lundi 25 février 2013

DSK, du lard ou du cochon ? Les tristes maîtres du monde !

Les avocats de DSK demandent notamment la saisie du livre de Marcela Iacub qui a eu une liaison de 7 mois avec DSK.

DSK par Marcela Iacub : "Un être double, mi-homme mi-cochon"

Marcela Iacub, la belle est la bête ?

Belle et bête ?

Une "théorie de l'amour" ? Un objet artistique ?

De l'art ou du cochon ?

"J’étais amoureuse de l’être le plus méprisé du pays, le plus méprisé de la planète", écrit Iacub dans "Belle et Bête".

Un portrait de DSK, avec qui elle a eu une liaison, en "cochon sublime".

 extraits:

"Je suis allée rendre visite [à Anne Sinclair] pendant que j’écrivais le livre, sous un prétexte quelconque. Ce n’est pas un procédé très loyal mais il y avait des choses que je n’arrivais pas à comprendre de la psychologie de Dominique Strauss-Kahn. Celui-ci ment beaucoup et tout le temps, jamais je n’ai rencontré un individu qui mente comme lui, parce qu’avant tout il se ment à lui-même.
La conversation avec Anne Sinclair a été fondamentale. Elle a été très gentille, mais j’ai compris à quel point elle est convaincue qu’elle et son mari – car je rappelle qu’ils n’ont toujours pas divorcé – appartiennent à la caste des maîtres du monde.

"Il n’y a aucun mal à se faire sucer par une femme de ménage." J’ai failli lui répondre que sucer, ce n’est pas le travail d’une femme de ménage comme passer l’aspirateur, qu’il faut demander ce genre de choses à une pute, etc.
Mais, pour elle, le monde est séparé entre les maîtres et les serviteurs, entre les dominants et les dominés et c’est normal. Cela m’a un peu effrayée. Comme si on vivait dans la société de l’Ancien Régime.


« Ce qu’il y a de créatif, d’artistique chez Dominique Strauss-Kahn, de beau, appartient au cochon et non pas à l’homme. L’homme est affreux, le cochon est merveilleux même s’il est un cochon. C’est un artiste des égouts, un poète de l’abjection et de la saleté. »

« Le cochon, c’est la vie qui veut s’imposer sans aucune morale, qui prend sans demander ni calculer, sans se soucier des conséquences. […] Le cochon, c’est le présent, le plaisir, l’immédiat, c’est la plus belle chose qui soit, la plus belle part de l’homme. Et en même temps le cochon est un être dégueulasse, incapable d’aucune forme de morale, de parole, de sociabilité. »

« L’idéal du cochon, c’est la partouze  : personne n’est exclu de la fête, ni les vieux, ni les moches, ni les petits. […] Alors que DSK m’a toujours semblé être franchement à droite, ce communisme sexuel auquel il aspire en tant que cochon me réjouit. »
"Même au temps où ma passion était si fastueuse que j’aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n’ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc. C’est ma compassion pour ces animaux si dénigrés qui a éveillé mon intérêt pour toi. Tu étais le grand persécuté, le bouc émissaire.
Je me suis sentie obligée de prendre ta défense pour dire : "Les porcs ont le droit d’être des porcs. Une société qui met ces créatures en prison aux seuls motifs qu’ils ont des goûts propres à leur espèce n’est pas une société libre et juste." […]
"Tu te comportais comme un méchant porc. Tu n’étais plus la victime de la société mais mon agresseur, mon bourreau. Je me disais : 'A quoi bon continuer de le traîner de tribunal en tribunal, de viol en viol ? Il serait plus utile transformé en jambon. Il pourrait nourrir les contribuables au lieu de leur coûter tant d’argent'."

"Voilà ta véritable faute, ton unique faute impardonnable. Tu as prétendu que tu étais prêt à donner ton sang pour la patrie quand en vérité tu te serais servi de cette patrie pour verser ton sperme inépuisable.
Tu aurais transformé l’Elysée en une géante boîte échangiste, tu te serais servi de tes assistants, de tes larbins, de tes collaborateurs et de tes employés comme de rabatteurs, d’organisateurs de partouzes, d’experts dans l’art de satisfaire tes pulsions les plus obscures. […]
Pour cette faute tu seras toujours honni, maudit, méprisé, mis au ban par la douce France qui avait mis tant d’espérances en toi. Rien ne sera en mesure de te relever, aucun non-lieu, aucun accord. La politique te sera à jamais fermée. […]"

Ce qui s’est passé dans cette chambre devenue légendaire ne peut se comprendre si l’on ne se met pas dans la tête d’un cochon authentique et véritable. D’un cochon qui prend une femme de ménage pour Catherine Deneuve dans "Belle de jour". Seul un cochon peut trouver normal qu’une misérable immigrée africaine lui taille une pipe sans aucune contrepartie, juste pour lui faire plaisir, juste pour rendre un humble hommage à sa puissance.
Et la pauvre est revenue dans la chambre pour voir si tu lui avais laissé un quelconque pourboire mais il n’y avait rien. Même pas un mot, même pas une fleur. La femme de chambre a été horriblement offensée mais elle n’a pas été violée.
Voilà comment j’avais vu les choses depuis mon appartement où j’écris et je lis nuit et jour. […]

"Très peu de gens savaient que ta femme avait fait de toi son caniche. […] Tu ne pouvais pas envisager de la quitter parce que cette vie de luxe-là, c’était impossible d’y renoncer. […] Tu étais devenu son caniche, un macho qui se sent un misérable caniche. Et plus elle faisait semblant de ne pas se rendre compte que tu étais enchaîné à elle par son argent, plus elle te possédait, plus elle te soumettait à cette humiliation, à cette terrible prostitution. Elle avait ce rêve d’être l’épouse d’un président. […]

Un jour de mars, au plus dur de ta chute, tu m’as dit : 'Je me suis trompé. Ma vie a été une terrible erreur. J’aurais pu faire tant d’autres choses de cette vie-là.' […] Ce jour-là tu croyais vraiment que cette vie-là n’était pas la bonne vie pour toi. 'Mais quelle vie crois-tu que j’aurais dû avoir ?', m’as-tu demandé. […]

"Il faudrait que le cochon, au lieu d’être ton inférieur, ton prisonnier, ton esclave, ton arme, devienne ton maître. […] Ce jour-là tu […] transformeras ton sperme en encre. Tu pourras enfin te débarrasser de toutes les entraves qui s’interposent entre ton désir et ton plaisir […] C’est seulement alors, mon merveilleux cochon, mon amour, ma sublime créature animale, que tu sauras ce que jouir veut dire." […]





Dominique Strauss-Khan a écrit une lettre ouverte à Jean Daniel, cofondateur du Nouvel Observateur :
Cher Jean Daniel,
A la lecture du Nouvel Observateur de ce jeudi, je suis saisi d’un double dégoût. Celui que provoque le comportement d’une femme qui séduit pour écrire un livre, se prévalant de sentiments amoureux pour les exploiter financièrement et, ce faisant, abondant dans le sens des médias que naguère elle critiquait vertement.
Au-delà du caractère fantasmatique et donc inexact du récit, c’est une atteinte méprisable à ma vie privée et à la dignité humaine. Peut-être le dégoût est-il plus grand encore à l’égard du Nouvel Observateur qui, inquiet de perdre des lecteurs, et on comprend pourquoi, imagine son salut en s’avilissant dans une publication commerciale et crapoteuse qu’on croyait réservée à la presse de caniveau. L’ancien « grand journal de la conscience de gauche » vient de sombrer dans une opération qui donne la nausée.
Dans ces conditions, j’ai demandé à mes avocats d’étudier toutes les voies légales pour combattre cette abomination. »
De la "recherche" universitaire financée avec nos impôts ?



Marcela Iacub dans Ce soir ou jamais et sur France Info :

 http://www.youtube.com/watch?v=pdPg65KIwq8&feature=player_embedded#!

« Un enfant a besoin d’un père et d’une mère ?
– C’est un présupposé naturaliste ridicule !
 »

« Hitler et Mussolini sont tous nés d’un couple hétérosexuel. »

« Les mots “père” et “mère” vont être substitués par le mot “parent”. »

« Le pire ennemi de la femme, c’est l’enfant, c’est la famille. »

« Vous avez un enfant ?
– J’ai un chien.
 »

Un portrait de DSK, avec qui elle a eu une liaison, en "cochon sublime"...sic...



Aucun commentaire: