samedi 2 janvier 2010

Solution à la crise déjà votée par 289 députés aux USA.

La solution à la crise a déjà été acceptée par la chambre des représentants aux Etats-Unis en 1932. Votée par 289 députés de tous les partis contre 60.
Mais refusée par les sénateurs suite aux pressions mensongères des banquiers.

English

 

 

La dette publique aux USA:

L'énorme dette des Etats-Unis, plus de 7000 milliards de dollars (en 2004)

( NdE: 100'000 mia en 2009, sic, dette totale connue de cent mille milliards, La dette actuelle totale déclarée aux USA est à 100 trillions de $, au sens anglo-saxon, soit 100 mille milliards de $ ( 100 mille billions de $ au sens US, 1 bio = 1 milliard ).

( Sans compter les engagements hors bilans et autres instruments financiers exotiques et incompréhensibles...voir plus bas...):

http://ferraye.blogspot.com/2008/10/super-tsunami-de-2008-la-crise-du-crdit_14.html



fait réaliser à tous les Américains l'urgence de corriger la situation. Mais si les politiciens ne s'attaquent pas à la racine du problème, à ce qui fait augmenter la dette, toutes leurs réformes seront inutiles, et la situation ne fera qu'empirer.

Ceux qui lisent le journal Vers Demain depuis un certain temps connaissent bien la raison pour laquelle la dette augmente: c'est que tout l'argent est créé par les banques sous forme de dette: les banques créent le capital qu'elles prêtent, mais ne créent pas l'intérêt qu'elles exigent en retour. Par exemple, pour chaque personne aux Etats-Unis, il existe 20 000 $ d'argent... mais 64 000 $ de dette! (Et malgré tout, il y a encore des gens qui parlent de payer la dette!)

La seule chose qui peut empêcher la dette d'augmenter est d'enlever aux banques privées le pouvoir de créer l'argent sous forme de dette, et d'avoir le gouvernement créer tout l'argent pour le pays, sans dette et sans intérêt.

Equilibrer le budget ou couper dans les dépenses du gouvernement ne résoudra pas le problème, car ça ne touche pas du tout à la création de l'argent sous forme de dette. En fait, réduire les dépenses revient à avoir moins d'argent en circulation, ce qui rend la vie encore plus difficile pour chaque citoyen du pays.

La réforme du bien-être social

La récente réforme du bien-être social aux Etats-Unis, passée par le Congrès et approuvée par le Président Clinton (en 1996), est un bel exemple de tels politiques de coupures malavisées: Parce que le gouvernement américain n'a pas assez d'argent, les citoyens américains ne pourront retirer du bien-être social que pour un maximum de cinq ans, et pas plus de deux années de suite — le bien-être leur est alors coupé, et ils doivent se trouver un emploi. Qu'il y ait des emplois disponibles ou non est le dernier des soucis du gouvernement, qui semble ignorer que la tendance du progrès est de créer de nouvelles machines qui produisent plus avec moins d'employés. Avec d'autres changements, cette réforme signifie que 40% des gens qui recevaient jusqu'à maintenant des chèques de bien-être ne recevront plus rien du tout.

Les assistés sociaux sont une cible facile pour les coupures, parce que leurs chèques sont payés par les taxes de ceux qui travaillent. Plusieurs salariés, surtout parmi la classe moyenne, se plaignent de cette situation, non sans raison, car ils considèrent que certains assistés sociaux semblent avoir la vie plus facile qu'eux, qui doivent «travailler à la sueur de leur front.»

Le dividende du Crédit Social (un revenu de base donné chaque mois à chaque citoyen du pays) serait infiniment mieux que le système actuel de bien-être social, et que la réforme approuvée par le Président Clinton. Contrairement au bien-être social, ce dividende ne serait pas financé par les taxes des contribuables, mais par de l'argent nouveau, créé sans intérêt par un Office National de Crédit — un organisme chargé par le gouvernement de créer tout l'argent nécessaire pour la bonne marche du pays. Ce dividende serait versé à chaque citoyen, qu'il soit employé ou non. Ceux qui sont employés ne seraient donc pas pénalisés, car ils recevraient à la fois leur salaire et le dividende.

Il est évident que le Crédit Social est la solution pour les Etats-Unis, et pour chaque pays dans le monde. Alors, comment le Crédit Social peut-il est appliqué aux Etats-Unis? Si les Républicains et les Démocrates ne veulent pas l'inclure dans leur programme, les Américains doivent-ils alors voter pour un nouveau parti?

Le «bill Goldsborough»

Non, pas besoin de nouveaux partis; seule l'éducation du peuple est nécessaire. Quand les pressions provenant du peuple seront assez fortes, tous les partis seront d'accord pour adopter la réforme du Crédit Social. Un bel exemple de cela peut être trouvé dans le «bill Goldsborough» de 1932, qu'un auteur a décrit comme étant «la réforme monétaire qui est venue le plus près de réussir en vue de l'établissement d'une monnaie véritablement saine aux Etats-Unis»:

«Une majorité écrasante des membres du Congrès américain (289 contre 60) était déjà en faveur de cette loi en 1932; et cela dure encore depuis, sous une forme ou sous une autre. Seul l'espoir futile que le nouveau Président d'alors (Roosevelt) puisse rétablir la prospérité sans abandonner le système d'argent-dette dont l'Amérique avait hérité, empêcha le Crédit Social de devenir la loi des Etats-Unis. En 1936, lorsque le "New Deal" (solution de Roosevelt) se montra incapable de régler efficacement la crise économique, les partisans du Crédit Social revinrent en force. Le dernier effort significatif pour gagner son adoption survint en 1938.» (W. E. Turner, Stable Money, p. 167.)

Même le dividende et l'escompte compensé, deux éléments essentiels du Crédit Social, étaient mentionnés dans ce projet de loi, qui fut surnommé «bill Goldsborough», du nom du député démocrate du Maryland, T. Alan Goldsborough, qui le présenta en Chambre pour la première fois le 2 mai 1932.

Deux personnes qui soutinrent le projet de loi retiennent particulièrement notre attention: Robert L.Owen, sénateur de l'Oklahoma de 1907 à 1925 et directeur de banque pendant 46 ans, et Charles G. Binderup, député du Nebraska. Owen publia un article en mars 1936 dans la revue de J. J. Harpell, The Instructor (et sa version française, Le Moniteur), dont Louis Even était le rédacteur- adjoint. Quant à M. Binderup, il donna plusieurs causeries à la radio américaine, durant la crise, pour expliquer les méfaits du contrôle du crédit par des intérêts privés. Voici des extraits du discours de Robert Owen à la Chambre, le 28 avril 1936:

«...le projet de loi qu'il (Goldsborough) présenta alors, avec l'approbation du Comité sur les Banques de la Chambre — et je crois que ce fut pratiquement un rapport unanime. Ce projet de loi fut débattu deux jours à la Chambre, un très simple projet de loi, établissant la politique des Etats-Unis de rétablir et de maintenir la valeur de la monnaie, et ordonnant au Secrétaire du Trésor, aux officers de la Commission de la Réserve Fédérale et aux Banques de la Réserve Fédérale, de rendre cette politique effective. C'était tout, mais suffisant, et le bill passa, non par un vote partisan: 117 députés républicains votèrent en faveur de ce projet de loi (qui avait été présenté par un député démocrate), et le bill passa par 289 voix contre 60, et de ces 60 députés, seulement 12, par la volonté du peuple, sont encore au Congrès.

«Ce bill fut défait par le Sénat, parce qu'il ne fut pas réellement compris. Il n'y avait pas eu suffisamment de discussion à son sujet dans le public. Il n'y avait pas d'opinion publique organisée pour l'appuyer.»

L'éducation du peuple

Tout est là. Deux choses à retenir: Républicains comme Démocrates votèrent en sa faveur, et il n'y eut donc point besoin de «parti» du Crédit Social. De plus, Owen admet que ce qui manquait, c'était l'éducation du peuple, une force dans le peuple. Cela confirme la méthode de Vers Demain, préconisée par Douglas et Louis Even: il faut éduquer la population (en distribuant des circulaires et prenant de l'abonnement à Vers Demain).

Le bill Goldsborough était intitulé: «Loi pour rendre au Congrès son pouvoir constitutionnel d'émettre la monnaie et d'en régler la valeur; de fournir un revenu monétaire à la population des Etats-Unis avec un pouvoir d'achat fixe et équitable du dollar, suffisant en tout temps pour permettre à la population d'acheter les biens et les services désirés selon la pleine capacité des possibilités du commerce et de l'industrie des Etats-Unis... Le système actuel, qui émet l'argent à travers l'initiative privée pour le profit, résultant en fréquentes et désastreuses inflations et déflations, doit cesser.»

Le projet de loi prévoyait aussi un escompte sur les prix à être remboursé aux marchands, et un dividende, devant commencer à $5 par mois (en 1932), à chaque citoyen de la nation. Plusieurs groupes témoignèrent en Chambre en faveur de ce projet de loi, faisant ressortir qu'il contenait tous les mécanismes nécessaires pour empêcher toute inflation des prix.

Ignorance de la population

Le plus ardent opposant à ce projet de loi au Sénat était Carter Glass, ancien Secrétaire du Trésor, et farouche partisan de la «Federal Reserve» (contrôle privé de la monnaie). Aussi, le Secrétaire du Trésor (Ministre des Finances) de Roosevelt, Henry Morgenthau, fortement opposé à toute réforme monétaire, disait qu'il valait mieux «donner une chance» au «New Deal» de Roosevelt.

Ce qui aida le plus les adversaires du bill, c'est l'ignorance quasi totale de la question monétaire dans la population... et même dans le Sénat. Certains sénateurs, ignorant même jusqu'au mécanisme de la création de l'argent (crédit) par les banques, s'écriaient: «Mais le gouvernement ne peut pas créer de l'argent comme ça! Ça va faire de l'inflation!» Et d'autres, tout en admettant la nécessité de la création d'argent sans dette, ne voyaient pas la nécessité du dividende ou de l'escompte compensé. En fait, toutes ces objections tombent d'elles-mêmes après une étude un peu sérieuse du Crédit Social.

Il faut un dividende

Le Crédit Social établirait une finance au service de la personne humaine. Il ne financerait pas seulement la production de biens qui répondent aux besoins, mais aussi la distribution de ces biens pour qu'ils atteignent les besoins. Il ne suffit pas de produire, il faut s'assurer que les biens atteignent les besoins, que les produits atteignent les consommateurs, autrement, on produit pour rien. Le but de la production est la consommation. C'est ce qu'avait compris Owen, lorsqu'il déclarait ce qui suit:

«En 1932, la Réserve Fédérale combattit vigoureusement le bill Goldsborough, qui représentait la volonté d'une écrasante majorité de la Chambre des députés... Il y a beaucoup de mérites, selon mon opinion, dans le principe de distribuer autant que possible le nouvel argent créé au bas de l'échelle (directement aux consommateurs), tel qu'envisagé par le bill de M. Goldsborough et de M. Binderup, parce que de cette manière le pouvoir d'achat est produit dès le début, et sans pouvoir d'achat dès le début vous ne pouvez avoir de production maximum, parce qu'il est inutile de produire si vous ne pouvez pas vendre.»

Le dividende du Crédit Social est basé sur les deux plus grands facteurs de la production moderne: l'héritage des richesses naturelles et des inventions des générations précédentes, qui sont tous deux des dons gratuits de Dieu à tous les êtres humains sans exception. Loin d'être un encouragement la paresse, le dividende permettrait aux gens de se consacrer à des activités de leurs choix, pour lesquelles ils sont le plus qualifiés.

Manque de pouvoir d'achat

Il existe aussi un argument technique en faveur du dividende: l'écart entre le pouvoir d'achat et les prix, qui fut expliqué par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas (l'inventeur du Crédit Social) sous la forme du «théorème A + B»:

Les économistes prétendent que la production finance automatiquement la consommation, ou en d'autres mots, que les salaires distribués aux consommateurs suffisent à acheter tous les produits mis en vente. Mais les faits prouvent justement le contraire: pour pouvoir rester en affaires, le producteur doit inclure tous ses coûts de production dans son prix. Les salaires distribués à ses employés (que Douglas appelle paiements A) ne sont qu'une partie du coût de production d'un produit. Le producteur a aussi d'autres coûts de production (paiements B), qui ne sont pas distribués en salaires: les paiements pour les matériaux, les taxes, les charges bancaires, les frais pour dépréciation (le remplacement des machines qui s'usent ou se brisent), etc.

Le prix de vente du produit doit inclure tous les coûts: les salaires (A) et les autres paiements (B). Le prix de vente du produit sera donc A + B. Alors, il est évident que les salaires (A) ne peuvent acheter la somme de tous les coûts (A + B). Il y a donc un manque chronique de pouvoir d'achat dans le système actuel: Pour n'importe quelle période donnée, la somme des prix créés sera toujours plus grosse que la somme de pouvoir d'achat distribué.

Il faut donc une finance directe à la consommation, en dehors des salaires. Puisque les salaires sont inclus dans les prix, une hausse de salaires ne règlerait rien, entraînant automatiquement une hausse des prix. Il faut un revenu supplémentaire au moins égal à B. Les créditistes appellent ce revenu un «dividende».

Puisque le dividende n'a pas encore été appliqué dans le système actuel, il devrait y avoir, théoriquement, une montagne de produits invendus. Si le système actuel continue tant bien que mal, et qu'une certaine quantité de produits se vendent malgré tout, c'est qu'on a, à la place, une montagne de dettes!

L'escompte compensé

Il existe deux manières pour faire correspondre le total des prix au total du pouvoir d'achat entre les mains des consommateurs: soit abaisser les prix, ou soit augmenter le pouvoir d'achat. Le Crédit Social ferait les deux, sans nuire à personne.

Avec le système actuel, il est impossible d'abaisser les prix sans nuire au producteur, et impossible d'augmenter le pouvoir d'achat sans augmenter les prix. L'argent additionnel doit donc venir autrement que par les salaires: c'est le dividende du Crédit Social. Et le mécanisme pour abaisser les prix est appelé «escompte compensé» — un escompte sur les prix de tous les produits mis en vente, et cet escompte serait compensé, remboursé au marchand par l'Office National de Crédit. Cet escompte empêcherait toute possibilité d'inflation: en effet, la meilleure manière d'empêcher les prix de monter, c'est de les faire baisser.

L'inflation ça veut aussi dire trop d'argent par rapport aux produits. Or, avec le Crédit Social, il n'y aurait aucun danger d'inflation, puisqu'il y aurait toujours, en tout temps, autant d'argent que de produits: un équilibre constant entre le pouvoir d'achat et les prix: l'argent nouveau serait émis au rythme de la production, et retiré de la circulation au rythme de la consommation.

Tout ceci est expliqué forcément très brièvement, mais notre but est de montrer que le Crédit Social n'est pas une utopie, mais un système scientifique basé sur des faits, et qui peut être appliqué immédiatement dans n'importe quel pays. Le Crédit Social ne vise rien d'autre que de «rendre financièrement possible ce qui est physiquement possible.» Nous encourageons nos lecteurs à se mettre à l'étude du Crédit Social, et surtout, à le faire connaître aux autres, en demandant aux autres de s'abonner au journal Vers Demain. (Les détails sur les aspects techniques du Crédit Social sont disponibles dans la brochure de Louis Even, Une finance saine et efficace.)

Thomas Edison et Henry Ford

Terminons cet article avec les citations de deux grands citoyens américains, Thomas Edison et Henry Ford:

Edison: «A travers notre histoire, quelques-uns des plus grands Américains ont chercher à casser l'empreinte hamiltonienne (l'argent-dette d'Alexander Hamilton) sur notre politique monétaire, dans le but d'y substituer une monnaie stable en fonction des besoins physiques de la nation. Un manque de compréhension dans le public et chez les autorités, combiné au pouvoir des intérêts bancaires qui ont machiné des intérêts personnels dans la présente situation chaotique, ont jusqu'ici contrecarré tout effort.

«Ne les laissez pas vous embarrasser avec le cri de "monnaie de papier". Le danger du papier-monnaie est précisément le danger de l'or — si vous en avez trop, ce n'est pas bon. Il n'y a qu'une règle pour l'argent et c'est d'en avoir assez pour mener tout le commerce légitime qui attend d'être fait...

«Si les Etats-Unis adoptent cette politique d'augmenter leur richesse nationale sans rien payer au collecteur d'intérêts — car toute dette nationale est faite d'intérêts à payer — alors vous verrez une ère de progrès et de prospérité dans ce pays qui n'aurait jamais pu arriver autrement.»

Et un appel d'Henry Ford:

«La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l'histoire.»

Jeunes, affamés de vérité et de justice, avez-vous compris? Joignez les rangs des apôtres du journal Vers Demain, pour le salut de votre pays et de tous vos concitoyens. Les Pèlerins de saint Michel ont besoin de vous, ils vous attendent !

(Article d'Alain Pilote, paru dans Vers Demain d'octobre-novembre 1996.)


Ne pas oublier d'y ajouter toutes les autres dettes, de medicare, des autres états et corporations publiques et privées, des guerres...


Schedules of Federal Debt

Real figures kept secret:

Total declared debts of USA, plus to add secret and hidden figures, as most operations are out of the balance sheets.

Total declared hedge funds: 370 trillions according to french sources.
Total declared CDS: 60 trillions acc. french sources
Total secret swaps:  ?
Total out of balance sheets: ?
Total Tax heavens: ?
Total Ferraye funds robbed from taxes, many countries: ???  several  GNP.
Total of the 13 private owners of the FED ?


This page provides links to the Schedules of Federal Debt and the accompanying notes as audited by the Government Accountability Office (GAO). The unqualified opinion statement issued by GAO is also included. Current Fiscal Year to Date schedules are not audited.

Schedules of Federal Debt - Annual, Audited

Schedules of Federal Debt - Monthly, Unaudited

Summary Schedules of Federal Debt - Daily, Unaudited

Historical Information - Monthly, Unaudited

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Dear fighters for social Justice

According to below, total declared US debts is reaching more than 100 trillions $...

The total real interest rate is above 1'000 % ( sic, one thousand percent) because of the creation out of nothing and the revolving costs on so many years, since 1923 to the private FED, as private as federal express

Think well that those 700 billions will cost so much interest with all interests to pay to the private FED during years, on an amount created out of thin air but to be paid by the americans and the rest of the world in hard labour, taxes, depressions, suicides, drugs, ...

Graph to correct, interesting for the trends.



If we add together the unfunded liabilities from US Medicare and Social Security, it would reach in a few days to a global debt of more than $100 trillions, i.e. nearly a debt of US$1,3 million per US household. Enough is enough. The interest rate system for the benefit of a private company called the FED leads to impossible contracts, i.e. null and void. For the immorality of this situation, read carefully the prophetical encyclical "Vix pervenit" of Benedict XIV...
Making even minimum interest payments on these massive, soaring debts will be increasingly difficult for the majority of the people to the profit of the happy few owning the FED.
The only solution is the social credit, with his 3 legs;
1) a just money creation without any debts nor interest for the benefit of all, as J-F Kennedy already tried to do ( see http://pavie.ch/?lng=en )
2) just dividends to share the production of the computers, the machines and the coming robots.
3) and just prices by compensated discounts from the public just money creation to lower prices of all goods, and first the basic needs, i.e. food, houses, education, health, roads, ...

Use or improve this 2008  graph per family, more impressive, if we can add the last figures below, nearly 100 trillions, it will be  excellent

http://www.usatoday.com/news/washington/2008-05-18-Redink_N.htm

   Missing the corporations debts, coming too in the real estate crisis. When obligations of state and local governments are added, the total rises to $61.7 trillion, or $531,472 per household. That is more than four times what Americans owe in personal debt such as mortgages. If you add corp debts, we will ne near 100 trillions, to check the figures...Making even minimum interest payments on these massive, soaring debts will be increasingly difficult for the majority of the people to the profit of the happy few...ruling the new world disorder...

Oops! U.S. Debt Almost $100 Trillion
Posted In: Central Banks, Debt, Entitlements, Federal Reserve, Medicare, Social Security, U.S. Government

Back on July 22 I wrote a post about a San Francisco Chronicle article which stated the U.S. government is $53 trillion in debt (factoring in long-term liabilities), which translates to $455,000 per U.S. household.

Turns out, the situation might be worse. A lot worse. To the tune of $99.2 trillion, to be exact.

On August 7, a piece appeared on LewRockwell.com referencing a speech about the debt by Richard W. Fisher, the President and Chief Executive Officer of the Federal Reserve Bank of Dallas. Fisher told the Commonwealth Club of California in San Francisco back in May:

   In the distance, I see a frightful storm brewing in the form of untethered government debt. I choose the words—"frightful storm"—deliberately to avoid hyperbole. Unless we take steps to deal with it, the long-term fiscal situation of the federal government will be unimaginably more devastating to our economic prosperity than the subprime debacle and the recent debauching of credit markets that we are now working so hard to correct.

How did the head of the Dallas Fed come up with a number like $99.2 trillion? First, he accounted for Social Security liabilities:

   Now, fast forward 70 or so years and ask this question: What is the mathematical predicament of Social Security today? Answer: The amount of money the Social Security system would need today to cover all unfunded liabilities from now on—what fiscal economists call the "infinite horizon discounted value" of what has already been promised recipients but has nofunding mechanism currently in place—is $13.6 trillion, an amount slightly less than the annual gross domestic product of the United States.

Then, he worked out Medicare entitlements:

   Please sit tight while I walk you through the math of Medicare. As you may know, the program comes in three parts: Medicare Part A, which covers hospital stays; Medicare B, which covers doctor visits; and Medicare D, the drug benefit that went into effect just 29 months ago. The infinite-horizon present discounted value of the unfunded liability for Medicare A is $34.4 trillion. The unfunded liability of Medicare B is an additional $34 trillion. The shortfall for Medicare D adds another $17.2 trillion. The total? If you wanted to cover the unfunded liability of all three programs today, you would be stuck with an $85.6 trillion bill. That is more than six times as large as the bill for Social Security. It is more than six times the annual output of the entire U.S. economy.

Fisher adds it all up, and, voila:

   Add together the unfunded liabilities from Medicare and Social Security, and it comes to $99.2 trillion over the infinite horizon. Traditional Medicare composes about 69 percent, the new drug benefit roughly 17 percent and Social Security the remaining 14 percent.

And just to make his prediction a little bit more personal:

   Let's say you and I and Bruce Ericson and every U.S. citizen who is alive today decided to fully address this unfunded liability through lump-sum payments from our own pocketbooks, so that all of us and all future generations could be secure in the knowledge that we and they would receive promised benefits in perpetuity. How much would we have to pay if we split the tab? Again, the math is painful. With a total population of 304 million, from infants to the elderly, the per-person payment to the federal treasury would come to $330,000. This comes to $1.3 million per family of four—over 25 times the average household's income.

Somehow, $455,000 per household seems a lot more manageable at this point…

Source:

"Storms on the Horizon: Remarks before the Commonwealth Club of California"
Richard W. Fisher
Federal Reserve Bank of Dallas, May 28, 2008

http://revolutionradio.org/2008/08/07/our-100-trillion-national-debt/


With the Irak, Afghanistan and ev. Iran and caucase costs, you can imagine event a worst situation...



On 10/2/08, william_b_ryan@yahoo.com <william_b_ryan@yahoo.com> wrote:
Attached is Bud Conrad's chart showing debt held by sectors.  The largest amount of debt is now held by consumers, mainly mortgages and second mortgages.  The next largest amount of debt is held by the federal government, and the smallest is held by businesses.  That is how I interpret the chart.  I may be mistaken.  If anyone interprets the chart differently, please let us know in a reply to this list.

Eighty years ago, before the Great Depression, businesses had the largest amount of debt, exceeding the amount held by the federal government.  Government debt grew during the Depression and especially during WWII and during the Cold War and Vietnam.  Eighty years ago, consumer debt was practically non-existent.  Consumer debt for long-term mortgages, cars and appliances was mostly a post-WWII phenomenon.

So it appears that for the past few years the economy has been kept going primarily by the expansion of debt held by consumers.

Following the A + B  theorem in Social Credit theory, the expansion of debt increases the rate of profit in respect to what it otherwise would be, because sales are thereby increased, but it reaches a limit where the amortization of the debt cannot be sustained from incomes that are falling in respect to the costs of production due to labor displacement.

The present crisis is greatly exacerbated by de-industrialization resulting from the foreign trade deficit, further reducing incomes.

In my opinion, therefore, we need both reasonable protectionism and the Dividend and Retail Discount.


Real figures kept secret:

Total declared debts of USA, plus to add secret and hidden figures, as most operations are out of the balance sheets.

Total declared hedge funds: 370 trillions according to french sources.
Total declared CDS: 60 trillions acc. french sources
Total secret swaps:  ?
Total out of balance sheets: ?
Total Tax heavens: ?
Total Ferraye funds robbed from taxes, many countries: ???  several  GNP.
Total of the 13 private owners of the FED ?

We have the proofs and the list of most people involved, buying judges, experts, public notaries, policemen, politicians...same people robbing now the whole world and concentrating all powers to New-York.
They killed many persons, including too many Kennedyes and Mac Faddens.

Beware, they steal your liberties and try to kill your souls.

Full Version: Ferraye Scandal
mycall
Apr 4 2007, 10:16 AM
I'm not sure this is the best place to post that, so feel free to move ot if required.

I've read pretty recently about a Swiss man named Joseph Ferraye.

He claims that he invented the system used in Kuwait to extinguish the hundreds of oil wells that were burning after the first Gulf war. He has a patent on it.

He says that more than 30 billion dollars had been stolen from him (each extinction and blocking was billed at least 30 million $, multiply by 1160 ...) by a panel of french ministers of that time, with the complicity of a great number of people.

All paid by... the Iraqi people!!! angry.gif


This looks like one of the biggest scandal of the 90's!

In english: http://www.swissjustice.net/command/indexh_en.html

unfortunately the huge full "dossier" of his trials is only in french and german for now.
It is there : http://www.googleswiss.com/fr/geneve/f/index.html

anyone?


edit: BTW, all this looks like it's linked with alot of other stories, like Binladen's finances, Carlyle and so on... :ph43r:
jo56
Apr 4 2007, 09:49 PM
http://www.opinionjournal.com/editorial/fe...ml?id=110004801

An Interesting topic. Here's another article.
mycall
Apr 5 2007, 07:49 AM
Interesting how in the article you posted they conclude that basically Saddam has managed to make profit of the program for himself and his friends, as if the UN were just to blame for being lax... rolleyes.gif


BTW, there's no mention about the Kuweiti part of the deal...which is probably where the biggest lies are hidden...

In Mr Ferraye's story, there's a impressive number of people found 'suicided' mysteriously, ususally the day before an important rendez-vous (like giving important papers to Ferraye... :ph43r: ).

That looks like serious mafia style, and Mr Pasqua is well known for some of his 'special' friends... ohmy.gif

 

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