lundi 4 janvier 2010

Taxes, taxes, taxes...Vols, vols, vols...Stop, stop, stop.

TOCQUEVILLE MAGAZINE

                (Libérer le capital et le travail pour vaincre la pauvreté)

                                                 LE FLASH

                                           (A diffuser largement)

LUNDI 4 JANVIER 2010
LA TAXE CARBONE




La dernière nouvelle de l'année 2009 est que la taxe  carbone telle qu'elle
était prévue par le gouvernement a été refusée par le conseil
constitutionnel. Cette taxe, extrêmement cruelle il faut le dire, est due à
la « volonté d'un seul homme ». Cet homme n'est pas celui que l'on croit
; en effet le pouvoir n'est, en la circonstance,  que l'ombre portée d'un
riche pollueur de la planète qui, par un miracle de la fausse démocratie,
s'est emparé pour son usage personnel de l'illusion écologique ; c'est pour
lui faire plaisir que fut créé un ministère de l'écologie avec en
conséquence le ridicule et coûteux « grenelle de l'environnement ». Ce
pollueur  doit sa célébrité et son pouvoir abusif aux innombrables engins
motorisés qu'il a utilisé dans les endroits les plus beaux du monde. Ce
faisant, il s'est saisi  du pouvoir écolo, lequel met en danger l'économie
de la planète entière.

La cruauté vient de ce que, comme toute taxe, le nouvel impôt pèse
principalement sur les modestes et les pauvres qui sont atteints directement
dans leur capacité de circuler. Les riches peuvent s'en accommoder. Les
richissimes politiques et les gentilshommes de la Cour  ne s'en occupent pas
car ils vivent dans une bulle où il échappent aux problèmes du vulgaire.
Quant aux PME ou TPE qui forment les véritables forces vives de la nation,
elles  sont frappées de plein fouet n'ayant pas la possibilité de
délocaliser ou sinon avec de grandes difficultés.
Pour se défendre de l'accusation de taxer pour ramasser des sous, le pouvoir
a promis  que la taxe  carbone n'augmenterait pas les prélèvements
obligatoires et, en particulier,  un  nouveau monstre bureaucratique est
prévu à cette fin sous le vocable de « chèque vert ». Comment une
promesse  aussi monumentale peut-elle être énoncée sans que personne dans
les médias ne souligne son impossibilité? L'enchevêtrement incroyable,
inouï, et fantastique de l'empilement d'usines à gaz que représentent  les
prélèvements obligatoires rend absolument irréaliste toute prévision dans
ce domaine ; en outre,  le complexe énarcho-socialo aux affaires dépense
au-delà du possible et cherche de l'argent de tous cotés.

Ajoutons, pour compléter la description, que le projet est tyrannique par
définition puisqu'il prétend nous faire dicter nos comportements par le
pouvoir en place dans tous les domaines de la vie. Les écolos en se
présentant abusivement comme les seuls amoureux de la nature exercent dans
tous les pays ce pouvoir tyrannique. En outre, le projet de taxe combine le
tout et son contraire dans un équilibre évidemment absolument impossible à
trouver.

Le conseil   constitutionnel s'est  bien gardé de critiquer le principe de la
taxe.  Oubliant que la presse le prétend abusivement composé de
« sages »,  il ne voit aucun inconvénient à ce que le pouvoir ait voulu,
par un impôt,  lutter  contre le soleil ou les effets de la nature.

Pour rendre sa décision il s'est appuyé sur deux chimères. D'abord,
paraît-il, la taxe ne respectait pas le principe d'égalité des citoyens
devant l'impôt : c'est une pure chimère  car tout impôt, par nature,  est
contraire à l'égalité et il ne peut en être autrement ; la taxe, d'autre
part, tapait particulièrement sur les faibles et les pauvres, comme indiqué
plus haut, et cela ne semblait pas émouvoir particulièrement ce conseil
constitutionnel, pourtant composé de personnalités généralement adroites
dans la gestion et l'utilisation de la compassion.

Un autre prétexte fut invoqué : le pouvoir, par le mécanisme mis au point,
ne pouvait pas atteindre l'objectif  qu'il se donnait lui-même. Il était
prévu, en effet, d'épargner les transports routiers de voyageurs, le
transport aérien et 1000 sites  polluants d'une foule d'industries. Le
dispositif était, évidemment, un exercice d'équilibre dans une usine à gaz
de plus avec de multiples compteurs et de multiples contentieux en
perspectives ; les prétendus sages savent, du reste,  fort bien que les
usines à gaz administratives ne peuvent jamais fonctionner en vue de
réaliser des objectifs précis ; dans l'espèce en plus la lutte contre le
soleil n'est guère mesurable dans ses effets !

Compte tenu de cette analyse, le pouvoir a sans doute  raison de laisser  dire
dans la presse que l'on pourrait soupçonner une opération politique dans ce
rejet ; ce n'est, certes, pas pour nous rassurer, car les opposants ne
rejettent nullement l'objectif en lui-même et rêvent seulement de mijoter
une cuisine encore plus complexe. Pour ne pas avouer l'erreur initiale en
retirant purement et simplement le projet, il nous a été annoncé le 31
décembre qu'une autre mouture du texte serait présentée le 20 janvier.

C'est alors qu'une réjouissante  coïncidence s'est produite  à la
télévision le lendemain 1er janvier 2010 ;  elle montrait le cirque de
Monte-Carlo ; ce petit bout de territoire, qui offre un paradis aux étrangers
voulant échapper aux enfers fiscaux, est également célèbre pour son
cirque. Et chacun a pu voir en quelques minutes une ressemblance étrange avec
le cirque indéfiniment répété  de la « République Fromagère (R.F.) »
en France.

Un équilibriste est arrivé et ce fut en un instant un merveilleux spectacle.
Il se jucha  à deux mètres du sol et disposa une seule roulette. Son épouse
adorée lui jeta une première marche en bois et il monta sur cette marche
maintenant son équilibre  en combinant les contraires comme un quelconque des
40 ministres ou sous-ministres en vigueur ; et puis une deuxième planche, et
puis une troisième … jusqu'à la dixième.  A chaque nouvel étage, il
prenait le soin de nettoyer en quelque sorte la nouvelle marche : pourtant
c'était son épouse qui lui lançait l'objet et elle ne voulait certainement
pas lui « savonner la planche » comme cela se passe tous les jours entre
politiques de haut niveau ! Après avoir nettoyé, il gravissait la marche, on
ne sait comment, sans que tout s'écroule. En haut de la dixième marche
l'ovation fut fabuleuse.

Vint alors un exercice encore plus périlleux. Ayant détruit le travail
antérieurement  bien  fait, comme un quelconque des mêmes 40 ministres qui
refait sa copie, il entreprit ce deuxième exercice et empila
d'invraisemblables pièces roulantes les unes sur les autres lesquelles
avaient du mal à rester ensemble même sans lui. L'exercice précédent se
renouvela avec l'adjonction de simples planches jusqu'à le  conduire à se
hisser jusqu'à un sommet. Ce fut alors tout soudain l'effondrement : le
hasard le jeta par terre à la grande émotion du public et comme un
quelconque conseil constitutionnel l'aurait fait. Il avait du métier et pu
tomber avec grâce comme le font nos politiciens qui savent chuter avec
adresse même devant les juges les plus exigeants pour les autres. Tout
aussitôt il proclama qu'il remonterait, non  le 20 janvier, mais tout de
suite  et finalement il réussit son nouveau pari, sous une ovation immense.

Les ressemblances avec la « République Fromagère (R.F) »  sont
nombreuses avec quelques dissemblances.

Mêmes applaudissements de la foule devant l'habileté des acrobates.
Toutefois, dans le cirque monégasque, les spectateurs paient leur place avec
leur argent. Dans le cirque français ils sont conditionnés par la presse
dont l'essentiel  des recettes est due à la publicité publique, comme si
l'acrobate achetait lui-même les applaudissements.

L'acrobate du cirque privé ne peut réussir que grâce à un travail
incroyable et permanent sur des années. Idem dans la « R.F » ; le travail
d'équilibre est gigantesque et ses échos entremêlés remplissent
abusivement tous les jours les écrans,  les journaux et l'ordre du jour des
luxueuses, multiples et inutiles assemblées.

Sous l'angle des dépenses, du coté de Monte-Carlo, elles ne sont pas
immenses : un ménage et sans doute quelques auxiliaires avec en plus les
dépenses propres au chapiteau. Dans le cirque français, d'innombrables
acrobates  sont embusqués pour dériver en leur faveur la rivière argentée
que les esclaves-contribuables alimentent par la force de la loi. A ce sujet,
personne, semble-t-il,  ne met en lumière un fait important ; au coût propre
du cirque et à l'enrichissement fabuleux des acrobates, s'ajoute la
destruction de leurs propres talents ; ces acrobates sont souvent
intelligents, dynamiques et parfois diplômés ; autodidactes ou diplômés
ils consacrent leurs talents à un travail totalement destructeur et négatif.

Enfin le cirque de Monte-Carlo réjouit les spectateurs. Le cirque étatique
réjouit les seuls acrobates. Les millions d'autres subissent  les
délocalisations d'usines, le chômage, les salaires insuffisants,
l'écroulement des retraites et la désolante prospérité des restos du coeur
!

Michel de Poncins
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                                      REMARQUE

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                                      lire

          L'avis de l'économiste Jean-Christophe Mounicq sur la crise
Les taxes actuelles sont du banditisme
Service de la dette
Dans tous les budgets de nos corps publics, au fédéral, au provincial au municipal, au scolaire, etc., il y a un item - et pas des moindres - qui n'est point du tout destiné à payer un service public. C'est celui qui porte la dénomination "Service de la dette".

Le dette n'est certainement pas un service public.
Bien plutôt le tribut à un asservissement public. L'argent attribué chaque année à cette fin ne construit ni n'entretient un seul pont, pas même un pouce carré de pavage.
C'est pourtant le point le plus sacré du budget. Le moins discuté, ou plutôt, pas discuté du tout. Dépense incompressible, dit-on. Incompressible, mais extensible car elle va généralement en grossissant avec les années. Tout ce qui a été construit au pays, en fait de routes, de ponts, d'écoles, d'églises, d'établissements publics, l'a été par la population du pays : les uns y travaillant directement, d'autres produisant ce qu'il faut en toutes sortes de choses pour répondre aux besoins de ceux qu'emploie le secteur public. Fruit, donc, du travail collectif de la population. Et pourtant, c'est la population du pays qu'on taxe ainsi chaque année, pour servir des intérêts à des gens qui n'ont nullement mis la main à l'ouvrage, qui souvent même sont de parfaits étrangers.
En cela, le mécanisme de la taxation est un mécanisme de vol. Légalisé, mais vol quand même.Toutes les cités, toutes les villes, tous les villages, ont dans leur budget cet item qui prend de force l'argent des citoyens sans rien leur donner en contrepartie.
Les voleurs font exactement comme cela. Avec cette différence que les voleurs, ceux que tout le monde appelle voleurs, agissent sans autorisation. Ils courent des risques : ils risquent la prison, le pénitencier. Tandis que les voleurs auxquels vont les taxes des citoyens ne risquent rien. Ils n'ont même pas à se déranger pour avoir le magot. Nos conseils municipaux, nos commissions scolaires se chargent d'exécuter le vol pour eux et de leur en passer dévotement le fruit. La police, les autorités, la loi, n'entrent en scène que contre ceux qui négligent ou qui refusent de céder ainsi leur argent. Le puni sera celui qui ose dire non aux agents des voleurs, aux percepteurs de taxes. Sa maison y passera. On ne lui dit pas tout à fait : "La bourse ou la vie !", mais : "Ta bourse, ou le chemin pour ta famille !"
I1 en va de même au gouvernement provincial. De même au gouvernement fédéral, ou c'est la prison pour celui qui ne veut pas se plier aux exigences des agents de ce vol légalisé. Développements publics
Même quand l'argent des taxes et des impôts sert réellement à payer des services publics, pourquoi taxer les individus pour payer les travaux, quand la capacité de production du pays peut fournir à la fois les développements publics et les produits à mettre sur le marché ?
Si la population du pays peut fournir les deux, il n'y a aucune raison de lui enlever le droit à des biens privés comme conditions pour lui permettre d'avoir des biens publics. Or, elle est capable de fournir les deux, quand il y a des centaines de mille bras qui s'offrent et dont la production dit n'avoir pas besoin. Une grande capacité de production n'est donc pas utilisée. Face à une capacité de production non utilisée, les taxes qui diminuent le droit des individus à des produits répondant à leurs besoins sont un vol.

Mesures de sécurité sociale

I1 y a aussi les impôts prélevés pour financer ce qu'on appelle la sécurité sociale : allocations familiales, pensions de vieillesse, pensions aux invalides, allocations aux mères nécessiteuses, etc.
I1 est certainement juste que, de quelque manière, chaque personne, employée ou non, bien portante ou malade, ait accès aux choses nécessaires à la vie. Mais dans un monde où la production abonde sans même employer tous les bras disponibles, pourquoi enlever aux uns pour permettre aux autres d'avoir quelque chose ? Pourquoi prendre dans l'assiette de Pierre pour mettre dans l'assiette vide de Paul, quand le garde-manger est plein à déborder ?
C'est pourtant cela qu'on fait financièrement, par les taxes, parce que le système financier est faux : il rationne devant l'abondance. Le maintenir et taxer devant l'abondance, c'est voler ceux que l'on taxe. Voilà donc encore une tranche des taxes modernes qui constitue un vol légalisé. Et il y en a d'autres.

Gouvernements hors de leur rôle

Les gouvernements aujourd'hui, et de plus en plus, entrent dans des fonctions qui ne sont pas les leurs propres. Ce n'est pas le rôle d'un gouvernement de faire ce que les personnes, les familles, les groupements libres, les corps intermédiaires, les administrations locales sont capables d'accomplir aussi bien et même mieux que le gouvernement. Si une entrave quelconque empêche les individus, les familles, les corps intermédiaires de bien remplir leur fonction propre, le gouvernement doit intervenir, non pas pour la faire à leur place, mais bien plutôt pour enlever l'obstacle que lui seul peut bien enlever. C'est le cas de l'obstacle purement financier. L'absence de moyens de paiement devant des moyens physiques puissants constitue un vice de finance.
Si, au lieu de corriger ce vice du système financier, correction qui ne peut bien être faite que par lui, le gouvernement taxe les citoyens pour se substituer aux familles ou aux corps intermédiaires, il commet plusieurs fautes. I1 néglige son rôle propre. I1 laisse le monopole financier se perpétuer et se fortifier. Il vole ceux qu'il taxe. I1 s'immisce dans ce qui n'est pas de son ressort. Le gouvernement se fait ainsi voleur en même temps qu'envahisseur. I1 donne comme excuse l'impuissance financière des groupements inférieurs, alors qu'il devrait supprimer la source de cette impuissance engendrée par un système financier mal ordonné.
C'est ainsi que le budget de la province de Québec a triplé ou presque en trois ans d'administration libérale (années 60). Et la dette publique a également triplé ou presque. Tout cela servi par les taxes, ou par des emprunts qui signifient des taxes à suivre.
Tous les gouvernements font de même Les contribuables se font pomper de plus en plus. Ce n'est pas seulement leur pouvoir d'achat qui en souffre. Leur liberté personnelle se fait gruger par les empiétements croissants de l'État et de ses bureaucrates.
Dans les conférences entre le Fédéral et les gouvernements provinciaux, il est surtout question de répartition des sources de fiscalité. C'est-à-dire décider quelle sera la part du fédéral et quelle sera la part des provinces dans l'argent à tirer des contribuables. Droits de taxer fédéraux et droits de taxer provinciaux. Les droits des citoyens n'entrent pas en considération. C'est pourtant pour eux qu'existent les gouvernements : pour les protéger, et non pas pour les dévaliser.
A quand une réunion des taxeurs et des taxés pour protéger les droits des seconds en limitant les pouvoirs des premiers ? Le vol légalisé que nous dénonçons comprend donc, au moins : Ce que le gouvernement soustrait de la population pour payer tribut au système qui endette la population à mesure qu'elle développe le pays ; Ce que le gouvernement enlève du pouvoir d'achat des individus, alors que la production offerte attend des acheteurs ; Ce que le gouvernement prend en taxes pour s'occuper de fonctions qu'il devrait laisser aux personnes, aux familles, aux corps intermédiaires ;
Tout ce qu'il prélève sur les fruits de la production actuelle, alors qu'une production potentielle demeure dans le néant par suite d'un système financier vicié que le gouvernement refuse de corriger ;
Tout ce que ce système de taxation comporte de frais onéreux qui seraient inutile sous un système de finance saine, conforme aux réalités de la capacité moderne de production. Dans le secteur public en même temps que dans le secteur privé. Le mécanisme actuel des taxes et des impôts, qui occupe tant les gouvernements, est donc bien un mécanisme de vol légalisé. Le voleur est surtout le monopole de l'argent et du crédit. Les agents du voleur sont les gouvernements. Les victimes sont les contribuables, c'est-à-dire, directement ou indirectement, toute la population.
Louis Even

J'ai découvert le Crédit Social grâce à une circulaire de 8 pages qui a été distribuée à la gare de Strasbourg au printemps 2005. Croyant au départ, à la lecture de la 1ère page, qu'il s'agissait d'une quelconque secte cherchant à répandre ses théories sous couvert de citations issues du Vatican et de la Bible enlevées de leur contexte initial, je me suis vite aperçu au fil de la lecture qu'il n'en était rien.
Cette circulaire explique à l'aide d'articles issues de la plume de M. Louis Even et Alain Pilote, le système bancaire, la création de l'argent dette avec toutes les conséquences néfastes sur la vie des gouvernements endettés et des peuples appauvris par le poids des taxes, tout celà avec des mots simples qui rendait la notion du Crédit Social accessible et compréhensible à "Monsieur Tout le Monde".
Cette circulaire m'a clairement ouvert les yeux sur le "mystère" de l'argent, sa création, et l'usage détourné qu'on font les financiers : les maux actuels ne proviendraient donc pas du système capitaliste en lui même, mais de l'outil qu'il utilise pour prospérer : l'argent en tant que but ultime (profit) et non comme simple instrument de comptabilité pour le commerce. Il m'a été enseigné au lycée que l'argent prêté par une banque provient de la fructification de l'argent déposé par d'autres épargnants sur les places financières (bourse, spéculation, obligation, etc...) : je sais maintenant que celà est faux. En fait, l'enseignement dispensé sur l'économie dans les écoles cherche à faire comprendre l'économie au élèves tel que le voudrait le système financier, afin qu'il ne soit pas remis en question par les générations à venir et qu'il puisse perdurer au profit d'une minorité le plus longtemps possible.
A lissue de la lecture de cette circulaire, j'ai cherché à en savoir plus sur le crédit social, grâce au site Internet http://www.versdemain.org. Ce site est encore plus explicite que la circulaire, surtout l'article "L'île des naufragés" et les extraits du livre "Sous le signe de l'abondance", : nul doute que le regard porté sur le système bancaire change !
Puissent davantage de citoyens être éclairés des vices du système financier actuel : les fondateurs et promoteurs du Crédit Social voient juste : le jour où la population aura conscience des réalités du système bancaire actuel tournées au profit d'une minorité, le Crédit Social sera demandé par le peuple défilant dans le Rue.
Tremblez, gouvernements complices du système bancaire vicié, vos jours sont comptés car la vérité finit toujours par triompher....
Damien


> Le CREDIT SOCIAL par Louis Even (SUITE et FIN promise)
17 mai 2005, par Renaud L a i l l i e r   [retour au début des forums]

Bonjour, je m'appelle Renaud L a i l l i e r, j'habite à Toulon. Je connais bien Louis Even. J'ai découvert le mouvement Créditiste, dont il est l'inspirateur direct, un jour, en ramassant inexplicablement sur le trottoir une page perdue, jaunie, sale et très abîmée du journal Vers-Demain que le vent avait poussé à mes pieds ! Louis Even est un pédagogue hors série. Beaucoup se sont exclamé après avoir lu Louis Even : "J'en ai appris plus en lisant Louis Even que trois ans d'études à l'université !". Les études financières ressemblent, par exemple, à un énorme volume intitulé : Histoire de l'Eglise, mais une fois lu ce gros volume (d'ailleurs fort ennuyeux et qui n'apprend rien d'essentiel), on se rend compte que l'on n'y parle jamais, ni du Pape, ni du Vatican, ni des cardinaux, ni des évêques, ni des curés, seulement quelque fois des enfants de choeur... Voici une bonne illustration de ce que l'on apprend en finances et système monétaire.
Avec Louis Even, l'on va directement au fond des choses les plus fondamentales ici bas. Il nous fait économiser beaucoup de temps et des errements sans fin dans l'abrutissement du verbiage politique qui nous éloigne des sujets de base. Je ne sais pas qui lira ces lignes. Mais je vous en conjure, lisez Louis Even (1885-1974) ses écrits sont de plus en plus d'actualité (j' écrit ceci le 17 mai 2005). Dans le Mouvement Créditiste (siège au Québec-Canada) il y a une version religieuse catholique très marquée qui (en France spécialement) irrite beaucoup de monde. Cette irritation n'est qu'un réflexe parfaitement injustifié. En effet, il ne faut pas faire attention à la "couleur de l'encre" si l'on lit quelque chose de fondamental et d'universel qui s'applique à tout le monde sans la moindre exception. Les athées, les agnostiques, les libres penseurs, ceux appartenant à toutes les religions et tous les partis imaginables, ceux qui sont sans religion ni philosophie d'aucune sorte, etc, ne bénéficient pas de la moindre indulgence de la part de l'administration fiscale, ni de leur banquier quand il en ont un, etc. Et, par ailleurs, tout le monde sait bien que les pays pauvres (rendus pauvres) sont écrasés de dettes impayables. Pour 1 dollar de dette en 1980 beaucoup de pays en ont remboursé 7 en 2002, et en doivent encore 4,5 en cette année 2002. Faut-il faire un dessin ? Qu'attend-t-on pour nous instruire avec Louis Even le promoteur du Crédit Social. Louis Even était un catholique, mais, à le lire, il fait peu de références à sa religion. Le Crédit Social qui fut découvert expérimentalement par l'ingénieur Ecossais Clifford Hugh Douglas (1879-1952). Quand on interrogeait ce dernier sur ses découvertes économiques expérimentales, il indiquait la plupart du temps à ses interlocuteurs de contacter directement Louiis Even, celui qui avait le mieux intégré l'essentiel de ses recherches. Alors ? Vite, mettez-vous à lire louis Even, et vous m'en direz des nouvelles. !




Les taxes de trop



The Tax Poem
At first I thought this was funny...then I realized the awful truth of it.
Be sure to read all the way to the end!
Tax his land,
Tax his bed,
Tax the table
At which he's fed.

Tax his tractor,
Tax his mule,
Teach him taxes
Are the rule.

Tax his work,
Tax his pay,
He works for peanuts
Anyway!


Tax his cow,
Tax his goat,
Tax his pants,
Tax his coat.
Tax his ties,
Tax his shirt,
Tax his work,
Tax his dirt.

Tax his tobacco,
Tax his drink,
Tax him if he
Tries to think.

Tax his cigars,
Tax his beers,
If he cries
Tax his tears.

Tax his car,
Tax his gas,
Find other ways
To tax his ass.

Tax all he has
Then let him know
That you won't be done
Till he has no dough.

When he screams and hollers;
Then tax him some more,
Tax him til
He's good and sore.

Then tax his coffin,
Tax his grave,
Tax the sod in
Which he's laid.

Put these words
Upon his tomb,
'Taxes drove me
To my doom...'

When he's gone,
Do not relax,
Its time to apply
The inheritance tax.

Accounts Receivable Tax
Airline surcharge tax
Airline Fuel Tax
Airport Maintenance Tax
Building Permit Tax
Cigarette Tax
Corporate Income Tax
Death Tax
Dog License Tax
Driving Permit Tax
Excise Taxes
Federal Income Tax
Federal Unemployment (UI)
Fishing License Tax
Food License Tax
Gasoline Tax ( too much per litre)
Gross Receipts Tax
Health Tax
Hunting License Tax
Hydro Tax
Inheritance Tax
Interest Tax
Liquor Tax
Luxury Taxes
Marriage License Tax
Medicare Tax
Mortgage Tax
Personal Income Tax
Property Tax
Poverty Tax
Prescription Drug Tax
Provincial Income Tax
Real Estate Tax
Recreational Vehicle Tax
Retail Sales Tax
Service Charge Tax
School Tax
Telephone Federal Tax
Telephone Federal, Provincial and Local Surcharge Taxes
Telephone Minimum Usage Surcharge Tax
Vehicle License Registration Tax
Vehicle Sales Tax
Water Tax
Watercraft Registration Tax
Well Permit Tax
Workers Compensation Tax

STILL THINK THIS IS FUNNY?

Not one of these taxes existed 100 years ago, and our nation was one of the most prosperous in the world. We had absolutely no national debt, had a large middle-class, and Mom stayed home to raise the kids.
What in the hell happened? Can you spell 'politicians?'
And I still have to 'press 1' for English!?!?!?!?
I hope this goes around the world at least 100 times!!!!! YOU can help it get there!!!!  GO AHEAD - - - be an human !!!!!!!!!! SEND IT AROUND

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