lundi 12 mai 2008

Yves Bertrand et Brigitte Henri ont la mémoire qui flanche. Brigitte Henri avait fait une proposition à M. Ferraye en octobre 1999, de sa voix grave, celle-ci ...



Clearstream / lundi 7 avril par Nicolas Beau

Les vingt-huit carnets saisis chez l'ancien patron des espions des RG, en février dernier, ne passionnent guère les juges d'Huy et Pons. Et c'est bien dommage !

Si ce n'était cette fichue cheville qu'il vient de se fouler, l'ancien patron des Renseignements généraux (RG), Yves Bertrand, qui tenait à la fois de Talleyrand et du sergent Garcia, coule désormais une pré-retraite heureuse à l'Inspection générale de l'Administration (IGA). L'été dernier, son avenir était nettement mois assuré. Les juges de l'affaire Clearstream, qui n'ignoraient rien de sa proximité avec Chirac et Villepin, avaient enquêté sur ses innombrables rendez-vous avec sa fidèle commissaire, Brigitte Henry. Laquelle avait des relations suivies avec Imad Lahoud, soupçonné par la justice d'être un des falsificateurs des listings Clearstream. De là à imaginer que notre ami Bertrand était peu ou prou mouillé dans ce coup tordu, il n'y avait qu'un pas. D'autant plus que dans les années 2001 et 2002 le patron des RG qu'il était s'était beaucoup rapproché de L'Investigateur, une revue luxembourgeoise à scandales qui se passionnait pour la courageuse croisade du journaliste Denis Robert contre la banque de compensation Clearstream. Le monde est petit.

Yves Bertrand et Brigitte Henri ont la mémoire qui flanche

Et puis ? Et puis rien, du moins jusqu'à l'hiver dernier, où, in extremis, les juges d'Huy et Pons, surnommés Zig et Puce, font perquisitionner le bureau et le domicile de ce grand flic devant l'éternel. Ce soudain excès de zèle s'explique simplement par la pression des avocats d'Alain Guilloux, partie civile dans le dossier. En effet, toujours pour leur client dans un autre dossier, celui de l'Angolagate, ils mènent un combat contre Yves Bertrand qu'ils soupçonnent d'avoir aidé la justice à traquer Alain Guilloux.

Dans la foulée de ces perquisitions, les juges Zig et Puce font entendre successivement par les flics Yves Bertrand, le 11 février dernier, puis sa fidèle commissaire Brigitte Henri, le lendemain 12 février. À l'époque, déclare le premier, « quand j'étais directeur central des renseignements généraux, je ne savais pas que Brigitte Henri avait rencontré Imad Lahoud. Je l'ai appris récemment de la bouche même de l'intéressée, il y a environ neuf à douze mois ». Ce que ne dit pas exactement « l'intéressée » aux mêmes enquêteurs. « J'ai rendu compte, explique Brigitte Henri, au patron des RG de mes premières rencontres avec Imad Lahoud à partir du printemps 2003, jusqu'à cette ultime rencontre avec l'intéressé au début de 2004 ».

Rien à lire dans les carnets d'Yves Bertrand…

Et dans les carnets d'Yves Bertrand, que quelques rares avocats ont tenu à consulter, on lit qu'à la fin de 2001, le commissaire Bertrand notait, à propos d'Imad Lahoud, « PEUCLJ ». À savoir, après décryptage : « Peut être utilisé contre Lionel Jospin ». C'est toute une école graphologique qui est en train de disparaître avec le départ prématuré à la retraite de Philippe Rondot et Yves Bertrand, deux candidats pour le Goncourt ! Et puis ? Et puis rien. On aurait pu imaginer que Zig et Puce, pris de zèle, auraient provoqué une confrontation entre Yves B. et Brigitte H, avant la clôture du dossier. Et bien pas du tout. Circulez, il n'y a rien à voir.

Heureusement, quelques parties, dont les défenseurs de maitre Guilloux, ont demandé aux deux magistrats de provoquer une confrontation entre les deux commissaires aux RG. Pour l'instant, on attend la décision des juges. À moins que ces deux là aient le sentiment que la pêche aux gros n'est plus de saison à l'Elysée, dont le locataire, Nicolas Sarkozy, est partie civile dans le dossier Clearstream. Il est urgent d'attendre.

Commentaires de l'éditeur:

Liens confirmés avec l'affaire Ferraye, la vraie affaire Clearstream.

Yves Bertrand et Brigitte Henri ont la mémoire qui flanche. Brigitte Henri, lors de plusieurs contacts, avait fait personnellement, au nom des plus hautes autorités et de l'État français, une proposition financière de plusieurs centaines de millions de dollars pour solde de tout compte à M. Ferraye.

En effet, en octobre 1999, sans qu'il la connût auparavant, quoiqu'elle fût en liaison permanente avec Daniel Levavasseur, il reçut un coup de téléphone de la commissaire des Renseignements Généraux, Brigitte Henri : de sa voix grave, celle-ci l'avertit qu'elle avait reçu instruction de tous les hauts responsables de l'Etat et du Président Chirac en particulier, de lui proposer 800 millions de dollars, sans imposition, pour qu'il retire sa plainte générale déposée le 29 janvier 1996 contre les commanditaires et les exécuteurs du complot. Joseph Ferrayé, auquel les conventions signées précédemment donnaient droit au moins à 17 milliards de dollars, et qui répugnait à se laisser acheter par une organisation criminelle, rejeta son offre.

En février 2003, soit un mois avant son audition par Christine Junod, à qui Levavasseur avait en 1999 remis des documents bancaires concernant 24 milliards de dollars provenant de l'utilisation frauduleuse des systèmes Ferrayé au Koweït, cet enquêteur était assassiné dans le Var, près de Saint-Raphaël et son assassinat, probablement dû aux services secrets français, maquillé en accident de varappe. Christine Junod, bien qu'elle eût attesté devant témoins, que les documents de Levavasseur étaient en sa possession (Cf. déclaration de l'avocat André Clerc), s'empressa de les faire disparaître.

Les investigations menées jusqu'à présent ont déjà permis d'identifier 14 000 sociétés de blanchiment d'argent, parmi lesquelles les réseaux financiers de l'organisation Al Qaïda qui tira profit d'une partie des fonds détournés, notamment à travers la BCCI et la financière suisse SBA, contrôlées par Khaled ben Mahfouz, le beau-père d'Oussama ben Laden, et via les comptes suisses de Yeslam bin Laden, le frère d'Oussama.

Pour conclure, cette escroquerie a permis à ses auteurs de faire main basse sur l'économie mondiale en extorquant avec la complicité active de l'ONU plus de 100 milliards de dollars au peuple irakien, en outre de plusieurs centaines de milliards aux contribuables de tous les pays pétroliers.

De plus, elle a rendu possible aux dirigeants d'Al Qaïda, dont les réseaux financiers servirent, en connaissance de cause, à blanchir une partie des sommes détournées, de financer leurs nombreux attentats, parmi lesquels ceux du 11 septembre 2001.

Enfin, si l'on en croit les révélations de l'homme d'affaires américain, Tullio Ponzi à Joseph Ferrayé, elle ne serait pas non plus étrangère à la décision prise par l'administration américaine d'envahir l'Irak en 2003, comme la preuve lui en fut donnée, lorsque cet affidé de William Webster, pour se crédibiliser, l'avertit, plus de deux mois avant, de la date secrètement fixée pour l'entrée en guerre officielle des Etats-Unis en Irak, à savoir le 19 mars 2003.

De tous ces crimes, association de malfaiteurs, escroquerie, corruption, falsification de documents, abus de pouvoir, homicides, jusqu'à l'impardonnable extorsion des ressources vitales de l'Irak, et jusqu'au financement du terrorisme islamiste, la preuve est faite que les responsables politiques français de gauche et de droite sont pleinement coupables et doivent en conséquence subir la juste sanction.

POUR EN SAVOIR PLUS, vous trouverez à votre disposition sur la page internet : www.googleswiss.com/fr/geneve/f/index.html des centaines de documents officiels propres à donner à ceux qui le souhaitent les moyens de combattre les criminels qui nous gouvernent.

Ils volent et tuent sans scrupules, ils font des millions de morts en affamant les plus pauvres de la planète, ils organisent des guerres horribles.

Unis, on peut et on doit les bloquer avant une guerre nucléaire. Il est moins une. Agissez tout-de-suite, formez-vous à la résistance et unissez-vous en petits groupes de résistance.

On en reparlera bientôt.

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
http://desiebenthal.blogspot.com/
http://ferraye.blogspot.com/

skype  siebenthal
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La femme est, comme toujours, l'avenir de l'homme, et réciproquement. Si qua fata sinant...:-)
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