Vu le ministre libyen retrouvé mort dans les eaux du
Danube et qui était au courant des vols des brevets et royalties
Ferraye, nous demandons à tous les autres responsables pétroliers du
monde ou à toute autre personne de signaler des faits ou des documents prouvant le vol des brevets
Ferraye à partir de 1991.
DSK impliqué ? TF1 censuré sus sa demande !
http://www.youtube.com/watch?v=pyN4600EWnE
Ultime révélation sur l’affaire
DSK, la blonde qui était avec lui dans la nuit du Sofitel, serait la
femme de Descoing, le directeur de sciences Po trouvé mort,
mystérieusement, dans son hôtel de New-York.
Lequel Descoing aurait été
appelé à faire partie du gouvernement DSK…
http://sos-crise.over-blog.com/article-affaire-dsk-richard-descoings-strauss-kahn-kadhafi-quels-liens-104283568.html
Dites-moi, au sujet de ce Kadhafi, qui voulait aider la campagne de
Sarkozy, et s’il avait aussi voulu aider celle d’Obama ?
Et s’il avait été
au courant pour les histoires de Ben Laden ? Et du 11 septembre ???
Ne pensez pas que vous suivez une élection ordinaire comme au temps
des Giscard et des Mitterrand. Là où la fraude était banale mais quand
même pépère.
Ici nous sommes dans un autre monde. Al Capone, saint de notre temps, veille sur nous !
Sarko, n’en doutons pas est prêt à tout pour garder son job. A TOUT.
Et, je voudrais dire à tous ceux qui s’excitent comme des puces sur
ce forum et ailleurs en disant « Votez Hollande ! Chassez Sarko » que
celui-ci a quand même l’arme de décision massive à savoir un ministère
de l’intérieur responsable des résultats des élections en particulier de
ceux des fameuses machines à voter.
Voilà, selon moi, la raison de son adjuration finale aux électeurs
FN . Non pas pour les convaincre, il s' en fiche, mais pour avoir un
argument quand il faudra qu’il explique un pourcentage non négligeable
de voix qui se sont mystérieusement, portées sur son nom et l’auront
élu. Il aura convaincu le FN !
Actuellement sous nos yeux une production avec beaucoup de moyens : Sarko contre NWO.
Qui va gagner ?
Sarko sera-t-il le Ben Ali, le Moubarak, le Kadhafi de nos contrées, débarqué par ses maîtres ?
Ou va-t-il réussir à Guéantiser ces élections ?
Pauvres impuissants que nous sommes, occupons-nous quand même de ces machines à voter.
Aujourd’hui je demande au ministère de l’Intérieur la liste
actualisée des villes qui jouissent d’un vote électronique. Et il paraît
que le ministre de l’Intérieur refuse de donner ce renseignement.
Voyons.
L’enquête continue…
Ce que tu peux faire, fais-le.
Tout est à faire. On le fera !
Affaire DSK: la fameuse blonde était la femme de Richard Descoings
Dans l'entre deux tours de la Présidentielle, il est grand temps que des vérités sortent. Voici notre
première.
Petit rappel: Strauss-Kahn travaillait avec Kadhafi pour créer une nouvelle monnaie capable d’aider les pays pauvres et
en voie de développement, une monnaie qu’il devait annoncer à Deauville deux semaines après son arrestation à New York. A lire
L’on apprend aujourd’hui et sans surprise qu’il devait se présenter aux élections présidentielles le 15 juin 2011.
WikiStrike mène l'enquête depuis l'affaire Descoings, et nous avons fait quelques belles trouvailles.
L’ancien directeur de Science Po retrouvé mort dans son hôtel à New-York (aussi), Monsieur Richard Descoings, devait entrer
dans le gouvernement DSK. Cette info nous parvient de l’un de ses proches qui préfère rester anonyme.
Il était même envisagé que DSK le nomme 1er ministre !
Ils
sont deux amis proches qui se voient régulièrement aux Etats-Unis. Par
ailleurs, les femmes travaillent ensemble !
Oui oui, Anne Sinclair est présidente du Conseil d'administration
de la Fondation Science-Po en compagnie de la Femme de Descoings, Nadia
Mank, qui est directrice en charge des partenariats et
du développement des affaires !
Mais ce qui devient vraiment intéressant, c’est que la femme qui a déjeuné avec DSK la veille au soir de la folie subite
DSKnienne un peu Kafkaïenne était… Madame Descoings ! Madame Mank ! (la fameuse blonde).
Toujours selon la famille Descoings, on parle bien de meurtre et pas de suicide ni de folie franc-maçonne du genre beuverie,
drogues, femmes, et compagnie…
R. Descoings était le lien de DSK en France dans l'affaire libyenne.
Et si DSK n’a plus le droit à la parole, R. Descoings l’avait encore…
Information importante: La femme de Descoings a reçu des menaces de mort.
NEW-YORK: Samuel Jenkins pour WikiStrike
Pour tout complément d'infos, veuillez vous adresser à Sarkozy. Avec DSK, notre petisident aurait eu moins de chance.
Par ailleurs, sa non-victoire entrainera des vérités
http://www.alterinfo.net/Affaire-DSK-la-fameuse-blonde-etait-la-femme-de-Richard-Descoings_a75365.html
Les Etats-Unis éliminent DSK pour faire échouer son projet d’une nouvelle
monnaie qui
devait aider les pays pauvres.
http://www.wikistrike.com/article-les-etats-unis-eliminent-dsk-pour-faire-echouer-son-projet-d-une-nouvelle-monnaie-qui-devait-aider-l-75011948.html
On
ne peut comprendre la chute de Dominique Strauss-Kahn sans la replacer
dans le contexte du projet qu’il
incarnait de création d’une nouvelle monnaie de réserve
internationale prévue pour aujourd’hui 26 mai 2011. Un projet
paradoxalement attendu par les États émergents tout autant que par la
Grèce
et autres pays en difficulté, mais refusé par le complexe
militaro-industriel états-unien.
Les
Français ont assisté avec stupeur à l’arrestation aux États-Unis du
leader politique le plus populaire chez
eux, Dominique Strauss-Kahn. Ancien ministre de l’Économie, l’homme
était devenu le haut fonctionnaire le mieux payé au monde (salaire de
base annuel, hors primes et frais : 461 510 USD) et
s’apprêtait, disait-on, à briguer la présidence de la République.
Cette personnalité chaleureuse, connue pour son appétit à table et au
lit, parfois accusé de faire de la politique avec
dilettantisme tant il aime prendre le temps de jouir de la vie, est
accusée d’avoir violé précipitamment une femme de chambre dans un hôtel
de Manhattan. Indépendamment de toute considération sur
son innocence ou sa culpabilité, le broyage d’une si haute
personnalité ne peut que provoquer l’angoisse chez le simple citoyen :
si celui-là ne parvient pas à se défendre, alors comment
pourrions-nous espérer le faire si nous étions accusés comme lui ?
L’ascension et la chute
Cependant
les Français étant un peuple politisé, nourri des leçons de Machiavel
sans jamais
l’avoir lu, n’ont pas tardé à s’interroger sur le bien-fondé de
l’accusation portée contre leur concitoyen, DSK. À 57 %, selon des
sondages d’opinion, ils n’ont pas cru cette histoire de rut
que les médias états-uniens se délectent à raconter. Les uns se sont
mis à imaginer les scenari possibles de manipulation, tandis que les
autres se demandaient « Cui
bono ? » (À qui profite le crime ?). À ce jeu là, le premier
nom qui vient à l’esprit est celui de Nicolas Sarkozy. Comment ne pas y
penser lorsque l’on se souvient qu’il est
devenu président en portant plainte contre son principal rival,
Dominique de Villepin, et en l’empêtrant dans une affaire toute aussi
rocambolesque de faux documents. Alors, pourquoi pas un
nouveau complot pour écarter un nouveau concurrent ?
Et
peu importe que les deux hommes aient eu besoin l’un de l’autre pour
préparer les prochains sommets
internationaux, ni qu’ils aient été tous deux inféodés au suzerain
états-unien. On sait bien que les pires crimes exigent le sang des amis
ou mieux des parents. Au demeurant, les Français
ignorent les attaches de DSK, comme ils ignoraient celles de Nicolas
Sarkozy lorsqu’ils l’ont élu. Jamais la presse ne les a informés que,
dans les années 90, au cours de sa traversée politique
du désert, il avait été engagé comme professeur à l’université de
Stanford par une certaine… Condoleezza Rice. Ils ne savent pas non plus
que lui et ses lieutenants Pierre Moscovici et
Jean-Chrisophe Cambadélis furent chargé du financement du Parti
socialiste et de la Fondation Jean-Jaurès par la National Endowment for
Democracy —façade légale de la CIA—. Ils n’ont pas suivi
ses nombreux travaux et contrats avec les think tanks atlantistes,
le German Marshall Fund of the United States ou le Groupe de Bilderberg.
En définitive, ils ne savent rien de son
engagement pour l’intégration de la France et de l’Europe au sein
d’un grand marché transatlantique dominé par les États-Unis.
Les
Français n’en savent pas plus sur ses liens étroits avec Israël. Il
pilote au sein du Parti socialiste le
Cercle Léon Blum, du nom d’un ancien Premier ministre juif. Ce
discret et puissant lobby veille à écarter de la scène politique tout
individu qui contesterait le projet sioniste. Ainsi fait-il
tomber des têtes, comme celle du politologue Pascal Boniface qui
soulignait le caractère électoralement contre-productif d’un soutien à
Tel-Aviv dans un pays où 10 % de la population est de
culture arabe. DSK ne se cache pourtant pas. Il déclare sans
ambage : « Je considère que tout juif de la diaspora et de France
doit apporter son aide à Israël. C’est d’ailleurs la
raison pour laquelle il est important que les juifs prennent des
responsabilités politiques. En somme, dans mes fonctions et dans ma vie
de tous les jours, à travers l’ensemble de mes actions,
j’essaie d’apporter ma modeste pierre à la construction d’Israël. »
Bizarre pour quelqu’un qui brigue la présidence française. Peu importe,
il est si jovial. Néanmoins, rien n’aura été
épargné à Dominique Strauss-Khan et à ceux qui l’aiment : pendant
qu’il était placé en garde à vue, puis en détention préventive, sans
jamais avoir l’occasion de s’exprimer, le procureur de
New York faisait distribuer aux médias un acte d’accusation
détaillé.
Le choc culturel
On
ne sait qui est le plus traumatisé : le brillant économiste qui devait
sauver l’humanité de la crise
financière et se trouve soudain ravalé au rang d’infâme criminel, ou
le peuple qui aspirait au repos et envisageait de le choisir pour chef,
et se voit contraint d’observer une fois de plus la
violence des États-Unis. À ce sujet, les Français cherchent des
excuses au système judiciaire anglo-saxon qu’ils découvrent. Certes, ils
avaient déjà vu cette parodie de justice dans des séries
télévisées, mais ils n’avaient jamais cru que cela exista pour de
vrai. Et du système extra-judiciaire, de Guantanamo et des prisons
secrètes, ils n’ont jamais rien voulu savoir. Quelques
commentateurs ont tenté d’expliquer la dureté de la police et du
premier juge comme une volonté de traiter à égalité les puissants et les
faibles. Ils ont pourtant tous lu les travaux d’illustres
sociologues montrant que dans ce système inique l’argent est roi, et
la justice est de classe.
les français ont aussi accepter sans broncher les reproches de la presse
anglo-saxonne. Tout cela est la faute de la presse française,
pouvait-on lire, qui n’a pas enquêté sur la vie
sexuelle débridée de M. Strauss-Kahn au nom du respect de sa vie
privée. Pourtant, poursuivent les puritains, celui qui séduit
ostensiblement les femmes, voire les presse, parfois les bouscule, est un violeur potentiel. « Qui vole un œuf, vole un bœuf ! ». En couverture, Time
Magazinereprésente DSK et ceux qui lui ressemblent sous la
forme d’un cochon. Nul n’a relevé que l’accusé était directeur du FMI et
vivait à Washington depuis 3 ans sans que la presse
anglo-saxonne donneuse de leçon ait, elle, enquêté sur ses supposés
vices cachés.
L’accusation
ayant ouvert le soupçon, chacun se souvient —mais un peu tard— qu’en
2002 DSK avait tenté de
forcer une belle journaliste, Tristane Banon. Lorsqu’elle lui avait
demandé un entretien, il l’avait invitée dans un appartement
particulier, situé dans le quartier historique du Marais à Paris.
Il avait accueilli la jeune femme dans un grand loft, dénué de tout
meuble, excepté un grand lit. Et comme la belle ne cédait pas au
libertin, il l’avait frappée.
Peut-être à New York, cette violence avait-elle submergé le galant homme et l’avait-elle transformé en criminel ?
Rien
ne permet de l’imaginer, d’autant que DSK n’est pas un célibataire
frustré. Il est marié à une star de la
télévision, Anne Sinclair, qui fut la journaliste préférée des
Français avant d’abandonner son métier pour l’accompagner, lui, dans sa
carrière. Les Français l’ont retrouvée au Tribunal lorsque
Dominique Strauss-Kahn comparaissait, toujours aussi belle et
volontaire, malgré les années de plus. Petite fille d’un grand marchand
d’art, elle dispose d’une confortable fortune familiale. Sans
hésiter, elle était venue de Paris pour payer un million de dollars
de caution et offrir cinq millions de dollars de garanties bancaires
supplémentaires. En cet instant, cette femme d’argent
était prête à tout céder pour arracher son époux des mâchoires
écrasantes de la justice états-unienne. Elle n’en était que plus
admirable. C’est qu’elle ne lui faisait pas grief de ses
incartades, elle qui aimait à l’accompagner à la Chandelle, un club
échangiste parisien.
Dans
toute nation digne de ce nom, on n’aurait pas supporté de voir une
personnalité qui était pressentie pour être élue président et incarner
le pays apparaître menottée entre des sbires du FBI, jeté
à l’arrière d’une voiture comme un malfrat, exhibé devant un
tribunal sans avoir la possibilité de se raser. On aurait probablement
fait le siège de l’ambassade US en chantant des hymnes
patriotiques. Pas en France. On y admire trop les « Américains ». On les contemple comme le lapin hypnotisé par le serpent cobra. Et l’on a du mal à admettre que l’on n’est pas
le centre du monde, que si complot il y a, il ne s’est pas tramé aux bords de la Seine, mais sur les rives du Potomac.
La séquestration
DSK
est-il coupable de viol ou victime d’une machination ? Il suffit de
réfléchir pour répondre à la
question. L’accusé aurait passé la nuit en compagnie d’une
call-girl. Il aurait violé la femme de chambre au brunch matinal, puis
se serait rendu paisiblement déjeuner avec sa fille, étudiante à
Columbia University. Enfin, il aurait été prendre son avion réservé
plusieurs jours à l’avance pour aller rencontrer la chancelière Angela
Merkel à Berlin. C’est confortablement assis dans un
avion d’Air France qu’il a été appréhendé, dix minutes avant le
décollage.
Selon le personnel naviguant, les policiers de l’Unité spéciale pour les victimes (celle du
feuilleton Law and Order SVU) n’ont pas
demandé à leurs homologues de l’aéroport de procéder à l’interpellation,
mais ont tenu à la réaliser eux-mêmes malgré le risque
d’arriver trop tard. Pour éviter que DSK ne soit prévenu, ils ont
par contre demandé que l’on brouille les téléphones portables dans cette
zone de l’aéroport le temps nécessaire à leur venue. Or,
un tel brouillage n’est pas de la compétence d’une brigade mondaine.
Ceci est bien une affaire de sécurité nationale.
Lorsque
le suspect a été placé en garde à vue, il a été coupé de tout contact
extérieur, hormis avec ses
avocats, ainsi que le prévoit le droit états-unien. Mais lorsque la
juge Melissa Jackson l’a mis en détention provisoire, il a encore été
coupé de l’extérieur. Sans raison. La détention avait-on
expliqué est nécessaire car le prévenu pourrait fuir en France, Etat
avec lequel Washington n’a pas conclu de traité d’extradition et qui a
protégé un autre prévenu accusé de viol, le cinéaste
Roman Polanski. Cette décision n’avait pas été prise pour isoler
l’accusé et l’empêcher d’influencer des témoins. Cependant la juge avait
décidé de le faire enfermer à Rikers Island, une des plus
importantes prisons du monde avec 14 000 détenus, et l’une des plus
sombres. Un enfer sur Terre. « Pour sa protection », on l’avait alors
gratifié d’une chambre individuelle et mis
au secret. Au total, durant 10 jours, le directeur général du FMI a
été séquestré. Pendant 10 jours, le fonctionnement de l’institution
internationale a été bloqué faute de signature. Pendant 10
jours, les problèmes de l’euro et du dollar, la faillite de la
Grèce, et bien d’autres enjeux ont été suspendus au bon vouloir de
policiers, de juges et de matons.
Selon
la
jurisprudence états-unienne, DSK qui n’a pas d’antécédents
judiciaires et qui est domicilié à Washington, n’aurait pas dû être
placé en détention préventive, mais aurait dû bénéficier d’une
liberté sous caution. Il a probablement vite analysé la situation.
Par l’intermédiaire d’un de ses avocats, il a réussi à faire parvenir au
FMI une lettre de démission. Le lendemain même, contre
toute attente, un nouveau juge accédait à sa demande de remise en
liberté surveillée. Il n’était en effet plus utile de le maintenir sous
écrou puisque le FMI avait recouvré sa capacité à
agir.
Christine Lagarde, ministre française de l’Économie qui a fait carrière
aux États-Unis en défendant les intérêts du complexe
militaro-industriel, est
pressentie pour succéder au prévenu à la direction du FMI, malgré
les cris d’orfraie de la Russie et de la Chine.
Au
fait, son second avocat, Benjamin Brafman, n’est pas venu le voir en
prison et ne s’est pas présenté à la
seconde audience. La star du barreau de New York était partie
précipitamment en Israël. Officiellement pour y célébrer une fête
religieuse en famille. Mais pour exiger ses honoraires, Me Brafman
n’a pas dû se contenter d’allumer les feux de Lag Ba’omer, mais il a
dû négocier de l’aide pour son client.
Le projet Zhou
Pourquoi
donc déployer des moyens hollywoodiens et bloquer le FMI durant 10
jours ? Deux réponses sont
possibles, et elles sont peut-être liées. En premier lieu, le 29
mars 2009, le gouverneur de la Banque centrale chinoise Zhou Xiaochuan a
remis en cause la prédominance du dollar comme monnaie de
réserve. Déplorant que le projet de l’économiste John Maynard Keynes
de créer une monnaie internationale (le Bancor) n’ait pas été
concrétisée à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, il proposa
d’utiliser les Droits de tirage spéciaux du FMI pour jouer ce rôle.
Cédant à la pression, les États-Unis acceptent un triplement des
ressources du FMI et l’émission par le FMI de Droits de tirages spéciaux
(DTS) d’une valeur de
250 milliards de dollars, lors du sommet du G20 à Londres, le 2
avril 2009. Ils acceptent également le principe d’un Conseil de
stabilité financière auxquels seront associés les grands États
émergents.
Cette
idée est discutée au sommet du G8 à L’Aquila (Italie), le 8 juillet
2009. Poussant le pion plus loin
encore, la Russie proposa de ne pas se contenter d’une monnaie
virtuelle, mais de l’éditer. Dmitry Medevedev, qui avait fait frapper
symboliquement des prototypes de cette monnaie, posa quelques
pièces sur la table. D’un côté y figuraient les visages des huit
chefs d’État et de l’autre la devise en anglais « Unity in Diversity ».
Le projet est soumis aux experts de la Division
des Affaires économiques et sociales de l’ONU. Leur rapport, auquel
participe le professeur Vladimir Popov de la New Economic School de
Moscou, est étudié le 25 avril 2010 lors d’une réunion
jointe du FMI et de la Banque mondiale.
Le
processus devait aboutir, aujourd’hui 26 mai 2011, au sommet du G8 à
Deauville (France). Le dollar aurait
cessé d’être la monnaie de référence sur fond d’imminente cessation
de paiement du gouvernement fédéral des États-Unis. Washington aurait
renoncé au financement de son hyper-puissance militaire
par la dette pour se consacrer à sa restructuration interne.
Le grain de sable
Malheureusement,
durant les derniers mois de ce processus, des initiatives militaires et
politiques ont
bouleversé ce plan. Certains États —dont la Russie et la Chine— ont
été floués. L’arrestation de DSK montre que Washington était de mauvaise
foi et que ses concessions ne visaient qu’à gagner du
temps. Bien que le détail exact du montage imaginé par Dominique
Strauss-Kahn pour créer cette nouvelle monnaie de réserve adossée aux
Droits de tirages spéciaux du FMI soit secret, il apparaît
que le Libye y jouait un rôle clé : à titre expérimental, c’est la
Banque centrale libyenne qui la première avait décidé de fonder sa
monnaie, le dinar, sur l’or et au delà sur les DTS. La
chose est d’autant plus importante que la Libye dispose d’un fond
souverain parmi les mieux dotés du monde (il est même un peu plus riche
que celui de la Russie).
Or,
en entrant en guerre contre la Libye, la France et le Royaume-Uni ont
provoqué un gel théorique des avoirs
non seulement de la famille Kadhafi, mais de l’État libyen. Pis,
Paris et Londres ont dépêché des cadres de la banque HSBC à Benghazi
pour créer une Banque centrale libyenne rebelle et tenter de
s’emparer des avoirs nationaux. Sans que l’on sache si Nicolas
Sarkozy et David Cameron se sont laissés emporter par l’ivresse de leur
force ou ont agi sur instruction de leurs mandants à
Washington, le fragile édifice élaboré par Dominique Strauss-Kahn
s’est effondré.
Selon
nos contacts à Tripoli, au moment de son arrestation, DSK partait à
Berlin pour trouver une solution avec
la chancelière Angela Merkel. Il devait ensuite partir avec un
émissaire de Mme Merkel négocier avec des représentants du colonel
Kadhafi —voire avec lui directement—. La signature du Guide
libyen étant indispensable au déblocage de la situation. On assiste
désormais à une guerre financière d’une ampleur jamais égalée : alors
que la situation économique des États-Unis vacille
et que le dollar pourrait devenir rapidement une monnaie de singe,
l’accord conclu au G8 et avalisé au G20, mis en œuvre par le FMI en
coordination avec la Banque mondiale et les milieux
bancaires internationaux dont DSK était le champion, est suspendu.
La domination du dollar est intacte quoique plus que jamais
artificielle ; ce dollar que les États émergents voulaient
relativiser, mais sur lequel le complexe militaro-industriel
israélo-états-unien assoit sa puissance.
Dans ce contexte que vaut l’honneur d’un homme ?
Source Komsomolskaïa Pravda ( Fédération de Russie)
desiebenthal.blogspot.com/.../electionsfraudes-trop-faciles-machines....
21 avr. 2012 – Bonjour Philippe,. Tardivement, j'ai produit l'article sur les machines à voter : ..... François de Siebenthal: Suisse: Fraudes électorales si faciles ...
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desiebenthal.blogspot.com/.../vote-electronique-les-boites-noires-de.h...
26 juin 2009 – François de Siebenthal ... de l'administration et des marchands de machines de vote. ... Posted by François de Siebenthal at 10:53:00 ...
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desiebenthal.blogspot.com/.../paris-journee-creation-monetaire.html
23 févr. 2012 – François de Siebenthal: Création monétaire du néant à intérêts . ... Posted by François de Siebenthal at 12:06:00 . .... Machines à voter.
La
version originale de cet article étant parue dans un grand quotidien ne
comprenait pas de notes de bas de
page. Celles-ci ont été ajoutées par la rédaction du Réseau
Voltaire pour faciliter l’approfondissement du sujet par les lecteurs.
[6] Série télévisée de Dick Wolf pour NBC, diffusée en France sous le titre New York, unité spéciale et au Québec sous le titre La Loi et l’Ordre :
Crimes sexuels.
[12] « Plan de réforme du système financier
international » (Extrait du rapport « World Economic and
Social Survey 2010 : Retooling Global Development »), par Christina
Bodouroglou, Nazrul Islam, Alex Julca,
Manuel Montes, Mariangela Parra Lancourt, Vladimir Popov, Shari
Spiegel et Rob Vos Réseau Voltaire, 6 juillet 2010.