mandataires de
FERRAYE), d'un pourcentage des montants encaissés. Les transferts devaient être effectués en faveur
de la Société WILDROSE Appendice 4 , mais dans un premier temps, les montants sont restés bloqués,
soit chez Me MOTTU, soit chez Me BRUPPACHER ». Appendice 1 – ST-HILAIRE
Quand ST-HILAIRE précise que les montants étaient bloqués soit chez MOTTU, soit chez
BRUPPACHER, il veut dire par là que dépendant le moment et le rôle de chacun, les fonds
étaient d'abord sous le contrôle de BRUPPACHER mais à la disposition de MOTTU. Cependant,
on constate selon les « actes » établis le 15.11.1995 et certifiés conformes par MOTTU lui-même
le 24.01.1996, qu'une infime partie de ce qui devait être versé à FERRAYE, soit USD 5,941 mia
avaient été versés sur le compte de l'Etude MOTTU. Appendice 13 page 177.
La Convention du 16.11.1995 avec TILLIE (Pièce 133) fait mention en page 6 d'un « solde créditeur
à ce jour de USD 5,263 mia. » Pourquoi la juge n'a-t-elle pas procédé à l'arrestation des
escrocs, puisque la preuve des fonds détournés selon acte notarié était évidente ?...
9. La lettre adressée le 10 novembre 1995, soit 5 jours avant l'établissement des « actes » et des
« conventions », par le notaire MOTTU à Thierry HEPP, responsable des Droits de timbres à
l'administration fiscale genevoise, est éloquente sur plusieurs points, quant à la complicité du
fonctionnaire HEPP. MOTTU écrit :
a. Je tiens à vous remercier de la diligence avec laquelle vous avez traité (c'est déjà fait) le gros dossier
de cession de droits litigieux.
b. Je joins aux présentes (combien de lettres ?) deux avant-projets d'« actes » et vous informe que nous
nous réunirons, mardi 14 novembre prochain pour établir les documents définitifs.
10. Au point a, MOTTU confirme qu'il avait traité l'encaissement des Droits de timbres avant le
10 novembre 1995. Dans cette partie du courrier, MOTTU ne parle pas d'un travail à faire, mais
d'un dossier déjà réglé.
Ceci contredit gravement les allégations de Micheline SPOERRI Conseillère d'Etat pour la Police,
en janvier 2005, qui prétendait qu'il n'y avait jamais eu de Droits de timbres versés à l'état,
contrairement aux auditions précitées de MOTTU qui lui confirmait ces Droits pour un montant de
CHF 20 millions. Les fonctionnaires ou autorités se sont-ils partagé ces droits de timbres, puisque
rien ne semble apparaître dans les comptes de l'Etat ?
11. A l'époque de la disparition de ces « droits de timbres », Micheline CALMY-REY était Conseillère
d'Etat au dépt des Finances, actuellement Ministre des Affaires étrangères à Conseil Fédéral…
Bernard BERTOSSA était Procureur général. Il est aujourd'hui Juge fédéral, vice-président du
Tribunal Pénal… (sic !) Laurent KASPER-ANSERMET était Procueur. Il est maintenant
responsable du programme « pétrole contre nourriture à l'ONU
12. Au point b, MOTTU confirme encore la complicité de HEPP dans la rédaction des « actes » qui
allaient être discutés le mardi 14 novembre 1995. Rappelons que les actes en question ont été
datés finalement du 15.11.1995, le lendemain de leur rencontre et signés le 16.
Ainsi, Thierry HEPP s'est fait le complice de MOTTU et des autres commanditaires du complot,
dans le détournement de dizaines de milliards de francs qui auraient dû être encaissés par le fisc,
si les transactions avaient été faites légalement.
13. Il est important de préciser ici que la date du 14 novembre 1995 est aussi la date de l'ouverture
des comptes CREDIT SUISSE Zurich. 16 ordres de virements ont en outre été datés du 16.11.95
Appendice 13 – points 11 – 12 page 179
14. Certaines banques auraient refusé d'exécuter les ordres, comme nous l'avons expliqué dans les
appendice 05 – point 14ss page 116
15. Cette situation a contraint les commanditaires du complot à proroger le mandat de FERRAYE en
faveur de LEVAVASSEUR, selon acte authentifié du 21.12.1995 établi par MOTTU.
Pièce 004 Prorogation du mandat en faveur LEVAVASSEUR et CIR – 21.12.1995
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16. Il a également été nécessaire de trouver d'autres ayants droit bénéficiaires (prête noms) des
comptes sur les sociétés auprès desquelles les fonds devaient être détournés. Appendice 4 page 97.
On constate ainsi que Jean-Marie GHISLAIN, désigné pour EVERTON Ltd le 14 novembre 1995,
a été remplacé le 31 janvier 1996 par deux nouveaux « prête nom » Vladimir SERGUIENKO et
Ekatarina A. BOURNISTOVA, juste après la plainte du 29 janvier 1996 de BONNANT.
Mémoire – points 51ss page 29
Pièce 005 31.01.1996 Form. A Ayants droit bénéficiaires SERGUIENKO et BOURNISTOVA
GHISLAIN était directeur de WILDROSE, société contrôlée par ELF Appendice 4 qui a reconstitué
EVERTON Ltd. GHISLAIN devenait ainsi à nouveau bénéficiaire des fonds qu'il virait sur
EVERTON Ltd. Son identité était bloquée comme « bénéficiaire » sur WILDROSE suite aux
séquestres. Points 18 page 99 – 41 page 103.
17. On voit également sur la carte des signatures du CREDIT SUISSE, du 23.01.1996, que
Ekatarina A. BOURNISITOVA est devenue signataire des comptes 699259-4 de EVERTON, mais
aussi qu'apparaît un nouveau complice du nom de Marco TANNER.
Pièce 006 23.01.1996 Carte des signatures du CREDIT SUISSE Zurich
18. A la même période du 21.12.1995 au 18.01.1996, MOTTU a rédigé les conventions 2e version en
faveur de BCS Finances de André SANCHEZ, signées par les associés et mandataires de
Joseph FERRAYE. Appendice 13 – point 28 page 181
André SANCHEZ avait compris les détournements et blanchiment des fonds par Patrick
DAWSON de la DEA et avait menacé les commanditaires de les dénoncer. André SANCHEZ a
été assassiné le 15 mai 2001. Appendice 13 page 188.
Comme il en témoigne dans la cassette transcrite par la justice, il est fait état qu'un juge
d'instruction vaudois (Jean-Marie RUEDE) avait été averti à plusieurs reprises des escroqueries
commises… RUEDE ensuite chargé de l'affaire SANCHEZ Appendice 13 a interdit toute
investigation…La responsabilité du CANTON DE VAUD est engagée !
19. Le problème avec EVERTON Ltd étant réglé point 16 ci-dessus, restaient les société ILONA
International et STANDFORD Worldwilde, toutes trois aux Iles Vierges. Selon une information de
Francis MAYORAZ, toutes ces sociétés ont été constituées par ATAG Ernst & Young complices
de l'affaire ELF et des banques.
20. Le 16 janvier 1996, 4 jours après la signature de la convention 2e version avec les mandataires
de FERRAYE, ILONA International aux Iles Vierges, est devenue ILONA Aktiengesellschaft à
Vaduz !
Pièce 007 16.01.1996 Extrait du Registre du Commerce de ILONA AG, Vaduz
Joseph FERRAYE s'est immédiatement rendu à Vaduz où il a obtenu l'extrait précité, ce qui a dû
contrarier BRUPPACHER qui avait organisé ce transfert de société.
21. C'est ainsi que le 8 février 1996, le Registre du Commerce des Iles Vierges, confirme la
constitution d'une nouvelle Société du nom de EXION International SA dans laquelle est
incorporée l'ex société ILONA International SA…
Pièce 008 08.02.1996 Extrait RC de EXION International SA
22. Toutes ces manipulations de détournements et blanchiment, se poursuivaient après les
séquestres et elles ont continué après les saisies du 6 février 1996, chez MOTTU et
BRUPPACHER, tout ceci sous le contrôle et l'approbation des procureurs Bernard BERTOSSA et
Laurent KASPER-ANSERMET. On comprend pourquoi dans l'Appendice 2 – points 4Fss page 83.
23. Le 7 février 1996, Bill CAMPBELL, chef de la DEA à Berne a déclaré à FERRAYE qu'il avait
remis tous les comptes bancaires à Gérard CRAUSAZ, Inspecteur de la police de sûreté à
Genève, alors qu'il avait convenu le mardi 6 février, de les remettre directement à FERRAYE.
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Les deux hommes ont alors convenu que FERRAYE allait appeler directement Gérard
CRAUSAZ, ce qu'il a fait immédiatement. CRAUSAZ a confirmé qu'il avait tous les comptes, qu'il
allait les remettre au procureur KASPER-ANSERMET, mais qu'il n'avait pas le droit de les
remettre directement à FERRAYE.
24. Le 8 février 1996, KASPER-ANSERMET et Marc BONNANT ont déclaré à FERRAYE avoir saisi
tous les documents bancaires, les décisions de séquestre des comptes, les conventions, les
ordres de virements signés par tous les contrevenants et il a ajouté qu'il avait saisi même les
disques durs des ordinateurs comportant tous les documents établis par MOTTU.
La plainte de FERRAYE du 29 janvier 1996 avait de suite porté ses fruits !
KASPER-ANSERMET a demandé à FERRAYE d'examiner attentivement tout son dossier qui
était réparti dans deux cartons déposés sous une table en face de son bureau. FERRAYE a
constaté que tous les documents originaux étaient là.
25. Le 9 février 1996, à 09.00 H KASPER-ANSERMET à déclaré à FERRAYE : « J'ai une bonne
nouvelle, tous vos adversaires sont piégés. On peut considérer que l'affaire est résolue ».
26. Le 9 février 1996 à 11.00 H, Marc BONNANT avocat de FERRAYE, a déclaré : « Ils sont tous dans
la souricière, ils ne peuvent plus faire du mal et s'ils essaient de toucher à un centime, ils seront arrêtés.
S'ils viennent en Suisse, ils seront aussi arrêtés. C'est hallucinant ! ».
Suite au point 45 page 27 et Appendice 11 page 161 – KASPER-ANSERMET
27. Le 10 février 1996, Ahmad AL SABAH a prié FERRAYE de partir à Londres signer de nouveaux
accords avec la garantie de l'Etat du KOWEIT, à condition de retirer sa plainte suisse.
(Déclarations enregistrées)
BONNANT a toujours refusé catégoriquement de suivre cette demande, car il prétendait vouloir
les faire venir en Suisse pour les arrêter.
A partir de ce jour, BONNANT tel un chien affamé, rencontrait ces escrocs à Nice, Cannes, Paris,
Bellegarde, sans accepter que FERRAYE ne l'accompagne… !
28. Vers le 12 février 1996, MOTTU et BRUPPACHER ont déclaré à FERRAYE littéralement : « Vous
avez déposé la plainte contre nous, nous allons greffer quelqu'un sur l'affaire et vous n'allez plus trouver un
centime ».
Le 14 février 1996, LEVAVASSEUR, a aussi déclaré dans le même sens à FERRAYE
littéralement : « Ils vont greffer quelqu'un sur l'affaire, vous n'allez plus trouver un centime et ils vont
acheter tous vos avocats successifs jusqu'à votre épuisement ».
29. La succession des événements cités aux points 25 à 27 démontre que la menace de MOTTU,
BRUPPACHER et LEVAVASSEUR, mentionnée au point 28, consistant à « acheter tous vos
avocats et greffer quelqu'un sur l'affaire », a été élaborée par les deux groupes réunis des anciens et
nouveaux conseils de FERRAYE.
Tout ceci, bien entendu et comme déjà expliqué au point 22, avec la complicité du Ministère
Public genevois que BONNANT et WARLUZEL avaient rallié.
30. Jean-Marie GHISLAIN – dénoncé pour sa complicité aux détournements et au blanchiment des
fonds dans le cadre de WILDROSE et EVERTON, Appendice 4 – apparaît selon les déclarations de
l'avocat américain en 2001 de FERRAYE, William WEBSTER (ancien chef CIA et FBI),
révélées par son ami Tullio PONZI, dans le réseau de blanchiment appartenant à Oussama
BEN LADEN. Appendice 16 La BCCI (collaboration UBS SA) était aussi un réseau terroriste) !
31. Par acte authentifié établi par le notaire Pierre NATURAL, complice de MOTTU dans le
banditisme, Jean-Marie GHISLAIN a été nommé le 19 juin 1995 à la direction de WILDROSE,
avec un mandat l'autorisant à agir sans aucune restriction en prévision de l'escroquerie qui était
planifiée et sur la base de laquelle allaient être établies les différentes conventions des 16 et 23
novembre 1995.
Pièce 009 19.06.1995 Mandat WILDROSE en faveur de GHISLAIN (CHAMARRE-ELF)
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32. Le 3 octobre 1995, Pierre MOTTU, avec la participation de ST-HILAIRE (page 3) a établi un acte
authentifié liant Joseph FERRAYE et le Cabinet CIR à WILDROSE.
Pièce 010 03.10.1995 Procuration en faveur de WILDROSE
Depuis les séquestres, il était nécessaire à MOTTU d'obtenir des conventions signées par
FERRAYE pour débloquer les fonds et faire les transferts.
33. Le 21 décembre 1995, Pierre MOTTU établit un acte authentifié qui proroge le mandat conféré le
3 octobre 1995 en faveur de LEVAVASSEUR, après avoir écarté WILDROSE.
Ce même jour, Pierre MOTTU a établi l'acte authentifié déchargeant WILDROSE de son mandat.
Pièce 011 21.12.1995 Décharge du mandat de WILDROSE
Au moment où FERRAYE a terminé de signer ce document de décharge, Jean-Marie GHISLAIN
s'est levé d'un bond, rouge comme une tomate mûre prête à exploser, ému au point de ne plus
maîtriser son comportement et incapable de prononcer une parole. Cette attitude reflète le
soulagement de GHISLAIN d'avoir été déchargé de son mandat sans aucune conséquence.
Cette réaction démontre aussi que les commanditaires du complot, agissant à travers MOTTU et
BRUPPACHER en particulier, avaient déjà détourné les fonds au travers de WILDROSE et les
sociétés qu'elle avait constituées.
Les faits précités sont les preuves de la responsabilité de GHISLAIN dans ces détournements
opérés grâce au réseau financier du terrorisme d'Oussama BEN LADEN, mis à disposition à
son insu ( ?) par son frère Yeslam BEN LADEN et Patrick DAWSON. Tout ceci corrobore les
déclarations de William WEBSTER décrites aux points 28ss ci-dessus et de SANCHEZ Appendice 14
Voir aussi Appendice 4 – EVERTON page 102
MOTTU voulait désigner Michel VENEAU (ancien policier RIPOUX et assassin au service des
escrocs du gouvernement français), en remplacement de WILDROSE et de LEVAVASSEUR.
Devant l'opposition ferme de FERRAYE qui n'avait aucune confiance en VENEAU, MOTTU s'est
mis à crier comme putois ! Vu l'obstination de FERRAYE, LEVAVASSEUR a calmé le jeu en
demandant à MOTTU d'établir l'acte authentifié à son nom, mais en précisant qu'il pouvait
substituer à sa place toute personne de son choix, tout en restant solidaire. A cette condition,
FERRAYE a accepté de signer, puisqu'il avait confiance en LEVAVASSEUR.
Ce document, par la mention « solidaire » est l'une des causes qui a été l'élément déclencheur de
l'assassinat de LEVAVASSEUR.
Pièce 004 21.12.1995 Prorogation du mandat en faveur de LEVAVASSEUR
La cause principale étant due aux pressions exercées par LEVAVASSEUR sur JUNOD et STHILAIRE
à partir du 26 août 2002. Voir Point 116ss ci-dessous page 44
Suite aux attentats du 11 septembre 2001, l'intervention de LEVAVASSEUR qui voulait que
FERRAYE touche ses droits, compromettait leurs plans.
34. Patrick DAWSON, chef DEA pour la France vivant à Gland CH, a été impliqué dans le
blanchiment des fonds FERRAYE depuis 1991. Son rôle était d'apposer le sceau de la DEA sur
tous les comptes provenant des systèmes pour masquer leur origine frauduleuse et empêcher
tout contrôle d'un autre organisme de police internationale.
35. DAWSON (surnommé Dave ROWE) condamné en Suisse pour activités financières illégales
et blanchiment d'argent, a repris son rôle au sein du complot en 1996, en ralliant Yeslam BEN
LADEN pour utiliser le réseau bancaire d'Oussama BEN LADEN. Appendice 16
36. Cette situation prouve qu'à partir de la rédaction de la plainte du 29 janvier 1996, les nouveaux
conseils de FERRAYE, Marc BONNANT et son assistant Dominique WARLUZEL, au même titre
que les procureurs genevois, avaient rejoint MOTTU, BRUPPACHER, ST-HILAIRE avec tous les
commanditaires du complot de 1991. Appendice 02
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37. Selon les événements précités, il semble évident que le passeport suisse accordé le 11 mai 2001,
4 mois avant les attentats du 11 septembre 2001, à Yeslam BEN LADEN par la République et
Canton de Genève, n'est que le scellement des accords de soutien des autorités genevoises à ce
complot pour le protéger en prévision des attentats planifiés par son frère.
La France a fait la même chose en accordant à BONNANT et WARLUZEL, la « Légion
d'horreur », distinction réservée aux deux Criminels pour couvrir leur fuite en France en cas de
nécessité… Qui toucherait en effet en France, à des « protégés » du Président, lui-même
impliqué…
Ceci expliquerait l'obstination de cette « république… » genevoise à cautionner toutes les
escroqueries au détriment de FERRAYE et à justifier leur manque de volonté de mettre en
lumière la Vérité. Tout comme la Ve République française, la République de Genève va
maintenant Sauter ! Ce sera la fin de la « Genève Internationale » ! Appendice 11 – ESPEL Joël
Nous devons ici nous souvenir que dans ses messages successifs de l'automne 2001, Oussama
BEN LADEN accusait la CIA de « blanchir les comptes provenant des Pays pétroliers, qui sont des Pays
musulmans, pour justifier ses attentats ». Cette révélation a disparu des archives de la TSR selon la
même politique de blanchiment de l'information
qu'on retrouve au points 42 et 87 ci-dessous et Appendice 11 – Eva JOLY ???
Oussama BEN LADEN avait situé l'axe du mal reliant Genève ! Paris, Londres et New York.
Selon ce que Tullio PONZI a transmis des révélations provenant de l'ex chef de la CIA
WEBSTER, le fait que le nom de Jean-Marie GHISLAIN (point 30) figure dans le réseau bancaire de
Oussama BEN LADEN, signifie que c'est au travers de ce réseau que les fonds revenant à
FERRAYE ont été détournés et blanchis.
38. Ainsi, en cautionnant les auteurs de ces détournements et le blanchiment des fonds
FERRAYE, la République et Canton de Genève est directement liée aux conséquences de
ce banditisme et porte une lourde responsabilité morale et financière dans les attentats du
11 septembre 2001 à New York.
Une telle responsabilité signifie incontestablement la mise en faillite prochaine de la République
et Canton de Genève et il est grand temps que les analystes financiers en tiennent compte !
39. Dans le même contexte que celui précité, pour masquer le lien de Yeslam BEN LADEN et des
commanditaires du complot dans le blanchiment qui a généré les attentats du 11 septembre
2001, le 25.01.2001, Yeslam BEN LADEN a réduit le capital social de sa Société Saudi
Investment Company SICO SA de CHF 1'000'000.- à CHF 100'000.-, afin de d'éviter les
soupçons des observateurs qui allaient immanquablement investiguer sur les avoirs de la famille
BEN LADEN après les attentats. Voir point 42 et appendice 16 page 193
Une compagnie avec un capital social de CHF 100'000.- n'allait jamais susciter l'intérêt des
enquêteurs, s'agissant d'une « petite » société jugée incapable de faire transiter des fonds par
milliards.
Le rapport de la CFB le prouve, mais d'autres éléments laissent aussi comprendre sa complicité.
40. On voit donc, que deux mesures préventives ont été prises. Le 25 janvier 2001, Yeslam BEN
LADEN réduit le capital de SICO. Le 11 mai 2001, l'Etat de Genève, sur pressions et après
recours, lui accorde la nationalité Suisse.
L'un des avocats de Yeslam BEN LADEN était Pierre DE PREUX, avocat également du notaire
Pierre MOTTU…
Il est amusant de savoir que dans la plainte du 9 février 2005 de FERRAYE contre Pierre
MOTTU, le notaire avait désigné l'avocat Pierre DE PREUX pour sa défense. Me Alain MARTI a
rencontré Me Bruno DE PREUX, associé de la même Etude prétextant vouloir « s'informer sur la
façon de réagir contre Pierre DE PREUX… » en précisant à FERRAYE que la personnalité de Bruno
DE PREUX n'était pas la même que celle de Pierre…
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Procureur général de Genève « Maître chanteur » !
Bien sûr, il ne s'agissait là que de pure intox ! Etant attaqué, MOTTU avait porté plainte auprès du
Procureur général contre MARTI. Le Procureur général s'était empressé d'y donner suite et de
mettre MARTI sous pression, selon ce qu'il a révélé, de la manière suivante : « Soit vous acceptez
une conciliation amiable avec Me MOTTU, soit la plainte contre vous suivra son cours ».
MARTI a confirmé qu'il avait accepté l'accord… Voir point 137ss ci-dessous concernant la trahison de MARTI.
Ce comportement du Parquet implique le Procureur ZAPPELLI dans le complot. On voit mal du
reste, comment Bernard BERTOSSA aurait pu quitter son poste de Procureur Général du
canton, sans corrompre son successeur qui aurait immédiatement rétabli la Justice…
Suite à cette information de MARTI concernant la désignation de DE PREUX par MOTTU,
FERRAYE, a signalé à son avocat que Pierre DE PREUX était l'avocat de Yeslam BEN LADEN
lors de sa naturalisation.
Cette anecdote situe aussi dans le temps, le moment où l'avocat de FERRAYE, Alain MARTI, a
trahi son Client. C'est là qu'il a transmis cette information capitale, qui aurait permis de faire le lien
avec l'implication de Yeslam BEN LADEN Appendice 16 page 193 dans le détournement des fonds et
que MOTTU a remplacé Pierre DE PREUX par Alec REYMOND pour sa défense.
En effet, pour sa défense lors de l'audience du 7 mars 2005, c'est Alec REYMOND dont la
réputation n'est plus à faire, qui assistait Pierre MOTTU… Ce changement d'avocat n'est survenu
que par le ralliement de Alain MARTI avec les commanditaires du complot !
41. Les manipulations précitées nous amènent à comprendre que Yeslam BEN LADEN Appendice 16
ainsi que les commanditaires du complot, dont font partie les procureurs genevois Bernard
BERTOSSA et Laurent KASPER-ANSERMET, au même titre que Marc BONNANT, Dominique
WARLUZEL, Pierre MOTTU, Mark BRUPPACHER et Eric ST-HILAIRE, etc., avaient déjà
connaissance des prochains attentats du 11 septembre 2001 à New York et qu'ils ont laissé
Oussama BEN LADEN exécuter son plan.
Les commanditaires du complot ont agi avec indifférence quant au préjudice des pertes
humaines, privilégiant leurs intérêts, qui étaient de faire disparaître une fois de plus les traces des
transactions frauduleuses revenant à leurs complices américains. Citons par exemple Dick
CHENEY pour HALLIBURTON et la famille BUSH père et fils, amis et associés des BEN LADEN
par Carlyle Group.
42. Dans l'émission « Pardonnez-moi » de Darius ROCHEBIN, Yeslam BEN LADEN, frère
d'Oussama, a révélé les 3 situations suivantes :
a) qu'il gérait les comptes de toute sa famille, y compris les comptes appartenant à Oussama
BEN LADEN
b) qu'il a descendu le capital social de SICO après les attentats du 11 septembre 2001.
Il s'agit d'un flagrant mensonge selon point 39
c) que suite aux attentats, il se voit contraint de devoir se déplacer avec 2 gardes du corps.
Ces 3 déclarations qui laissaient planer des soupçons ou liens entre Yeslam BEN LADEN et les
attentats du 11 septembre 2001, ont été ensuite censurées par la Télévision Suisse Romande…
Les liens maçonniques de IDEE SUISSE, dirigeants de la TSR, semblent donc blanchir l'info à
l'instar des fonds et se faire complices, eux aussi, de la couverture du complot.
Voir points 37ss 42 - 87 ci-dessus – Appendice 6 blanchiment de l'info lors assassinat SAFRA (page 127) – Appendice 11 – JOLY Eva
La TSR se prête avec obstination à la désinformation publique et au blanchiment de l'information.
Peu avant le départ de BERTOSSA de Genève, la TSR a présenté une émission de « DUEL »
dans laquelle Dominique WARLUZEL interviewe Bernard BERTOSSA… Grandiose, on a à faire
sur le plateau à des « perles » du Droit Suisse, ont dû penser les auditeurs naïfs…
Ces deux monstres criminels par profession font de fausses déclarations et mentent avec un
aplomb déconcertant ! Ils parviennent même à tourner en dérision sur le plateau, leurs
escroqueries quand BERTOSSA déclare : « Si la place financière suisse et genevoise se portent
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bien, c'est grâce à la politique que nous avons suivie… ». Même WARLUZEL a dû rire de cette
réponse cynique de BERTOSSA, à qui ne pouvait pas échapper la politique criminelle dont ils
sont les auteurs et acteurs.
Quelques autres passages de cet enregistrement sur le plateau de la TSR de deux MAFIEUX à la
tête du complot :
« A l'époque, la MAFIA assassinait les procureurs, elle a compris que ce comportement finissait par
lui nuire… ». En fait aujourd'hui, cette MAFIA se porte mieux, depuis qu'elle les achète !
Les détournements par BERTOSSA et ses complices, de plus de 100 milliards de dollars au
détriment du Peuple Irakien sont les causes de drames humanitaires journaliers, depuis 11 ans et
pourtant BERTOSSA déclare : « Mon engagement est motivé par une nécessité humanitaire, quand je
vois dans des rues de Moscou des dizaines de milliers d'enfants qui n'ont pas de toit, des gens qui meurent
de faim, la lutte contre la criminalité c'est aussi avoir à l'idée qu'à cause de la corruption de certains
dirigeants, il y a des phénomènes de violence qui existent… […]
Ma politique (Bertossa) est de poursuivre tout le monde, aussi ceux qui sont toujours en place…
(aussi CHIRAC qui a attribué la légion d'horreur à BONNANT et WARLUZEL ???) […] Le
Crime organisé utilise la Suisse à cause de sa place financière… […] Pour éviter d'être instrumentalisés,
faisons toujours la même chose… […] On peut déduire de cette remarque que BERTOSSA poursuit
toujours ses crimes organisés au sein du Tribunal Pénal Fédéral…
«L'utilisation des MEDIA dans le cadre de « L'appel de Genève – La justice ou le chao » devait permettre
une concertation des juges européens…». Sans cette concertation, il est vrai que les coupables des
détournements des centaines de milliards de dollars, seraient déjà tous sous les verrons où ils
finiront par aller après avoir créé « l'injustice et le chao »…
Pièce L'entier de cet enregistrement est à disposition de la justice
Par de telles diffusions, la TSR a pour mission de donner une image positive des CRIMINELS en
blanchissant la réalité des faits. La TSR est directement complice des crimes de détournements
de fonds et de blanchiment et cette complicité est prouvée par les censures citées plus haut et
par la volonté de ne jamais reporter des faits prouvant les crimes dénoncés.
Dans l'affaire FERRAYE, des dizaines d'articles ont été publiés dans certains médias. La TSR n'a
JAMAIS repris ces informations portant sur des détournements gigantesques, alors qu'elle est
capable de diffuser des futilités pour désinformer l'Opinion publique, blanchir l'information et
couvrir les Escrocs. La TSR est ainsi aussi un des éléments du complot dénoncé !
Le moment est arrivé où chacun va devoir assumer sa responsabilité ! Cette censure démontre le
blanchiment de l'information et la complicité de la TSR avec les commanditaires du complot !
Que les saisies chez MOTTU et BRUPPACHER points 24ss aient été ordonnées par les deux
procureurs précités, sans aucune intervention d'un juge d'instruction (voir point 55) à cette date,
confirme sans aucun doute la volonté obstinée et préméditée de ces deux magistrats d'avoir
voulu utiliser leur pouvoir public, pour s'infiltrer au sein des commanditaires du complot.
Si les procureurs précités avaient agi selon les codes de procédures et impliqué un juge
d'instruction qui lui, aurait ordonné les saisies, il est fort probable que l'instruction aurait permis de
piéger l'ensemble des contrevenants, sans une possibilité de retour.
43. Cette situation nous permet de mieux comprendre la conclusion de l'avocat Marc BONNANT et
de son assistant Dominique WARLUZEL dans la plainte du 29 janvier 1996 quand ils mentionnent
:
« Par scrupule, je ne puis exclure d'avoir été utilisé, concourant à mon insu à la mise en place d'une
documentation destinée à déterminer la lésion patrimoniale de tiers possesseurs de fonds pour compte du
Gouvernement Koweitien ou versés pour celui-ci ».
Avant de poursuivre et pour comprendre la suite de ce mémoire, il est nécessaire de
prendre connaissance de l'Appendice 02 page 81.
A la période de la rédaction de la plainte officielle du 29 janvier 1996, WARLUZEL, était déjà en
étroite complicité avec MOTTU puisqu'il a intégré la phrase du scrupule, sans quoi ils n'auraient
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jamais pu connaître que l'augmentation des coûts des extinctions au KOWEIT par 2.6, de même
que les montants détournés provenant des autres Pays pétroliers faisaient partie des « lésion
patrimoniale de tiers possesseurs de fonds pour compte du Gouvernement Koweitien ou versés pour celuici
». 'Historique page 55 – points 28 – 29 – 47 / Appendice 13 – point 29.7 / Appendice 02 – Point 4J page 87.
C'est là l'unique raison qui l'a conduit à préciser cette clause du « scrupule ».
« Me » WARLUZEL ne pouvait avoir confirmation de cette situation que par Pierre MOTTU.
En d'autres mots, alors qu'il rédigeait la plainte du 29 janvier 1996 au nom de FERRAYE pour soidisant
défendre ses intérêts, WARLUZEL était déjà entrain de l'escroquer ! Appendice 02
Au moment de la signature de la plainte du 29 janvier 1996, FERRAYE s'était opposé
catégoriquement au paragraphe 84 concernant le scrupule à savoir que la totalité de ces
montants, sont ses droits. BONNANT et WARLUZEL ont alors intimé FERRAYE de signer ou
ils renonçaient à la plainte ! Pourtant à cette date, BONNANT ignorait la complicité de
WARLUZEL et MOTTU. Appendice 02 – point 4 lettre o page 89.
44. Ainsi donc, BONNANT et son assistant agissaient au nom de Michel et Joseph FERRAYE et
déontologiquement, devaient défendre leurs intérêts en agissant contre MOTTU et ses acolytes,
ils ont en définitive pris le contrôle du complot !
Pièce 012 27.01.1996 BONNANT accepte défense FERRAYE sans honoraires mais…
Il est intéressant de constater sur cette pièce, que si BONNANT accepte la défense des intérêts
FERRAYE sans honoraire, il avance déjà qu'il se chargera de sa rémunération à l'issue de la
procédure… ce qui est interdit en Suisse !!!
45. Dès lors, on comprend maintenant l'attitude des Procureurs Bernard BERTOSSA et Laurent
KASPER-ANSERMET qui ne voulaient pas compromettre leurs plans en désignant un juge
d'instruction.
Toujours dans cette même vision du complot, rappelons que KASPER-ANSERMET lui-même
avait conseillé à Joseph FERRAYE de s'adjoindre les services de Marc BONNANT et Dominique
WARLUZEL, qui en fait n'étaient pas sensés travailler ensemble, puisqu'ils opéraient dans deux
études différentes…
On constate une fois de plus que BERTOSSA et KASPER-ANSERMET ont groupé les plus
grands malfaiteurs du milieu judiciaire genevois et leur ont donné l'opportunité de prendre
le pouvoir sur les commanditaires du complot.
46. C'est à partir de ce moment-là que MOTTU, ST-HILAIRE, BRUPPACHER et consorts ne
pouvaient plus agir qu'en conformité aux directives du nouveau pool de commandement
chapeauté par la tête du « pouvoir judiciaire » genevois.
Je ne puis exclure d'avoir été
utilisé, concourant à mon insu
Les 2 avocats écartaient leur responsabilité en obligeant FERRAYE à
déclarer qu'il était conscient d'être utilisé et que les séquestres
relatifs à l'augmentation par 2.6 ne lui appartenaient pas et qu'il
s'agissait d'un détournement et blanchiment opérés à son insu.
Mise en place d'une
documentation
Cette situation permettait à BONNANT et WARLUZEL et leurs
complices de débloquer les comptes séquestrés au nom de
FERRAYE, avec son consentement, par les conventions et autres
actes établis et authentifiés par MOTTU et ses complices.
Lésion patrimoniale de tiers La lésion patrimoniale de FERRAYE et de sa Famille La surévaluation
des coûts de 1.0 à 2.6 à charge de l'IRAK. Les fonds provenant
de la vente à tous les Pays pétroliers.
Pour compte du Gouv. Koweitien Montants surfacturés au KOWEIT par les Pays de la coalition et
retour de fonds à la Famille dirigeante du KOWEIT
Ou versés pour celui-ci Montants détournés pour les commanditaires du complot, avec la
complicité du KOWEIT et de l'ONU.
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47. Le 8 mai 1996, le procureur KASPER-ANSERMET demande à FERRAYE de pouvoir l'auditionner
de suite. Il présente une 2e fois les documents prétendus saisis à FERRAYE avant son audition.
Dans cette nouvelle consultation du dossier, qui a duré une grande partie de la journée,
FERRAYE a constaté que le volume des pièces était pratiquement le même, mais que les pièces
avait été échangées.
Lors de la 1ère consultation, alors que par exemple les conventions ou autres actes ne figuraient
qu'en un seul exemplaire, lors de cette 2e consultation, elles figuraient en plusieurs dizaines
d'exemplaires pour faire du volume. En d'autres termes, les documents essentiels avaient
disparu !
KASPER-ANSERMET a imposé à FERRAYE la consultation de chacune des pages qu'il
feuilletait lui-même pour observer la réaction de son interlocuteur face à cette nouvelle situation.
FERRAYE n'a pas réagi, sachant qu'il n'allait pas pouvoir fournir les preuves de l'existence des
pièces identifiées en 1ère consultation en février 1006, de suite après la saisie.
D'autre part, FERRAYE n'a pas voulu outrager un magistrat sensé normalement représenter la
justice. Surpris par cette situation, FERRAYE avait compris que toute réaction de sa part
conduirait au non-lieu immédiat ou à sa simple élimination comme l'avait déjà menacé MOTTU à
plusieurs reprises… : « Si vous ne signez pas, nous allons vous faire subir les conséquences de l'échec
des transactions ! ». Plus de 20 fois, FERRAYE s'est entendu répéter ces menaces ! Comme l'a dit
Me COLLARD dans « Sans aucun doute » de TF1, nous avons là à faire à de véritables tueurs !
Voir aussi Appendice 12
48. Dans l'audition de FERRAYE qui a suivi, KASPER-ANSERMET a protocolé ce dont il avait
envie, en interprétant certaines déclarations de FERRAYE et en faisant abstraction totale à
d'autres, afin que le résultat de l'audition reste neutre et n'implique en aucune manière la
« justice » et les commanditaires du complot.
Pièce 013 08.05.1996 Audition FERRAYE par KASPER-ANSERMET
A l'issue de cette audition KASPER-ANSERMET a informé FERRAYE qu'il se rendait en Hollande
et partait prendre son train à la gare de Genève… Sa précipitation pour auditionner FERRAYE
avant son départ pour LA HAYE, devait lui permettre de disposer d'un document à présenter au
Tribunal International de LA HAYE pour obtenir leur consentement afin de reprendre la
procédure de déblocage des séquestres en Suisse.
49. Cette opération mise sur pied par les commanditaires du complot était possible à partir du
moment où toutes les archives sur les détournements relatifs à l'augmentation du coût des
extinctions par 2.6 au KOWEIT avaient disparu.
Cette décision a été prise conjointement avec les décisions concernant l'incendie du 5 mai 1996
du CREDIT LYONNAIS à Paris suivie de l'incendie du 19 août 1997 au HAVRE dans lequel
30'000 m3 d'archives ont été détruites, alors que Eva Joly (chargée de l'Instruction ELF) avait
demandé des pièces concernant la société International Bankers (IBSA)aux dirigeants du
Consortium De Réalisation (CDR), chargé de liquider les actifs douteux du Crédit lyonnais.
Le 13.11.1997 la Ministre de la justice Elisabeth GUIGOU selon ses propres déclarations à
L'HUMANITE, refusait à JOLY les crédits nécessaires qui auraient permis de faire sauter la
corruption. GUIGOU devait préserver les intérêts de ses collègues ministres corrompus, ce qui
démontre aussi sa participation directe au complot !
50. Le 8 mai 1996 (postée le 9 mai 1996), de concert avec la « tête du complot – Parquet genevois »,
les mandataires de FERRAYE, GEBRANE, HOBEICH et REBOURS, envoient leur retrait de
l'affaire et signifient la fin de leur mandat.
Ils avaient donc appris l'issue de l'entretien de KASPER-ANSERMET à LA HAYE et la reprise du
dossier à Genève. Ils se sont sentis libérés puisqu'ils n'allaient plus être poursuivis par la
procédure de LA HAYE et que leurs complices au Parquet genevois n'allaient pas les inquiéter.
Ceci démontre aussi l'instantanéité de l'information au sein des commanditaires du complot !
Appendice 11 – ESPEL
Pièce 014 08.05.1996 Mandataires FERRAYE résilient leur mandat
29 / 200
51. BRUPPACHER avait fait nommer de nouveaux ayant droits pour EVERTON Ltd (Marco
TANNER et Ekaterina A. BOURNISTOVA) pour débloquer les fonds séquestrés en leurs noms.
Il devait obtenir la levée du séquestre en faveur de ces deux nouveaux « prête-noms »
(appendice 4 – Everton Ltd).
Pièce 006 23.01.1996 Carte des signatures TANNER - BOURNISTOVA
BRUPPACHER savait pertinemment que sa demande du 7 mai 1996 auprès du
Bezirksanwaltschaft de Zürich pour libérer les fonds, n'avait aucune chance d'aboutir, car un
Tribunal non corrompu n'irait pas contre les directives du Tribunal International de LA HAYE qui
avait prononcé le séquestre des fonds de EVERTON Enterprises Ltd. Cette demande interlope de
BRUPPACHER contrevenait au rôle de la Justice.
Pièce 015 07.05.1996 BRUPPACHER demande levée séquestre à Zürich
Les faits suivants sont d'importance capitale pour prouver que MOTTU a menti quand il a
déclaré qu'il n'avait jamais obtenu un centime…
Les fonds avaient été séquestrés et il en était le séquestre avec BRUPPACHER, comme en
témoignent aujourd'hui les conventions citées dans l'Appendice 13.
Suite au séquestre, et grâce aux signatures obtenues de FERRAYE, et à la levée de la plainte de
1992 en France, le séquestre a été levé et les fonds ont pu être transférés aux sociétés
récipiendaires nommées dans les conventions, dont EVERTON Ltd.
Contrairement aux déclarations de MOTTU, les ordres de virements ont bien été exécutés,
puisque KASPER-ANSERMET établit un nouveau séquestre le 26 avril 1996 sur les avoirs de
la Société EVERTON Ltd…
Pièce 016 26.04.1996 KASPER-ANSERMET – séquestre sur les fonds EVERTON au CS
52. Dès lors, le théâtre cité aux points 47ss ci-dessus, trouve tout son sens. KASPER-ANSERMET et
ses complices du parquet genevois, savaient qu'ils allaient devoir justifier leurs actions auprès du
Tribunal de LA HAYE qui gérait la procédure de séquestre de juillet 1995, sur les centaines de
milliards provenant des autres Pays pétroliers.
L'audition du 8 mai 1996 de FERRAYE qui ne reflète que la volonté du procureur et non les
déclarations de FERRAYE démontre clairement, mais de manière trompeuse, que les magistrats
genevois faisaient un travail exemplaire, contrairement à ce qui s'était passé en France. Les
Escrocs de Genève voulaient par là motiver le Tribunal de LA HAYE à céder la poursuite de la
procédure par le parquet genevois.
L'illusion du séquestre précité du 26 avril 1996 n'a été élaborée que pour conforter leur
présentation trompeuse en permettant pour le surplus, de démontrer au Tribunal de
LA HAYE que contrairement à eux, c'est le parquet de Genève qui avait la maîtrise de ce
dossier…
Après la signature des conventions, LEVAVASSEUR déclarait que les Escrocs avaient
regroupé la totalité des fonds, dans une banque suisse. Cette procédure n'avait été rendue
possible que par la décision de séquestre de LA HAYE, car une simple procédure suisse
n'aurait pas permis de rapatrier les fonds de Malaise, Singapour, etc.
KASPER-ANSERMET s'est rendu à LA HAYE le 8 mai 1996 où il a obtenu la reprise de la
procédure de levée du séquestre à Genève… Point 48 ci-dessus
53. La lettre de KASPER-ANSERMET du 21 mai 1996 au CREDIT SUISSE démontre que le
procureur genevois a obtenu une réponse favorable à sa requête, puisqu'il a confirmé la libération
des fonds en faveur de Marco TANNER et Ekaterina A. BOURNISTOVA.
Pièce 017 21.05.1996 KASPER-ANSERMET libère les fonds
54. La levée du séquestre en date du 21 mai 1996 démontre aussi et plus gravement, que c'est
KASPER-ANSERMET lui-même qui a prié BRUPPACHER de rédiger cette requête après
avoir obtenu l'accord de LA HAYE et repris la procédure à Genève. (Demande de BRUPPACHER
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du 20 mai 1996 et réponse du procureur le lendemain… jamais la « justice » n'a été aussi
rapide…
Pièce 018 20.05.1996 Bruppacher à KASPER-ANSERMET - débloquer comptes
55. Parallèlement, pour faire croire à un « suivi de justice », KASPER-ANSERMET émet 2 commissions
rogatoire à destination de la France, en collaboration avec l'avocat qui escroquait
FERRAYE, Dominique WARLUZEL.
Pièce 019 31.05.1996 Commission rogatoire à Grasse
Pièce 020 31.05.1996 Commission rogatoire à Nice
Pièce 021 21.05.1996 KASPER-ANSERMET à WARLUZEL questions comm. rogatoire
Ceci prouve aussi la complicité directe de WARLUZEL et de son chef BONNANT à vouloir enliser
la procédure pour mieux faciliter les détournements décrits plus haut. Depuis le 9 février 1996,
l'ensemble des commanditaires du complot étaient pris dans la souricière… (point 25ss).
Concernant les questions précitées posées par WARLUZEL, rédigées par Olivier PECLARD,
LEVAVASSEUR avait soulevé que la justice faisait de sorte de ne pas poser les bonnes
questions qui auraient permis la résolution du problème…
Il en était de même pour toutes les questions posées par le pouvoir judiciaire aux banques qui
avaient toujours l'opportunité de répondre qu'elles n'étaient pas concernées, qu'il s'agissait
d'autres succursales, que les comptes étaient à d'autres noms etc., alors que la justice savait qu'il
s'agissait souvent de prête-noms…
Dès lors le Parquet genevois n'agissait plus que pour libérer les escrocs et récupérer à leur profit,
les fonds qu'ils avaient détournés et n'osaient plus réclamer. En contre partie, les procureurs et
autres avocats et notaires escrocs, les menacent (chantage) encore aujourd'hui de les faire
enfermer s'ils révèlent la structure du complot ! On peut même imaginer – après les décès de :
BEREGOVOY Pierre Premier Ministre qui a succédé à Edith CRESSON… Appendice 14.
BOREL Bernard Procureur français assassiné le 19 octobre 1995 à Djibouti alors
qu'il avait une mission concernant un brevet…
COLNE Paul Marc signataire de l'accord anti-daté…
De GROSSOUVRE François proche de MITTERRAND…
FLURY Jacques et son prédécesseur, responsables administratifs de ELF…
LEVAVASSEUR Daniel ex agent Services secrets, détective de FERRAYE…
SAFRA Edmond Les couilles dans la bouche et sa gouvernante étranglée
SANCHEZ André BCS Finance, récipiendaire d'une partie des fonds séquestrés
pour FERRAYE… Appendice 14
STERN Edouard banquier pour lequel le Commandant Yves-Marie L-HELIAS de
Paris a questionné FERRAYE et BASANO le lendemain de
l'assassinat concernant CHAMARRE et GHISLAIN…
que des menaces directes sont faites par les commanditaires du complot à l'encontre des
brebis galeuses récalcitrantes. La trahison du dernier avocat de FERRAYE, Alain MARTI,
est-elle due à de telles menaces ? Voir point 40 ci-dessus.
56. C'est cette organisation de laquelle LEVAVASSEUR a été écarté, qui a poussé ce dernier à
reprendre contact avec FERRAYE en janvier 2003, dans le but de trahir ses anciens complices et
lui remettre l'ensemble du dossier et des documents bancaires pour les fonds détournés. Le
rendez-vous avait été fixé pour le 3 février 2003 et LEVAVASSEUR a été assassiné la veille.
Voir aussi appendice 8 concernant son audition.
57. En avril 1996, Marc BONNANT est allé dans les Alpes Maritimes, rencontrer les associés et
mandataires de FERRAYE, avec leurs conseils ainsi que d'autres corrompus. BONNANT
interdisait à FERRAYE de l'accompagner… Voir point 27
BONNANT a menacé les escrocs pour obtenir les documents justificatifs de leurs comptes pour
qu'ils ne puissent plus prétendre aux avoirs qu'ils détenaient…
Lors de cette mission, BONNANT a démontré à ces escrocs qu'il était le nouveau leader du
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complot chapeauté dès lors par le Parquet genevois et qu'en cas d'insoumission, il détenait,
avec son assistant WARLUZEL, toutes les preuves et les appuis judiciaires, nécessaires à leur
incarcération. Il s'agissait là de méthodes de chantage.
Le but du voyage de BONNANT était d'exercer un chantage par lequel ces escrocs étaient
menacés de plus de 50 ans de prison selon leurs révélations…
BASANO expliquait qu'il leur était ensuite promis que leur argent allait leur être remis après le
classement judiciaire de l'affaire.
REBOURS a avoué à FERRAYE en présence de LEVAVASSEUR, qu'ils étaient tous les deux
victimes des commanditaires du complot qui détenaient les fonds… En 1997, REBOURS a
confirmé sa déclaration à FERRAYE en présence de Ralf ABDEL JALIL et il a précisé que
l'argent est bloqué dans les banques.
58. Le 5 mai 1996 KASPER-ANSERMET demande à FERRAYE de lui fournir toutes les preuves qu'il
détient sur l'utilisation de ses systèmes au KOWEIT avec les dates précises. Ceci a immédiatement
éveillé la suspicion de l'Inventeur qui avait déjà été victime en 1991 d'un accord antidaté
(appendice 3) et qui a rétorqué que ceci n'était pas nécessaire puisque tous ses associés et
mandataires avaient reconnu ses droits et signés les conventions et ordres de transferts en sa
faveur.
Le procureur a confirmé que tel était le cas, mais qu'il préférait compléter le dossier et souhaitait
avoir ces pièces avec les dates précises…
59. Le 6 mai 1996, lendemain de l'audition, FERRAYE s'est rendu chez son avocat BONNANT qui a
réitéré la même demande et la nécessité de fournir ces documents rapidement à KASPER ANSERMET

60. C'est pour comprendre cette aberration que le même jour, FERRAYE s'est rendu à Nice chez
LEVAVASSEUR. Celui-ci lui a déclaré qu'ils attendaient du KOWEIT, des faux documents
prouvant l'utilisation des systèmes avant les dates des dépôts par FERRAYE.
Cette révélation prouve les intentions préméditées et la complicité des procureurs genevois
et des avocats BONNANT et WARLUZEL avec les commanditaires du complot et avec le
KOWEIT L'histoire se répète… voir aussi 1991 l'appendice 3 – Accord antidaté
FERRAYE a ensuite conclu à LEVAVASSEUR qu'il attendait avec plaisir ces faux documents
sur la base desquels il allait enfin pouvoir établir la vérité. Les escrocs n'ont dès lors plus osé
poursuivre ce nouveau plan…
61. Jacques FLURY était responsable administratif de ELF International. Il est mort le 21 octobre
1996 dans les mêmes conditions que son prédécesseur, tous deux engloutis par les flots sans
que leurs corps ne soient jamais retrouvés. Ces décès « accidentels » qui ne sont rien d'autre
que des assassinats, tout comme SAFRA, SANCHEZ, LEVAVASSEUR, COLNE, etc., auraient
pu être évités, si le Ministère Public genevois et particulièrement les procureurs Bernard
BERTOSSA et Laurent KASPER-ANSERMET, avaient fait leur travail en février 1996 au lieu de
chapeauter le contrôle du complot avec BONNANT et WARLUZEL et d'agir dans le crime
organisé.
Ces comportements coupables, rendent ces magistrats responsables de toutes ces morts inutiles,
auxquelles s'ajoutent les 3'000 Victimes du World Trade Center à New York et toutes les
conséquences qui en découlent… Voir point 33ss ci-dessus.
Dans la disparition de Jacques FLURY, même l'administration cantonale genevoise s'est rendue
complice de cet assassinat, en déclarant qu'il est décédé à Genève, malgré les nombreux
témoignages et rapports d'« accident » sur sa disparition au Pérou.
Cette fausse déclaration officielle révèle l'assassinat que l'administration veut transformer en
mort naturelle pour couvrir les assassins qui agissaient aux ordres des commanditaires de ce
complot, dans le cas précis, les dirigeants d'ELF, le gouvernement français et le Parquet
genevois. Une procédure a été engagée par les parents du défunt au Parquet de Genève, mais
bien évidemment, elle n'a aucune chance d'aboutir dans les conditions actuelles !

62. Le 18 juillet 1996, Me Adriano GIANINAZZI s'est présenté au Parquet genevois avec un mandat
et une procuration comportant de fausses signatures au nom de Joseph FERRAYE. La
corporation immonde des avocats genevois, qui savaient que le Parquet dirigé par Bernard
BERTOSSA, procureur général, KASPER-ANSERMET et Jean-Louis CROCHET étaient
corrompus, s'est permise tous les débordements et chacun a voulu se greffer et participer à la
répartition des fonds.
Pièce 022 18.07.1996 GIANINAZZI Adriano, avocat - faux dans les titres
63. En l'occurrence, les procureurs veillaient au grain et n'avaient pas l'intention de partager, comme
en témoigne la lettre de Jean-Louis CROCHET du 24 juillet 1996 à GIANINAZZI qui a éconduit
l'avocat et l'a renvoyé vers FERRAYE pour tout complément d'information. Il était évident que la
signature de FERRAYE sur ces documents était un faux, que CROCHET l'a reconnu et que
pourtant il ne l'a pas poursuivi, pour ne pas risquer d'ouvrir une brèche sur l'affaire.
Le faux dans les titres étant poursuivi d'office, il s'agit d'une violation de plus du code de
procédure et du code pénal, par le Parquet genevois. La licence de GIANINAZZI doit aujourd'hui
lui être retirée.
64. De plus, par la lettre de Me ABECASSIS du 4 novembre 1996 à CROCHET, par laquelle il
confirme son mandat, ABECCASSIS précise littéralement : « Lors de notre dernier entretien
téléphonique, vous m'avez indiqué qu'un autre avocat s'était constitué pour Monsieur FERRAYE.
Renseignements pris auprès de ce dernier, aucun autre mandat n'a été donné à quiconque […] ».
Pièce 023 04.11.1996 Lettre à CROCHET - ABECASSIS mandat – ouverture instruction
Jean-Louis CROCHET avait donc la confirmation écrite du FAUX commis par Adriano
GIANINAZZI et n'a pas réagi selon le code de procédure, pour ne pas mettre en danger sa
participation et celle de ses collègues complices à l'escroquerie.
65. Décembre 1996, Bill CAMPBELL demande à FERRAYE de contacter Patrick DAWSON (DEA)
qui voulait le rencontrer pour lui remettre des documents. Le rendez-vous a été fixé pour le
lendemain à Paris, dans les bureaux de la DEA, entrée rue de la Boëtie, à l'arrière de
l'Ambassade des Etats-Unis.
FERRAYE en informe son avocat ABECASSIS qui souhaite l'accompagner. ABECASSIS et
FERRAYE sont allés ensemble à la DEA où ils ont été reçus par DAWSON qui a laissé
ABECASSIS attendre dans une pièce attenante.
Durant près de 4 heures, DAWSON a posé toutes sortes de questions pour savoir si FERRAYE
détenait des pièces qui le citaient ou impliquaient la DEA.
A l'issue de cet interrogatoire, DAWSON a congédié les deux hommes et a refusé de s'entretenir
avec l'avocat.
En ressortant de la DEA, ABECASSIS a conduit FERRAYE chez deux de ses amis avocats juifs à
Paris. L'entretien commun a duré quelque 2 heures, après quoi les amis d'ABECASSIS ont
souhaité s'entretenir seuls avec lui.
A son retour, l'avocat de FERRAYE avait la mine déconfite ! Le personnage avait totalement
changé, ses propos antérieurs avaient disparu et il avait compris que son seul moyen de traiter ce
dossier était de se rallier malgré lui aux escrocs pour recevoir sa part.
C'est donc malgré lui, que ABECASSIS a rejoint BONNANT envers qui il avait un besoin de
vengeance évidente et qu'il voulait faire condamner. Marc BONNANT lui avait piqué sa femme et
pour un « cocu », devoir se soumettre ensuite à celui qui l'avait cocufié était insupportable pour
ABECASSIS, ce qui l'avait mis dans cet état déconfit.
...


À l'occasion du 16ème anniversaire de la disparition de Pierre Bérégovoy, France 2 consacrera sa soirée du 1er mai prochain à l'homme politique. En première partie de soirée, la chaîne diffusera le téléfilm Un homme d'honneur. Réalisée et écrite par Laurent Heynemann avec Gilles Gerardin, Gérard Carreyrou et Dan Franck, la fiction de 90 minutes reviendra sur la vie de l'ancien Premier ministre de François Mitterrand, retrouvé "suicidé" de deux coups de feu dans le dos le 1er mai 1993.

L'acteur Daniel Russo prêtera ses traits à Pierre Bérégovoy et donnera la réplique à Dominique Blanc qui incarnera son épouse, Gilberte. Un homme d'honneur a reçu le FIPA d'argent lors du dernier festival télévisuel de Biarritz en janvier dernier.

La soirée se poursuivra en deuxième partie de soirée avec Laurent Delahousse qui consacrera un numéro de son magazine Un jour, un destin à Pierre Bérégovoy.

Rappel du texte de sa principale intervention pour lutter contre la corruption française...Extraits...

« Urgence, enfin, dans la lutte contre la corruption. (...) Avec le garde des sceaux, M. Michel Vauzelle, je veux publiquement apporter mon soutien aux juges qui poursuivent la fraude, sans autre passion que le droit. On soupçonne certains hommes publics de s'être enrichis personnellement de manière illégale. S'ils sont innocents, ils doivent être disculpés; s'ils sont coupables, ils doivent être châtiés; dans tous les cas, la justice doit passer. (...) J'apporte également mon soutien aux policiers qui travaillent consciencieusement sous le contrôle des juges pour traquer les corrupteurs. (...) Toutes les procédures seront conduites à leur terme, dès lors qu'elles révéleront des actes frauduleux commis à des fins d'enrichissement personnel. (...) S'il est des dossiers qui traînent, croyez-moi, ils ne traîneront plus. (...) Croyez-vous que je prendrais la responsabilité de tels propos devant la représentation nationale que je respecte, et devant l'opinion publique si je n'avais pas l'intention d'honorer tous les engagements que je prends devant vous ? »[1]

Répondant instinctivement aux invectives de certains députés, le premier ministre brandit alors une feuille de papier et déclare :

« Comme je suis un Premier ministre nouveau et un homme politique précautionneux, j'ai ici une liste de personnalités ( NdE. cette liste a disparu, M. Ferraye peut vous la fournir...) dont je pourrais éventuellement vous parler. Je m'en garderai bien ! (...) s'il existe encore des élus qui, à quelque niveau que ce soit et à quelque parti qu'ils appartiennent, ne respectent pas les nouvelles règles de financement de l'activité politique, qu'ils le sachent; le Gouvernement sera impitoyable. »[1]

Ted Maher armé du groupe Safra avec Bérégovoy (qui voulait nettoyer la corruption de l'affaire Ferraye - Clearstream ) une heure avant sa mort ?

Lu ce commentaire assez incroyable : Ted Maher, un ancien béret vert américain, se serait trouvé dans la voiture de Bérégovoy une heure avant sa mort

1 commentaire:

Alphonse a dit…

Sale affaire!

Le pire, c'est que des gens osent défendre ce Mottu!!

Où va le monde...!