mercredi 21 janvier 2009

Discours d’investiture de Barack Hussein Obama...la cupidité et de l’irresponsabilité de certains...

Quelques extraits du discours d'investiture de Barack Hussein Obama

Il a insisté pour utiliser le nom Hussein, même et surtout pendant l'investiture.

Ce diminutif affectueux vient de Hassan et signifie, en arabe, bon et beau, avec une nuance de câlinerie.


Ce fut le nom du deuxième fils d'Ali et de Fatima, la fille du prophète Mahomet. Il est considéré par les musulmans chiites comme le troisième imam.

Les pères fondateurs des USA voulaient que la création monétaire ne soit que du ressort de la Constitution. Ce principe est violé depuis Noël 1913.

L'ÉCONOMIE
Notre économie est sérieusement affaiblie, une conséquence de la cupidité et de l'irresponsabilité de certains, mais aussi de notre échec collectif à faire des choix difficiles et préparer la nation à une nouvelle ère.

LA RECONSTRUCTION
A compter d'aujourd'hui, nous devons nous reprendre. (…) Nous reconstruirons les routes et les ponts, les réseaux électriques et numériques qui irriguent notre commerce et nous relient (…) Et nous transformerons nos écoles et nos lycées pour répondre aux demandes d'une nouvelle ère. Tout cela, nous pouvons le faire. Et tout cela, nous le ferons.

LE GOUVERNEMENT
La question que nous posons aujourd'hui n'est pas de savoir si notre gouvernement est trop gros ou trop petit, mais s'il fonctionne, s'il aide les familles à trouver des emplois au salaire décent, des soins qu'ils peuvent payer, une retraite digne. Si la réponse est oui, nous avancerons. Si la réponse est non, les programmes prendront fin.

LE MARCHÉ
Cette crise nous a rappelé que, sans un œil attentif, le marché peut échapper à tout contrôle et qu'un pays ne peut pas prospérer s'il favorise seulement les prospères.

LA SÉCURITÉ ET LES IDÉAUX
Nous rejetons le choix entre notre sécurité et nos idéaux. Nos pères fondateurs, confrontés à des périls que nous pouvons à peine imaginer, ont défini une charte pour assurer la règle du droit et les droits de l'homme. (…) Ces idéaux éclairent toujours le monde et nous n'y renoncerons pas.

LA PUISSANCE
Notre puissance ne nous protège pas seule ni ne nous donne le droit d'agir à notre guise (…) Notre puissance grandit de son usage prudent. Notre sécurité émane de la justesse de notre cause, de la force de notre exemple, des qualités d'humilité
et de retenue.

L'IRAK ET L'AFGHANISTAN
Guidés une nouvelle fois par ces principes, nous pouvons affronter ces nouvelles menaces (…) Nous commencerons par laisser l'Irak de façon responsable à son peuple, et bâtir une nouvelle paix tant méritée en Afghanistan.

LE NUCLÉAIRE ET LE RÉCHAUFFEMENT
Aux côtés de vieux alliés et d'anciens ennemis, nous œuvrerons sans relâche à abaisser la menace nucléaire et à repousser le spectre d'une planète
qui se réchauffe.

LE MODE DE VIE Nous ne nous excuserons pas de notre façon de vivre, ni n'hésiterons à la défendre. Et à ceux qui cherchent (…) à provoquer la terreur et massacrer des innocents, nous disons aujourd'hui que notre esprit est plus fort et ne peut pas être brisé. Vous ne pouvez pas nous vaincre et nous vous battrons.

LE MONDE MUSULMAN
Au monde musulman: nous cherchons une nouvelle façon d'avancer fondée sur notre intérêt mutuel
et notre respect mutuel. Aux dirigeants à travers le monde qui cherchent à semer le conflit, ou imputent les maux de leur société à l'Occident: sachez que votre peuple vous jugera sur ce que vous pouvez construire, et non sur ce que vous détruisez.

Est-ce la fin du
système financier actuel?

Après les récentes faillites bancaires et pertes sans précédent sur les marchés boursiers de New-York et du reste de la planète, ainsi que les centaines de milliers d'emplois perdus, les gens sont de plus en plus nerveux: serait-ce la fin du système financier actuel tel que nous le connaissons? Est-ce tout le système économique qui est au bord de l'écroulement total? La réponse est: oui, absolument... à moins que le système d'argent-dette actuel soit remplacé par un système d'argent sans dette, accompagné de dividendes versés à chaque individu.

Verser des centaines de milliards de dollars aux banques ne
sauvera pas le système: c'est comme jeter de l'argent au feu.

Les médias rapportent que les banques ont fait de mauvais prêts (surtout des prêts hypothécaires pour l'achat de nouvelles maisons) qui ne peuvent être remboursés, et qu'ainsi elles n'ont plus d'argent à prêter, et doivent donc absolument être «secourues» par les gouvernements. Les autorités financières ont même menacé les gouvernements en déclarant que si une telle aide (plan de sauvetage) ne leur était pas accordée, cela entraînerait automatiquement le chaos et l'écroulement total de tout le système économique. On connaît la suite: en octobre dernier, le gouvernement américain a voté une aide d'urgence de 700 milliards de dollars pour «venir en aide» aux institutions financières; la semaine suivante, l'Europe, ne voulant demeurer en reste, vota en faveur d'un plan de sauvetage encore plus gigantesque: 2 300 milliards de dollars! Ces sommes astronomiques suffiront-elles pour mettre fin à la crise et ramener la situation à la normale?

Non, verser des centaines de milliards de dollars aux banques ne sauvera jamais le système financier actuel, ça ne fera que retarder son écroulement de quelques semaines. Et si on étudie la façon dont le système actuel d'argent-dette fonctionne, on comprendra que ces immenses plans de sauvetage ne font qu'empirer davantage la situation.

Quel bateau préférez-vous?

Ceux qui lisent Vers Demain depuis un certain temps, et ceux qui ont étudié les 10 leçons sur le Crédit Social, savent que dans le système financier actuel, tout l'argent qui existe est créé sous forme de dette par les banques commerciales lorsqu'elles accordent un prêt:

Les banques commerciales créent l'argent qu'elles prêtent, mais pas l'intérêt qu'elles exigent en retour. Les banques demandent de rembourser de l'argent qu'elles n'ont pas créé, donc de l'argent qui n'existe pas (ne l'oubliez pas, dans le système financier actuel, seules les banques créent l'argent pour le pays). Dans le système actuel, pour qu'un emprunteur puisse rembourser son prêt (capital et intérêt), d'autres doivent nécessairement faire faillite. Si un emprunteur réussit à rembourser son prêt, c'est qu'il a pris cet intérêt sur la somme mise en circulation par un prêt à un autre emprunteur, qui sera donc lui-même dans l'impossibilité de rembourser son prêt.

Tout l'argent est créé par les banques sous forme de prêts: si personne n'empruntait des banques, il n'y aurait pas un sou en circulation. La seule façon de maintenir le système financier actuel est de continuer d'emprunter... et de créer plus de dettes. Mais, inévitablement, arrive le temps où ce système atteint sa limite mathématique, où même payer l'intérêt sur la dette devient impossible: nous avons atteint ce point. (Cela est spécialement vrai pour les États-Unis d'Amérique.)

Lorsqu'on comprend que pour venir au monde, tout argent doit être prêté par les banques sous forme de dette, ces soi-disant plans de sauvetage sont de la pure folie: les gouvernements doivent emprunter des banques pour venir en aide aux banques qui n'ont prétendument plus d'argent à prêter! Les gouvernements ne font ainsi que s'endetter davantage envers des compagnies privées qui ont usurpé le pouvoir souverain de l'État de créer l'argent pour la nation.

Ce ne sont pas les banques qui ont besoin d'aide financière, mais les consommateurs, qui eux n'ont pas le pouvoir de créer l'argent, et ont des besoins criants, tel que se nourrir, se vêtir, se loger. Malgré la production qui abonde dans les magasins, les revenus des consommateurs sont insuffisants pour subvenir à leurs besoins essentiels. (La dette des consommateurs dépasse d'ailleurs de beaucoup celle des gouvernements.) Un système de Crédit Social ferait en sorte que chaque citoyen soit reconnu comme actionnaire des richesses naturelles et inventions du pays, et reçoive un dividende lui garantissant le nécessaire pour vivre, sans endetter d'un sou le gouvernement de la nation.

Les Financiers savent très bien que les dettes des pays sont impossibles à rembourser, que le système financier actuel est défectueux à sa base, et qu'il ne peut engendrer que crises et révolutions. Mais c'est exactement ce qu'ils souhaitent: ils créent le problème afin de pouvoir imposer leur propre solution.

Comme l'a écrit Clifford Hugh Douglas, le fondateur de l'école créditiste: «Le Pouvoir Monétaire ne veut pas, et n'a jamais voulu, améliorer le système monétaire; ses conséquences — guerres, sabotage et frictions sociales — sont exactement ce qui est désiré.» Pourquoi? C'est parce que les Financiers se croient les seuls à être capables de bien diriger l'humanité, et c'est afin de pouvoir imposer leur volonté sur les individus et contrôler le monde qu'ils ont inventé un tel système d'argent-dette. Ils veulent amener toutes les nations du monde dans un tel état de crise que ces pays croiront n'avoir pas d'autre choix que d'accepter la solution «miracle» des Financiers pour les «sauver» de la catastrophe: la centralisation complète, une seule monnaie mondiale et un gouvernement mondial, où toutes les nations devront abandonner leur souveraineté.

La vraie solution serait que chaque pays devienne véritablement souverain et émette sa propre monnaie sans intérêt et sans dette. Mais ce n'est pas ce que les Financiers veulent: ils prétendent que pour un problème mondial, la solution doit être mondiale (une seule monnaie mondiale pour tous les pays).

David Walker, contrôleur général du bureau des comptes des États-Unis (jusqu'en mars 2008) a déclaré que les États-Unis ne pourraient pas rembourser les intérêts sur leur dette nationale au-delà de 2009. (On prévoit un déficit record de 1 000 milliards $ pour l'année budgétaire 2008-2009, qui s'ajoutera à la dette déjà monstrueuse de 10 000 milliards pour le gouvernement américain.) Tel que mentionné sur le site internet halturnernshow.com, le plan est d'amener intentionnellement les États-Unis à la banqueroute (la route de la banque...) pour forcer une union des États-Unis avec le Canada et le Mexique et ne former qu'un seul pays, appelé «l'Union nord-américaine»..

Le Département du Trésor (ministère des finances) américain déclarera que les États-Unis ne peuvent plus payer leur dette, et que le dollar américain doit être «démonétisé» (perdre son statut de monnaie et ainsi, par la loi, ne plus être accepté comme moyen de paiement), et qu'une nouvelle monnaie commune sera introduite pour les trois pays n'en formant maintenant qu'un: l'amero (tout comme il existe l'euro pour l'Europe). Les «anciens» dollars seront dévalués de 90% en d'autres mots, on obtiendra seulement 2 cents pour chaque dollar actuel.

Puisque la Chine détient actuellement plus de 2 300 milliards de dollars américains en réserve en raison de la balance commerciale défavorable des États-Unis, les Chinois demanderont et obtiendront avant tout le monde des milliards de cette nouvelle monnaie, l'«amero». Une pièce de 20 ameros (telle que reproduite ci-contre) a été frappée à l'hôtel des monnaies de Denver en 2007, ce qui prouve que l'écroulement du dollar américain actuel est planifié depuis au moins un an. Voici le choix que nous offre les Financiers: les gens seront laissés instantanément sans le sou, du jour au lendemain, à moins qu'ils acceptent cette nouvelle monnaie amero. (Et si le désordre s'installe, le gouvernement pourrait bien sauter tout de suite à l'étape suivante: remplacer la monnaie par une puce électronique implantée sous la peau.)

Le «moment psychologique»

Un tel choix (l'argent actuel dévalué de 90%, ou même une puce sous la peau) est-il acceptable? N'y a-t-il pas d'autre choix? Oui, c'est d'appliquer les principes financiers du Crédit Social, et garantir un pouvoir d'achat suffisant à chaque citoyen.

Douglas a prédit que le système actuel d'argent-dette des banquiers finirait par devenir insoutenable et s'effondrerait de lui-même. Mais il ajoutait qu'il viendra un «moment psychologique», un moment critique où la population, étant donné la gravité de la situation, et cela malgré toute la puissance des financiers, aura assez souffert de leur système d'argent-dette qu'elle sera disposée à étudier et accepter le Crédit Social. Douglas écrivait ce qui suit en 1924, dans son livre Social Credit:

«En raison de son importance, la situation sera épouvantable. Une période relativement courte permettra probablement de décider si nous pouvons maîtriser la puissante machine économique et sociale que nous avons créée, ou si c'est elle qui nous maîtrisera. Durant cette période, la moindre impulsion de la part d'un groupe d'hommes, qui savent quoi faire et comment le faire, pourra être la différence entre un nouveau recul dans l'âge des ténèbres, ou l'avènement en pleine lumière d'une ère d'une telle splendeur, que nous pouvons à peine imaginer. C'est cette nécessité de la connaissance du moment psychologique, et du choix de l'action appropriée, qui devrait être présente à l'esprit de cette minorité consciente de la gravité des temps présents.» Ce moment psychologique, il est arrivé maintenant! C'est à vous, cher lecteur, de faire connaître le Crédit Social aux autres!

Alain Pilote

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Sous le Signe de l'AbondanceSous le Signe de l'Abondance

Le chef-d'oeuvre de Louis Even

Tous ceux qui apprécient les écrits de Louis Even sur le Crédit Social se feront un devoir de se procurer ce livre, un chef-d'oeuvre de logique et de clarté. Pour les nouveaux lecteurs de Vers Demain, nous recommandons fortement la lecture de ce livre, qui donne d'une manière simple mais éclatante les meilleures explications possibles sur la nouvelle conception de l'économie qu'est le Crédit Social. La dernière mise à jour de l'édition imprimée date de juin 2008, qui contient une quinzaine de chapitres de plus que l'édition précédente de 1988.

312 pages, 14,5 cm x 21 cm, 15$ par la poste, de notre bureau de Rougemont








Du régime de dettes à la prospérité

par J. Crate Larkin

C'est ce livre qui a fait découvrir à Louis Even le Crédit Social, et qui lui fit s'écrier: «Voilà une lumière sur mon chemin!» Ce livre a changé la vie de Louis Even; il pourrait changer la vôtre aussi! Ce livre de 112 pages met en valeur les buts et les fins de l'économie, de l'industrie et de la technologie. D'une actualité cuisante, c'est un oeuvre mémorable qu'il vous faut lire absolument. Prix au comptoir (à nos bureaux de Rougemont): 5 dollars. Par la poste: 7 dollars pour le Canada, 10 $ pour les autres pays.

Pour télécharger la version PDF de ce livre, cliquez ici (ou sur la couverture du livre) (822 Ko)







Deux autres brochures de Louis Even sur le Crédit Social

Qu'est-ce que le vrai Crédit SocialLa première brochure, Qu'est-ce que le vrai Crédit Social, explique que le Crédit Social n'est pas un parti politique, mais une série de principes exprimés pour la première fois par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas en 1918, et que l'application de ces principes feraient l'organisme social et économique atteindre sa fin, qui est la satisfaction des besoins humains. Ces principes peuvent être appliqués par n'importe quel parti au pouvoir, et il n'y a aucun besoin d'un «parti du Crédit Social» pour les appliquer. C'est la brochure que nous recommandons à tous ceux qui étudient le Crédit Social pour la première fois, car elle contient un très bon résumé des principes créditistes (Le syllabaire du Crédit Social), et répond à la plupart des objections des adversaires.

Une finance saine et efficaceLa deuxième brochure, Une finance saine et efficace, est destinée à ceux qui possèdent déjà quelques notions du Crédit Social, mais veulent en savoir plus sur ses aspects techniques et la possibilité de son application dans le concret. Elle explique les trois propositions de base de Douglas pour un système financier sain, et comment ces propositions peuvent être appliquées: comment obtenir un équilibre constant entre les prix et le pouvoir d'achat, comment financer la production privée et publique, financer la distribution par un dividende social à tous, et finalement, ce qu'il adviendrait des taxes dans un régime de Crédit Social.

Deux brochures de 32 pages, 21 x 27 cm
3,00 $ chacune par la poste






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Admiration.
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Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
Krach ? Solutions...
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