de la m.... dans votre sang ?
GRIPPE H1N1 (ru, 26.08.2009) : La psychose mondiale autour de cette « maladie » - selon toute vraisemblance fabriquée par certaines forces occultes de ce monde pour « peser davantage sur la politique de la population », (sous-entendu : il faut supprimer 5 milliards d'hommes sur la planète, c'est le but affiché par le club des personnes les plus riches du monde, dont Bill Gates et la famille Rockefeller) – continue son chemin. Puisque la maladie elle-même n'est pas assez puissante pour satisfaire à la tâche, tout se concentre désormais sur une utopique vaccination mondiale, elle-même viciée (cf. nos dépêches RU 30/2009 du 25 juillet, et RU 31/2009 du 3 août 2009). Et tous nos porte-valises mondialistes, tels que Sarkozy, Bachelot et autre Hortefeux, jouent les petits télégraphistes pour servir ce qui pourrait se révéler comme un crime d'une dimension inouïe : un début d'assassinat de l'humanité, objectif apocalyptique de Satan… Mardi 25 août, les experts des 27 pays de l'Union Européenne réunis à Bruxelles ont quasiment ordonné, apparemment unanimement, que 3 catégories d'Européens sont à vacciner en tout premier : les femmes enceintes, le personnel médical et les malades chroniques. Hitler n'était pas si gourmand : sa campagne d'extermination du nom «Action T4» (été 1941) ciblait exclusivement les malades mentaux, action d'ailleurs arrêtée par la protestation publique, du haut de la chaire de sa cathédrale, du courageux cardinal von Galen appelé « le lion de Muenster », au risque de sa propre vie. Mais les mondialistes veulent faire mieux : s'attaquer brutalement et immédiatement à la source de la vie, les embryons (« femmes enceintes »), ainsi qu'au personnel de soins médicaux. Vacciner les médecins ? C'est comme si, lors d'une avarie de ballon, celui-ci baissant dangereusement au-dessus de la mer, on balancerait d'abord les techniciens de conduite du ballon bas-bord pour alléger l'engin. C'est de la folie.
Car qu'est-ce enfin ce vaccin ? Personne ne vous le dira. Mais nous avons trouvé un détail qui ne trompe pas. Selon Roberto Fiorini (http://robertofiorini.blog4ever.com/blog/) le géant pharmaceutique américain BAXTER, fabricant principal de ce vaccin, a déposé, déjà 1 an avant que le premier cas de la prétendue grippe porcine ne soit décelé, un brevet pour un vaccin contre le H1N1 : brevet US 2009/0060950 A1 qui stipule « la composition ou vaccin composé de plus d'un antigène … comme la grippe A et B en particulier prélevé sur un ou plus des types humains de H1N1, H2N2, H3N2, H5N1, H7N7, H1N2, H9N2, H7N2, H7N3, H10N7, de grippe porcine H1N1, H1N2, H3N1 et H3N2 sous-type de la grippe du chien ou du cheval H7N7, H3N8 sous type ou de la grippe aviaire H5N1, H7N2, H1N7, H7N3, H13N6, H5N9, H11N6, H3N8, H9N2, H5N2, H4N8, H10N7, H2N2, H8N4, H14N5, H6N5, H12N5 sous-type ». La demande précise « des adjuvants appropriés peuvent être choisis à partir de gels minéraux, d'hydroxyde d'aluminium (sic), d'agent de surface, de lysolecithin , de pluronic polyols, de polyanions, ou d'émulsions d'eau et d'huile… ». Si vous voulez ramasser tous les virus et autres détritus des cloaques des bidonvilles du Tiers Monde, vous ne pourrez mieux faire que Baxter.
Et le Dr. Marc Vercoutère (http://bridge.over-blog.org/article-31850382.html) nous informe de ceci: « Le H1N1 est très contagieux mais non mortel (type grippe classique). - Le H5N1 est non contagieux mais mortel dans 90% des cas. - Les vaccins combinés en cours de fabrication sont fait pour le H5N1 et le H1N1. - L'adjuvant des vaccins est du MF59 destructeur pour l'immunité. - Les antiviraux préconisés favorisent les commutations à savoir la transmission du patrimoine génétique d'un virus mort ou atténué à des cellules saines, ce qui en retour ouvre la voie à une mutation génétique de virus in vivo. - En résumé si l'on combine le H1N1 très contagieux (non mortel) au H5N1 non contagieux (mais mortel), on obtient un HxNx très contagieux et mortel. Le tout est favorisé par la chute des défenses immunitaires à cause du MF59 et les mutations possibles sont amplifiées par les antiviraux. – Rappel : Ce qui suit est tellement gros qu'on a du mal à y croire. De l'ALUMINIUM comme adjuvant ? C'est un produit responsable de dommages cérébraux, suspecté d'être la cause de la maladie d'Alzheimer, de certaines démences, de comas et d'attaques, responsable également d'allergies cutanées, lourdement impliqué dans la Myofasciite à Macrophages… »
Maintenant on sait à quelle 'sauce' on sera mangé ! Dernière question subsidiaire, sinon subreptice : Pourquoi la secrétaire d'Etat U.S. à la sante, Kathleen Sibelius, vient de signer un décret conférant une totale immunité aux fabricants des vaccins contre la grippe H1N1 en cas de poursuite judiciaires ? Il y a bien anguille sous roche !
Dans un de nos prochains numéros nous apporterons quelques éléments solides, bien ancrés dans le droit français, que nous pourrons invoquer pour refuser de marcher dans cette combine dangereuse sinon mortelle appelée « vaccination mondiale » qui nous sera prodiguée, selon toute apparence, dès cet automne. Haut les cœurs, on ne se laissera pas faire, n'étant ni moribonds ni candidats au suicide ! N'acceptons pas de nous laisser traiter comme du bétail par des autorités incompétentes et surtout moralement impotentes, car quelle autorité morale peut-on concéder à des donneurs d'ordres médicaux qui ont prouvé par ailleurs leur totale irresponsabilité – voire criminalité - face à la vie des êtres humains les plus innocents et vulnérables (IVG) ? Aucune !
Vaccins avec cellules souches embryonnaires humaines et aluminium, mercure ?
Composition détaillée du vaccin des multinationales |
ANALYSE DU DR MARC VERCOUTERE 1 - le H1N1 est très contagieux mais non mortel (type grippe classique). 2 - le H5N1 est non contagieux mais mortel dans 90% des cas. 3 - les vaccins combinés en cours de fabrication sont fait pour le H5N1 et le H1N1. 4 - l'adjuvant des vaccins est du MF59 destructeur pour l'immunité. 5 - les antiviraux préconisés favorisent les commutations à savoir la transmission du patrimoine génétique d'un virus mort ou atténué à des cellules saines qui en retour ouvre la voie à une mutation génétique de virus in vivo. En résumé si l'on combine le H1N1 très contagieux (non mortel) au H5N1 non contagieux mais mortel on obtient un HxNx très contagieux et mortel. Le tout est favorisé par la chute des défenses immunitaires à cause du MF59 et les mutations possibles sont amplifiées par les antiviraux. RAPPEL des constituants de la soupe du diable actuellement associés aux vaccins courants : Ce qui suit est tellement gros qu'on a du mal à y croire. ALUMINIUM (adjuvant) : Produit responsable de dommages cérébraux, suspecté d'être la cause de la maladie d'Alzheimer, de certaines démences, de comas et d'attaques. Responsable également d'allergies cutanées. Lourdement impliqué dans la myofasciite à macrophages. SULFATE D'AMMONIUM : Un poison suspecté d'attaquer le foie, le système nerveux, le système gastro-intestinal et respiratoire. BÊTA-PROPIOLACTONE : Produit connu pour ses propriétés cancérigènes. Un poison suspecté d'attaquer le foie, le système respiratoire et gastro-intestinal ainsi que la peau et les organes des sens. LEVURES GENETIQUEMENT MODIFIEES (OGM), ADN BACTERIEN OU VIRAL D'ANIMAUX : Substances qui peuvent se combiner à l'ADN des vaccinés et entraîner des mutations génétiques inconnues. LATEX : Produit qui peut produire des réactions allergiques mettant en péril le pronostic vital GLUTAMATE DE SODIUM: Produit neurotoxique connu pour ses effets mutagènes, tératogènes- entraînant des malformations et monstruosités- et ses effets sur la descendance. Responsable d'allergies. FORMALDEHYDE (formol) : Constituant principal des substances employées dans l'embaumement ; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques; suspecté d'occasionner des problèmes gastro-intestinaux; poison violent pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes. MICRO-ORGANISMES : Des virus ou des bactéries vivants ou tués ou leurs toxines. Le vaccin polio contenait du SV40, virus de singe retrouvé ensuite chez les humains dans les os, l'enveloppe des poumons – Mésothelium, dans les lymphomes et les tumeurs du cerveau. POLYSORBATE 80 : Connu pour causer des cancers chez les animaux. TRI(N)BUTYLPHOSPHAT E : Suspecté d'être un poison pour les reins et les nerfs. GLUTARALDEHYDE: Poison s'il est ingéré; responsable de malformations néonatales chez les animaux d'expérimentation. GELATINE: Produite à partir de certaines parties de la peau des veaux ainsi que des os de bovins déminéralisés et de peau de porcs. Responsable d'allergies. GENTAMYCINE ET POLYMYXINE B : Antibiotiques toxiques pour les reins et le système nerveux; responsables d'allergies pouvant être mortelles. MERCURE (conservateur) : Une substance des plus dangereuses, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l'intestin, la mœlle osseuse et les reins. D'infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau. Les symptômes de l'intoxication au mercure sont multiples, et certains sont superposables aux désordres autistiques. NEOMYCINE : Antibiotique qui perturbe l'absorption de la vitamine B6. Un défaut d'assimilation de la vitamine B6 peut entraîner une forme rare d'épilepsie et de retard mental. Réactions allergiques pouvant être mortelles. Toxique pour les reins et le système nerveux. PHENOL / PHENOXYETHANOL : Utilisé comme antigel. Toxique pour toutes les cellules et capable de dérégler les réponses du système immunitaire. | BORATE DE SODIUM (Borax) : Utilisé comme insecticide et comme raticide (mort aux rats !) - et contenu dans le très à la mode Gardasil. CELLULES HUMAINES ET ANIMALES : Des cellules humaines provenant de tissus de foetus; de l'albumine humaine, du sang de porc, de cheval, de mouton; de la cervelle de lapin, de cobaye; des reins de chien, du coeur de boeuf, des reins de singe, des embryons de poulets, des oeufs de poules (pouvant être contaminés par le virus de la leucose aviaire leucémie des poules, des oeufs de canards, du sérum de veau (pouvant être porteur des prions de Kreutzfeld Jacob) etc. Pas mal, non ?? Source PS de Tanka : Dans la composition des vaccins, il y aurait aussi du Thiomersal et du squalène. « Le thiomersal est le principal responsable de la charge élevée en mercure des enfants ».. il est accusé d'être l'une des causes de l'autisme . « De nombreux pays ont interdit le thiomersal dans les vaccins pour enfants » Quant au squalène, le docteur américain Mercola explique : « Ce que le squalène fait aux rats Il a été prouvé que la vaccination d'adjuvants à base d'huile comme le squalène génère des réponses immunitaires concentrées et soutenues au cours de longues périodes de temps. [VI] Une étude datant de l'an 2000 et publiée dans l'American Journal of Pathology (journal américain des pathologies) a démontré qu'une seule injections de l'adjuvant squalène chez les rats déclenchait "une inflammation chronique du système immunitaire, liée à l'immunité et spécifique aux articulations", aussi connue sous le nom de polyarthite rhumatoïde [VII] Les chercheurs ont conclu que l'étude soulevait des questions concernant le rôle des adjuvants dans les maladies inflammatoires chroniques. Ce que le squalène fait aux humains Votre système immunitaire reconnaît le squalène comme une molécule d'huile native de votre corps. On le trouve dans votre système nerveux et dans votre cerveau. En fait, vous pouvez consommer du squalène dans l'huile d'olive non seulement votre système immunitaire reconnaîtra celui-ci, mais vous profiterez aussi des avantages de ses propriétés antioxydantes. La différence entre le « bon » et le « mauvais » squalène est la voie par laquelle il entre dans votre corps. L'injection est une voie d'entrée anormale qui incite votre système immunitaire à attaquer tout le squalène qui se trouve dans votre corps et pas seulement l'adjuvant du vaccin. Votre système immunitaire tentera de détruire la molécule partout où il la trouve, y compris dans les endroits où elle se rencontre naturellement, et où elle est vitale à la santé de votre système nerveux. » Et plus loin : « ... cet adjuvant, le squalène, a contribué à la cascade de réactions appelée « Syndrome de la guerre du golfe », documentée chez les soldats impliqués dans la guerre du golfe. Les symptômes qu'ils ont développés comprenaient de l'arthrite, de la fibromyalgie, de la lymphadenopathie, des éruptions cutanées photosensibles (...) de la fatigue chronique, des maux de tête chroniques, des pertes de poils corporels anormales, des lésions cutanées ne guérissant pas, des ulcères aphteux, des étourdissements, de la faiblesse, des pertes de mémoire, des convulsions, des changements d'humeur, des problèmes neuropsychiatriques, des effets anti-thyroïde, de l'anémie, une élévation de l'ESR (Erythrocytes), du lupus erythemateux disséminé, de la sclérose en plaques, de la SLA (sclérose latérale amyotrophique), le phénomène de Raynaud, le syndrôme de Sjorgreen, de la diarrhée chronique, des sueurs nocturnes et des fièvres de bas grade ». [XII] Source PS de Michel : La vaccin est cultivé sur des oeufs de poules élevées en batterie, ainsi que sur des foetus humains avortés. Baxter recourt à la culture de cellules de rein de singe vert africain. Vous en voulez vous? Nous non! |
Et surtout : Confiance, Dieu ne nous laissera pas seuls dans cette calamité qui s'annonce, même si nous l'avons sûrement méritée !
Un officier catholique de la Garde côtière étatsunienne, Joseph Healy, avait refusé la vaccination obligatoire contre l'hépatite A parce que le vaccin proposé était fabriqué à partir d'un enfant avorté à 14 semaines. La Gardelieutenant-commandant Healy sous prétexte que la foi catholique ne s'oppose pas à la vaccination (ce qui est certes vrai). L'officier ayant esté en justice la Garde côtière vient - ce 9 mai - de dire qu'elle accordait l'exemption demandée.
Ceci attire l'attention sur une horrible réalité : aujourd'hui de nombreux vaccins (voir une liste ici, même si les produits peuvent parfois être différents ici et en Amérique) sont fabriqués à partir d'enfants avortés !!! L'association Children of God lutte contre cette pratique et demande au moins l'obligation de renseignement sur les sources des vaccins. En France nous sommes en retard… Or beaucoup, et de plus en plus, de vaccins, sont fabriqués par ces méthodes abominables, et c'est notre devoir de nous y opposer. côtière permet des exemptions religieuses pour ceux dont les croyances s'opposent à l'immunisation, mais ses supérieurs ont refusé l'exemption au
L'Académie pontificale pour la vie a rédigé un excellent document sur la question, très précis, en anglais ici, intitulé : Moral Reflections on vaccines prepared from Stem Cells derived from aborted Human Foetuses. Le document fait une liste provisoire de vaccins provenant de cadavres d'embryons (e.g. Poliovax contre la polio, Imovax contre la rage…), puis étudie la gravité morale des différentes coopérations avec cette horreur : la préparation, la distribution et la publicité, pour de tels vaccins, sont illicites car constituent une coopération formelle passive à l'avortement; les producteurs de tels vaccins se rendent coupables d'une coopération matérielle passive s'ils ne recherchent pas d'autre source de vaccin pour la même maladie; les utilisateurs, simples citoyens, commettent une coopération matérielle passive et éloignée au mal, d'autant que cela renforce le consensus social d'acceptation de la pratique. Pour autant, de façon temporaire et en cas de grave nécessité sanitaire, il n'est pas obligatoire d'éviter une telle coopération éloignée au mal. « Cela demeure un devoir moral de continuer à lutter et à employer tout moyen légal pour rendre la vie difficile aux industries pharmaceutiques qui agissent sans scrupules ni éthique. Cependant, le fardeau de cette importante bataille ne peut ni ne doit tomber sur les enfants innocents et sur la situation sanitaire de la population. » Il est inacceptable d'obliger ceux-ci à choisir entre agir contre leur conscience et mettre leur santé ou celle de leurs enfants en danger. Chacun a une grave responsabilité d'utiliser son objection de conscience face à un vaccin d'origine embryonnaire, pour le refuser quand existe une autre possibilité, ou du moins protester quand celle-ci n'existe pas.
Nous ne pouvons pas accepter ce développement d'une médecine inhumaine ou, du moins, nous ne pouvons ne pas lutter contre celui-ci. Merci à nos lecteurs de partager toute information qu'ils auraient sur les sources des vaccins et sur les actions menées en France ou en Europe sur le sujet.
US AND CANADA - ABORTED FETAL CELL LINE PRODUCTS AND ETHICAL ALTERNATIVES
Updated: February 12, 2008
Disease | Product Name | Manufacturer | Fetal Cell Line | Ethical Version | Manufacturer | Cell Line |
Chickenpox | Varivax, Varilrix | Merck, GSK | WI-38, MRC-5 | None | N/A | N/A |
Hepatitis A
| Vaqta, Havrix Avaxim, Epaxal | Merck, GSK Sanofi, Berna | MRC-5 MRC-5 | Aimmungen | Kaketsuken (Japan & Europe) | Vero (monkey) |
Hepatitis A & B Hepatitis A & Typhoid | Twinrix Vivaxim | GSK Sanofi | MRC-5 MRC-5 | Engerix Hep-B Only Recombivax Hep-B Only | GSK Merck | Yeast Yeast |
Measles/Mumps/Rubella | MMR, Priorix | Merck, GSK | RA273, WI-38 | None | N/A | N/A |
Measles-Rubella | MR Vax Eolarix | Merck GSK. | RA273, WI-38 RA273, MRC-5 | Attenuvax (Measles Only) | Merck | Chick embryo |
Mumps-Rubella | Biavax II | Merck | RA273, WI-38 | Mumpsvax (Mumps Only) | Merck | Chick embryo |
Rubella | Meruvax II | Merck. | RA273, WI-38 | Takahashi Not available in US | Kitasato Institute (Japan & Europe) | Rabbit |
MMR + Chickenpox | ProQuad/MMR-V | Merck. | RA273, WI-38, MRC-5 |
None |
N/A |
N/A |
Polio | Poliovax, DT Polio Adsorb. | Sanofi Pasteur | MRC-5 | IPOL | Sanofi Pasteur | Vero (monkey) |
Polio Combination (DTaP + polio+ HiB or Hep-B) | Pentacel, Infanrix Hexa, Quadracel | Sanofi Pasteur, GSK | MRC-5 | Pediacel; Pediarix + HiB IPOL + any DTaP | Sanofi GSK | Vero (monkey) |
Rabies | Imovax | Sanofi Pasteur | MRC-5 | RabAvert | Chiron | Chick embryo |
Rheumatoid Arthritis | Enbrel | Amgen | WI-26 VA4 | Humira | Abbott Laboratories | Chinese Hamster Ovary |
Sepsis | Xigris | Eli Lilly | HEK-293 | Ask your doctor | N/A | N/A |
Shingles | Zostavax | Merck. | WI-38, MRC-5 | None | N/A | N/A |
New: Smallpox | Acambis 1000 | Acambis | MRC-5 | ACAM2000, MVA3000 | Acambis/Baxter | Vero, Chick Embryo |
In Development Ebola | TBA | Crucell/NIH | PER C6 | None | N/A | N/A |
In Development Flu, Avian Flu | TBA | MedImmune Vaxin, Sanofi | PER C6, HEK-293 | FluVirin, Flu Shield, Flumist, FluZone, FluBlok | Chiron, Medimmune, Sanofi ,Protein Science | Chick embryo Caterpillar |
In Development: HIV | MRKAd5 HIV-1 | Merck | PER C6 | None | N/A | N/A |
Note: Immune-Globulin shots will provide temporary immunity (4-6 months) for Hepatitis-A and Rubella (3 months)
...
Physician Order Line:
Merck (Measles, Mumps) 800-422-9675 GSK: (Hepatitis-B) 866-475-8222
Sanofi Pasteur: (Polio) 800-822-2463 Chiron:(Rabies) 800 244-7668 (PST) Wyeth: (Flu) 800 666-7248
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Déclaration
Réflexion morale sur les vaccins préparés à partir de cellules provenant de fœtus avortés de l'homme
5 Juin 2005
L'affaire en question ce qui concerne la légalité de la production, la distribution et l'utilisation de certains vaccins dont la production est liée à des actes de l'avortement provoqué. Il s'agit de vaccins contenant des virus vivants qui ont été préparés à partir des lignées cellulaires humaines d'origine fœtale, utilisation de tissus de fœtus avortés de l'homme comme une source de ces cellules. Le plus connu, et peut-être le plus important en raison de sa grande distribution et son utilisation sur un niveau quasi universelle, est le vaccin contre la rubéole (rubéole).
La rubéole et son vaccin
Rubéole (la rubéole) 1 est une maladie virale causée par un Togavirus du genre Rubivirus et se caractérise par une éruption maculopapuleuse. Il se compose d'une infection qui est commun dans la petite enfance et n'a pas de manifestations cliniques dans un cas sur deux, est lui-même et généralement bénins. Néanmoins, l'allemand virus de la rougeole est l'une des plus pathologiques agents infectieux pour l'embryon et du fœtus. Quand une femme captures l'infection pendant la grossesse, particulièrement pendant le premier trimestre de la grossesse, le risque de l'infection fœtale est très élevé (environ 95%). Le virus se reproduit dans le placenta et infecte le foetus, causant la constellation d'anomalies signalées par le nom de syndrome de rubéole congénitale. Par exemple, la grave épidémie de rubéole qui a touché une grande partie des États-Unis en 1964 ainsi causé 20000 cas de rubella2 congénitales, d'où 11250 avortements (spontanés ou chirurgical), 2100 décès de nouveau-nés, 11600 cas de surdité, de 3580 cas la cécité, 1800 cas de retard mental. C'est cette épidémie qui a poussé pour le développement et l'introduction sur le marché d'un vaccin efficace contre la rubéole, ce qui permet une prophylaxie efficace contre cette infection.
La gravité de la rubéole congénitale et les handicaps qui elle provoque justifier la vaccination systématique contre cette maladie. Il est très difficile, voire impossible, d'éviter l'infection d'une femme enceinte, même si l'infection de la rubéole une personne en contact avec cette femme est diagnostiquée dès le premier jour de l'éruption de l'éruption. Par conséquent, on essaie de prévenir la transmission en supprimant le réservoir de l'infection chez les enfants qui n'ont pas été vaccinés, par le biais de début de la vaccination de tous les enfants (vaccination universelle). La vaccination universelle a entraîné une baisse considérable de l'incidence de la rubéole congénitale, avec une incidence réduite à moins de 5 cas pour 100000 livebirths. Néanmoins, ces progrès demeurent fragiles. Aux États-Unis, par exemple, après une écrasante réduction du nombre de cas de rubéole congénitale à seulement un petit nombre de cas chaque année, c'est-à-dire moins de 0,1 pour 100000 naissances vivantes, une nouvelle épidémie vague est venue en 1991, avec une incidence qui est passée à 0.8/100000. Ces vagues d'une résurgence de la rubéole ont également été vus en 1997 et en l'an 2000. Ces épisodes périodiques de résurgence rendre évident qu'il ya une circulation persistante du virus chez les jeunes adultes, qui est la conséquence de l'insuffisance de couverture vaccinale. Cette dernière situation permet une importante proportion de sujets vulnérables à persistent, qui sont une source d'épidémies périodiques qui mettent les femmes dans le groupe d'âge qui n'ont pas été vaccinés à risque. Par conséquent, la réduction au point d'éliminer la rubéole congénitale est considérée comme une priorité dans les soins de santé publique.
Les vaccins actuellement produits utilisant des lignées de cellules provenant de fœtus avortés
À ce jour, il ya deux cellules diploïdes humaines lignes qui ont été initialement préparé à partir de tissus de fœtus avortés (en 1964 et 1970) et sont utilisés pour la préparation de vaccins à partir de virus vivant atténué: la première est le WI-38 ligne (Winstar Institut 38), avec des diploïdes humaines fibroblastes du poumon, en provenance d'un foetus de sexe féminin qui a été annulée parce que la famille ont l'impression d'avoir trop d'enfants (Sven G. et al., 1969). Il a été établi et développé par Leonard Hayflick en 1964 (L. Hayflick, 1965; Sven G. et al., 1969) 3 et porte le nombre ATCC CCL-75. WI-38 a été utilisé pour la préparation du vaccin historique RA 27 / 3 contre la rubéole (SA Plotkin et al, 1965) 4. La deuxième lignée cellulaire humaine est-5 MRC (Medical Research Council 5) (humaines, du poumon, embryonnaires) (ATCC CCL nombre-171), avec le poumon humain fibroblastes provenant de 14 semaines un fœtus avorté hommes pour "des raisons psychiatriques» d'un 27 ans, femme au Royaume-Uni. MRC-5 a été établi et développé par JP Jacobs en 1966 (JP Jacobs et al, 1970) 5. D'autres lignées cellulaires humaines ont été développés pour les besoins pharmaceutiques, mais ne sont pas impliqués dans les vaccins effectivement available6.
Les vaccins qui sont mis en cause aujourd'hui comme utilisant des lignées de cellules de fœtus avortés, WI-38 et MRC-5, sont les suivants: 7
A) les vaccins vivants contre rubella8:
- les vaccins monovalents contre la rubéole Meruvax II ® (Merck) (US), Rudivax ® (Sanofi Pasteur, Fr.), et Ervevax ® (RA 27 / 3) (GlaxoSmithKline, Belgique);
- le vaccin combiné MR contre la rubéole et la rougeole, commercialisé sous le nom de MR-VAX ® (Merck, US) et Rudi-Rouvax ® (AVP, France);
- le vaccin combiné contre la rubéole et les oreillons commercialisé sous le nom de Biavax II ® (Merck, US),
- le vaccin combiné ROR (rougeole, oreillons, rubéole) contre la rubéole, les oreillons et la rougeole, commercialisé sous le nom de ROR II ® (Merck, US), ROR ®, Trimovax ® (Sanofi Pasteur, Fr.), et Priorix ® ( GlaxoSmithKline Royaume-Uni).
B) Autres vaccins, également préparé en utilisant des lignées cellulaires humaines de fœtus avortés:
-- Deux vaccins contre l'hépatite A, un produit par Merck (VAQTA), l'autre un produit par GlaxoSmithKline (HAVRIX), tous deux d'entre eux ont été préparés à l'aide MRC-5;
-- Un vaccin contre la varicelle, VARIVAX ®, produit par Merck en utilisant WI-38 et MRC-5;
-- Un vaccin contre la poliomyélite, le virus de la poliomyélite inactivé vaccin Poliovax ® (Aventis-Pasteur, Fr.). Utilisant MRC-5;
-- Un vaccin contre la rage, Imovax ®, produit par Aventis Pasteur, la récolte du infectés cellules diploïdes humaines, MRC-5 souche;
-- Un vaccin contre la variole, ACAM 1000, établi par Acambis utilisant MRC-5, toujours en procès.
La position du problème éthique se rapportant à ces vaccins
Du point de vue de la prévention des maladies virales telles que la rubéole, les oreillons, la rougeole, la varicelle et l'hépatite A, il est clair que la fabrication de vaccins efficaces contre des maladies telles que celles-ci, ainsi que leur utilisation dans la lutte contre ces infections, jusqu'au point de l'éradication, par le biais d'une vaccination obligatoire de toute la population à risque, sans aucun doute, représente une "étape" dans la lutte séculaire de l'homme contre infectieux et les maladies contagieuses.
Toutefois, comme les mêmes vaccins sont préparés à partir de virus prélevés des tissus de fœtus qui ont été infectées et volontairement interrompu, et les virus ont été atténués et de culture des lignées cellulaires humaines qui se sont également procuré de l'avortement, ils ne cessent de poser éthique problèmes. La nécessité d'articuler une réflexion morale sur la question se pose principalement de la connexion qui existe entre les vaccins mentionnés ci-dessus et les avortements obtenus à partir de laquelle le matériel biologique nécessaire à leur préparation a été obtenu.
Si quelqu'un rejette toute forme d'avortement volontaire de fœtus humain, une telle personne un pas en contradiction avec lui-même / elle-même en permettant l'utilisation de ces vaccins vivants atténués virus sur leurs enfants? Ne serait-il pas une question de la vraie (et illicite) la coopération dans le mal, même si ce mal a été effectuée il ya quarante ans?
Avant de procéder à envisager ce cas précis, nous besoin de rappeler brièvement les principes pris dans la doctrine morale classique en ce qui concerne le problème de la coopération dans evil9, un problème qui se pose chaque fois qu'un agent moral perçoit l'existence d'un lien entre ses propres actes et moralement un mal action menée par d'autres.
Le principe licite de la coopération au mal
La première distinction fondamentale à faire est que, entre forme et de coopération. Coopération formelle est effectué lorsque l'agent moral coopère avec l'action immorale d'une autre personne, dans le partage de celui-ci mal intention. D'autre part, quand un agent moral coopère avec l'action immorale d'une autre personne, sans partager son mal, elle est un cas de coopération matérielle.
Coopération matérielle peut être divisé en catégories de immédiat (direct) et la médiation (indirects), selon que la coopération est dans l'exécution du péché d'action en soi, ou si l'agent agit en remplissant les conditions - soit en fournissant des instruments ou produits - qui permettent de commettre l'acte immoral. En outre, les formes de coopération immédiate et la coopération à distance, on peut distinguer, en ce qui concerne la «distance» (que ce soit en termes d'espace ou le temps matériel de connexion) entre l'acte de la coopération et le péché acte commis par quelqu'un d'autre. Matériels immédiats coopération est toujours immédiate, tandis que la médiation coopération matérielle peut être soit à proximité ou à distance.
Coopération formelle est toujours moralement illicite parce qu'il représente une forme d'assurance directe et de participation intentionnelle dans le péché d'une autre action de coopération person.10 matériel peut être parfois illicites (en fonction des conditions du "double effet" ou "indirecte volontaire" action), mais quand matériels immédiats coopération préoccupations graves atteintes à la vie humaine, il doit toujours être considéré comme illicite, compte tenu de la nature précieuse de la valeur en question11.
Une autre distinction qui est faite dans classique est que la morale entre les actifs (ou positive) la coopération dans le mal et passive (ou négative) la coopération dans le mal, l'ancien se référant à l'exécution d'un acte de la coopération dans un péché d'action qui est effectuée par une autre personne , Tandis que le second fait référence à l'omission d'un acte de dénonciation ou d'empêchement d'un péché action menée par une autre personne, insomuch car il était un devoir moral de faire ce qui a été omitted12. Passive coopération peut également être de forme ou de matériel, immédiats ou la médiation, à proximité ou à distance. De toute évidence, tous les types de mise en passif coopération doit être considérée comme illicite, mais même passive coopération matérielle doit généralement être évitée, mais il est admis (par de nombreux auteurs) qu'il n'existe pas une obligation rigoureuse de l'éviter dans une affaire dans laquelle il être très difficile de le faire.
Application à l'utilisation de vaccins préparés à partir de cellules provenant d'embryons ou des fœtus avorté volontairement
Dans le cas d'espèce, il existe trois catégories de personnes qui sont impliqués dans la coopération au mal, le mal qui est représenté de manière évidente par l'action d'un avortement volontaire effectué par d'autres: a) ceux qui préparent les vaccins utilisant des lignées de cellules à venir de l'avortement volontaire, b) ceux qui participent à la commercialisation de masse de ces vaccins, c) ceux qui doivent les utiliser pour des raisons de santé.
Tout d'abord, il faut considérer moralement illicite toute forme de coopération formelle (partage le mal intention) dans l'action de ceux qui ont effectué un avortement volontaire, ce qui a permis la récupération de tissus fœtaux, nécessaire pour la préparation de vaccins. Par conséquent, celui qui - quelle que soit la catégorie à laquelle il appartient - coopère d'une certaine façon, partage son intention, à l'exécution d'un avortement volontaire dans le but de produire ces vaccins mentionnés, participe, en réalité, dans le même mal moral que la personne qui a effectué que l'avortement. Cette participation serait également avoir lieu dans le cas où une personne, partage l'intention de l'avortement, s'abstient de dénoncer ou de critiquer cette action illicite, bien qu'il ait le devoir moral de le faire (passive coopération formelle).
Dans le cas où l'absence d'une telle mise en partage de l'intention immorale de la personne qui a effectué l'avortement, toute forme de coopération serait la matière, avec les spécifications suivantes.
En ce qui concerne la préparation, la distribution et la commercialisation des vaccins produits à la suite de l'utilisation de matériel biologique dont l'origine est connecté avec des cellules provenant de fœtus avortés volontairement, un tel processus est dit, comme une question de principe, moralement illicite, parce qu'il pourrait contribuer à encourager la performance des autres avortements volontaires, en vue de la production de ces vaccins. Néanmoins, il faut reconnaître que, dans la chaîne de production-distribution-commercialisation, les différents agents de coopération peut avoir différentes responsabilités morales.
Toutefois, il existe un autre aspect à prendre en considération, et qui est la forme passive de coopération matérielle qui serait effectuée par les producteurs de ces vaccins, s'ils ne sont pas dénoncer et rejeter publiquement l'original acte immoral (l'avortement volontaire), et si elles ne se consacrent ensemble à la recherche et promouvoir d'autres moyens, exonérée de mal moral, pour la production de vaccins pour la même infection. Ces passifs coopération matérielle, si elle devait se produire, est tout aussi illicite.
En ce qui concerne ceux qui ont besoin d'utiliser ces vaccins pour des raisons de santé, il convient de souligner que, en dehors de toute forme de coopération formelle, en général, les médecins ou les parents qui le recours à l'utilisation de ces vaccins pour leurs enfants, en dépit de savoir leur origine (avortement volontaire), procéder à une forme de médiation très éloignées coopération matérielle, et donc très doux, dans l'accomplissement de l'acte original de l'avortement, et un médiateur coopération matérielle, en ce qui concerne la commercialisation des cellules provenant d'avortements, et immédiat, en ce qui concerne la commercialisation des vaccins produits avec de telles cellules. La coopération est donc plus intense de la part des autorités et des systèmes de santé nationaux qui acceptent l'utilisation des vaccins.
Toutefois, dans cette situation, l'aspect passif de coopération est celui qui se démarque le plus. Il appartient aux fidèles et les citoyens de conscience droite (les pères de familles, médecins, etc) de s'opposer, même en faisant une objection de conscience, de plus en plus répandu des attaques contre la vie et la "culture de la mort" qui les sous-tend. De ce point de vue, l'utilisation des vaccins dont la production est liée à l'avortement provoqué constitue au moins une médiation à distance passive coopération matérielle à l'avortement, immédiate et une coopération matérielle passive à l'égard de leur commercialisation. En outre, sur le plan culturel, l'utilisation de ces vaccins contribue à la création d'un consensus social généralisé à l'exploitation de l'industrie pharmaceutique qui les produisent dans une façon immorale.
Par conséquent, les médecins et les pères de familles ont un devoir de recourir à d'autres vaccines13 (s'ils existent), en mettant la pression sur les autorités politiques et les systèmes de santé afin que d'autres vaccins sans problèmes moraux sont disponibles. Ils devraient avoir recours, si nécessaire, à l'utilisation de conscience objection14 en ce qui concerne l'utilisation des vaccins produits par le biais de lignées de cellules de foetus humains avortés origine. De même, ils devraient s'opposer par tous les moyens (par écrit, à travers les différentes associations, médias, etc) les vaccins qui n'ont pas encore moralement acceptable alternatives, la création de pression pour que d'autres vaccins sont préparés, qui ne sont pas liés à l'avortement d'un foetus humain, et en demandant un contrôle juridique rigoureux de l'industrie pharmaceutique et les producteurs.
En ce qui concerne les maladies contre lesquelles il n'existe pas d'autres vaccins qui sont disponibles et acceptable sur le plan éthique, il est bon de s'abstenir d'utiliser ces vaccins si cela peut se faire sans causer des enfants, et indirectement la population dans son ensemble, de se soumettre à des risques importants à leur santé. Toutefois, si ceux-ci sont exposés à des dangers pour leur santé, les vaccins avec des problèmes moraux qui les concernent mai également être utilisé sur une base temporaire. La morale raison est que le devoir d'éviter les passifs coopération matérielle n'est pas obligatoire si il ya de graves inconvénients. En outre, nous constatons, dans un tel cas, une raison proportionnelle, afin d'accepter l'utilisation de ces vaccins en présence du danger de favoriser la propagation de l'agent pathologique, en raison de l'absence de vaccination des enfants. Cela est particulièrement vrai dans le cas de la vaccination contre la measles15 allemand.
En tout état de cause, il reste un devoir moral de continuer à se battre et d'employer tous les moyens légaux afin de rendre la vie difficile pour l'industrie pharmaceutique qui agissent sans scrupules et contraire à l'éthique. Toutefois, la charge de cette importante bataille ne peut et ne doit pas tomber sur des enfants innocents et sur la situation sanitaire de la population - en particulier en ce qui concerne les femmes enceintes.
Pour résumer, elle doit être confirmée que:
- il ya une grave responsabilité à utiliser d'autres vaccins et de faire une objection de conscience à l'égard de ceux qui ont des problèmes moraux;
-- En ce qui concerne les vaccins sans disposer d'une autre, la nécessité de concours afin que d'autres être prêts mai doit être réaffirmé, comme ce devrait être la légalité d'utiliser l'ancienne, dans l'intervalle, insomuch qu'il est nécessaire afin d'éviter un risque grave, non seulement pour un 'S propres enfants, mais aussi, et peut-être plus spécifiquement, pour l'état de santé de la population dans son ensemble - en particulier pour les femmes enceintes;
-- La légalité de l'utilisation de ces vaccins ne doit pas être interprété comme une déclaration de la légalité de leur production, la commercialisation et l'utilisation, mais doit être compris comme étant un passif coopération matérielle et, dans son plus doux et plus reculées sens, également actif, moralement justifiée comme une extrema ratio en raison de la nécessité de prévoir pour le bien de ses enfants et des personnes qui entrent en contact avec les enfants (femmes enceintes);
-- Cette coopération a lieu dans un contexte de contrainte morale de la conscience des parents, qui sont contraints de choisir d'agir contre sa conscience ou non, de mettre la santé de leurs enfants et de la population dans son ensemble à risque. C'est un choix alternatif injuste, qui doivent être éliminés dans les plus brefs délais.
1J. E. Banatvala, D.W.G. Brown, rubéole, The Lancet, 3 avril 2004, vol. 363, n ° 9415, pp.1127-1137
2Rubella, la morbidité et la mortalité Weekly Report, 1964, vol. 13, p. 93. Plotkin SA, virologique d'assistance dans la gestion de la rubéole pendant la grossesse, JAMA, le 26 Octobre 1964, vol.190, pp.265-268
3. L. Hayflick, The Limited Lifetime in vitro de cellules diploïdes humaines souches, Experimental Cell Research, Mars 1965, Vol.37, no. 3, pp. 614-636. Sven G., S. Plotkin, K. McCarthy, Gamma Globulin prophylaxie; inactivé virus de la rubéole, la production et du contrôle biologique des vivants atténués virus de la rubéole vaccins, American Journal of Diseases of Children, août 1969, vol. 118, no. 2, pp.372-381.
4.S. A. Plotkin, D. Cornfeld, Th.H. Ingalls, études de vaccination à la vie virus de la rubéole, essais chez les enfants ayant une souche provenant d'un Aborted Fetus, American Journal des maladies chez les enfants, Octobre 1965, vol. 110, no. 4, pp.381-389.
5.J.P. Jacobs, C.M. Jones, JP Baille, caractéristiques d'un diploïdes humaines MRC Cell désignés-5, Nature, 11 Juillet 1970, vol.277, pp.168-170.
6Two d'autres lignées cellulaires humaines, qui sont permanents, HEK 293 foetus avortés lignée cellulaire, du primaire embryonnaires humaines transformé des cellules de rein de cisaillés par l'adénovirus de type 5 (le rein foetal matériel a été obtenu à partir d'un fœtus avorté, en 1972 probablement), et PER.C6 , Une lignée de cellules fœtales créé à l'aide de tissus de la rétine de 18 semaines de gestation avortée bébé, ont été élaborés pour la fabrication de produits pharmaceutiques de vecteurs adénovirus (pour la thérapie génique). Ils n'ont pas été impliqués dans la réalisation de l'un quelconque des virus vivant atténué vaccins actuellement en service en raison de leur capacité à développer des cellules tumorigènes chez le receveur. Toutefois, certains vaccins, encore au stade de développement, contre le virus Ebola (Crucell, NV et le Centre de recherche sur les vaccins des National Institutes of Health maladies allergiques et infectieuses, NIAID), le VIH (Merck), la grippe (MedImmune, Sanofi Pasteur), japonais l'encéphalite (Crucell NV et Rhein Biotech NV) sont préparés à l'aide PER.C6 ® lignée cellulaire (Crucell NV, Leiden, Pays-Bas).
7Against ces diverses maladies infectieuses, il existe certains autres vaccins qui sont préparés en utilisant des animaux cellules ou de tissus, et sont donc éthiquement acceptable. Leur disponibilité dépend du pays en question. Concernant le cas particulier des États-Unis, il n'existe pas d'options pour le moment dans ce pays pour la vaccination contre la rubéole, la varicelle et l'hépatite A, autres que les vaccins proposés par Merck, établi en utilisant les lignées cellulaires humaines WI-38 et MRC -5. Il est un vaccin contre la variole établi avec l'lignée de cellules Vero (dérivé du rein d'un singe vert d'Afrique), ACAM2000 (Acambis-Baxter) (une deuxième génération de vaccin contre la variole, les stocks, pas homologué aux États-Unis), qui offre, donc, une alternative à la Acambis 1000. Il existe d'autres vaccins contre les oreillons (Mumpsvax, Merck, la rougeole (Attenuvax, Merck), la rage (RabAvert, Chiron thérapeutiques), préparé à partir d'embryons de poulet. (Mais de graves allergies ont eu lieu avec ces vaccins), la poliomyélite (IPOL, Aventis-Pasteur, préparé avec des cellules de rein de singe) et la variole (une troisième génération de vaccin antivariolique MVA, Mis à jour le Vaccinia Ankara, Acambis-Baxter). En Europe et au Japon, il existe d'autres vaccins disponibles contre la rubéole et l'hépatite A, produites à l'aide non-dans des lignées cellulaires humaines . L'Institut Kitasato produire quatre vaccins contre la rubéole, appelé Takahashi, A-336 et Matuba, préparé avec des cellules de rein de lapin, et un (Matuura) préparée avec des cellules d'un embryon de caille. Chemo-La séro-Institut de recherche thérapeutique Kaketsuken produire un un autre vaccin contre l'hépatite A, appelé Ainmugen, préparé avec des cellules de rein de singe. Le seul problème est avec le vaccin VARIVAX ® contre la varicelle, pour lesquels il n'ya pas d'alternative.
8The vaccin contre la rubéole en utilisant la souche Wistar RA27 / 3 du vivant atténué virus de la rubéole, adapté et propagé dans WI-38 diploïdes humaines fibroblastes du poumon est au centre de la controverse actuelle concernant la moralité de l'utilisation de vaccins préparés avec l'aide de cellules humaines lignes provenant de fœtus avortés.
9O.D.M. Prummer Pr., De cooperatione ad malum, dans le manuel théologique Moralis secundum Principia S. Thomae Aquinatis, Tomus I, Friburgi Brisgoviae, Herder & Co., 1923, Pars I, Trat. IX, Caput III, no. 2, pp. 429-434. K.H. Peschke, de la coopération dans les péchés d'autrui, dans l'éthique chrétienne. Théologie morale à la lumière de Vatican II, vol.I, le général théologie morale, C. Goodliffe Neale Ltd, Arden Forest Industrial Estate, Alcester, Warwickshire, B49 6ER, édition révisée, 1986, pp. 320-324. . A. Fisher, de la coopération au mal, Catholic Medical Quarterly, 1994, pp. 15-22. . D. Tettamanzi, Cooperazione, dans Dizionario di Bioetica, S. Leone, S. Privitera ed., Istituto Siciliano di Bioetica, EDB-BSI, 1994, pp.194-198. . L. Melina, La Cooperazione con azioni moralmente cattive contro la vie humaine, dans Commentario Interdisciplinare alla "Evangelium Vitae", E. Sgreccia, Ramòn Luca Lucas ed., Libreria Editrice Vaticana, 1997, pp.467-490. E. Sgreccia, Manuale di Bioetica, vol. I, réimpression de la troisième édition, Vita e Pensiero, Milan, 1999, pp.362-363.
10 Cf.. Jean-Paul II, Enc. Evangelium Vitae, no. 74.
11 ibidem
12No. 1868 du Catéchisme de l'Eglise catholique.
13The d'autres vaccins en question sont ceux qui sont préparés par le biais de lignées de cellules qui ne sont pas d'origine humaine, par exemple, la lignée de cellules Vero (de singe) (D. Vinnedge), des cellules de rein de lapins ou singes, ou les cellules embryons de poulet. Toutefois, il convient de noter que les formes graves d'allergie ont eu lieu avec certains des vaccins préparés de cette manière. L'utilisation de la technologie de l'ADN recombinant pourrait conduire au développement de nouveaux vaccins dans un proche avenir, ce qui ne nécessitera plus l'utilisation de cultures de cellules diploïdes humaines pour l'atténuation du virus et sa croissance, pour ces vaccins ne seront pas préparé à partir d'un base de virus atténué, mais du génome du virus et à partir des antigènes ainsi développé (GC Woodrow, McDonnell WM et Askari FK). Certaines études expérimentales ont déjà été effectuées en utilisant des vaccins développés à partir de l'ADN qui a été dérivé du génome du virus de la rubéole. En outre, certains chercheurs asiatiques essaient d'utiliser le virus de la varicelle comme un vecteur de l'insertion de gènes qui codifient les antigènes viraux de la rubéole. Ces études sont encore à une phase préliminaire et le raffinement de vaccin préparations qui peuvent être utilisés en pratique clinique, il faudra une longue période de temps et sera à coûts élevés. . D. Vinnedge, vaccin contre la variole, le National Catholic Bioethics Quarterly, printemps 2000, vol.2, no. 1, p. 12. . G.C. Woodrow, un aperçu de la biotechnologie appliquée à un vaccin contre le développement, «Nouvelle génération de vaccins», GC Woodrow, M.M. Levine eds., Marcel Dekker Inc, New York et à Bâle, 1990, voir pp.32-37. W.M. McDonnell, FK Askari, la vaccination, JAMA, 10 Décembre 1997, vol.278, no.22, pp.2000-2007, voir pp. 2005-2006.
14Such un devoir mai plomb, comme une conséquence, de prendre le recours à "l'objection de conscience" lorsque l'action reconnus comme illicites est un acte autorisé ou même encouragé par les lois du pays et constitue une menace pour la vie humaine. La Lettre encyclique Evangelium Vitae a souligné cette «obligation de s'opposer à" les lois qui autorisent l'avortement ou l'euthanasie "par l'objection de conscience" (no.73)
15This est particulièrement vrai dans le cas de la vaccination contre la rubéole, en raison du risque de syndrome de rubéole congénitale. Cela pourrait se produire, causant de graves malformations congénitales chez le foetus, quand une femme enceinte entre en contact, même si elle est de courte durée, avec des enfants qui n'ont pas été vaccinés et sont porteurs du virus. Dans ce cas, les parents qui n'ont pas accepté la vaccination de leurs enfants sont responsables de malformations dans la question, et pour l'avortement des fœtus, lorsqu'ils ont été découverts à être correct.
PS : Si l'on veut approfondir ses connaissances concernant ce vaccin H1N1, on consulte avec profit le site Artemisia-College (http://artemisia-college.org/Grippe_porcine_aviaire_humaine_mexicaine_A-00-03-01-0227-01.html) avant qu'il ne soit fermé par les autorités. - On peut aussi lire avec satisfaction que des forces se lèvent contre cette imposture de vaccination, par exemple la courageuse journaliste Jane Burgermeister en Autriche : Elle vient de déposer une plainte auprès du FBI, accusant l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), l'Organisation les Nations Unies (ONU), plusieurs des plus hauts fonctionnaires du gouvernement et des sociétés pharmaceutiques, de bioterrorisme et de tentatives visant à commettre un meurtre de masse (Site : http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=13850 ).
Pontifical Academy for Life
Declaration MORAL REFLECTIONS ON VACCINES PREPARED FROM CELLS DERIVED FROM ABORTED HUMAN FOETUSES 5 June 2005
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The matter in question regards the lawfulness of production, distribution and use of certain vaccines whose production is connected with acts of procured abortion. It concerns vaccines containing live viruses which have been prepared from human cell lines of foetal origin, using tissues from aborted human foetuses as a source of such cells. The best known, and perhaps the most important due to its vast distribution and its use on an almost universal level, is the vaccine against Rubella (German measles).
Rubella and its vaccine
Rubella (German measles)1 is a viral illness caused by a Togavirus of the genus Rubivirus and is characterized by a maculopapular rash. It consists of an infection which is common in infancy and has no clinical manifestations in one case out of two, is self-limiting and usually benign. Nonetheless, the German measles virus is one of the most pathological infective agents for the embryo and foetus. When a woman catches the infection during pregnancy, especially during the first trimester, the risk of foetal infection is very high (approximately 95%). The virus replicates itself in the placenta and infects the foetus, causing the constellation of abnormalities denoted by the name of Congenital Rubella Syndrome. For example, the severe epidemic of German measles which affected a huge part of the United States in 1964 thus caused 20,000 cases of congenital rubella2, resulting in 11,250 abortions (spontaneous or surgical), 2,100 neonatal deaths, 11,600 cases of deafness, 3,580 cases of blindness, 1,800 cases of mental retardation. It was this epidemic that pushed for the development and introduction on the market of an effective vaccine against rubella, thus permitting an effective prophylaxis against this infection. The severity of congenital rubella and the handicaps which it causes justify systematic vaccination against such a sickness. It is very difficult, perhaps even impossible, to avoid the infection of a pregnant woman, even if the rubella infection of a person in contact with this woman is diagnosed from the first day of the eruption of the rash. Therefore, one tries to prevent transmission by suppressing the reservoir of infection among children who have not been vaccinated, by means of early immunization of all children (universal vaccination). Universal vaccination has resulted in a considerable fall in the incidence of congenital rubella, with a general incidence reduced to less than 5 cases per 100,000 livebirths. Nevertheless, this progress remains fragile. In the United States, for example, after an overwhelming reduction in the number of cases of congenital rubella to only a few cases annually, i.e. less than 0.1 per 100,000 live births, a new epidemic wave came on in 1991, with an incidence that rose to 0.8/100,000. Such waves of resurgence of German measles were also seen in 1997 and in the year 2000. These periodic episodes of resurgence make it evident that there is a persistent circulation of the virus among young adults, which is the consequence of insufficient vaccination coverage. The latter situation allows a significant proportion of vulnerable subjects to persist, who are a source of periodic epidemics which put women in the fertile age group who have not been immunized at risk. Therefore, the reduction to the point of eliminating congenital rubella is considered a priority in public health care.
Vaccines currently produced using human cell lines that come from aborted foetuses
To date, there are two human diploid cell lines which were originally prepared from tissues of aborted foetuses ( in 1964 and 1970) and are used for the preparation of vaccines based on live attenuated virus: the first one is the WI-38 line (Winstar Institute 38), with human diploid lung fibroblasts, coming from a female foetus that was aborted because the family felt they had too many children (G. Sven et al., 1969). It was prepared and developed by Leonard Hayflick in 1964 (L. Hayflick, 1965; G. Sven et al., 1969)3 and bears the ATCC number CCL-75. WI-38 has been used for the preparation of the historical vaccine RA 27/3 against rubella (S.A. Plotkin et al, 1965)4. The second human cell line is MRC-5 (Medical Research Council 5) (human, lung, embryonic) (ATCC number CCL-171), with human lung fibroblasts coming from a 14 week male foetus aborted for "psychiatric reasons" from a 27 year old woman in the UK. MRC-5 was prepared and developed by J.P. Jacobs in 1966 (J.P. Jacobs et al, 1970)5. Other human cell lines have been developed for pharmaceutical needs, but are not involved in the vaccines actually available6.
The vaccines that are incriminated today as using human cell lines from aborted foetuses, WI-38 and MRC-5, are the following: 7
A)Live vaccines against rubella8: -the monovalent vaccines against rubella Meruvax®II (Merck) (U.S.), Rudivax® (Sanofi Pasteur, Fr.), and Ervevax® (RA 27/3) (GlaxoSmithKline, Belgium); -the combined vaccine MR against rubella and measles, commercialized with the name of M-R-VAX® (Merck, US) and Rudi-Rouvax® (AVP, France); -the combined vaccine against rubella and mumps marketed under the name of Biavax®II (Merck, U.S.), -the combined vaccine MMR (measles, mumps, rubella) against rubella, mumps and measles, marketed under the name of M-M-R® II (Merck, US), R.O.R.®, Trimovax® (Sanofi Pasteur, Fr.), and Priorix® (GlaxoSmithKline UK).
B) Other vaccines, also prepared using human cell lines from aborted foetuses: - two vaccines against hepatitis A, one produced by Merck (VAQTA), the other one produced by GlaxoSmithKline (HAVRIX), both of them being prepared using MRC-5; - one vaccine against chicken pox, Varivax®, produced by Merck using WI-38 and MRC-5; - one vaccine against poliomyelitis, the inactivated polio virus vaccine Poliovax® (Aventis-Pasteur, Fr.) using MRC-5; - one vaccine against rabies, Imovax®, produced by Aventis Pasteur, harvested from infected human diploid cells, MRC-5 strain; - one vaccine against smallpox, ACAM 1000, prepared by Acambis using MRC-5, still on trial.
The position of the ethical problem related to these vaccines
From the point of view of prevention of viral diseases such as German measles, mumps, measles, chicken pox and hepatitis A, it is clear that the making of effective vaccines against diseases such as these, as well as their use in the fight against these infections, up to the point of eradication, by means of an obligatory vaccination of all the population at risk, undoubtedly represents a "milestone" in the secular fight of man against infective and contagious diseases. However, as the same vaccines are prepared from viruses taken from the tissues of foetuses that had been infected and voluntarily aborted, and the viruses were subsequently attenuated and cultivated from human cell lines which come likewise from procured abortions, they do not cease to pose ethical problems. The need to articulate a moral reflection on the matter in question arises mainly from the connection which exists between the vaccines mentioned above and the procured abortions from which biological material necessary for their preparation was obtained. If someone rejects every form of voluntary abortion of human foetuses, would such a person not contradict himself/herself by allowing the use of these vaccines of live attenuated viruses on their children? Would it not be a matter of true (and illicit) cooperation in evil, even though this evil was carried out forty years ago? Before proceeding to consider this specific case, we need to recall briefly the principles assumed in classical moral doctrine with regard to the problem of cooperation in evil9, a problem which arises every time that a moral agent perceives the existence of a link between his own acts and a morally evil action carried out by others.
The principle of licit cooperation in evil
The first fundamental distinction to be made is that between formal and material cooperation. Formal cooperation is carried out when the moral agent cooperates with the immoral action of another person, sharing in the latter's evil intention. On the other hand, when a moral agent cooperates with the immoral action of another person, without sharing his/her evil intention, it is a case of material cooperation. Material cooperation can be further divided into categories of immediate (direct) and mediate (indirect), depending on whether the cooperation is in the execution of the sinful action per se, or whether the agent acts by fulfilling the conditions – either by providing instruments or products – which make it possible to commit the immoral act. Furthermore, forms of proximate cooperation and remote cooperation can be distinguished, in relation to the "distance" (be it in terms of temporal space or material connection) between the act of cooperation and the sinful act committed by someone else. Immediate material cooperation is always proximate, while mediate material cooperation can be either proximate or remote. Formal cooperation is always morally illicit because it represents a form of direct and intentional participation in the sinful action of another person.10 Material cooperation can sometimes be illicit (depending on the conditions of the "double effect" or "indirect voluntary" action), but when immediate material cooperation concerns grave attacks on human life, it is always to be considered illicit, given the precious nature of the value in question11. A further distinction made in classical morality is that between active (or positive) cooperation in evil and passive (or negative) cooperation in evil, the former referring to the performance of an act of cooperation in a sinful action that is carried out by another person, while the latter refers to the omission of an act of denunciation or impediment of a sinful action carried out by another person, insomuch as there was a moral duty to do that which was omitted12. Passive cooperation can also be formal or material, immediate or mediate, proximate or remote. Obviously, every type of formal passive cooperation is to be considered illicit, but even passive material cooperation should generally be avoided, although it is admitted (by many authors) that there is not a rigorous obligation to avoid it in a case in which it would be greatly difficult to do so.
Application to the use of vaccines prepared from cells coming from embryos or foetuses aborted voluntarily
In the specific case under examination, there are three categories of people who are involved in the cooperation in evil, evil which is obviously represented by the action of a voluntary abortion performed by others: a) those who prepare the vaccines using human cell lines coming from voluntary abortions; b) those who participate in the mass marketing of such vaccines; c) those who need to use them for health reasons. Firstly, one must consider morally illicit every form of formal cooperation (sharing the evil intention) in the action of those who have performed a voluntary abortion, which in turn has allowed the retrieval of foetal tissues, required for the preparation of vaccines. Therefore, whoever – regardless of the category to which he belongs – cooperates in some way, sharing its intention, to the performance of a voluntary abortion with the aim of producing the above-mentioned vaccines, participates, in actuality, in the same moral evil as the person who has performed that abortion. Such participation would also take place in the case where someone, sharing the intention of the abortion, refrains from denouncing or criticizing this illicit action, although having the moral duty to do so (passive formal cooperation). In a case where there is no such formal sharing of the immoral intention of the person who has performed the abortion, any form of cooperation would be material, with the following specifications. As regards the preparation, distribution and marketing of vaccines produced as a result of the use of biological material whose origin is connected with cells coming from foetuses voluntarily aborted, such a process is stated, as a matter of principle, morally illicit, because it could contribute in encouraging the performance of other voluntary abortions, with the purpose of the production of such vaccines. Nevertheless, it should be recognized that, within the chain of production-distribution-marketing, the various cooperating agents can have different moral responsibilities. However, there is another aspect to be considered, and that is the form of passive material cooperation which would be carried out by the producers of these vaccines, if they do not denounce and reject publicly the original immoral act (the voluntary abortion), and if they do not dedicate themselves together to research and promote alternative ways, exempt from moral evil, for the production of vaccines for the same infections. Such passive material cooperation, if it should occur, is equally illicit. As regards those who need to use such vaccines for reasons of health, it must be emphasized that, apart from every form of formal cooperation, in general, doctors or parents who resort to the use of these vaccines for their children, in spite of knowing their origin (voluntary abortion), carry out a form of very remote mediate material cooperation, and thus very mild, in the performance of the original act of abortion, and a mediate material cooperation, with regard to the marketing of cells coming from abortions, and immediate, with regard to the marketing of vaccines produced with such cells. The cooperation is therefore more intense on the part of the authorities and national health systems that accept the use of the vaccines. However, in this situation, the aspect of passive cooperation is that which stands out most. It is up to the faithful and citizens of upright conscience (fathers of families, doctors, etc.) to oppose, even by making an objection of conscience, the ever more widespread attacks against life and the "culture of death" which underlies them. From this point of view, the use of vaccines whose production is connected with procured abortion constitutes at least a mediate remote passive material cooperation to the abortion, and an immediate passive material cooperation with regard to their marketing. Furthermore, on a cultural level, the use of such vaccines contributes in the creation of a generalized social consensus to the operation of the pharmaceutical industries which produce them in an immoral way. Therefore, doctors and fathers of families have a duty to take recourse to alternative vaccines13 (if they exist), putting pressure on the political authorities and health systems so that other vaccines without moral problems become available. They should take recourse, if necessary, to the use of conscientious objection14 with regard to the use of vaccines produced by means of cell lines of aborted human foetal origin. Equally, they should oppose by all means (in writing, through the various associations, mass media, etc.) the vaccines which do not yet have morally acceptable alternatives, creating pressure so that alternative vaccines are prepared, which are not connected with the abortion of a human foetus, and requesting rigorous legal control of the pharmaceutical industry producers. As regards the diseases against which there are no alternative vaccines which are available and ethically acceptable, it is right to abstain from using these vaccines if it can be done without causing children, and indirectly the population as a whole, to undergo significant risks to their health. However, if the latter are exposed to considerable dangers to their health, vaccines with moral problems pertaining to them may also be used on a temporary basis. The moral reason is that the duty to avoid passive material cooperation is not obligatory if there is grave inconvenience. Moreover, we find, in such a case, a proportional reason, in order to accept the use of these vaccines in the presence of the danger of favouring the spread of the pathological agent, due to the lack of vaccination of children. This is particularly true in the case of vaccination against German measles15. In any case, there remains a moral duty to continue to fight and to employ every lawful means in order to make life difficult for the pharmaceutical industries which act unscrupulously and unethically. However, the burden of this important battle cannot and must not fall on innocent children and on the health situation of the population – especially with regard to pregnant women.
To summarize, it must be confirmed that:
-there is a grave responsibility to use alternative vaccines and to make a conscientious objection with regard to those which have moral problems; - as regards the vaccines without an alternative, the need to contest so that others may be prepared must be reaffirmed, as should be the lawfulness of using the former in the meantime insomuch as is necessary in order to avoid a serious risk not only for one's own children but also, and perhaps more specifically, for the health conditions of the population as a whole – especially for pregnant women; - the lawfulness of the use of these vaccines should not be misinterpreted as a declaration of the lawfulness of their production, marketing and use, but is to be understood as being a passive material cooperation and, in its mildest and remotest sense, also active, morally justified as an extrema ratio due to the necessity to provide for the good of one's children and of the people who come in contact with the children (pregnant women); - such cooperation occurs in a context of moral coercion of the conscience of parents, who are forced to choose to act against their conscience or otherwise, to put the health of their children and of the population as a whole at risk. This is an unjust alternative choice, which must be eliminated as soon as possible.
1J. E. Banatvala, D.W.G. Brown, Rubella, The Lancet, 3rd April 2004, vol. 363, No. 9415, pp.1127-1137 2Rubella , Morbidity and Mortality Weekly Report, 1964, vol. 13, p.93. S.A. Plotkin, Virologic Assistance in the Management of German Measles in Pregnancy, JAMA, 26th October 1964, vol.190, pp.265-268 3. L. Hayflick, The Limited In Vitro Lifetime of Human Diploid Cell Strains, Experimental Cell Research, March 1965, vol.37, no. 3, pp. 614-636. G. Sven, S. Plotkin, K. McCarthy, Gamma Globulin Prophylaxis; Inactivated Rubella Virus; Production and Biological Control of Live Attenuated Rubella Virus Vaccines, American journal of Diseases of Children, August 1969, vol. 118, no. 2, pp.372-381. 4.S. A. Plotkin, D. Cornfeld, Th.H. Ingalls, Studies of Immunization With Living Rubella Virus, Trials in Children With a Strain coming from an Aborted Fetus, American Journal of Diseases in children, October 1965, vol. 110, no. 4, pp.381-389. 5.J.P. Jacobs, C.M. Jones, J.P. Baille, Characteristics of a Human Diploid Cell Designated MRC-5, Nature, 11th July 1970, vol.277, pp.168-170. 6Two other human cell lines, that are permanent, HEK 293 aborted fetal cell line, from primary human embryonic kidney cells transformed by sheared adenovirus type 5 (the fetal kidney material was obtained from an aborted fetus, in 1972 probably), and PER.C6, a fetal cell line created using retinal tissue from an 18 week gestation aborted baby, have been developed for the pharmaceutical manufacturing of adenovirus vectors (for gene therapy). They have not been involved in the making of any of the attenuated live viruses vaccines presently in use because of their capacity to develop tumorigenic cells in the recipient. However some vaccines, still at the developmental stage, against Ebola virus (Crucell,NV and the Vaccine Research Center of the National Institutes of Health's Allergy and Infectious Diseases, NIAID), HIV (Merck), influenza (MedImmune, Sanofi pasteur), Japanese encephalitis (Crucell N.V. and Rhein Biotech N.V.) are prepared using PER.C6® cell line (Crucell N.V., Leiden, The Netherlands). 7Against these various infectious diseases, there are some alternative vaccines that are prepared using animals' cells or tissues, and are therefore ethically acceptable. Their availability depends on the country in question. Concerning the particular case of the United States, there are no options for the time being in that country for the vaccination against rubella, chickenpox and hepatitis A, other than the vaccines proposed by Merck, prepared using the human cell lines WI-38 and MRC-5. There is a vaccine against smallpox prepared with the Vero cell line (derived from the kidney of an African green monkey), ACAM2000 (Acambis-Baxter) ( a second-generation smallpox vaccine, stockpiled, not approved in the US), which offers, therefore, an alternative to the Acambis 1000. There are alternative vaccines against mumps (Mumpsvax, Merck, measles (Attenuvax, Merck), rabies (RabAvert, Chiron therapeutics), prepared from chicken embryos. (However serious allergies have occurred with such vaccines), poliomyelitis (IPOL, Aventis-Pasteur, prepared with monkey kidney cells) and smallpox (a third-generation smallpox vaccine MVA, Modified Vaccinia Ankara, Acambis-Baxter). In Europe and in Japan, there are other vaccines available against rubella and hepatitis A, produced using non-human cell lines. The Kitasato Institute produce four vaccines against rubella, called Takahashi, TO-336 and Matuba, prepared with cells from rabbit kidney, and one (Matuura) prepared with cells from a quail embryo. The Chemo-sero-therapeutic Research Institute Kaketsuken produce one another vaccine against hepatitis A, called Ainmugen, prepared with cells from monkey kidney. The only remaining problem is with the vaccine Varivax® against chicken pox, for which there is no alternative. 8The vaccine against rubella using the strain Wistar RA27/3 of live attenuated rubella virus, adapted and propagated in WI-38 human diploid lung fibroblasts is at the centre of present controversy regarding the morality of the use of vaccines prepared with the help of human cell lines coming from aborted foetuses. 9O.D.M. Prummer Pr., De cooperatione ad malum, in Manuale Theologiae Moralis secundum Principia S. Thomae Aquinatis, Tomus I, Friburgi Brisgoviae, Herder & Co., 1923, Pars I, Trat. IX, Caput III, no. 2, pp. 429-434. K.H. Peschke, Cooperation in the sins of others, in Christian Ethics. Moral Theology in the Light of Vatican II, vol.I, General Moral Theology, C. Goodliffe Neale Ltd., Arden Forest Industrial Estate, Alcester, Warwickshire, B49 6Er, revised edition, 1986, pp. 320-324. .A. Fisher, Cooperation in Evil, Catholic Medical Quarterly, 1994, pp. 15-22. .D. Tettamanzi, Cooperazione, in Dizionario di Bioetica, S. Leone, S. Privitera ed., Istituto Siciliano di Bioetica, EDB-ISB, 1994, pp.194-198. .L. Melina, La cooperazione con azioni moralmente cattive contro la vita umana, in Commentario Interdisciplinare alla "Evangelium Vitae", E. Sgreccia, Ramòn Luca Lucas ed., Libreria Editrice Vaticana, 1997, pp.467-490. E. Sgreccia, Manuale di Bioetica, vol. I, Reprint of the third edition, Vita e Pensiero, Milan, 1999, pp.362-363. 10 Cf. John Paul II, Enc. Evangelium Vitae, no. 74. 11 ibidem 12No. 1868 of the Catechism of the Catholic Church. 13The alternative vaccines in question are those that are prepared by means of cell lines which are not of human origin, for example, the Vero cell line (from monkeys) (D. Vinnedge), the kidney cells of rabbits or monkeys, or the cells of chicken embryos. However, it should be noted that grave forms of allergy have occurred with some of the vaccines prepared in this way. The use of recombinant DNA technology could lead to the development of new vaccines in the near future which will no longer require the use of cultures of human diploid cells for the attenuation of the virus and its growth, for such vaccines will not be prepared from a basis of attenuated virus, but from the genome of the virus and from the antigens thus developed (G. C. Woodrow, W.M. McDonnell and F.K. Askari). Some experimental studies have already been done using vaccines developed from DNA that has been derived from the genome of the German measles virus. Moreover, some Asiatic researchers are trying to use the Varicella virus as a vector for the insertion of genes which codify the viral antigens of Rubella. These studies are still at a preliminary phase and the refinement of vaccine preparations which can be used in clinical practice will require a lengthy period of time and will be at high costs. .D. Vinnedge, The Smallpox Vaccine, The National Catholic Bioethics Quarterly, Spring 2000, vol.2, no. 1, p.12. .G.C. Woodrow, An Overview of Biotechnology As Applied to Vaccine Development, in «New Generation Vaccines», G.C. Woodrow, M.M. Levine eds., Marcel Dekker Inc., New York and Basel, 1990, see pp.32-37. W.M. McDonnell, F.K. Askari, Immunization, JAMA, 10th December 1997, vol.278, no.22, pp.2000-2007, see pp. 2005-2006. 14Such a duty may lead, as a consequence, to taking recourse to "objection of conscience" when the action recognized as illicit is an act permitted or even encouraged by the laws of the country and poses a threat to human life. The Encyclical Letter Evangelium Vitae underlined this "obligation to oppose" the laws which permit abortion or euthanasia "by conscientious objection" (no.73) 15This is particularly true in the case of vaccination against German measles, because of the danger of Congenital Rubella Syndrome. This could occur, causing grave congenital malformations in the foetus, when a pregnant woman enters into contact, even if it is brief, with children who have not been immunized and are carriers of the virus. In this case, the parents who did not accept the vaccination of their own children become responsible for the malformations in question, and for the subsequent abortion of foetuses, when they have been discovered to be malformed. |
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