samedi 29 mai 2010

Nouveau procédé de catalyseur pour purifier les effluents notamment des chauffages domestiques.

 

Brevet contre la pollution.

Nouveau procédé de catalyseur pour purifier les effluents notamment des chauffages domestiques.

Il a trait à toute installation, même à l'air libre, à l'industrie pétrochimique et au chauffage. Elle peut aussi s'appliquer à la purification de l'air en dehors de tout chauffage et pour un coût très modique.

J'en suis déjà au troisième prototype qui fonctionne parfaitement depuis deux ans et qui a déjà été testé à entière satisfaction.

L'exploitation commerciale de cette invention étant d'ores et déjà planifiée pour aider à respecter le protocole de Kyoto et l'agenda 21.

Installations notamment de chauffage de 1,5 à 20.000 kW et plus

Elle permet notamment un « rebrûlage » par une forme en tube dans l'axe du foyer ou toute autre forme résistante aux flammes en présence de substances catalytiques ( titane, zirconium, terres rares), et de rayonnements Ultra violets, c.-à-d. une réaction au cours de laquelle notamment le NO s'est décomposé notamment en azote moléculaire neutre. Avec le mazout léger par exemple, on détruit notamment ainsi une bonne partie des NO x provenant du réchauffeur d'air et que la formation de NOx d'origine thermique par la suite n'entraîne qu'une modeste augmentation par rapport à la quantité à l'admission.

Le monoxyde de carbone (CO) provient de la combustion incomplète d'un combustible, à l'opposé du CO2 - qui contient deux atomes d'oxygène, et non un, pour un atome de carbone) qui est le produit d'une combustion complète. Le taux de monoxyde de carbone dans les gaz de combustion sert dès lors à mesurer la qualité de la combustion qui s'améliore grandement, ainsi que les taux de suie, de O2 et des polluants ci-dessous;

Goudron et hydrocarbures

Tout comme le CO, les hydrocarbures polyaromatiques et autres hydrocarbures simples proviennent d'une combustion incomplète; ce sont en quelque sorte les prédécesseurs du CO. La combustion incomplète émet dans l'air des substances extrêmement nocives, telles que le benzène, le toluène, le xylène, le benzopyrène, dibenzothiophène, l'anthracène, ...

La pollution due au chauffage des ménages représente une part non négligeable de ce genre de pollution.

Quantitativement, la principale substance rejetée est le dioxyde de carbone qui, avec la vapeur d'eau, sont source d'inquiétudes en raison du réchauffement mondial. Parmi les autres substances, celles qui préoccupent généralement le plus sont les oxydes de soufre, les oxydes d'azote et les particules. Parmi les autres émissions courantes figurent celles d'oxyde de carbone, de composés organiques volatils (COV), d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et, à l'occasion, de composés chlorés comme HCl. L'examen servira à éclaircir les relations entre ces émissions, le type de combustible et les conditions de combustion.

Émissions de SO2 et de SO3

Dans les appareils au mazout, on peut s'attendre à ce que la majeure partie se retrouve dans les gaz de combustion sous la forme SO2, de 1 % à 3 % du soufre dans le mazout peut être oxydé en SO3. Une petite partie peut réagir avec le métal de la chaudière, les dépôts qui se sont formés dans le foyer et l'échangeur de chaleur et les constituants des cendres du combustible. Les émissions de SO2 caractéristiques de mazouts de différentes catégories et teneurs en soufre montrent que pour les mazouts d'usage courant, dont la teneur en soufre peut atteindre 2 % en masse, les émissions de SO2 vont d'environ 100 à 1 000 ppm en volume sur une base sèche pour les gaz d'émission, normalisées à 3 % de O2 dans les gaz d'émission.

Émission de NOX

L'expression NOx englobe les gaz suivants : l'oxyde nitrique (NO) et le dioxyde d'azote (NO2). Des deux, le NO est l'espèce dominante formée au cours des procédés de combustion, mais après avoir été rejeté dans l'atmosphère, il s'oxyde pour se transformer en NO2. NOx d'origine thermique Aux températures élevées qu'atteignent les flammes, certaines molécules d'oxygène et d'azote de l'atmosphère se dissocient en des formes atomiques très réactives qui peuvent se recombiner pour former NO. Cette réaction se produit dans une certaine mesure quand un combustible brûle et elle est la principale réaction qui a lieu quand on brûle des combustibles comme le gaz naturel qui ne renferment pas d'azote organique. On peut réduire voir supprimer les NOx par notre dispositif catalytique en abaissant la température de la flamme et en limitant le plus possible l'excès d'air au cours de la combustion.

NOx du combustible

Ils résultent de l'oxydation d'azote organique présent dans le combustible qui provient de composés aromatiques comme les amines et la pyridine. Les mécanismes sont nombreux et complexes mais des radicaux comme HCN et NH sont d'importants précurseurs. Les conditions d'une chauffe riche en combustible favorisent les mécanismes qui s'opposent à la formation de NO et peuvent décomposer celui qui s'est formé.

NOx spontanés

On les appelle ainsi parce qu'ils se forment au début du procédé de combustion, qu'ils résultent de la réaction de l'azote atmosphérique avec des radicaux d'hydrocarbures formés au cours du craquage du combustible.

Catalyseurs

La post-combustion des gaz à l'aide de catalyseurs reste la meilleure méthode (titane, zirconium, terres rares, émission d'ultra violets par diodes, lampes etc pour favoriser la catalyse). Très semblables à ceux utilisés au départ sur les voitures avec une structure par exemple en nid d'abeille en céramique ou terres réfractaires couverte d'une fine couche de catalyseurs qui favorisent la combustion en présence de marbre ou de substances analogues. Dans tout dispositif de chauffage, c'est la meilleure manière d'obtenir les gaz de combustion les plus propres. C'est aussi possible de mettre ces mêmes dispositifs à l'air libre, en face du soleil, et de purifier ainsi l'air pollué sans autre énergie que celle du soleil.. .


Copyright , François de Siebenthal, Lausanne

vendredi 28 mai 2010

Linceul de Turin. Preuves peu connues.

Du point de vue scientifique il faut savoir notamment qu'un fait passionnant, encore peu connu, est intervenu lors de la réfection du Linceul en 2002 : selon les experts (mais pas encore selon Turin et le Vatican !), une faible image de la Sainte Face et des mains du Christ a pu être photographiée sur le côté arrière du Linceul, très similaire – mais pas identique - à l'image bien connue sur le devant.

Les professeurs Oswald Scheuerman et Giulio Fanti ont pu déterminer que ces images ne peuvent être venues d'autre chose que d'une irradiation ou une décharge électrique extrêmement contrôlée émanant du Corps. Pour que cette image puisse se former, uniquement par un brunissement superficiel de quelques brins extérieurs du lin sur chaque côté du lin, il aurait fallu pour chaque côté 14.000 Laser à tir orthogonal avec 60 à 100 millions de Volt, et cela pendant une nano-seconde, et tout cela en émanant d'un corps censé mort. A-t-on jamais vu un corps mort rayonner ? C'est la preuve matérielle de la RÉSURRECTION !

Ahurissant ! Depuis 8 ans que les autorités et Turin et du Vatican ont du mal à assimiler cette découverte ; pour l'instant ils ne savent pas mieux que d'assurer : « Il n'y a pas d'image sur le côté arrière du Linceul », en dépit de toute évidence scientifique (cf. la photo ...ci-contre ).


Un mathématicien a calculé que l'improbabilité d'un faux, prônée par la télévision française et d'autres imbéciles, est de 200 milliards à 1. Le fait de la 2e image, sur le côté arrière, multiplie ce taux de 200 milliards de nouveau par lui-même. Dorénavant il faut plus de « foi » pour croire à l'inauthenticité du Linceul de Turin que de croire en son authenticité. Il faut dire aussi, si vous permettez, que Dieu a beaucoup d'humour face aux bêtises humaines aussi bien dans le domaine scientifique (Carbone 14) que dans le domaine religieux (le Linceul n'est qu'une « icône »). Dieu met une couche en plus, au grand étonnement de tous. Le « mystère continu » du Linceul ne s'arrête pas. Quand apprendrons-nous enfin à croire en Dieu, à Lui faire confiance et à L'aimer ?

source: RU



Le Saint Suaire et la zététique

La zététique... Un nom bien étrange qui ne vous dit certainement rien. Et pourtant, aux personnes soucieuses de connaître et défendre le vrai, elle donne du fil à retordre cette zététique ! C'est tout simplement la science qui s'attache à l'étude des phénomènes paranormaux pour leur trouver une explication rationnelle... ou les nier. Et le Saint Suaire est un morceau de choix sur lesquels ces chers zététiciens se déchaînent. En témoigne le dernier numéro de Science et Vie, revue de vulgarisation scientifique, dans laquelle l'authenticité du Saint Suaire est mise à mal. Il faut dire que Science et Vie se sent investi d'une mission colossale : « signaler les travaux qui, sous couvert de science, contribuent à la dévoyer ». D'où un article lapidaire qui réaffirme une nième fois la fausseté du linceul de Turin, preuves scientifiques à l'appui bien entendu ! Si vous croyez encore au Saint Suaire après la lecture de cet article, c'est que forcément, vous êtes idiot ou fanatique. C'est du moins ce qu'en conclut le français moyen, tout content de ne se découvrir ni idiot, ni fanatique, car bien évidemment, il savait déjà que le Saint Suaire était un faux et cet article ne fait que le conforter dans son opinion solidement établie. Bref, voilà un article qui vaut le détour pour un amoureux du vrai tant les techniques de subversion y sont présentes. C'est aussi l'occasion pour nous de rappeler brièvement quelques preuves de l'authenticité du Suaire et de revenir sur la datation au carbone 14 sur laquelle s'appuient toutes les négations du Suaire.

 

Science et Vie n'y va pas par quatre chemins, et prend radicalement parti pour la thèse du faux. Dès le titre, le ton est donné : « La science aveuglée par la passion - Depuis 1988, la messe semblait dite : daté au carbone 14, le suaire de Turin, supposé avoir enveloppé le corps du Christ, avait avoué son âge : moins de 800 ans : Or, des scientifiques s'obstinent pourtant à clamer son authenticité, travaux à l'appui. Au risque de trahir la science qu'ils sont censés servir. » Et les pages qui suivent sont de la même veine : on s'attache à y démolir ces malheureux scientifiques égarés par leur passion pour le Saint Suaire. On les ridiculise tout d'abord : quel est l'intérêt que le coup porté par la lance l'ait été du côté droit ou du côté gauche ? Voilà qui ne justifie pas, aux dires de la journaliste, les heures de colloque, de discussions, de recherches scientifiques. Pour en être réduits à de telles extrémités, il faut vraiment que ces scientifiques aient perdu le sens commun. Ridiculisés, donc décrédibilisés...

Ridiculisé lui aussi un livre [1] concluant à l'authenticité de la relique, livre « destiné au grand public ». Il est vrai que ce n'est pas le cas de Science et Vie, revue destinée à une élite...

On n'hésite pas à extraire des phrases de leur contexte, rejetant ainsi aux fins fonds des oubliettes un autre ouvrage sur le Saint Suaire [2]. Raymond Rogers, scientifique venant de publier un article dans une (vraie) revue scientifique, décrivant une nouvelle méthode de datation, basée sur le taux de vanilline, composé chimique présent dans le lin et se dégradant avec le temps, se voit lui aussi sérieusement écorché : il faut dire que ses travaux l'ont fait conclure à un tissu datant de 2000 ans... Une telle affirmation lui vaut une sévère critique dans laquelle on n'hésite pas à remettre en cause sa compétence et son honnêteté scientifiques : « ses équations sont truffées de coquilles ».

Le mensonge n'est pas oublié : on y affirme, preuve à l'appui, que la vaporographie (c'est-à-dire une réaction chimique entre les aromates utilisés pour ensevelir les morts et la sueur humaine) n'a pas pu produire l'image du Suaire, comme si, actuellement, les partisans du Suaire avaient conclu que la vaporographie était la cause de la formation de l'image. On déclare péremptoirement que la fraude a été attestée par l'Eglise en 1390 : effectivement, un évêque, Pierre d'Arcis, a nié en 1377 la véracité du Suaire. Mais, contrairement à ce qui est écrit, le pape Clément VII n'a pas donné raison à l'évêque, bien au contraire, puisqu'il lui ordonna de garder un silence perpétuel sous peine d'excommunication [3].

Les affirmations gratuites foisonnent dans cet article : l'analyse du sang, concluant à la présence d'hémoglobine sur le Suaire, est tout simplement mise de côté par la petite phrase suivante : « la publication de ces résultats dans une revue de référence (en l'occurrence, X-Ray Spectrometry) ne suffit pas à cautionner leur interprétation. » Au contraire, les détracteurs du Saint Suaire se voient honorés de multiples titres : « Henri Broch, professeur de physique et de zététique à l'université de Nice Sophia-Antipolis ». Cela sonne quand même mieux que « Raymond Rogers, ce chimiste américain, retraité du laboratoire national de Los Alamos de l'université de Californie, ex-membre du Sturp, célèbre organisation... dissoute en 1996. » Ce dernier n'est qu'un vieux radoteur, tandis que Henri Broch, visiblement, est un physicien émérite, au courant, lui, des avancées scientifiques. Le chimiste Walter Mac Crone est quant à lui encensé : « ce spécialiste de l'ultramicroanalyse » (vous savez ce que c'est ? Non ? Moi non plus, mais c'est un nom à rallonge qui en jette au commun des mortels) a publié 3 articles, notamment dans la revue Microscope concluant qu'aucune trace de sang n'était décelable sur le Suaire. Petit oubli de la journaliste : ces analyses ont été fortement remises en cause par la communauté scientifique, et Microscope est une revue appartenant à Mac Crone Association....

Le pompon du pompon est l'inversion de la situation : n'importe quel personne croisée dans la rue vous affirmera avec une bonne foi irréprochable que le Suaire est faux, puisque l'analyse au carbone 14 a conclu à un faux du Moyen Age. Et cette personne ignore bien sûr toutes les autres analyses scientifiques menées sur le sujet. Cela n'empêche pas notre journaliste d'écrire : « Mais alors que les analyses qui ont remis en cause l'authenticité du Suaire sont systématiquement écartées et leurs auteurs diabolisés, les plus contestables continuent d'être médiatisés et leurs conclusions assénées en dogme. » Les pauvres malheureux, on les traumatise, on les martyrise... Ca paraît dément ! Et pourtant, combien de personnes ont entendu parler de cet article à sensation dont les radios se font l'écho ces derniers temps, et combien prennent pour argent comptant les déclarations de Science et Vie, revue scientifique, donc ne pouvant pas se tromper (il est vrai que l'argument du « l'image du crucifié est trop parfaite pour être vraie » est un argument scientifique de haut vol...)

 

N'hésitons pas de notre côté a rappeler autour de nous ce dont nos proches n'ont certainement jamais entendu parler : l'histoire du Saint Suaire et le panel (complet) des analyses qui ont été faites. La première trace du Saint Suaire remonte au Moyen Age : vers 1350, le Suaire est exposé à Lirey, en Champagne. Depuis lors, des documents attestent rigoureusement sa présence en Occident [4]. Il semblerait que le Saint Suaire ne soit autre que le Mandylion, un tissu replié ne laissant voir que le visage, découvert à Edesse en Turquie en 544, transféré à Constantinople en 944, et disparu en 1204 lors du sac de Constantinople. Cette hypothèse s'appuie sur l'iconographie byzantine : les représentations du Christ présentent des similitudes frappantes entre elles à partir de la découverte du Mandylion, suggérant ainsi l'hypothèse d'un modèle commun [5], et ces détails se retrouvent tous sur la face du Suaire.

En 1898, la première photo du linceul révèle une image inconnue, bien plus nette que celle visible jusqu'alors : le Saint Suaire se comporte en fait comme un négatif photographique, et c'est à partir de ce moment que le Suaire, jusqu'alors simple objet de vénération, devient aussi une curiosité sur laquelle se sont penchés de nombreux scientifiques : étude du tissu, de l'image, le tout par des techniques à la pointe du progrès. On montre ainsi que le tissu est un sergé de lin originaire du Moyen-Orient et daté du premier siècle après Jésus-Christ, ayant entouré le corps d'un homme mort par crucifixion.

Le Linceul de Turin retrace de manière impressionnante la Passion du Christ [6] : les Evangiles y trouvent une confirmation éclatante puisqu'on y voit les marques de l'agonie, de la flagellation, du couronnement d'épines, de la crucifixion... le tout avec des détails anatomiques extrêmement précis, inconnus au Moyen Age et qu'un artiste n'aurait jamais pu inventer (par exemple, l'enclouage au niveau des poignets, les sangs veineux et artériel...)

D'autre part, cette image présente des caractéristiques impossibles à refaire : au niveau des yeux, il y a des pièces de monnaie (servant à fermer les yeux des morts), visibles uniquement en grossissant l'image. Ceci a été un moment remis en cause car un des leptons (datés de 29 et 31 après J.-C.) présentait une faute d'orthographe. Ce débat a passionné les numismates jusqu'à ce qu'on retrouve une pièce avec la même faute d'orthographe... Autour du visage, on relève aussi des caractères grecs composant entre autres les mots « Jésus », « le Nazaréen », ce qui accrédite l'authenticité du Suaire.

L'image ne présente en outre aucune trace de pigmentation ni de coups de pinceaux : ce n'est pas une peinture ; c'est à une légère brûlure superficielle des fibrilles du tissu qu'est due la coloration rousse du Suaire. Mais aucune justification n'a été avancée pour expliquer le processus de formation de l'image, et ce d'autant plus que cette image est un négatif photographique codé en 3D : le nombre de fibrilles est inversement proportionnel au carré de la distance séparant le corps du tissu. La formation de l'image reste à ce jour inexpliquée.

Autre mystère : les tâches de sang (apparaissant en clair sur le négatif du Suaire) ; elles sont antérieures à la formation de l'image (elles y ont fait écran), décalées par rapport à l'image, et les caillots comme les fibrilles sont intacts, ce qui est impossible à réaliser : lorsqu'on détache un tissu d'une plaie, on est forcé de déchirer le caillot ou les fibrilles du tissu. Ceci est là aussi inexplicable scientifiquement. Comment un faussaire aurait-il pu réaliser une image aussi nette, avec autant de détails visibles à l'oeil nu, et sans qu'on soit capable de refaire à l'heure actuelle, avec toute la technique dont nous disposons, une image semblable ? Ceci ne tient pas debout, et il faut toute la mauvaise foi de certains scientifiques pour affirmer le contraire.

 

Venons-en donc à la datation au carbone 14. Son principe est relativement simple : tant qu'un organisme est vivant, des particules de C14 viennent se fixer sur lui grâce au rayonnement solaire. A sa mort, ce C14 se décompose lentement en azote, si bien qu'en mesurant le taux actuel de C14 sur un organisme mort (ici, le lin ayant servi à faire le tissu), et connaissant le taux normal de C14 sur les individus vivants, on peut calculer l'âge auquel remonte la mort. Mais ce calcul repose sur des hypothèses irréalisables en pratique : apport constant de C14 par l'atmosphère, conditions de conservation parfaites... Le Saint Suaire a été arrosé plusieurs fois (en particulier en 1532 lors de l'incendie de Chambéry, incendie qui a d'ailleurs bien endommagé le tissu) ; il a été exposé à la vénération publique, donc a été mis en contact avec d'autres organismes vivants, ce qui a pu modifier son taux de C14 [7]. De plus, l'analyse au C14 n'est pas fiable à 100%, loin de là, et les erreurs dont elle est à l'origine sont nombreuses. On pourrait aussi contester le mode opératoire de l'analyse du Linceul au C14, car les laboratoires ayant réalisé cette analyse se sont communiqué les résultats avant de rendre publiques leurs conclusions. Une fraude a donc pu être commise, mais le procédé, en soi caduc, suffit à remettre en cause l'analyse au C14.

Quant à la technique médiévale, présentée par Science et Vie, permettant de fabriquer un suaire, elle est rocambolesque ; il faut d'abord fabriquer un buste de plâtre, y appliquer un tissu mouillé (afin d'épouser parfaitement les formes du plâtre), puis le tamponner avec une solution colorée aux endroits saillants. Le tour est joué, on a une image qui ressemble à celle du Suaire, mais ce n'est pas un négatif photographique (il suffit de voir le négatif que la revue présente pour s'en convaincre, il n'a rien à voir pour ce qui est de la précision et de la finesse des détails avec le négatif de la face du Saint Suaire). Ce n'est pas non plus une image 3D : les « scientifiques » ayant réalisé cette image auraient dû, pour observer une démarche honnête, la soumettre aux mêmes tests que ceux du Saint Suaire avent de hurler à la supercherie.

 

L'article de Science et Vie fait actuellement beaucoup de bruit, mais absolument pas dans le sens développé ici : la thèse du faux y est accréditée par le rejet systématique des analyses effectuées. On y présente par contre des expériences grand-guignolesques, le tout étant orchestré par des scientifiques partant du postulat que le Suaire ne peut pas être vrai et rejetant en bloc les multiples analyses concluant à l'authenticité du Suaire. Il n'y a rien de pire qu'un aveugle qui ne veut pas voir ! Nous avons rappelé ici très brièvement les preuves de l'authenticité du Suaire, n'hésitons pas à les approfondir, car le Saint Suaire est un magnifique témoignage de la Passion et de la Résurrection du Christ, un outil apologétique précieux...

 


[1] L'affaire du linceul de Turin, Denis Desforges, Albin Michel, 2005.
[2] Contre-enquête sur le saint Suaire, Maria Grazia Siliato, Plon, 1998.
[3] La vérité sur le Suaire de Turin, Kenneth Stevenson & Gary Habermas, Fayard, 1981.
[4] Le Saint Suaire - Guide, Gino Moretto, Médiaspaul, 1998. (facile à consulter, concis, avec des photos percutantes)
[5] Le Suaire de Turin, Ian Wilson, Albin Michel, 1978.
[6] La Passion de Jésus-Christ selon le chirurgien, Pierre Barbet, Médiaspaul , 1986.
[7] Le Linceul face au C14, Clercq & Tassot, O.E.I.L., 1988.
[8] Le Saint Suaire. Tome 1. Preuve de la mort et de la résurrection du Christ. Tome 2. Signe de contradiction, Frère Bruno Bonnet-Eymard, CRC, 1988.
[9] Miracle et message du Saint Suaire, Paul Chaussée, Ulysse, 1998.
[10] Science et Vie, N° 1054, juillet 2005.

La démarche de la zététique est l'art du doute, face à un phénomène ses tenants prétendent adopter une attitude sceptique et mener leur étude sans a priori. On y adhère facilement losrqu'il s'agit de fantomes ou d'extraterrestres mais les choses se compliquent lorsque les auteurs abordent des sujets plus sensibles.

Ainsi, pêle mêle on trouvera une remise en cause de l'existence de Jesus, une remise en cause du big bang, une explication farfelue de la nature de l'image du suaire de Turin, une charge contre la psychanalyse et j'en passe.
L'examen de ces sujets plus complexes dévoile au grand jour la démarche du "cercle de zététique": sous prétexte de soutenir une attitude sceptique les auteurs rejettent l'interprétation qui reccueille le consensus (jesus a existé, le big bang décrit les origines de l'univers, la nature de l'image du suaire est connue mais sa formation non expliquée, la psychanalyse a changé notre interpréation des rêves) pour mieux imposer leur point de vue marginal. En effet une posture de scepticisme extrême permet de rejeter les acquis de la science "officielle", celle des revues internationales indépendantes, des comités de lecture. Une fois fait table rase des acquis de la science le champ est libre pour la désinformation.

Je donnerai un exemple (mais la démarche est la même pour les autres sujets), sur le suaire de Turin.
Pour expliquer l'image du suaire de Turin, le dossier du Cercle de Zététique s'appuie sur une unique source, un certain Dr McCrone. Or ce dernier n'a jamais publié un seul article sur le sujet dans une revue indépendante, ni même tenté de soumettre ses travaux à un comité de lecture indépendant. Ses travaux sont publiés par son propre organisme, il a été désavoué par ses pairs sur le sujet et est isolé dans son argumentation. En contradiction avec sa thèse, des dizaines d'articles produits par une équipe multidisciplinaire, internationalement reconnue, et publiés dans des revues indépendantes faisant autorité dans leur domaine.
Cela résume le rejet du cercle de zététique de la science officielle et ses réseaux.
Or je suis désolé mais la sciences se fait dans de tels réseaux de comités de lecture et de revues indépendantes. C'est dans Science, Nature, Applied Optics et autres que les charlatans n'ont pas leur place, que toute supercherie est immédiatement démasquée et son auteur "grillé" par la communauté scientifique. On comprendra alors l'intérêt de la court-circuiter pour les tenants de la zététique.

Bref, un site partial qui ne satisfera que les convaincus pour les renforcer dans leurs a priori. Mais on est très loin de l'impartialité et de l'objectivité tant revendiquée. L'art du doute est au coeur de la démarche scientifique, le cercle de zététique le met en écharpe et le détourne à ses propres fins.

http://www.ciao.fr/Unice_fr_zetetique__Avis_863572

Second Face on the Shroud of Turin

The peer-reviewed journal of the Institute of Physics in London, on April 14, 2004, announced that Giulio Fanti and Roberto Maggiolo, both of the University of Padua, Italy, have found a second face image on the back of the Shroud of Turin. This image corresponds to the front image but is much fainter. And this image, like the front image, is completely superficial to the topmost crown fibers of the cloth.

Because both images are superficial (meaning there is no image or colorant of any kind between the two image layers on the extreme outer faces of the cloth) and because the images are in registry with each other, all so-far-proposed fakery proposals are moot. The images are not paintings and not some form of medieval proto-photography.

When the Shroud was examined in 1978, the backside of the cloth was not accessible. At that time, the Shroud was sewn to a backing cloth. Quoting from the IoP press release of April 14, 2004:

Because the images are extremely faint, the duo [Fanti and Maggiolo] has used an array of image-processing techniques -- including Gaussian filters, Fourier transforms and template matching -- to highlight human features.

They found that the face of the man that can be seen on the reverse of the Shroud matches that observed on the front. The image shows faint details of a nose, eyes, hair, beard and moustache . . . The Italian duo was also able to make out weak images of the man's hands, but could not produce images of his shoulders or back.

These new findings could help to shed light on the origins of the cloth but are more likely to fuel further debate over it. In 1989 (sic 1988), carbon-dating techniques revealed that the Shroud dated from medieval times and therefore could not have been used to bury Christ. However, many scientists have argued that the carbon-dating techniques used to study the Shroud were flawed.

Fanti and Maggiolo are now saying that the Shroud is unlikely to be a fraud because the image of the face is superficial on both sides of the cloth and only involves the topmost fibres of the material. "It is extremely difficult to make a fake with these features," says Fanti.        

While this discover of imaging on the backside of the cloth makes artistic and photographic methods significantly more implausible, it does lend credence to the possibilities that gaseous amines released by the body reacted with the carbohydrate layers. Some gases would have penetrated through the weave of the cloth and reacted with the backside carbohydrate layer. (And it does not rule out miraculous cause or effect).

See:

  The Shroud of Caiaphas: a forensic science mystery



Using new photographs of the reverse side of the Shroud, two researchers at the University of Padua, Giulio Fanti and Roberto Maggiolo, discovered the faint indications of a second facial image that corresponded to the face on the front of the cloth. Their findings were reported in the scientific Journal of Optics published by the Institute of Physics in London (April 14, 2004). This image, like the image on the front side of the cloth, is completely superficial to the topmost fibers of the cloth.

Both images are superficial. There is no image producing colorant between them. This rules out a liquid such as a paint or a dye. But it does not rule out a reactant gas as an agent in the image formation.  

Some have argued that the second face rules out photography. It does not. But it makes it implausible. It would have required that the photosensitive emulsion would have needed to have been superficially on both sides of the cloth and not soaked in and that the light used to make the image was strong enough to shine through the cloth. There are plenty of other scientific reasons to know that the image on the Shroud is not a photograph.

The second face is an important criteria in any attempt to explain how the images were made.

 

The Sudarium of Oviedo and what it Suggests about the Shroud of Turin?

In the northern Spanish city of Oviedo, in a small chapel attached to the city's cathedral, there is a small bloodstained dishcloth size piece of linen that some believe is one of the burial cloths mentioned in John's Gospel. Tradition has it that this cloth, commonly known as the Sudarium of Oviedo, was used to cover Jesus' bloodied face following his death on the cross.

Numerous historic documents tell us that the Sudarium has been in Oviedo since the 8th century and in Spain since the 7th century. It seems, too, to have arrived from Jerusalem. Documents from the late Roman period and the early Middle Ages are often sketchy and prone to chronological mistakes, and those pertaining to the Sudarium are no exception. But from a multiplicity of sources, scholars have extracted core elements of historical certainty and plausibility sufficient for a fair degree of historical reconstruction.

We can be quite sure that the Sudarium came to Oviedo from Jerusalem, and there is some evidence it dates back to the 1st century CE. Its journey to its present location began in 644 CE. when Persians under Chosroes II invaded Jerusalem. To protect the Sudarium, it was moved out of the city to safety. We are uncertain of its route to Spain. It may have been first taken to Alexandria along with numerous other relics (real or otherwise, and stored in a chest or "ark") and from there, in succeeding years, along the coast of North Africa ahead of advancing armies. Some historians have suggested a more direct sea route to Spain, but forensic pollen evidence indicates that the Sudarium was in North Africa, just as the presence of other pollen spores evidences that it was at one time in the Jerusalem environs. Whatever the route, we know that after it arrived in Spain, it was kept in Toledo for about 75 years. For some time after it arrived, it was in the custody of the great bishop and an early-medieval scholar, Isidore of Seville. Then in 718, to protect it from Arab armies, which had invaded Spain only seven years earlier, it was moved northward with fleeing Christians. In 761, Oviedo became the capital of a northern, well-defended enclave of Christians on the Iberian Peninsula and it was to this city that the Sudarium was brought for safekeeping. It has been in Oviedo ever since.

The path of the Sudarium links its origin to the same time and place of the Shroud. Moreover, forensic analysis of the bloodstains suggests strongly that both the Sudarium and the Shroud covered the same human head at nearly the same time. Bloodstain patterns show that the Sudarium was placed about the man's head while he was still in a vertical position, presumably before he was removed from the cross. It was then removed before the Shroud was placed over the man's face.

In 1999, Mark Guscin, a member of the multidisciplinary Investigation Team of the Centro Español de Sindonología, issued a detailed forensic and historical report entitled, "Recent Historical Investigations on the Sudarium of Oviedo." Guscin's report detailed recent findings of the history, forensic pathology, blood chemistry, and stain patterns on the Sudarium. His conclusion: the Sudarium and the Shroud of Turin had been used to cover the same injured head at closely different times. Here are some highlights from Guscin's report:

It seems to be a funeral cloth that was probably placed over the head of the corpse of an adult male of normal constitution. The man whose face the Sudarium covered had a beard, moustache and long hair, tied up at the nape of his neck into a ponytail.

The man was dead. The mechanism that formed the stains is incompatible with any kind of breathing movement.

The man was wounded before death with something that made his scalp bleed and produced wounds on his neck, shoulders and upper part of the back.

The man suffered a pulmonary edema as a consequence of the terminal process. The main stains are one part blood and six parts fluid from the pulmonary fluid.

The only position compatible with the formation of the stains on the Oviedo cloth is both arms outstretched above the head and the feet in such a position as to make breathing very difficult, i.e. a position totally compatible with crucifixion. We can say that the man was wounded first (blood on the head, shoulders and back) and then 'crucified.'

On reaching the destination, the body was placed face up and for unknown reasons, the cloth was taken off the head.

The Sudarium contains pollen grains of Gundelia tournefortii, identical to that found of the Shroud that grows only east of the Mediterranean Sea as far north as Lebanon and as far south as Jerusalem.

The blood (stain symmetry, type and other indicators) on the Sudarium matches the blood on the Shroud.
 


In summary, Guscin wrote:

There are many points of coincidence between all these points and the Shroud of Turin - the blood group, the way the corpse was tortured and died, and the macroscopic overlay of the stains on each cloth. This is especially notable in that the blood on the Sudarium, shed in life as opposed to postmortem, corresponds exactly in blood group, blood type and surface area to those stains on the Shroud on the nape of the neck. If it is clear that the two cloths must have covered the same corpse, and this conclusion is inevitable from all the studies carried out up to date, and if the history of the Sudarium can be trustworthily extended back beyond the fourteenth century, which is often referred to as the Shroud's first documented historical appearance, then this would take the Shroud back to at least the earliest dates of the Sudarium's known history. The ark of relics and the Sudarium have without any doubt at all been in Spain since the beginning of the seventh century, and the history recorded in various manuscripts from various times and geographical areas take it all the way back to Jerusalem in the first century. The importance of this for Shroud history cannot be overstressed.

 

Shroud Story  



Image formation hypotheses, theories and findings (de shroud.wikispaces.com).

Scientific issues and Shroud research in the 1990s, por Larry A. Schwalbe (1990).

Image formation and the Shroud of Turin, por Emily A. Craig y Randall R. Bresee (1994).

Is the Shroud of Turin a painting?, por Isabel Piczek (1995).

Some say the image on the Shroud of Turin was painted, por Daniel R. Porter (de shroudofturin4journalists.com).

The formation of the Shroud's body image, por Kitty Little (1995).

Alice in wonderland and the Shroud of Turin, por Isabel Piczek (1996).

Book review of 'The Turin Shroud: in whose image?', por Daniel Scavone (1996).

Negativity and the Shroud, por M. Sue Benford (1997).

The image formation mechanism on the Shroud of Turin: a solar reflex radiation model (the optical aspect),
por Serge N. Mouraviev
(1997).

The Shroud of Turin: genuine artifact or manufactured relic?, por Jack Kilmon (1998).

The nature of the body images on the Shroud of Turin, por Alan D. Adler (1999).

Photogrammetric responses from the Shroud of Turin, por Peter M. Schumacher (1999).

The Shroud of Turin's 'blood' images: blood or paint? A history of science inquiry, por David Ford (2000).

Is the Shroud of Turin a medieval photograph?, por Barrie Schwortz (2000).

The Turin Shroud: from the photo to the three-dimensional, por Aldo Guerreschi (2000).

The Turin Shroud and photo-relief technique, por Aldo Guerreschi (2000).

The chemistry of autocatalytic processes in the context of the Shroud of Turin, por Ray Rogers (2002).

The Image on the Shroud of Turin: Clues from the Volckringer and Russell Effects, por Allan Mills (2002).

Scientific method applied to the Shroud of Turin. A review, por Raymond N. Rogers y Anna Arnoldi (2002).

The Shroud of Turin: an amino-carbonyl reaction (Maillard reaction) may explain the image formation,
por Raymond N. Rogers y Anna Arnoldi
(2003).

Testing the Jackson 'theory' of image formation, por Raymond N. Rogers (2004).

Frequently asked questions (FAQs), por Raymond N. Rogers (2004).

Comments on Rogers 'Testing the Jackson 'theory' of image formation', por John P. Jackson y Keith E. Propp (2004).

Evidences for testing hypotheses about the body image formation of the Turin Shroud,
por Giulio Fanti, Barrie Schwortz y otros
(2005).

Body image formation hypotheses based on corona discharge, por Giulio Fanti, Francesco Lattarulo y Oswald Scheuermann (2005).

The Turin Shroud was not flattened before the images formed and no major image distortions
necessarily occur from a real body
, por Mario Latendresse (2005).

Role of capillarity in the image formation process, por Marcel Alonso (2005).

The Shroud of Turin: radiation effects, aging and image formation, por Raymond N. Rogers (2005).

Radiological aspects of the Shroud of Turin, por Alan D. Whanger y Mary Whanger (2005).

Some remarks about the results of Dr. Raymond N. Rogers' research (de sindone.it, 2005).

Answering the Savoy / Leonardo da Vinci hypothesis, por Richard B. Sorensen (2005).

The Jospice Mattress cover image, por Frederick T. Zugibe (2007).

Summary of challenges to the authenticity of the Shroud of Turin, por Richard B. Sorensen (2007).

A detailed critical review of the chemical studies on the Turin Shroud: facts and interpretations,
por Thibault Heimburger (2008).

Infrared imaging and spectroscopic phenomenology ot the Turin Shroud (en Power Point), por J. S. Accetta,
presentado en la Ohio Shroud Conference (14-17 de agosto de 2008). Tomado de ohioshroudconference.com.

A Physical Hypothesis on the Origin of the Body Image Embedded into the Turin Shroud, por P. Di Lazzaroa, G. Baldacchinia, G. Fanti, D. Murraa, E. Nichelattic & A. Santonia, presentado en la Ohio Shroud Conference (14-17 de agosto de 2008). Tomado de ohioshroudconference.com.

The ridiculous Picknett and Prince photograph theory, de Shroud of Turin Blog (octubre de 2008).

Nicholas Allen's ridiculous photography idea, de Shroud of Turin Topics (febrero de 2009).

Some say the image on the Shroud of Turin is Jacques de Molay, por Daniel R. Porter (de shroudofturin4journalists.com).

Some say the image on the Shroud of Turin is Leonardo da Vinci, por Daniel R. Porter (de shroudofturin4journalists.com).

A point of nuclear physics about the Shroud of Turin, por Gildas Rouvillois.

The imprint, por Peter Carr.

Battle of the chemists (animación .ppt), de shrouduniversity.com.

The Shroud of Turin. Research at McCrone Research Institute (del McCrone Research Institute: mcri.org).

VP-8 Shroud Image Analysis, Impact, and History (audio MP3), por Peter Schumacher (de shrouduniversity.com).
Puede verse un resumen de la conferencia aquí (en inglés).

 



Avec mes meilleures salutations et voeux pour de belles fêtes de Pentecôte.

François de Siebenthal

A l'origine du message que vous venez de recevoir, il y a une personne,  qui a pris le temps et la peine de vous écrire. Il serait très agréable, que d'un mot et d'un clic, vous lui confirmiez l'avoir bien reçu. Autrefois, cela se faisait par une poignée de main ou un sourire de remerciement. Ne laissons pas la machine nous diminuer.
www.familiaplus.com

mercredi 26 mai 2010

U.E. La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois !

UN SCANDALE ! ! !  A SAVOIR AVANT LA « TONTE » DE 2010

 
Toujours plus d'impôts, de taxes, d'amendes, de primes, de frais, d'émoluments, de coupes sombres pour payer leurs bonus et primes indécents qui achètent leurs consciences et leurs silences.


Vous avez remarqué que nos politiques se battent comme des fous pour rentrer dans l'administration européenne Et pourquoi ?

La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l'UE a été approuvée !!!!

Cette année, 340 fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une
pension de 9.000 Euros par mois. Oui, vous avez bien lu !!!

Afin d'aider l'intégration de nouveaux fonctionnaires des nouveaux états membres de
l'UE (Pologne, Malte, pays de l'Est...), les fonctionnaires des anciens pays membres
(Belgique, France, Allemagne..) recevront de l'Europe un pont d'or pour partir à la
retraite. Rappelez-vous qu'ils ne sont pas élus, mais fonctionnaires assurés de
réintégrer leur administration d'origine en cas de révocation.

POURQUOI ET QUI PAIE CELA ?

Vous et moi travaillons ou avons travaillé pour une pension de misère, alors que
ceux qui votent les lois se font des cadeaux dorés.
La différence est devenue trop importante entre le peuple et les "dieux de l'Olympe"

!!! RÉAGISSONS par tous les moyens en commençant par divulguer ce message à tous les Européens.

Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs... Même
les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la "Rolls" des régimes spéciaux, ne
reçoivent pas le tiers de ce qu'ils touchent... C'est dire ! Giovanni Buttarelli, qui
occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis
après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1
515 € / mois. L'équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du
secteur privé après une carrière complète (40 ans). Son collègue, Peter Hustinx,
vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à
près de 9 000 € de retraite / mois.
Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 € de
retraite par mois.
Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 € / mois.
Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 € / mois.
Consultez la liste :
http://www.kdomailing.
com/redirect.asp?numlien=1276&numnews=1356&numabonne=62286
Pour eux, c'est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont
assurés de valider une carrière complète et, donc, d'obtenir le maximum : 70 % du
dernier salaire. Car, c'est à peine croyable... Non seulement leurs pensions
crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une
carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche
pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans.
Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles
recommandent l'allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012),
42 ans (en 2020), etc. Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c'est 15,5
ans... De qui se moque-t-on ?
A l'origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la
Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été
accordées à d'autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en
profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc.
Mais le pire, dans cette affaire, c'est qu'ils ne cotisent même pas pour leur super
retraite. Pas un centime d'euro, tout est à la charge du contribuable...
Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement,
c'est la déferlante : rappels, amendes, pénalités de retard, etc.
Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !
Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne
qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l'Union européenne sont
légales, faites au moindre coût et pour l'objectif auxquelles elles sont destinées.../
", profitent du système et ne paient pas de cotisations. Et que dire de tous ces
technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de
Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d'orthodoxie budgétaire alors qu'ils
ont les deux mains, jusqu'aux coudes, dans le pot de confiture ? A l'heure où
l'avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise
économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens
bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000 € / mois, après seulement
15 ans de carrière et sans même cotiser... C'est une pure provocation !
Mon objectif est d'alerter tous les citoyens des états membres de l'Union
Européenne. Ensemble nous pouvons créer un véritable raz de marée.
Il est hors de question que les technocrates européens continuent à jouir, à nos
frais et en toute impunité, de telles retraites. Nous allons leur remettre les pieds
sur terre.

Sauvegarde Retraites a réalisé une étude précise et très documentée qui prouve
par "A+B" l'ampleur du scandale. Elle a déjà été reprise par les médias.

http://www.lepoint.fr/actualites-economie/2009-05-19/revelations-les-retraites-enor-
des-hauts-fonctionnaires-europeens/916/0/344867
 
Diffusons, diffusons massivement auprès de tous les relais de vingt-sept
pays de l'Union Européenne, il en restera bien quelque chose !!!

Etats escrocs à la botte des banquiers.

Vous croyez que la monnaie est créée par l'État ?

Vous vous trompez : dans la plupart des pays, ce sont les banques privées qui créent 99,9 % de la monnaie sous forme de crédits, et qui en perçoivent le prix (l'intérêt).

http://versdemain.org/images/Boeuf2.gif

Si c'était l'État qui créait la monnaie, il pourrait l'investir directement lui-même (sans devoir payer le moindre intérêt jusqu'au remboursement) ; il pourrait aussi prêter cette monnaie nouvelle aux banques (charge à elles de la prêter à leur tour) et en percevait le premier intérêt (des milliards d'euros), ce qui pourrait aussi financer les services publics, au lieu de garnir des poches de soie au prix d'un déficit paralysant pour l'État.

L'État a perdu le droit de battre monnaie et ce sont des banques privées à qui nos soi-disant "représentants" ont abandonné ce pouvoir décisif.
 Vous pensez que la monnaie est un outil qui sert l'intérêt général ?

Vous vous trompez : la monnaie est devenu un outil qui sert d'abord des intérêts privés".

La grande question, où partent tous ces milliers de milliards ? Pour qui ? Pourquoi ? Comment ? Qui contrôle vraiment cette folie ?

 

Est-ce la fin
du système financier actuel?

C'est la plus récente circulaire de Vers Demain, que vous pouvez commander gratuitement pour distribuer autour de vous (les dons sont les bienvenus pour couvrir les frais de poste pour vous envoyer les circulaires). En plus de l'article d'Alain Pilote en première page sur la fin du système financier actuel, il y a deux pages sur la future union nord-américaine, une page sur l'esclavage de la race humaine par la micropuce, une page sur l'importance d'une monnaie nationale, un article de Louis Even sur de l'argent sans intérêt pour développer le pays, et Mgr Schooyans qui dénonce le Nouvel Ordre Mondial.




http://www.dailymotion.com/video/xddpgs_etienne-chouard-contre-le-traite-de_news

Etats escrocs à la botte des banquiers.

Vous croyez que la monnaie est créée par l'État ?

Vous vous trompez : dans la plupart des pays, ce sont les banques privées qui créent 99,9 % de la monnaie sous forme de crédits, et qui en perçoivent le prix (l'intérêt).

http://versdemain.org/images/Boeuf2.gif

Si c'était l'État qui créait la monnaie, il pourrait l'investir directement lui-même (sans devoir payer le moindre intérêt jusqu'au remboursement) ; il pourrait aussi prêter cette monnaie nouvelle aux banques (charge à elles de la prêter à leur tour) et en percevait le premier intérêt (des milliards d'euros), ce qui pourrait aussi financer les services publics, au lieu de garnir des poches de soie au prix d'un déficit paralysant pour l'État.

L'État a perdu le droit de battre monnaie et ce sont des banques privées à qui nos soi-disant "représentants" ont abandonné ce pouvoir décisif.
 Vous pensez que la monnaie est un outil qui sert l'intérêt général ?

Vous vous trompez : la monnaie est devenu un outil qui sert d'abord des intérêts privés".

La grande question, où partent tous ces milliers de milliards ? Pour qui ? Pourquoi ? Comment ? Qui contrôle vraiment cette folie ?

 

Est-ce la fin
du système financier actuel?

C'est la plus récente circulaire de Vers Demain, que vous pouvez commander gratuitement pour distribuer autour de vous (les dons sont les bienvenus pour couvrir les frais de poste pour vous envoyer les circulaires). En plus de l'article d'Alain Pilote en première page sur la fin du système financier actuel, il y a deux pages sur la future union nord-américaine, une page sur l'esclavage de la race humaine par la micropuce, une page sur l'importance d'une monnaie nationale, un article de Louis Even sur de l'argent sans intérêt pour développer le pays, et Mgr Schooyans qui dénonce le Nouvel Ordre Mondial.




http://www.dailymotion.com/video/xddpgs_etienne-chouard-contre-le-traite-de_news

mardi 25 mai 2010

Et si la Suisse montrait la voie ?

Des sociétés secrètes centralisatrices

Elles veulent détruire les nations et donc les États et obtenir un seul gouvernement mondial absolu...

Ils veulent fermer plus de la moitié des hôpitaux ( sic), planifient des queues pour tous les services publics et des euthanasies actives des personnes "inutiles" mais livrent des milliards (sic)  de bonus aux banquiers de New-York...

Voici un courrier reçu de France...

...Oui dans ce message  ci-dessous, il y a pas mal d'éléments et de thèmes qui ont été, et sont abordés, par notre Ami Santiago R. Alonso de Buenos-Aires dont je reçois par internet la revue mensuelle: Patria Argentina. Il fut, un haut officier de l'armée argentine et a été, c'est presque sûr, dans un service du renseignement. De même il fut en poste au Brésil (outre l'anglais, il parle très bien le portugais). Ces données sont toujours à prendre en compte, sans quoi, encore davantage de chose ne "collent" pas dans l'actualité et on se demande encore "naïvement": pourquoi des crises? Quand ce ne sont pas des guerres....
 
On peut voir ceci qui vient d'ailleurs de Horizons et Débats, peut-être tu connais déjà: 
 
http://www.mecanopolis.org/?p=17240

Et si la Suisse montrait la voie ?

Article placé le 20 mai 2010, par Frédéric Courvoisier (Genève)

Le FMI et la Banque mondiale se déve­loppent considérablement et se voient attribuer de nouvelles missions (1). Va-t-on créer une Banque globale? Les finances vont-elles être en­core plus centralisées? Va-t-on même créer une nou­velle monnaie? Que va-t-il advenir de l'euro? Dans cet article, nous présentons la Banque nationale suisse et ses préoccupations. Un retour sur l'histoire suisse nous montre l'ancrage des finances dans la population et nous amène à nous demander si une centralisation accrue au niveau mondial est vraiment la solution qui convient aux pro­blèmes actuels de la finance.

chparlement

La Banque nationale suisse (BNS) est une société anonyme. 53,5% des actions sont détenues par les cantons et les banques canto­nales et les autres par des particuliers. La Confédération n'en possède pas.

Si ses actions se négocient en Bourse, la BNS n'est pas comparable à une société anonyme privée. Son organisation et ses missions sont fixées dans la Constitution et dans la Loi fédérale sur la Banque nationale. Deux tiers des profits reviennent aux cantons et un tiers à la Confédération.

Il y a deux semaines a eu lieu son Assemblée générale annuelle qui, en raison de la situation tendue du système financier et de la situation particulière de la Suisse, a suscité un grand intérêt. Le président nouvellement élu, Philipp M. Hildebrand, a analysé la situation actuelle et a envisagé l'avenir. Nous évoquerons et commenterons ici les points essentiels de son exposé.

Problématique des banques «too big to fail»

Hildebrand a détaillé les dangers que représentent pour la Suisse les deux grandes banques mondialisées. Elles sont devenues si importantes qu'une éventuelle faillite causerait de sérieux dommages à notre économie (cf. Horizons et débats du 19/4/10). Hildebrand a esquissé une stratégie propre à résoudre le problème à l'avenir. Voici un extrait de son exposé:

«Les exigences en matière de fonds propres doivent être suffisamment strictes pour amener les banques à assumer les risques qu'elles reportaient jusqu'ici sur la collectivité. Des exigences accrues peuvent en outre constituer une base importante pour un modèle commercial d'avenir axé sur la durabilité. Dans les domaines où les établissements financiers suisses sont traditionnellement forts, les banques bien capitalisées ont un avantage concurrentiel certain. En outre, la Banque nationale est d'avis que l'organisation et la structure juridique des grandes banques doivent être adaptées afin de permettre une liquidation en bonne et due forme en cas de crise extrême. En particulier, elles doivent pouvoir poursuivre leurs activités d'importance systémique sans que l'on soit obligé de sauver le groupe tout entier.

Au plan international également, des mesures sont proposées pour s'attaquer aux problèmes du too big to fail. Ces développements relatifs à la réglementation internationale doivent être considérés sous l'angle de la compétitivité globale de notre place financière. Les trente derniers mois l'ont toutefois montré de ma­nière très éloquente: en cas de crise, chaque pays doit assumer lui-même la responsabilité pour ses banques. Lors de l'élaboration et de la mise en œuvre des mesures sur le plan national, il s'agira aussi de prendre en compte les particularités du pays. En Suisse, la problématique du too big to fail est particulièrement aiguë. C'est pourquoi un swiss finish s'impose.»

Politique monétaire

Ensuite, Hildebrand a parlé de politique monétaire. Il a insisté sur le fait que la BNS prenait des mesures pour stopper la baisse de l'euro. Quiconque étudie les documents de la Banque comprend de quoi il s'agit: Au cours du seul dernier trimestre, la BNS a acheté pour 40 milliards d'euros, ce qui représente deux tiers de ses réserves monétaires. Pourquoi?

Grâce à ces achats massifs d'euros, Hildebrand entend aider les exportations. Environ 60% des exportations vont vers l'UE. Il y a encore quelques années, un exportateur obtenait 1 franc 60 pour un euro gagné à l'étranger. Il y a quelques mois ce n'était plus que 1 franc 50 et maintenant 1 franc 42. Il faut stopper cette tendance. Cependant les exportations ont déjà souvent été confrontées aux inconvénients d'un franc suisse fort. En 1973, un exportateur obtenait 4 francs 37 pour un dollar. Aujourd'hui, le franc vaut presque un dollar. Au cours des dernières décennies, cette dépréciation a touché égale­ment d'autres monnaies, par exemple la livre anglaise. Cette chute a pu être ralentie passagèrement mais pas stoppée. Aux dernières nouvelles, la BNS a cessé d'acheter des euros. Le cours est aussitôt descendu à 1 franc 40.

Si la BNS achète des euros avec des francs nouvellement créés, la masse monétaire en circulation augmente. Hildebrand veut ainsi lutter contre la déflation intérieure, c'est-à-dire la baisse des prix. Pourquoi? Une baisse des prix n'est pas en soi une mauvaise chose, mais elle peut devenir un problème quand les gens réduisent collectivement leur consommation, par exemple parce qu'ils s'attendent à une nouvelle baisse l'année suivante. Toute­fois ce phénomène ne s'observe guère actuellement.

Un franc fort a également des avantages. Il a toujours incité à offrir des produits et des services d'excellente qualité et cela sans relâcher ses efforts. Comme le montre l'état actuel de l'économie, le handicap du franc fort n'a pas nui à long terme à l'économie. En outre, les produits d'importation sont moins chers. Cela aide aussi l'économie d'exportation parce qu'elle peut acheter moins cher à l'étranger les matières premières qu'elle transforme. 80% des importations viennent de l'UE. Notre plus important parte­naire commercial est l'Allemagne avec un tiers du total des importations et un cinquième des exportations.

Aujourd'hui, il est évident pour chacun que les risques du monde financier sont devenus plus divers et, d'une manière générale, plus importants. Les réserves de la BNS sont-elles suffisantes?

Bradage des réserves d'or il y a dix ans

En 2000, la BNS a commencé à vendre la moitié de ses réserves stratégiques d'or. Elle en a vendu quelque 1300 tonnes pour un prix moyen de 16 000 francs le kilo. En 2007, elle en a encore vendu 250 tonnes. A l'époque, le président de la Confédération Arnold Koller et le président de la BNS Hans Meyer avaient déclaré que l'or était «excédentaire» et qu'on n'en avait plus besoin. L'article sur la monnaie de la nouvelle Constitution, dont on prétendait qu'elle ne contenait rien de nouveau, ouvrit la voie aux ventes. Elles ont été accompagnées de deux votations populaires: finalement, les réserves d'or faisaient partie de la richesse nationale. Mais les deux fois, il ne fut pas question de savoir s'il fallait ou non vendre l'or mais à quoi le produit devait servir, au «fonds de solidarité» ou à l'AVS. Le peuple a dit «non» les deux fois. On ne lui a jamais demandé s'il estimait judicieux de vendre ces réserves d'or amassées en période de prospérité en vue de difficultés futures.

Aujourd'hui, l'histoire a donné une ré­ponse. Avec la quasi-faillite d'UBS, une situation de catastrophe est survenue de ma­nière tout à fait inattendue. La BNS a dû utiliser une grande partie de ses réserves pour sauver la banque. Hildebrand a déclaré lui-même que la faillite d'une des deux grandes banques dépasserait les possibilités financières d'un petit État. Les réserves d'or stratégiques sont là pour les catastrophes. Aujourd'hui s'ajoutent les risques dus aux achats massifs d'euros. Les spécialistes de la Bourse parlent de «gros risque».

Or on peut objecter à juste titre qu'en comparaison des autres pays, la BNS, avec ses 1040 tonnes d'or, possède encore des réserves importantes. Et c'est vrai. En outre, au cours des dernières années, la BNS a obtenu de bonnes notes pour sa politique. Cependant la Suisse a une économie restreinte et ouverte et l'on n'a pas besoin d'être pessimiste pour reconnaître que, d'une manière générale, les risques ont augmenté. L'or constitue une assurance en cas de catastrophe économique, une mesure de précaution pour parer à une crise. Les générations passées s'en sont rendu compte.

Une politique qui se fait dans le dos du peuple est nuisible

Il ne s'agit pas ici de calculer quel montant de notre argent les responsables ont «perdu» avec leur mauvaise décision de vendre une grande partie des réserves d'or. Le prix de l'or a presque triplé en francs suisses depuis le début des ventes. Il s'agit plutôt de pointer le fait que les responsables ont pris leur décision sans en référer au peuple. Cette question s'impose d'autant plus qu'après la Se­conde Guerre mondiale, la décision d'accumuler d'importantes réserves stratégiques d'or avait été prise d'une manière parfaitement démocratique, c'est-à-dire en consultant la population. Les événements de l'époque sont exemplaires, si bien que nous les rappellerons ici brièvement. Nous montrerons également pourquoi la Suisse, petit pays, a conservé des réserves d'or si importantes et pourquoi elle passe pour un «havre de sécurité» pour l'argent étranger.

Bretton Woods

En 1944, à Bretton Woods (Etats-Unis), un accord monétaire a été conclu qui était fondé sur l'«étalon dollar-or». Pendant presque 30 ans, il détermina la vie économique et les transactions financières mondiales. Il reposait sur des taux de change fixes qui ne pouvaient être modifiés qu'à l'aide d'une procédure compliquée. Le dollar était la monnaie de réserve. La Banque centrale américaine, la FED, avait une mission essentielle dans la mesure où les différentes banques centrales pouvaient utiliser des dollars comme monnaies de réserve sans devoir posséder de réserves d'or propres. La FED leur offrait la possibilité d'échanger en tout temps leurs dollars contre de l'or.

La Suisse dut prendre une décision: devait-elle se fier au dollar comme monnaie de réserve ou constituer d'importantes réserves d'or afin de rendre le pays moins dépendant des Etats-Unis?

Le Conseil fédéral, le Parlement et la BNS rédigèrent un article sur la monnaie destiné à la Constitution, qui laissait jusque-là la question ouverte.

Le nouvel article 39-6 prévoyait que la Confédération déterminait le type et le vo­lume de la couverture de la monnaie. Comme le prévoyait la Constitution, il devait être soumis au peuple. Ce projet était incontestable pour l'élite politique qui pensait qu'il s'agissait d'une pure formalité. Or la réponse fut une surprise: un «non» clair et net. 61,5% des citoyens et 20 cantons et demi sur 22 rejetèrent le projet. Une large majorité s'opposait à ce que la Confédération laisse ouverts dans la Constitution le type et le volume de la couverture de la monnaie. Elle voulait inscrire la couverture-or dans la Constitution.

Large débat de fond

Un large débat de fond s'est alors instauré, non pas entre experts mais avec la population. Il ne s'agissait plus seulement de l'or, mais de la monnaie et du système monétaire en général.

La BNS, le Conseil fédéral et le Parlement élaborèrent un nouvel article tenant compte du souhait de la population de voir figurer l'or dans la Constitution. Au centre du projet, il y avait l'alinéa 7 qui stipulait que «les billets de banque émis doivent être couverts par de l'or et des avoirs à court terme».

Au Conseil national, le rapporteur de la commission expliqua le principe de la couverture-or de la manière suivante: «Le possesseur de billets de banque doit avoir la certitude qu'il existe une certaine contre-valeur en or. […] Certes, jusqu'à nouvel avis, les billets ne sont plus convertibles en or, mais la confiance de larges couches de la population dans la monnaie est associée à la couverture-or. Et c'est en particulier par rapport à cette couverture que l'on juge le plus souvent la monnaie. […] Si dans un pays, il existe à ce sujet des prescriptions sur une couverture-or minimale, il me semble que cela garantit qu'une réserve d'or correspondante a été accumulée et conservée.»

Pour d'autres parlementaires, l'or conservé dans des coffres avait perdu son ancienne importance et n'était plus d'actualité. D'autres encore rappelèrent le fait que quelques années auparavant, pendant la guerre, c'est avec de l'or que l'on put acheter les matières premières et les produits alimentaires nécessaires à la survie du pays. L'or continuait d'être tout à fait justifié en des temps de difficultés monétaires. Et cela était d'autant plus valable pour un pays qui ne possédait pas de matières premières. Le conseiller aux Etats thurgovien Stähli renchérit en déclarant: «Les conditions d'une monnaie solide ne sont pas seulement une couver­ture-or décrétée mais en particulier une économie saine, des fondements juridiques clairs et avant tout la ferme volonté de travailler du peuple.»

«La monnaie est un bien précieux»

A la question de savoir ce qu'on pensait faire si les Etats-Unis favorisaient l'inflation et dévaluaient leur monnaie, le conseiller fédéral Nobs, qui défendait l'idée d'importantes réserves d'or, a déclaré ceci: «La réponse est claire: Nous conservons notre totale liberté de manœuvre. Nous ne dépendons d'aucun automatisme. […] Nous sommes tout à fait libres d'évaluer les conséquences écono­miques pour notre pays et ensuite de prendre les mesures monétaires adéquates en fonction des intérêts supérieurs du pays. La monnaie est un bien précieux, il faut en prendre soin, mais ce n'est pas une idole, pas plus que l'or.»

Opposition

La nouvelle proposition d'article constitutionnel ne fut pas approuvée partout. Le parti libéral-socialiste, issu du mouvement franchiste, s'opposait à la couverture-or pour des questions de principe. Pour lui, le contrôle de la masse monétaire était plus important. Il lança l'«initiative pour la monnaie franche» et recueillit en peu de temps quelque 90 000 signatures (il en fallait 50 000 à l'époque). L'article 39 de la Constitution fédérale devait être modifié de la façon suivante: «La banque investie du monopole des billets de banque a pour tâche principale de régler la circulation de la monnaie en Suisse de telle façon que le pouvoir d'achat du franc suisse reste constant, autrement dit que l'indice des prix des marchandises de première nécessité reste constant, afin de garantir le plein-emploi des travailleurs.» La BNS devait main­tenir la stabilité du franc en contrôlant la masse monétaire à cet effet. Une augmentation de la masse monétaire devait mettre à la disposition de l'économie en expansion les moyens permettant d'endiguer la flambée des prix. L'objectif était d'atteindre un équilibre grâce au plein emploi.

Le franchiste Werner Schmid, au Conseil national, et le professeur Hans Bernouilli, au Conseil des Etats, défendirent leur initiative avec un courage et une sincérité remarquables face à une armée d'adversaires. Ils firent face également à des polémiques à propos de la «monnaie franche» ou «monnaie fon­dante» et de Silvio Gesell dont les idées avaient inspiré le mouvement franchiste. Ajoutons que dans l'initiative, il n'était pas question de «monnaie fondante» mais uniquement de l'idée d'arriver à la stabilité des prix au moyen du contrôle de la masse monétaire.

Résultat du débat

Quelle fut la décision du peuple? La votation eut lieu le 15 avril 1951. L'initiative fut rejetée par 87,9% des votants et tous les cantons. 71% des votants et tous les cantons approu­vèrent le nouvel article qui inscrivait le principe de la couverture-or dans la Constitution.

Dans les années qui suivirent la votation, la BNS fit passer les réserves d'or de 800 tonnes (quantité d'après la Seconde Guerre mon­diale) à 2600 (source: Rapports mensuels de la BNS). L'or fut financé par les excédents de la balance des paiements réalisés pendant cette période. Cela représentait des centaines de millions d'heures de travail de la population. Après 1964, les réserves d'or ne furent pratiquement plus modifiées jusqu'à nos jours.

Fin de Bretton Woods

En 1971, le président Richard Nixon ferma la «fenêtre de l'or». Les Etats-Unis ces­sèrent de couvrir avec de l'or les dollars qui furent imprimés en trop grande quantité pour financer la guerre du Vietnam. Cela entraîna l'effondrement du système monétaire de Bretton Woods. C'est alors que le dollar, qui n'était plus lié à rien, entama sa chute. Si à l'époque, il fallait payer 4 francs 37 pour un dollar, aujourd'hui, comme nous l'avons dit, le dollar et le franc suisse sont à peu près à égalité. La dépréciation du dollar a également retenti sur le prix de l'or. Alors que l'once valait alors 35 dollars, elle en vaut aujourd'hui 1200.

Les promoteurs de l'initiative pour la monnaie franche ont éprouvé une satisfaction tardive. La BNS fut l'une des premières banques centrales qui, en 1973, dans le système monétaire post-Bretton Woods, se fixa un objectif de masse monétaire pour garantir la stabilité des prix (exactement comme le demandait l'initiative).

On ne toucha pas aux importantes réserves d'or stratégiques de 2600 tonnes déposées dans les coffres de la BNS. Elles y restèrent, évaluées à leur valeur historique de 4500 francs le kilo, en tant que garant de confiance et de mesure de précaution en prévision d'une crise (assurance catastrophe). Mais en 1997, les choses changèrent lorsque le président de la Confédération, Arnold Koller, en accord avec le président de la BNS, fit savoir au peuple que la moitié de ces réserves était superflue, qu'elle pouvait être vendue et que le produit de la vente pouvait être utilisé à d'autres fins. Il omit toutefois de demander aux citoyens s'ils étaient d'accord.

Comment Arnold Koller en est-il venu à agir ainsi? Qui lui avait suggéré cette idée?

Conférence de Zurich sur le système monétaire international

Les faiblesses du système monétaire actuel sont bien connues. Depuis 1971, les dettes atteignent des sommets dans presque tous les pays. On crée de l'argent trop facilement. On fait trop facilement des dettes. A cela s'a­joute le fait que la spéculation déstabilise le système dans des proportions sans précédent jusqu'ici. Les citoyens se préparent à l'idée que non seulement les banques mais les Etats pourraient s'effondrer. Il est urgent de faire des réformes pour éviter une catastrophe générale. Il ne s'agit pas seulement d'une réglementation visant les banques. Il est temps de repenser le système monétaire.

Le système monétaire actuel, qui a commencé en 1971 à la fin de Bretton Woods, constitue la plus importante expérience monétaire de l'histoire. Personne ne sait ce qui va en résulter.

Le 11 mai, la BNS et le FMI ont convoqué à Zurich une «conférence au sommet» sur le thème du «système monétaire international». Elle a été assortie d'une conférence de presse du président de la BNS Philipp Hildebrand et du président du FMI Dominique Strauss-Kahn.

Or le débat ne doit pas être uniquement l'affaire des experts; il doit impliquer la population. C'est à mon avis la leçon à tirer du débat ouvert qui eut lieu en Suisse en 1951 à propos de la monnaie et du système monétaire. Horizons et débats y contribuera par d'autres articles.

Horizons et Débats n°19, 17 mai 2010

Notes

1. Voir Horizons et Débats n°18

Horizons et débats est un hebdomadaire publié en allemand et en français. Une sélection bimensuelle est disponible en anglais.
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Horizons et débats, Case postale 729, CH-8044 Zurich. CCP 87-7484485-6

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    "François de Siebenthal" <siebenthal@gmail.com> May 20 05:33PM +0200 ^
     
    *Monsieur le Député,
     
    vous voudrez bien trouver, ainsi que vous me l'avez demandé, les références
    et le libellé exacts de la citation prophétique de la page 234 du très
    célèbre ouvrage en savoir plus...

Recueillir les déversements d'hydrocarbures dans le golfe du Mexique ?

Lettre à Monsieur le Président Barack Hussein Obama et au chef de la direction de BP


Un groupe suisse dispose de la technologie et du savoir-faire pour recueillir
les déversements d'hydrocarbures dans le golfe du Mexique, les arrêtez et récupérer l'utilisation  des puits.

Nous l'avons fait au Koweït et nous avons de nouveaux brevets secrets pour ce travail très spécial, secret, parce qu'ils nous ont volés tous nos brevets antérieurs.

http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9219323&KC=&FT=E
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=9218746&KC=&FT=E


Nos brevets antérieurs ( voir ci-dessous ) ont été enregistrés en avril et mai 1991 auprès de l'INPI à Paris. L'extension internationale a été affectée dans le délai, à l'OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle - Organisation mondiale de la propriété intellectuelle) ainsi que le prouve les documents suivants montrant les systèmes d'extinction et de blocage des puits de pétrole en feu enregistrées au nom de Joseph FERRAYE .

Les rapports de la recherche internationale en priorité intellectuelle ont établi par l'OEB (Office européen des brevets) qui a prouvé que les deux systèmes ont été incontestablement de nouvelles inventions utilisées de manière illicite par les voleurs de brevets.

Cela a été confirmé par les experts pétroliers, notamment M.  Géraud VITRAC le 23.03.1997 !

Vous pouvez nous contacter à Lausanne.


De Siebenthal & Cie

François de Siebenthal.

1010 Lausanne

0041 21 616 88 88

Fax 0041 21 616 88 81

http://suisse-plus.com

info@consuls.info

siebenthal@gmail.com

www.de-siebenthal.com

Skype: Siebenthal

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UN SYSTEME pour éteindre un puits de pétrole SOUMISES A très haute pression


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Numéro de publication: WO9219323 (A1)
Date de parution: 12/11/1992
Inventeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Demandeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Classification:
- International: A62C3/06; A62C99/00; E21B35/00; A62C3/00; A62C99/00; E21B35/00; (IPC1-7): A62C3/06; E21B35/00
- Européenne: A62C3/06 ; A62C39/00B2 ; E21B35/00
Numéro de dépôt: WO1992FR00405 19920504
La priorité numéro (s): FR19910005662 19910502; FR19910012648 19911009


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Résumé de WO 9219323 (A1)
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L'invention décrit un système pour éteindre les incendies des puits de pétrole soumis à des pressions très élevées, et le refroidissement du sol environnant. La base du système est, par exemple, la forme conique de ressemblant à un volcan. Les flammes sont étouffées par l'introduction d'un gaz non inflammable (par exemple azote liquide ou dioxyde de carbone) ou de l'eau dans le système à travers les trous (4a, 4b) dans la section conique. La propagation turbulente de ce gaz, réalisé à l'aide de connecteurs à angle dans le système, se trouve dans la même direction que les flammes et est intensifiée dans une direction vers le haut par la forme conique du système. La sortie par l'intermédiaire du cratère (1) est une forme d'éruption englobant toutes les flammes, et de l'azote est dirigée vers le bas pour refroidir le sol environnant.
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BLOCAGE DE ROBOT pour puits de pétrole HAUTE PRESSION


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Numéro de publication: WO9218746 (A1)
Date de parution: 29/10/1992
Inventeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Demandeur (s): JOSEPH FERRAYE [FR] + (FERRAYE, Joseph)
Classification:
- International: E21B33/02; E21B33/02; (IPC1-7): E21B33/02
- Européenne: E21B33/02
Numéro de dépôt: WO1992FR00323 19920410
La priorité numéro (s): FR19910004607 19910411; FR19910004905 19910416; FR19910011959 19910923; FR19910013650 19911030; FR19910012943 19911015


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Un robot à la fermeture et le blocage des tuyaux qui sont soumis à des pressions très élevées. Le robot comporte un dispositif de contre-pression en dessous de la partie principale de blocage pour agissant simultanément sur la paroi intérieure, en profondeur dans le tuyau, par la dilatation causée par un seul mouvement linéaire d'un arbre conique dans un cylindre y ayant alésage conique; ledit arbre ayant un diamètre qui est 50% plus grande que la différence entre les diamètres cône intérieur des deux extrémités du cylindre, qui cylindre comporte une fente sur toute la longueur de celle-ci et est contrôlée par des vérins hydrauliques, un tuyau central permettant l'écoulement de pétrole et de la normalisation de la pression à la hausse au cours du processus d'insertion, et deux pantographes pour le centrage du système dans le puits en dépit de la très haute pression. La haute pression dans le permet ainsi d'assurer le blocage du système.
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Envoyé par François de Siebenthal DANS François de Siebenthal le 25/05/2010 12:27:00