Séparation des pouvoirs violée pour soi-disant raison d' État et gros sous dans certains cas, mais pas dans d'autres, révision pour arbitraire grave.
Le journal "La Liberté" de Fribourg révèle dans ses éditions du 19 et 28 avril 2008 notamment les faits suivants:
Une séance secrète du Conseil fédéral a eu lieu le 14 novembre 2007, séance au cours de laquelle il a été décidé de soustraire de nombreuses pièces dans un dossier pénal international, notamment sous enquête en Suisse et en Allemagne.
Les juges d'instruction suisse et allemand chargés de ces affaires et la justice notamment allemande ont été bloqué à de nombreuses reprises dans ces affaires impliquant notamment en plus la Libye, le Pakistan, des émirats arabes, la Malaisie, l'Angleterre, les USA (CIA)...
Les mêmes parties sont aussi impliquées dans les affaires Brozicek et Ferraye notamment, aux plus hauts niveaux des États concernés.
En effet, si un juge apprend des faits qui démontrent des cas de corruptions graves, il doit faire diligenter une enquête ou des enquêtes.
Ceci avec grande prudence car ces corruptions touchent le plus haut du panier.
Rainer Vollmerich a été condamné en 2005 à plus de 7 ans de prison. Gerhard Wisser à 18 ans avec sursis...dont 3 à résidence...
Les forces de l'ordre laissent toujours courir dans la nature un tueur à gages de 2,30 mètres, du nom d'Alan KURTOVIC, qui, montrant un jour à Joseph FERRAYE, le silencieux qu'il transportait dans son attaché-case, en outre des deux revolvers qu'il portait dans des holsters sous ses aisselles, lui proposa de le mettre à son service. Il lui déclara avoir été au service des complices de Pierre MOTTU, Dominique WARLUZEL et Yeslam BIN LADEN pour des affaires analogues et sensibles, pour des solutions de dernier ressort.
Kurtovic est probablement le commando K de Genève impliqué dans la mort de Dody Al Fayed et de Lady Dy, et cité par le document de la NSA US et aussi celui qui a défenestré M. Brozicek à Vevey, en affaires avec les libyens et Saddam Hussein sur des affaires de pétrole et de nucléaire slovaque et russe, notamment client de l'avocat Davidoff à Genève et Zürich.
M. KURTOVIC devint blême et prit la fuite en toute hâte, en laissant telle quelle, toute pleine et fraîche, la chope de bière qu'il venait de commander, lorsque Joseph FERRAYE s'avisa de mentionner l'assassinat d'André SANCHEZ à Essertines-sur-Rolle, en affaires sur dans les mêmes réseaux.
Signalons que le lobby nucléaire ne recule devant rien pour faire passer ses intérêts et que le Conseiller fédéral Couchepin est pour de nouvelles centrales nucléaires.
Délits d'initiés avant le 9-11
Au lendemain des attentats, des manœuvres caractéristiques du " délit d'initié " ont été constatées dans les six jours précédents l'attaque [ 1]. L'action United Airlines (compagnie propriétaire des avions qui se sont écrasés sur la tour sud du WTC et à Pittsburg) a artificiellement chuté de 42 %. Celle d'American Airlines (compagnie propriétaire de l'appareil qui s'est écrasé sur la tour nord du WTC, et de celui qui se serait écrasé sur le Pentagone) a chuté de 39 %. Aucune autre compagnie aérienne dans le monde n'avait fait l'objet de manœuvres comparables, à l'exception de KLM Royal Dutch Airlines. De sorte que l'on peut déduire qu'un avion de la compagnie hollandaise avait probablement été choisi pour faire l'objet d'un cinquième détournement.
Des agissements identiques ont été constatés sur les options de vente des titres de Morgan Stanley Dean Witter & Co qui ont été multipliées par douze dans la semaine précédant les attentats. Or, cette société occupait vingt-deux étages du WTC. De même pour les options de vente sur les actions du premier courtier en Bourse du monde, Merrill Lynch & Co, dont le siège social se trouve dans un immeuble voisin menacé d'écroulement, qui ont été multipliées par vingt-cinq. Et surtout pour les options de vente sur les actions des assureurs impliqués : Munich Re, Swiss Re et Axa.
La Commission de contrôle des opérations boursières de Chicago a été la première à donner l'alerte. Elle a constaté qu'à la Bourse de Chicago, les initiés avaient réalisé 5 millions de dollars de plus-values sur United Airlines, 4 millions de dollars sur American Airlines, 1,2 millions de dollars sur Morgan Stanley Dean Witter & Co et 5,5 millions de dollars sur Merrill Lynch & Co.
Les autorités de contrôle de chaque grande place boursière recensent les plus-values réalisées par les initiés. Les investigations sont coordonnées par l'Organisation internationale des commissions de valeurs (IOSCO) [ 2]. Le 15 octobre, elle a tenu une vidéo-conférence où les autorités nationales ont présenté leurs rapports d'étape. Il apparaît que les plus-values illicites porteraient sur des centaines de millions de dollars, constituant le " plus important délit d'initié jamais commis ".
Il a été possible d'établir que la majeure partie des transactions avait été " portée " par la Deutsche Bank et sa filiale américaine d'investissements, Alex. Brown [ 3]. Cette société était dirigée, jusqu'en 1998, par un personnage haut en couleurs, A. B. Krongard. Capitaine des Marines, féru de tir et d'arts martiaux, ce banquier est devenu conseiller du directeur de la CIA et, depuis le 26 mars, numéro trois de l'Agence de renseignement américaine. Compte tenu de l'importance de l'investigation et de l'influence d'A. B. Krongard, on aurait pu penser qu'Alex. Brown aurait coopéré sans difficulté avec les autorités pour faciliter l'identification des initiés. Il n'en a rien été.
De même, on aurait pu penser que la révélation par Ernest Backes [ 4], il y a quelques mois, de l'existence d'enregistrements des principales transactions interbancaires par deux organismes de clearing aurait facilité la traque des enquêteurs. Là encore, il n'en a rien été.
Tout se passe donc comme si, malgré les déclarations bellicistes des dirigeants occidentaux, on avait renoncé à mener les investigations jusqu'à leur terme et que l'on avait rapidement déclaré forfait : même lorsque la paix du monde est en jeu, l'opacité des paradis fiscaux ne permettrait pas de " tracer " les transactions et de remonter aux criminels.
Au demeurant, les initiés ont prudemment renoncé à percevoir 2,5 millions de dollars de plus-values sur American Airlines qu'ils n'avaient pas eu le temps d'encaisser avant que l'alerte ne soit donnée.
La fortune d'Oussama Ben Laden
Parallèlement, des investigations poussées ont été conduites pour déterminer l'étendue de la fortune d'Oussama Ben Laden, commanditaire présumé des attentats, et pour repérer les sociétés qu'il contrôle. Diplômé en management et en économie de la King Abdul Aziz University, Oussama Ben Laden est un homme d'affaires avisé. Dès 1979, il fut sollicité par son tuteur, le prince Turki al-Fayçal al-Saud (directeur des services secrets saoudiens de 1977 à août 2001), pour gérer financièrement les opérations secrètes de la CIA en Afghanistan. En quelques années, la CIA investit 2 milliards de dollars en Afghanistan pour faire échec à l'URSS, faisant de ces opérations les plus coûteuses jamais engagées par l'Agence.
En 1994, alors qu'il était devenu l'ennemi public des États-Unis et qu'il avait été déchu de sa nationalité saoudienne, Oussama Ben Laden hérita d'environ 300 millions de dollars, correspondant à sa part au sein du Saudi Binladen Group (SBG) [ 5].
Cette holding, la plus importante d'Arabie saoudite, réalise la moitié de son chiffre d'affaires dans le bâtiment et les travaux publics, et l'autre moitié dans l'ingénierie, l'immobilier, la distribution, les télécommunications et l'édition. Elle a formé une société suisse d'investissements, la SICO (Saudi Investment Company), qui a créé plusieurs sociétés avec des filiales de la National Commercial Bank saoudienne. Le SBG détient d'importantes participations dans General Electric, Nortel Networks et Cadbury Schweppes. Le SBG est représenté aux États-Unis pour ses activités industrielles par Adnan Khashoggi (ex-beau-frère de Mohammed al-Fayed), tandis que ses avoirs financiers sont gérés par le Carlyle Group. Jusqu'en 1996, les montages des filiales du SBG étaient préparés à Lausanne par son conseiller, le banquier nazi François Genoud [ 6]. Le SBG est indissociable du régime wahhabite, au point d'avoir longtemps été le contractant officiel et unique pour la construction et la gestion des lieux saints du royaume, Médine et La Mecque. De même, il a remporté la majorité des marchés BTP de construction des bases militaires US en Arabie Saoudite et de reconstruction du Koweït après la guerre du Golfe. Le groupe a été fondé en 1931 par le patriarche, cheikh Mohammed Ben Laden. Après son décès accidentel, en 1968, son fils aîné, Salem, lui a succédé. Celui-ci est décédé à son tour dans un " accident " d'avion survenu au Texas, en 1988. Désormais, le SBG est dirigé par Bakr, le deuxième fils du fondateur.
Bien que le SBG déclare avoir rompu tout lien avec Oussama Ben Laden depuis 1994, de nombreux auteurs, distinguant le droit positif du droit coutumier, prétendent que le leader intégriste continue à exercer une autorité morale sur lui et à percevoir des dividendes.
Oussama Ben Laden [ 7] a investi son héritage dans la création de plusieurs banques, sociétés agroalimentaires et de distribution au Soudan. Parmi celles-ci, il a placé 50 millions de dollars dans l'Al-Shamal Islamic Bank, dont la Tadamon Islamic Bank (logo ci-dessous à droite) est l'autre actionnaire de référence. Par ce biais, Oussama Ben Laden est le partenaire financier du ministère des Affaires sociales des Émirats Arabes Unis et de la Dar al-Maal al-Islami (DMI, cf. logo ci-contre à gauche) que le prince Mohammad Al-Faisal Al-Saud utilise pour financer au nom de l'Arabie Saoudite l'ensemble des mouvements wahhabites dans le monde. Oussama Ben Laden est également réputé détenir des parts dans la Dubaï Islamic Bank de Mohammed Khalfan Ben Kharbash, ministre des Finances des Émirats Arabes Unis. D'abord avec l'appui du colonel Omar Hassan el-Béchir, puis d'Hassan el-Tourabi, il développa diverses compagnies au Soudan, construisant un aéroport, des routes, installant un pipe-line et contrôlant la majeure partie de la production de gomme arabique. Malgré ces réalisations, il fut expulsé du Soudan en 1996. Par ailleurs, Oussama Ben Laden aurait été actionnaire du laboratoire pharmaceutique d'Al-Shifa, suspecté par les États-Unis de préparer des armes chimiques et bombardé à ce titre, en 1998. Enfin, il est suspecté de jouer un rôle central dans le commerce international de l'opium dont l'Afghanistan est le premier producteur mondial.
Oussama Ben Laden exerce une autorité spirituelle sur de puissantes associations caritatives musulmanes, dont principalement l'International Islamic Relief Organisation (IIRO) et la Fondation du beau-frère du roi Fahd, Abdul Aziz al-Ibrahim.
Si l'on ajoute à ces avoirs des stocks d'armes de la première guerre d'Afghanistan qu'Oussama Ben Laden aurait pu conserver, sa fortune peut être évaluée dans une fourchette de 300 à 500 millions de dollars. On est donc bien loin des 6 milliards de dollars évoqués par certaines personnalités politiques.
Quoi qu'il en soit, aucun élément n'a été relevé qui permette de relier les sociétés contrôlées par le leader intégriste aux délits d'initiés du 11 septembre.
Les partenaires financiers d'Oussama Ben Laden
Deux personnalités de premier rang paraissent omniprésentes dans les sociétés d'Oussama Ben Laden : Cheikh Khaled Salim Ben Mahfouz et Saleh Idris.
Selon la revue Forbes, Khaled Ben Mahfouz détient la 251ème fortune mondiale, évaluée à 1,9 milliards de dollars. Son père avait fondé la principale banque saoudienne, la National Commercial Bank (photographie ci-contre : le siège de la NCB à Djeddah), qui a créé diverses sociétés avec la SICO du Binladen Group. Sa sœur a épousé Oussama Ben Laden [ 8]. Jusqu'en 1996, les Ben Mahfouz, comme les Ben Laden, recouraient aux conseils du banquier nazi François Genoud pour les montages de leurs filiales. Khaled Ben Mahfouz dispose d'une résidence à Houston (Texas) et, avec le soutien de la famille Bush, a acheté une partie de l'aéroport de la ville pour sa convenance personnelle. Il possède des sociétés dans le monde entier.
Bien que partenaires réguliers d'Oussama Ben Laden, Khaled Ben Mahfouz est un homme d'affaires respecté sur les places financières internationales. La chose est d'autant plus troublante, qu'il fut au cœur du principal scandale bancaire du début des années 90, le crack de la BCCI [ 9].
La Bank of Credit and Commerce International (BCCI) était un établissement anglo-pakistanais présent dans soixante-treize pays. Elle était conjointement détenue par trois grandes familles : les Gokal (Pakistan), les Ben Mahfouz (Arabie saoudite) et les Geith Pharaon (Abu Dhabi).
Elle fut utilisée par Ronald Reagan pour corrompre le gouvernement iranien pour qu'il retarde la libération des otages américains de l'ambassade de Téhéran et saboter ainsi la fin de la présidence de Jimmy Carter (opération dite " October Surprise "). Puis, sous l'impulsion de l'ex-directeur de la CIA et vice-président George Bush (père), l'administration Reagan utilisa encore la BCCI pour faire transiter les dons saoudiens aux Contras du Nicaragua, et pour faire transiter l'argent de la CIA vers les Mujahidines en Afghanistan. La BCCI est également impliquée dans les trafics d'armes du trader syrien Sarkis Sarkenalian, dans le scandale Keatinga aux USA, dans les affaires du trader Marc Rich, dans le financement du groupe Abu Nidal, etc. En définitive, la banque sombra lorsqu'il fut établi qu'elle blanchissait aussi l'argent du Cartel de Medellin. Elle grugea un million de petits déposants lorsqu'elle ferma ses portes.
Le fait que la BCCI a pu être manipulée, sinon créée, par la CIA ne doit pas surprendre. Il existe une longue tradition bancaire dans les services secrets américains depuis la fondation de l'OSS par des juristes d'affaires et des courtiers de Wall Street. Deux anciens directeurs de la CIA, Richard Helms et William Casey, ont travaillé à la BCCI, ainsi que deux prestigieux agents d'influence de la CIA, Adnan Khashoggi et Manucher Ghobanifar (les principaux traders de l'Irangate). Sans parler de Kamal Adham (beau-frère du roi Fayçal et chef des services secrets saoudiens jusqu'en 1977), du prince Turki al-Fayçal al-Saud (chef des services secrets saoudiens de 1977 à août 2001) et d'Abdul Raouf Khalil (directeur adjoint des services secrets saoudiens).
Pour mémoire, on notera que la BCCI semble avoir aussi joué un rôle occulte en France. Elle aurait notamment servi à masquer le transfert de technologie nucléaire américano-français vers le Pakistan et à payer la libération d'otages. Un homme d'affaires des Hauts-de-Seine, proche de Charles Pasqua, a été inculpé à l'étranger pour son rôle à la BCCI, indépendamment de ses mises en examen en France dans l'affaire Elf-Thinet. Trois ans après la déconfiture de la banque, ce sont ses anciens dirigeants qui jouèrent les intermédiaires lors de la passation du contrat Sawari-II et organisèrent un système de rétrocommissions censé financer la campagne présidentielle d'Edouard Balladur. Les interrogations soulevées par cette vente de vedettes à l'Arabie Saoudite conduisirent Jacques Chirac, dès son arrivée à l'Élysée, à faire placer sur écoute l'ancien ministre de la Défense d'Edouard Balladur, François Léotard.
La BCCI travaillait en étroite collaboration avec la SICO [ 10], filiale suisse d'investissement du Saudi Ben Laden Group, et l'on remarquait parmi ses administrateurs, l'un des frères d'Oussama Ben Laden, Salem.
Un an avant sa banqueroute, la BCCI servit à monter une vaste opération d'enrichissement illicite de George Bush Jr, alors directeur d'une petite société pétrolière, Harken Energy Corporation. Harken emporta les concessions pétrolières du Bahrein, comme rétrocommission des contrats américano-koweïtiens négociés par le président George Bush père [ 11]. Khaled Ben Mahfouz était actionnaire d'Harken à hauteur de 11,5 %. Ses actions étaient " portées " par l'un de ses fondés de pouvoir, Abdullah Taha Bakhsh. Tandis que l'un des frères d'Oussama Ben Laden, Salem, était représenté au conseil d'administration d'Harken par son fondé de pouvoir américain, James R. Bath.
Tenu pour solidairement responsable de la faillite de la BCCI, Khaled Ben Mahfouz fut inculpé aux États-Unis, en 1992. Il parvint à faire lever les charges à son encontre, en 1995, à l'issue d'une transaction avec les créanciers de la banque d'un montant de 245 millions de dollars.
Saleh Idris, quant à lui, est le directeur de la Saudi Sudanese Bank, filiale soudanaise de la National Commercial Bank de Khaled Ben Mahfouz. Il était l'associé d'Oussama Ben Laden dans l'usine pharmaceutique d'Al-Shifa. Au Royaume-Uni, Salah Idris est actionnaire majoritaire d'IES Digital Systems, une importante société produisant des matériels de surveillance high-tech.
La baronne Cox s'est étonnée la semaine dernière à la Chambre des Lords qu'IES Digital Systems, assure actuellement la sécurité des sites gouvernementaux et militaires britanniques les plus sensibles [ 12].
De la BCCI au Carlyle Group
Les principaux responsables et clients de la BCCI se retrouvent aujourd'hui dans le Carlyle Group, un fonds de placement créé en 1987, soit quatre ans avant la déconfiture de la banque. Carlyle gère aujourd'hui un portefeuille de 12 milliards de dollars. Il détient des participations majoritaires dans Seven Up (qui assure la mise en bouteille pour Cadbury Schweppes), Federal Data Corporation (qui a par exemple équipé la Federal Aviation Administration de son système de surveillance du trafic aérien civil) et United Defence Industries Inc. (le principal équipementier des armées américaines, turques et saoudiennes). À travers les sociétés qu'il contrôle, le Carlyle Group arrive au 11ème rang des compagnies d'armement américaines.
En 1990, le Carlyle Group a été mis en cause dans une affaire d'extorsion de fonds. Un lobbyiste du Parti républicain, Wayne Berman, avait racketté des fonds de retraite américains pour financer les campagnes électorales des Bush, l'un de ces fonds avait accepté de verser 1 million de dollars au Carlyle Group pour obtenir un contrat public dans le Connecticut.
The Carlyle Group gère l'essentiel des placements financiers du Saudi Binladen Group.
Parmi ses dirigeants, on trouve Sami Mubarak Baarma, le fondé de pouvoir au Royaume-Uni de Khaled Ben Mahfouz, et Talat Othmann, un ancien administrateur de Harken Energy Corporation, la société qui permit à George Bush Jr de s'enrichir illégalement.
Le Carlyle Group est présidé par Frank C. Carlucci (ancien directeur adjoint de la CIA, puis secrétaire à la Défense). Il est conseillé par James A. Baker III (ancien chef de cabinet du président Reagan, puis secrétaire au Trésor, enfin secrétaire d'État sous Georges Bush père) et Richard Darman (ancien directeur du Budget).
Pour le représenter à l'étranger, le Carlyle Group a recours à John Major [ 13] (ancien Premier ministre britannique) et Georges Bush père [ 14] (ancien directeur de la CIA, puis président des États-Unis).
En France, le Carlyle Group est devenu l'actionnaire de référence du Figaro (cf. RV 99/0422) [ 15].
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Contrairement à une idée reçue, Oussama Ben Laden n'est pas seulement un sous-traitant de la CIA, employé pour combattre le nationalisme arabe, puis l'URSS, au nom de l'islam radical. Il a été - et sa famille reste - l'un des principaux partenaires financiers de la famille Bush.
S'il est exact, comme le prétendent de nombreux officiels américains, que la famille Ben Laden continue à entretenir des relations avec Oussama et à financer ses activités politiques, alors le Carlyle Group, qui gère les placements financiers du Saudi Binladen Group, serait nécessairement impliqué dans les délits d'initiés. Georges Bush père serait alors l'un des heureux bénéficiaires des manœuvres boursières du 11 septembre 2001.
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Affaire Lady DGillery réfute la thèse officielle d'un banal accident de la route, dans lequel la princesse Diana trouva la mort le 31 août 1997. L'enquêteur laisse également de côté la théorie du complot selon laquelle le mari de la Reine d'Angleterre aurait commandité l'assassinat de Lady Di pour l'empêcher de mettre au monde un hypothétique enfant conçu avec Dodi Al-Fayed. Même si le réalisateur reconnaît que la princesse de Galles, personnage controversé, était devenue gênante pour l'establishment britannique et pour la famille royale, notamment en raison d'opinions politiques exprimées librement depuis son divorce avec le prince Charles. Selon lui, Diana dérangeait bien des intérêts économiques et politiques. Une série de témoignages viennent corroborer cet état de fait.
Mais la piste que Francis Gillery choisit de creuser concerne avant tout Dodi Al-Fayed. Le fils du milliardaire égyptien Mohamed Al-Fayed et neveu du marchand d'armes saoudien Adnan Khashoggi serait devenu la cible d'intérêts malveillants.
Un portrait d'Al Fayed
Ce documentaire de 90 minutes brosse un portrait du père Al-Fayed, en insistant sur la manière dont il a forcé les portes de la City à Londres, ne se faisant pas que des amis. En pénétrant dans les sphères opaques du business, du luxe, du pouvoir et des groupes d'influence, Gillery rassemble les pièces d'un puzzle complexe. Il aboutit à une hypothèse : Dodi se serait arrêté à Paris de manière inattendue le 30 août 1997 pour négocier une affaire sensible et serait tombé dans un piège, Lady Di l'accompagnant.
Le réalisateur met aussi à mal, l'une après l'autre, les pièces du dossier officiel, et notamment les analyses de sang pratiquées après l'accident sur la dépouille du chauffeur de la Mercedes noire, Henri Paul. Les expertises médico-légales sont toujours contestées en justice. Mais Gillery ne se contente pas de démonter la thèse officielle. Il essaie de trouver une raison technique à cet accident peu banal. Là encore, son analyse est surprenante.
Le 31 août 2007, l'affaire sera frappée de prescription en France. Côté Anglais, une enquête criminelle a finalement été ouverte en janvier 2004. Aucun jugement n'a été rendu. Parmi d'autres éléments édifiants avancés par Gillery, le MI5 et le MI6, les services secrets britanniques, ne pouvaient ignorer les risques que Diana prenait aux côtés de Dodi. Ce documentaire, décidément, dénote avec l'ensemble de la programmation destinée à honorer la mémoire de la princesse.
Il avait rendez-vous avec un Saoudien ou Koweïtien et un Français. C'est le même milieu corrompu par
Kashogi à Genève...qui a acheté quelques personnes à Genève pour sortir les fonds Marcos...et Brozicek...et Sanchez...Barschel ... et Gastikah etc
[1] Cf. " Black Tuesday : The World's largest Insider Trading Scam ? " par Don Radlauer, International Policy Institute for Counterterrorism, Israël, 9 septembre 2001. http://www.ict.org.il/articles/arti...
[2] http://www.iosco.org/iosco.html
[3] Cf. " Suspicious Profits Sit Uncollected Airlines Investors Seem to Be Lying Low " par Christian Berthelsen, et Scott Winokur, San Francisco Chronicle, 29 septembre 2001.
[4] Cf. Révélation$, par Denis Robert et Ernest Backes, Les Arènes éd., 2001. http://www.arenes.fr/livres/page-li...
[5] http://www.saudi-Binladen-group.com (depuis le 11 septembre, ce serveur est momentanément indisponible).
[6] François Genoud, exécuteur testamentaire du dr. Goebbels, passait pour " le banquier du IVe Reich ". Il travaillait en lien avec de nombreux groupes anti-juifs dans le monde et finança notamment des actions de " Carlos ".
[7] Les éléments relatifs à la fortune personnelle d'Oussama Ben Laden sont empruntés à une étude non publiée, réalisée par un cabinet privé à la fin de l'année 2000, dont Intelligence OnLine s'est fait l'écho et qui a été largement citée dans la presse.
[8] Cf. Audition de James Woolsey, directeur de la CIA, devant le Sénat US, 3 septembre 1998.
[9] Le scandale de la BCCI a fait l'objet d'une abondante littérature. Nous nous sommes principalement référés à " The BCCI Affair ", report by Sen. Joseph Kerry (D-Mass.) and Sen. Hank Brown (R-Colo.) to the Senate Committee on Foreign Relations, Subcommittee on Terrorism, Narcotics and International Operations, 30 septembre 1992. Texte intégral consultable sur http://www.fas.org/irp/congress/199....
[10] Initialement la SICO se dénommait CYGNET.
[11] Cf. " Fuel for Fantasy ", Forbes, 3 septembre 1990 ; et " Ex-Bush Aide Turns to Stumping for Kuwait... While Jr. Reaps Oil Windfall ", The Guardian, 12 décembre 1990.
[12] " Terror link TVs guard UK ", The Observer, 14 octobre 2001.
[13] Cf. " John Major link to Ben Laden dynasty ", Sunday Herald , 7 octobre 2001.
[14] Cf. " Bush of Arabia ", The Nation, 27 mars 2000 et " Elder Bush in Big GOP Cast Toiling for Top Equity Firm ", The New York Times, 5 mars 2001.
[15] Voir aussi " L'axe Bush-Pasqua ", Amnistia.Net, 6 février 2001. http://www.amnistia.net/news/articl...
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