samedi 28 février 2009

Trop de morts par cupidité. Contre une extension du secret défense...


Des magistrats français contre une extension du secret défense

Les deux principaux syndicats de magistrats en France ont dénoncé vendredi un projet de loi qui prévoit l'extension du "secret défense" à des lieux et non plus seulement des documents, et qu'ils voient comme "une reprise en main des juges par le pouvoir politique".

"C'est un nouvelle étape dans la reprise en main des juges par le pouvoir politique", a affirmé Laurent Bedouet, secrétaire général de l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire). "C'est un texte inédit et scandaleux à la constitutionnalité douteuse", dit Laurent Bedouet, dont le syndicat a rencontré le ministre de la Défense, Hervé Morin, pour l'alerter. Le ministère n'avait pas réagi vendredi.

Limiter les pouvoirs d'enquête

Selon le syndicat de la magistrature (SM, gauche), "alors qu'en l'état du droit, seuls des documents peuvent être classifiés, le projet de loi prévoit de protéger des lieux entiers". Selon lui, ce nouveau texte vise "à la fois à étendre le champ du secret-défense et à limiter drastiquement les pouvoirs d'enquête des juges d'instruction".

Le projet de loi de programmation militaire 2009-2014 prévoit que "seuls peuvent faire l'objet d'une classification, les lieux auxquels il ne peut être accédé sans que, à raison des installations ou des activités qu'ils abritent, cet accès donne par lui-même connaissance d'un secret de la défense nationale".

Ce texte ajoute que lorsqu'une perquisition est envisagée dans un tel lieu, elle ne peut être réalisée qu'en "présence du président de la commission consultative du secret de la défense nationale" ou l'un de ses représentants. Toute perquisition "doit être précédée d'une décision de déclassification temporaire aux fins de perquisition".

Emoi

Pour le SM, ce texte "a été conçu à la suite d'investigations qui ont semé l'émoi dans les milieux politiques et militaires": l'instruction de l'affaire de la vente de frégates française à Taïwan qui s'est terminée par un non lieu en France mais a abouti à des condamnations à Taïwan.

Il cite également la perquisition à la présidence française dans l'affaire du meurtre du magistrat Bernard Borrel en 1995 à Djibouti. Et surtout, selon le SM, celle effectuée en 2008 au siège des services secrets français (DGSE) dans l'affaire Clearstream. (belga)
27/02/09 21h31

De Persgroep Publishing. Tous les droits réservés.

« Cette affaire Clearstream 2 a été montée de toutes pièces, elle est destinée à cacher l'affaire des frégates de Taïwan et surtout l'affaire de M. Joseph Ferraye, il y a des milliards de dollars qui sont partis, il y a déjà trop de morts dans ce dossier.

Mais on nous ressort toujours Cleartsream 2 avec une surmédiatisation qui a été encouragée par Nicolas Sarkozy et son ami DSK, pour cacher le pot aux roses...

On m'a mis au pilori. » a dit Renaud Van , l'un des juges sur  France info le 1er février 2007.

Quelques morts dans le dossier : Le premier ministre Pierre Beregovoy, le banquier Edmond Safra , André Sanchez de Lausanne, diverses morts violentes à Taïwan, Daniel  Levavasseur, un ancien agent français, pendu à une corde en montagne..., Georg Brozicek défenestré à Vevey, Boby Dacer à Manille et son ami Alfred Sirven en prison, le juge Bernard Borel à Djibouti, le banquier Edouard Stern à Genève et notamment le capitaine d'industrie Jean-Luc Lagardère etc...


Nous apprenons par un journaliste français qu'une perquisition a eu lieu sur ordre de Justice, au Ministère des Affaires étrangères à Paris, concernant l'affaire Bernard BOREL.

En 1995, le Procureur Bernard BOREL, en mission à Djibouti, a été assassiné (19 octobre 1995). Son agenda qui a été retrouvé, porte la mention qu'il était mission né dans une affaire de brevets ! (points 55 - page 30 et 113 - page 44 du mémoire...
http://googleswiss.com/fr/geneve/f/chapitres/02-memoire.pdf

L'Etat français s'est opposé à ce que la procédure lancée par l'épouse du
Procureur, Elisabeth BORREL - jugée à Toulouse, soit ouverte, sous prétexte du secret défense.
 
Une rhétorique facile et systématique quand il s'agit de couvrir les crimes organisés par de hautes instances de l'État, comme pour l'affaire des frégates de Taïwan et autres.... classées sous prétexte du secret défense alors qu'il y plusieurs morts très suspectes et des fonds sur des comptes notamment au Japon, à Genève, à Lausanne...et à Clearstream...et notamment un jeune journaliste père de famille liquidé dans les DOM TOM, sans compter les défenestrés... ( not. Brozicek et Wang...)...et les explosés dans leur voiture ( Sanchez ), les pendus ( Levavasseur, les "suicidés" de plusieurs coups de feu dans le dos, ce qui est impossible...)...
http://googleswiss.com/fr/geneve/f/appendices/app14-assassinats.pdf

Il est trop facile de laisser faire, sous prétexte du secret défense, des gens qui provoquent des infamies sans limites.


http://desiebenthal.blogspot.com/2008/12/clearstream-morts-suspectes.html

Plus des prisonniers politiques et des censures étranges en Suisse, voir www.burdet.info


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US Corruption... Disgraced Seniors CIA Officials Head to Prison. DEA will follow...

 Duke Cunningham: Sentenced to eight years and four months. Forfeit $1.85 million, pay another $1.8 million in back taxes, and give up interest in his illegally funded Rancho Santa Fe home.
 Thomas Kontogiannis, who served as a money launderer for Cunningham and the contractors who bribed him: Eight years and one month in prison and a $1.05 million fine.
 Kyle "Dusty" Dustin Foggo: Three years and one month in prison; two years of supervision following his release from custody.
 Mitchell Wade, founder of the defense firm MZM Inc. and responsible for the lion's share of the bribes Cunningham admitted receiving. Wade was the primary cooperator with the government and had his sentence reduced accordingly. Two and a half years in prison and a $250,000 fine.
 John T. Michael, Kontogiannis' nephew and the person who actually handled the money laundering under instructions from his uncle: Five years probation and a $100,000 fine.
 Robert Fromm, an Army contract official who went to work at MZM and influenced former subordinates to help MZM get and keep contracts through favorable reviews: One year of probation and fined $2,500.
 Richard Berglund, an MZM employee who made illegal political contributions at the direction of Wade: One year of probation and fined $2,500.
Convicted
 Brent Wilkes, a defense contractor and boyhood friend of Foggo who fought the charges in court and was found guilty of 13 charges, including bribing a public official. His case is now under appeal: Sentenced to 12 years in jail followed by three years of supervision following his release. Ordered to pay $636,116 in forfeiture and $501,300 in fines.

This story can be found on the web at the following address:
http://www.propublica.org/article/disgraced-senior-cia-official-heads-to-prison-still-claiming-hes-a-patriot/

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Euroclear, Clearstream et les mystérieux comptes " Madoff"


Selon Clearstream, une "Bank Madoff" avait ouvert un compte à Bruxelles chez son concurrent Euroclear. Cette seconde chambre de compensation [1] dément. Mais Clearstream persiste et signe.

A la une



De Lapin Bleu

 Permalien

Bref, c'est exactement ce que nous a dit Denis Robert : il est techniquement possible de contrôler tous les flux douteux et illégitimes, puisque les deux chambres de compensation, dont Clearstream, de la planète centralisent les flux.

Les politiciens nous font croire depuis des années que c'est impossible mais en réalité, seule la volonté politique manque

Le grand duc, Juncker, Sarkozy, tous des gens respectables, sont les premiers complices du système, en lui permettant d'échapper aux juges…


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vendredi 27 février 2009

"Barter rings improved" in the US and Switzerland do billions of dollars of trade


RECIPROCAL EXCHANGE NETWORKS:
IMPLICATIONS FOR MACROECONOMIC STABILITY
James Stodder (stodder@rh.edu),
Rensselaer at Hartford, Hartford CT, 06120


An earlier version of this paper was presented at the International Electronic and
Electrical Engineering (IEEE) Engineering Management Society (EMS) Conference, in
Albuquerque, New Mexico, August 2000.

Abstract:

"Barter rings" in the US and Switzerland do billions of dollars of trade each
year. Their turnover is seen to be counter-cyclical. Most studies of the internet's
macroeconomic impact focus on the stabilizing effect of greater price and inventory
flexibility. The pre-internet experience of these systems, however, suggests that, for
networks independent of direct monetary exchange, expanded credit availability may be
even more stabilizing.
I. Introduction
Faster and cheaper information on the internet means greater macroeconomic stability.
That, at least, is a well-publicized view of internet-based commerce. By making it
possible for purchasing firms and households to compare prices more widely, ecommerce
has forced better price flexibility and greater resistance to inflation
(Greenspan, 1999). Better supply tracking and demand estimation also helps keeps
inventories lean, thus tamping down unplanned inventories (Wenninger 1999), an
important precursor of recession.
But this literature on price and inventory flexibility has ignored another way that better
information can be macro-stabilizing. As any loan-officer or central banker can attest, the
prudent allocation of credit is both knowledge-intensive and highly uncertain. What if,
instead of trying to estimate the proper amount of money and credit to complete all
transactions, the balancing of all supplies and demands were known and calculated,
through a central clearing house? The problem of how much money-stuff to create would
disappear; money, in the conventional sense, would no longer exist.
Such moneyless exchange took place in the ancient storehouse economies (Polanyi
1947), and in the simplified models of microeconomic exchange -- both under conditions
where the relevant information is centralized. The ancient storehouses economies
collapsed, and monetary systems (from a root meaning 'to monitor') evolved because
the information required to coordinate a complex economy was far too great to be
centralized (Stodder 1995).
The internet is once again making large-scale information-centralization efficient, and
centralized barter is an emerging form of e-commerce. Barter clearing-houses are
growing with internet startups like swap.com, BarterTrust.com, and uBarter.com (Anders
2000).
The possible implications of moneyless business are not straightforward, nor without
controversy. A few prominent economists have speculated that computer-networked
barter might eventually replace our decentralized money -- as well as its centralized
protector, central banking. Such questions have recently been asked by leading
macroeconomists like Mervyn King, Deputy Governor of the Bank of England (King
1999, Beattie 1999), and Benjamin Friedman of Harvard (1999).
Friedman's view that central banking may be seriously challenged was a lead topic at a
recent World Bank conference on the "Future of Monetary Policy and Banking" (World
Bank 2000). His warnings have even sparked a pair of skeptical reviews in the
Economist Magazine of London (2000a, 2000b). But no one, as far as I know, has
looked at the direct evidence on this issue, the large-scale barter networks in existence
for decades.
II. Statement of the Argument
If barter is informationally-centralized - on a network where, via a central resource, all
parties can scan each other's bids and offers - it will tend to be counter-cyclical. The
central records of such barter, possibly on computers, will track the bids (unmet
demands) and offers (excess supplies) of all agents on the network. This is far more
knowledge than is available to any "central" bank -- the knowledge it has to set the
money-supply basis of exchange. Its broad monetary aggregates sit atop the
decentralized "real" data in which investors and central bankers are interested. To get at
this information, the bank can only scan indirect monetary indicators -- ratings of creditworthiness,
and statistical leading indicators.
This is not to imply that a centralized barter administration cannot make mistakes,
cannot extend too much or too little credit. Credit "inflation" was indeed evident in the
early history of the world's largest barter exchange, the "Economic Ring"
(Wirtschaftsring, or WIR) of Switzerland (Defila 1994, Stutz 1994). Such a centralized
barter exchange, however, will have a better knowledge base on which to extend credit
than any central bank.
The WIR was inspired by the ideas of an early 20th-century economist, Silvio Gesell
(Defila 1994). Yet only one contemporary economist, to my knowledge, has examined
the macroeconomic record of the WIR. Studer (1998) finds positive correlation between
WIR credits advanced and the Swiss money supply, M1. This suggests that WIR follows
a counter-cyclical credit "policy," one parallel to the monetary policy of the Swiss central
bank. The data used in Studer's study, however, go back only to 1994.
This paper examines the historic data on two large barter exchanges -- the WIR,
founded in 1930s Switzerland, and the International Reciprocal Trade Association
(IRTA), founded in the US in the early 1970s. The data will show that the economic
activity of both exchanges is counter-cyclical, rising and falling against, rather than with,
the business cycle.
III. The Data
Because the financial record of these exchanges is not widely known, I provide the basic
data. The North American data are available online (IRTA 1999). In the regressions to
follow, I have only used the series up to 1995, as the website states that the more recent
years are extrapolations.
Table 1: Volume of Corporate Barter,
North American Companies, 1974-1995
(in Millions of Current US Dollars)
Year Volume Year Volume
1974 $850 1986 $3200
1976 980 1987 3470
1977 1130 1988 3750
1978 1300 1989 4050
1979 1500 1990 4550
1980 1720 1991 5100
1981 1980 1992 5570
1982 2200 1993 6050
1983 2440 1994 6560
1984 2680 1995 7216
1985 2900
Source: Barter by North American Companies,
(http://ww2.dgsys.com/~irta/statisti.html).
Note that data for 1975 are missing, and in the present study, are
interpolated. For the regressions, these nominal figures were adjusted by
a 1992-based deflator for services, as explained in the text.
These IRTA data are evidently not of the highest quality. Table 1 shows clear roundingoff,
and should therefore be considered only a first-order approximation. Whatever
biases may have colored the compilation of this data, however, the desire to show a
counter-cyclical tendency was apparently not one of them. I know of no empirical studies
of the IRTA, apart from my own (Stodder 1998), that claim to find such macroeconomic
stabilization. Paradoxically, this is a source of some confidence.
Note that high-quality data on total barter transactions carried out though the IRTA do
exist, but are not in the public domain. All commercial barter credits count as regular
income and must be filed on Form 1099-B of the US Internal Revenue Service (IRTA,
1995). Since the IRTA Corporate Trade Council (CTC) for these years showed no
Canadian or Mexican companies, it is reasonable to conclude that most of the "North
American" barter is US.
Although the US has more complete public economic statistics than almost any other
country, the Swiss banking tradition is famous for the quality of its private records. The
WIR, organized as a bank, is no exception, giving three time-series to the US one.
Table 2: Barter Turnover, Number of Firms, and Credit-on-Turnover, WIR-Bank,
1948-99 (in Millions of Current Swiss Franks)
Year Turnover Participants Credit Year Turnover Participants Credit
1948 1.1 814 0.3 1974 200.0 20902 73.0
1949 2.0 1070 0.5 1975 204.7 21869 78.9
1950 3.8 1574 1.0 1976 223.0 23172 82.2
1951 6.8 2089 1.3 1977 233.2 23929 84.5
1952 12.6 2941 3.1 1978 240.4 24479 86.5
1953 20.2 4540 4.6 1979 247.5 24191 89.0
1954 30.0 5957 7.2 1980 255.3 24227 94.1
1955 39.1 7231 10.5 1981 275.2 24501 103.3
1956 47.2 9060 11.8 1982 330.0 26040 127.7
1957 48.4 10286 12.1 1983 432.3 28418 159.6
1958 53.0 11606 13.1 1984 523.0 31330 200.9
1959 60.0 12192 14.0 1985 673.0 34353 242.7
1960 67.4 12567 15.4 1986 826.0 38012 292.5
1961 69.3 12445 16.7 1987 1065.0 42227 359.3
1962 76.7 12720 19.3 1988 1329.0 46895 437.3
1963 83.6 12670 21.6 1989 1553.0 51349 525.7
1964 101.6 13680 24.3 1990 1788.0 56309 612.5
1965 111.9 14367 25.5 1991 2047.0 62958 731.7
1966 121.5 15076 27.0 1992 2404.0 70465 829.8
1967 135.2 15964 37.3 1993 2521.0 76618 892.3
1968 152.2 17069 44.9 1994 2509.0 79766 904.1
1969 170.1 17906 50.3 1995 2355.0 81516 890.6
1970 183.3 18239 57.2 1996 2262.0 82558 869.8
1971 195.1 19038 66.2 1997 2085.0 82793 843.6
1972 209.3 19523 69.3 1998 1976.0 82751 807.7
1973 196.7 20402 69.9 1999 1833.0 82487 788.7
Sources: Data to 1983 are from Meierhofer (1984). Subsequent years are from
Annual Reports and WIR, public relations department (2000).
IV. The Regression Results
United States
Figures 1 and 2 below give visual evidence of Corporate Barter's "mirror image" or
negative correlation with US GDP, and its more positive correlation with Wholesale
Inventories.
To deflate the nominal IRTA data of Table 1, the 1992 chained price index for Services
was used. By most accounts US corporate barter is heavily weighted toward services
(Healey 1996), especially in media and advertising. Gross Domestic Product is in real
terms, using a 1992 chained deflator, from the Economic Report of the President (1996).
Figure 1: Annual Change in US GDP and Corporate Barter (1992 Prices), 1974-95.
Figure 2: Annual Change in US Wholesale Inventories (left axis) and Corporate
Barter (right axis) 1992 Prices, 1974-95.
Right-hand-side variables (in Table 3) are a Time trend, Wholesale Inventories, the
percentage of Unemployment, and the Gross Domestic Product of the US economy.
There is clear multicollinearity between these last two, as demonstrated by the Rsquared
term being virtually unchanged when either one of them is dropped, in the last
three estimates. Inventories show less multicollinearity, going "both ways" in the
business cycle -- rising with expected upturns, but also with unexpected downturns. As a
result of this independence, the coefficient on Inventories is significant throughout.
Estimates in Table 3 are first-order auto-regressive (AR1). Durbin Watson statistics fall
mostly into the indeterminate area, so the null hypothesis of no auto-correlation can be
rejected at level 5 percent. Regression [4] shows positive auto-correlation.
The coefficient on each variable is significant in at least one equation. All coefficients
have signs consistent with the hypothesis of barter being counter-cyclical.
Table 3: US IRTA Corporate Barter, as Explained by Macroeconomic Variables
Dependent Variable: Corporate Barter, 1974-1995
(t-stats in italics, * : p-value < 0.05, o : p <0.10)
Equation [1] [2] [3] [4]
Variable
Constant 1407.73 -344.37 2174.86 1070.110
0.641 -0.446 3.496* 2.363
Time 132.118 71.835 159.491 131.782
1.659 1.977 o 6.120* 5.099*
Wholesale Inv. 15.635 17.656 14.135 8.869
2.801* 3.512* 3.825* 2.719*
Unemploy. -0.342 55.034
-0.851 2.172*
GDP 18.279 -0.468
0.365 -2.345*
Regress. Mthd AR1 AR1 AR1 AR1
R-squared 0.892 0.893 0.890 0.861
Adj. R-squared 0.867 0.875 0.871 0.846
Durbin-Watson 1.323 1.271 1.305 0.824
Rho 0.929 0.927 0.929 0.927
t-stat. of Rho 14.788* 14.706* 15.166* 15.014*
Log likelihood -124.14 -124.60 -124.22 -127.16
Observations 22 22 22 22
Sources: IRTA (1995a) and Economic Report of the President (1996). Also, see Stodder (1998).
Switzerland
As Figure 3 below shows, growth in the number of WIR Participants has tracked Swiss
Unemployment very closely, consistently maintaining a rate of about one-tenth the
increase in the number of unemployed. Indeed, in the following regressions, the
Unemployment term is the only one with strongly significant coefficients. The importance
of Unemployment to WIR's Participant trend probably reflects its exclusion of "large"
businesses, as established in the bank's rules since 1973 (Defila 1994). Employees in
smaller firms are generally more subject to unemployment risks. Note that only 40
observations were available in these regressions, since the OECD data on Inventories
only go back to 1960.
Figure 3: Change in number of Swiss Unemployed (in 1000s, left axis) and in
number of WIR Participant-Accounts (in 1000s, right axis), 1948-99.
To deflate the WIR data, a chained price deflator on 1990 GDP is used. In Table 4 the
dependent variable is the change in number of Participants. Right-hand-side variables
are the Change in Unemployment, Change in Gross Domestic Product, and Change in
all Private Inventories -- all in actual and not in percentage terms. The Durbin-Watson
statistics show the hypothesis of no positive correlation cannot be rejected at 5 percent.
Turnover is seen to be largely pro-cyclical, rising and falling in tandem with the change in
GDP and against changes in Inventories (See Figures 4 and 6). Credit advanced by the
WIR, on the other hand, is highly counter-cyclical, correlated against GDP and with
Inventories (See Figures 5 and 7).
Figure 4: Change in Swiss GDP (left axis), and Change in Total WIR Turnover (right axis), both in
1990 Swiss Franks, 1948-99.
Figure 5: Change in Swiss GDP (left axis), and Change in Credits Advanced in WIR (right axis), both
in 1990 Swiss Franks, 1948-99.
Figure 6: Change in Swiss Inventories, Millions of 1990 Swiss Franks (left axis), and Change in
Annual Turnover in WIR (right axis), 1960-99.
Figure 7: Change in Swiss Inventories, Millions of 1990 Swiss Franks (left axis),
and Total Credits advanced in WIR (right axis), 1960-99.
In Table 4 below, Change in the number or WIR Participants is regressed against
Change in Unemployment (in thousands, not as a percentage), Change in real GDP (in
1990 Swiss Franks), and Change in Real Inventories (also 1990 based.) The impression
of an overwhelming correlation between membership and unemployment, seen in Figure
4, is confirmed. R-squared terms are relatively low, however, and the Durbin-Watson
term is in the indeterminate region, so the null hypothesis of first-order autocorrelation
cannot be rejected at the 5% level.
Table 4: Participants in the WIR Barter Network, as Explained by Macroeconomic
Variables 1960-1999
Dependent Variable: Change in Number of WIR Participants**
(t-stats in italics, * : p-value < 0.05, o : p <0.10)
Equations [1] [2] [3]**
Variable
Constant 1381.46 1368.13 -9.011
1.299 1.291 -2.808*
Change Unemploy. 19.299 20.280 0.0242
3.130* 3.088* 1.485*
Change GDP 0.01251 1.892
0.470 5.767*
Change Inventories -0.0674 -0.0824 -0.363
-1.992* -1.761 o -2.272*
Regression Method AR1 AR1 AR1
R-squared 0.279 0.283 0.963
Adj. R-squared 0.240 0.223 0.960
Durbin-Watson Stat. 1.344 1.37051 0.627
Rho (autocorrelation) 0.9163 0.915 0.986
t-statistic of Rho 16.691* 16.251* 63.098*
Log likelihood -318.006 -317.884 58.191
Number 40 40 36
** natural log of original, not change term, in [3]
Sources: OECD: "Historical Statistics" (1998), "Economic Surveys: Switzerland" (1999);
IMF: "Economic Outlook" (2000); Madison (1995); and Mitchell (1998).
In Table 5, annual Real Turnover in WIR, again in 1990 Swiss Franks, is regressed
against the same variables as in Table 4 above. Note that Turnover is correlated with
Unemployment, and thus counter-cyclical to this extent -- just as Membership was in the
previous table. However, we now find a positive correlation with GDP, and a negative
correlation with Inventories -- and thus a pro-cyclical relationship with these variables.
Most coefficients are significant, but the low R-squared and Durbin-Watson terms do not
inspire confidence.
In Table 6, I regress Credit against a slightly different set of variables, here using
Change in Gross Capital (which includes inventories) rather than the change in
inventories itself. With decreased value of existing capital stock in a recession, this
emphasizes the counter-cyclical aspect even more. The regressions with high Durbin-
Watson statistics [1] and [2], show low R-squares, and those with high R-squares, the
log forms [3] and [4], show low Durbin-Watsons.
Despite their plausible signs and significance of the coefficients, none of the regressions
in Tables 4-6 are convincing, because of possible auto-correlation and low R-squared
problems. In the final regressions, Table 7 below, these problems are partly resolved.
Table 5: Total Turnover in the WIR Barter Network, as Explained by
Macroeconomic Variables 1960-1999
Dependent Variable: Change in Annual Turnover of WIR-Bank
(t-stats in italics, * : p-value < 0.05, o : p <0.10)
Equations [1] [2] [3]** [4]**
Variable
Constant 1381.46 1368.13 -9.011 -38.792
1.299 1.291 -2.808* -5.077*
Change Unemploy. 19.299 20.280 0.0242 0.1068
3.130* 3.088* 1.485* 2.677*
Change GDP 0.01251 1.892 3.594
0.470 5.767* 5.752*
Change Inventories -0.0674 -0.0824 -0.363
-1.992* -1.761 o -2.272*
Regression Method AR1 AR1 AR1 AR1
R-squared 0.279 0.283 0.963 0.0417
Adj. R-squared 0.240 0.223 0.960 .261E-2
Durbin-Watson Stat. 1.344 1.37051 0.627 0.772
Rho (autocorrelation) 0.9163 0.915 0.986 0.971
t-statistic of Rho 16.691* 16.251* 63.098* 38.808*
Log likelihood -318.006 -317.884 58.191 13.034
Number 40 40 36 52
** natural log of original, not "change" term,
used
in [3], [4].
Sources: Same as Table 4.
Table 6:Credit Advanced in the WIR Barter Network, as Explained by
Macroeconomic Variables 1960-1999
Dependent Variable: Change in Annual Credit Advanced by WIR-Bank
(t-stats in italics, * : p-value < 0.05, o : p <0.10)
Equations [1] [2] [3]** [4]**
Variable
Constant 11.034 10.172 -1.112 --25.554
1.186 1.17157 -0.336 -4.578*
Change Unemploy. 0.433 0.455 0.0692 0.0538
2.154* 2.373* 1.864 o 1.697 o
Change GDP -0.207 2.6536
-0.370 4.488*
Change Gross Cap. 0.5734 -0.179
2.024* -0.566
Regression Method AR1 AR1 AR1 AR1
R-squared 0.103 0.101 0.281 0.690
Adj. R-squared 0.0662 0.0829 0.237 0.661
Durbin-Watson Stat. 2.490* 2.497* 0.592 0.818
Rho (autocorrelation) 0.6967 0.689 0.994 0.964
t-statistic of Rho 6.902* 6.82298 116.617 30.564*
Log likelihood -224.595 -224.665 27.130 34.412
Number 51 51 36 36
** natural log of original, not "change" term,
used
in [3], [4].
Sources: Same as Table 4.
In Table 7, I use the ratio of Credit over total barter Turnover. In contrast to the results of
Table 4, the regressions on number of WIR participants, I find that the Unemployment
term is now not significant. The "Change in Inventories and Change in GDP, are highly
significant in regression [2]. The Durbin-Watson statistic for this equation, however,
indicates that the null hypothesis of first-order autocorrelation cannot be rejected at five
percent.
Since the previous regressions show Credit as correlated with Inventories, while
Turnover volume is correlated with GDP, the ratio of Credit to Turnover in Table 7,
therefore, correlates with Inventories and against GDP. As in the IRTA regressions of
Table 3, however, collinearity is evident between the GDP and Inventory terms. In both
cases some functional relationship is likely, although it is not specified here.
Table 7: WIR Credit-Turnover Ratio, as Explained by Macroeconomic
Variables 1948-1999
Dependent Variable: Annual Ratio of Credit to Turnover,
(t-stats in italics, * : p-value < 0.05, o : p <0.10)
Equations [1] [2] [3] [4]
Variable
Constant 1.86E-01 1.89E-01 1.92E-01 2.45E-01
5.314* 5.448* 5.067* 11.192*
Time 4.66E-03 4.49E-03 4.34E-03 3.04E-03
4.402* 4.648* 4.123* 4.400*
Unemploy. -5.50E-05
-0.384
Change GDP -1.53E-06 -1.52E-06 -8.73E-07
-2.633* -2.659* -1.767 o
Chnge Invnt. 2.23E-06 2.23E-06 3.63E-07
2.089* 2.129* 0.434
Regress.Mthd AR1 AR1 AR1 AR1
R-squared 0.457 0.419 0.343 0.568
Adj.R-squrd 0.394 0.396 0.307 0.550
Durb.-Watson 2.069* 1.664 2.229* 2.413*
Rho 0.832 0.983 0.846 0.788
t-stat. of Rho 9.788* 65.533* 10.709* 9.057*
Log liklhood -111.74 -416.85 -108.08 -132.53
Number 40 40 40 52
Sources: Same as Table 4.
V. Conclusions and Implications
The Swiss results are less persuasive than the US, perhaps due to the poorer coverage
of its national data (Maddison 1995, p. 135) -- as opposed to its barter exchange data.
Nevertheless, there is substantial evidence for the general form of our hypothesis, that
centralized barter exchange is counter-cyclical.
There remains the vital question, however, as to why this counter-cyclicity occurs. A
basic difference of opinion exists within macroeconomic theory as to whether instability
is more due to price rigidity, or to inappropriate levels of money and credit. Keynes
(1936) recognized that both conditions can and do apply, and that either can lead to
instability.
The reigning macroeconomic consensus, as represented by Mankiw (1993), puts the
blame more on rigid prices; economists like Colander (1996) stress monetary and credit
conditions. Reflecting the consensus around the "sticky price" school of
macroeconomics, most commentary on the impact of e-commerce has concentrated on
prices, as we have seen. But if a barter exchange's members charge prices that do not
diverge significantly from its cash prices -- those charged to their non-members -- then
counter-cyclicity may derive from barter's ability to create credit.
The two barter exchanges studied here have very different pricing practices. The North
American IRTA is likely to benefit its participants through greater price flexibility, and
even under-the-table "discounts" off the list price (Magenheim and Murrell 1988). The
Swiss WIR, by contrast, is unlikely to engage in pricing that differs substantially from
cash deals. WIR credits cannot be exchanged for cash at a discount, a decision historian
Defila (1994) sees as crucial for the organization.
The IRTA is a loose affiliation of "barter middle-men," not a nationally centralized
exchange like the WIR-bank. The totality of the US barter exchanges is far smaller than
WIR, both absolutely and relative to the national economy. IRTA activities are less public
and less centralized, and therefore, far less subject to the scrutiny of other customers.
Prices available to members of the WIR, by contrast, are usually matters of public
information. Lower prices on barter than cash would surely divert trade to the former.
This is undesirable for most businesses. Within a cash-wide economy, other things
being equal, cash is always preferred (Healey 1996).
The possibility remains that barter may have forced greater flexibility in network
members' cash prices. But since WIR's bylaws restrict membership to small and medium
businesses (Defila 1994), members will usually have had little price-setting power. Thus,
the counter-cyclical history of WIR is likely more due to its credit creation than to added
price flexibility. Inventory flexibility, however, could also be a factor, even before widescale
use of computers. The IRTA's counter-cyclical path probably derives from all three
causes, with effects more closely balanced.
Whatever the causes, if these network exchanges are indeed counter-cyclical, this is not
the case for all "network economies". Telecommunications networks are highly subject
to increasing returns to scale, unlike older industries -- and standard neoclassical theory
(Romer 1997, Howitt and Phillipe 1998). Such industries are likely to fuel faster growth,
but also, as their importance to the economy increases, greater macroeconomic
instability.
Networks like those studied here also have increasing returns and "network
externalities," yet appear to be counter-cyclical. Although started long before the
internet, these networks offer important historical evidence on the macroeconomics of
barter.
It is not too soon to begin studying this evidence. To quote Mervyn King, Deputy
Governor of the Bank of England, the logic of electronic barter may imply that "central
banks in their present form would no longer exist; nor would money….The successors to
Bill Gates could put the successors to Alan Greenspan out of business." (King 1999)
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WORLD BANK (2000) "Future of Monetary Policy and Banking Conference: A
Conference Looking Ahead to the Next Twenty-Five Years," July 11, 2000, World
Bank,Washington, D.C.
http://www.worldbank.org/research/interest/confs/upcoming/papersjuly11/papjuly11.htm .
Last Updated: Wednesday, April 03 2002 12:00
Rensselaer at Hartford, 275 Windsor St, Hartford, CT 06120
For more information: 1-800-433-4723 or info@rh.edu
--
Admiration.
http://www.union-ch.com/file/portrait.wmv

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal

Plus de 10'000 milliards de dollars ont disparu ! Voici une liste de suspects et les liens avec l'affaire Ferraye.

Plus de 10'000 milliards de dollars ont disparu !

Où ?

Dans des paradis fiscaux !!!

La City de Londres et ses annexes sont les pires repaires de bandits et pirates financiers.

En 2008 dans le quotidien Le Figaro : « Si l'on tient comptes des services offerts (secret bancaire, absence de taxes, non-résidence, absence de réglementation), le plus grand paradis fiscal de la planète est la City de Londres.

Elle a organisé à la fin des années 1950 la non-réglementation en accaparant le marché des eurodollars ; elle pratique le secret bancaire et l'absence de taxes pour les non résidents (…).

Elle dispose de relais exotiques (Bermudes, Bahamas, Îles Vierges, Jersey, Ile de Man, Guernsey, divers territoires du Privy council) battant pavillon britannique mais destinés à tromper sa propre réglementation.

Par ailleurs, avec le Guyana, la Barbade est le seul Etat de la CARICOM

à avoir reconnu la Cour de Justice Caribéenne
(créée le 16 avril 2005 à Port d'Espagne) avec une compétence de dernier ressort

en lieu et place du Privy council de Londres.




La Suisse, désignée ces jours-ci comme le premier paradis fiscal avec le Luxembourg, peut, avec raison, faire remarquer qu'elle n'est qu'un coffre fort de famille, à côté de Londres. »

La vente de produits de luxe bat tous les records, le nombre de milliardaires augmente sans cesse... Pourtant les caisses des États sont désespérément vides. Où est donc passé l'argent public ?

Des Caraïbes à Jersey en passant par le Ghana, Frédéric Brunnquell a mené l'enquête sur cette "Grande évasion" et découvert le pot au rose : alors que l'ONU réclame 50 milliards pour éradiquer la pauvreté, plus de 10 000 milliards de dollars sommeillent à l'abri des regards dans les paradis fiscaux.

Suivez l'argent, vous découvrirez des secrets bien gardés...

Exemple complet.

« Cette affaire Clearstream 2 a été montée de toutes pièces, elle est destinée à cacher l'affaire des frégates de Taïwan et surtout l'affaire de M. Joseph Ferraye, il y a des milliards de dollars qui sont partis, il y a des morts dans ce dossier.

Mais on nous ressort toujours Cleartsream 2 avec une surmédiatisation qui a été encouragée par Nicolas Sarkozy et son ami DSK, pour cacher le pot aux roses...

On m'a mis au pilori. » a dit Renaud Van , l'un des juges sur France info le 1er février 2007.

Quelques morts dans le dossier : Le premier ministre Pierre Beregovoy, le banquier Edmond Safra , André Sanchez de Lausanne, diverses morts violentes à Taïwan, Daniel Levavasseur, un ancien agent français, pendu à une corde en montagne..., Georg Brozicek défenestré à Vevey, Boby Dacer à Manille et son ami Alfred Sirven en prison, le juge Bernard Borel à Djibouti, le banquier Edouard Stern à Genève et notamment le capitaine d'industrie Jean-Luc Lagardère etc...


Nous apprenons par un journaliste français qu'une perquisition a eu lieu sur ordre de Justice, au Ministère des Affaires étrangères à Paris, concernant l'affaire Bernard BOREL.

En 1995, le Procureur Bernard BOREL, en mission à Djibouti, a été assassiné (19 octobre 1995). Son agenda qui a été retrouvé, porte la mention qu'il était mission né dans une affaire de brevets ! (points 55 - page 30 et 113 - page 44 du mémoire...
http://googleswiss.com/fr/geneve/f/chapitres/02-memoire.pdf

L'Etat français s'est opposé à ce que la procédure lancée par l'épouse du
Procureur, Elisabeth BORREL - jugée à Toulouse, soit ouverte, sous prétexte du secret défense.

Une rhétorique facile et systématique quand il s'agit de couvrir les crimes organisés par de hautes instances de l'État, comme pour l'affaire des frégates de Taïwan et autres.... classées sous prétexte du secret défense alors qu'il y plusieurs morts très suspectes et des fonds sur des comptes notamment au Japon, à Genève, à Lausanne...et à Clearstream...et notamment un jeune journaliste père de famille liquidé dans les DOM TOM, sans compter les défenestrés... ( not. Brozicek et Wang...)...et les explosés dans leur voiture ( Sanchez ), les pendus ( Levavasseur, les "suicidés" de plusieurs coups de feu dans le dos, ce qui est impossible...)...
http://googleswiss.com/fr/geneve/f/appendices/app14-assassinats.pdf

Il est trop facile de laisser faire, sous prétexte du secret défense, des gens qui provoquent des infamies sans limites.


http://desiebenthal.blogspot.com/2008/12/clearstream-morts-suspectes.html

Plus des prisonniers politiques et des censures étranges en Suisse, voir www.burdet.info

Comment brouillent-ils les pistes ?

L'affaire Clearstream 2 (ou affaire EADS-Clearstream ou affaire du corbeau des frégates de Taïwan) est une affaire apparue en 2004. Un petit groupe de politiciens et d'industriels tenta de manipuler la justice afin d'évincer des concurrents, en voulant faire croire à l'implication de ceux-ci dans le scandale des frégates de Taïwan. À l'heure actuelle (décembre 2007), l'enquête chargée d'identifier les membres de ce groupe, confiée aux juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, est encore en cours.

Sommaire

Contexte [modifier]

Cette affaire prend place dans les conflits brutaux qui agitent l'industrie française de l'armement depuis la fusion Airbus-Matra-Dassault au sein d'EADS et les luttes d'influence des géants de l'électronique militaire Thales (Ex-Thomson-CSF) et Alcatel avant leur possible fusion. Ainsi, dans le groupe EADS, se déchireraient deux clans issus de l'ancien groupe Matra : d'une part celui d'EADS proprement dit, animé par Philippe Camus et Jean-Louis Gergorin ; d'autre part, celui d'Airbus, dirigé par Noël Forgeard et Philippe Delmas.

Une seconde toile de fond est la rivalité politique entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin. Dès les débuts de l'affaire, Nicolas Sarkozy y aurait vu une tentative grave de déstabilisation à quelques mois de l'élection présidentielle de 2007.

Lancement de l'affaire [modifier]

Depuis juin 2001, le juge Renaud Van Ruymbeke enquête sur l'affaire des frégates de Taïwan. Au printemps 2004, il reçoit plusieurs lettres anonymes et CD-ROMs prétendant révéler l'existence d'un réseau international d'influences et de malversations, ainsi que celle de 895 comptes bancaires occultes qui, ouverts par de nombreuses personnalités du monde des affaires (dont Alain Gomez, Pierre Martinez, Philippe Delmas) ou de la politique (dont Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius), auraient fait transiter l'argent des frégates. Il est rapidement apparu qu'il s'agissait d'une tentative de manipulation visant le juge Van Ruymbeke et dont le scénario s'inspirait des thèmes développés dans le livre Révélation$ de Denis Robert. En particulier, les listes de comptes occultes envoyés par le corbeau auraient été trafiquées afin d'impliquer des personnalités étrangères à l'affaire des frégates de Taïwan. Une enquête sur la réalisation de ces faux fut alors confiée aux juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons[1].

Déroulement de l'affaire [modifier]

Les faits : le scénario du « corbeau » [modifier]

Depuis juin 2001, les juges Renaud Van Ruymbeke et Dominique de Talancé enquêtent sur l'affaire des frégates de Taiwan. Parallèlement, en 2001 et 2002, le journaliste Denis Robert, publie deux livres (Révélation$ en 2001 et La Boîte noire en 2002) sur Clearstream, accusant cette société luxembourgeoise de dissimuler des opérations financières illégales, lançant ainsi l'affaire Clearstream 1.

Le 3 mai et 14 juin 2004, Renaud Van Ruymbeke reçoit une première lettre anonyme, suivie par plusieurs autres et un CD-ROM contenant 16 121 comptes bancaires ouverts chez Clearstream, datant du premier trimestre 2000. Le délateur, surnommé « le corbeau » peu après, livre un scénario de cinéma très inspiré par le conspirationnisme ambiant. La lettre commence par ces mots :

« Je vous écris pour vous informer de l'existence d'un groupe mafieux comprenant au moins deux personnes auxquelles vous vous intéressez et qui commencent à étendre en France des méthodes de corruption et de prédation qui ont fait tant de mal à la Russie dans les années 1990. »

Selon le corbeau, un « comité » international composé de Français, d'oligarques russes et des narcotrafiquants serait à l'œuvre pour contrôler de grandes entreprises et blanchir des quantités considérables d'argent sale par le biais des comptes occultes de Clearstream. Le corbeau cite pêle-mêle l'oligarque russe Mikhaïl Khodorkovski, patron du géant pétrolier Ioukos et de la banque Menatep (aujourd'hui emprisonné en Sibérie) et le milliardaire Marc Rich. Il affirme qu'il existe des liens financiers entre des familles colombiennes, des parrains russes, est-allemands et ouzbeks, tout cela au sein d'une vaste confrérie internationale du crime et du blanchiment d'argent. Ce comité serait responsable de la mort de Jean-Luc Lagardère, l'ancien patron de Matra, aujourd'hui fusionné dans EADS.

Le corbeau prétend dénoncer des comptes occultes établis chez Clearstream pour plusieurs personnalités du monde des affaires ou de la politique, dont Philippe Delmas, vice-président du géant européen de l'aéronautique EADS, et Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Économie, mais aussi Alain Gomez, ancien président de Thomson-CSF (devenu Thales), Pierre Martinez, ancien responsable de la sécurité de Thomson-CSF, Andrew Wang, l'intermédiaire sino-américain impliqué dans le scandale des frégates de Taïwan, ainsi que Jean-Pierre Chevènement, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius, etc. C'est ainsi que le corbeau a fait croire qu'Alain Gomez possédait le compte 83656 à la Cititrust (Bogota), alors que le véritable titulaire se dénommait en réalité Hugo Caceres Gomez. De même, le compte E 3521, ouvert à la Reserved Mailbox Account, censé appartenir à Pierre Martinez, a comme titulaire une société madrilène dénommée Martinez Gil y Asociados.

Les lettres s'inspirent beaucoup des accusations portées sur la chambre de compensation luxembourgeoise Clearstream, et témoignent d'une connaissance certaine du dossier Clearstream et de l'affaire des frégates de Taiwan. « Certains numéros de comptes comme ceux de la BNP sont authentiques. » écrit Libération. Dès lors, des commissions rogatoires internationales sont adressées en Suisse, au Luxembourg et en Italie.

Fin 2004, le juge Van Ruymbeke comprend qu'il s'agit d'une manipulation : « Les noms de personnalités ont été rajoutés aux listes de Clearstream. Parfois grossièrement. L'enquête préliminaire ouverte sur les autres comptes est classée sans suite en mai 2005. »[2] Une enquête sur la réalisation de ces faux est alors confiée aux juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons.

L'enquête de D'Huy et Pons [modifier]

Le parquet de Paris demande une enquête préliminaire sur la chambre de compensation Clearstream et envoie un substitut à Luxembourg. Le ministre de l'Intérieur, Dominique de Villepin, demande une enquête au directeur de la DST, Pierre de Bousquet de Florian, dont un des adjoints, Jean-Jacques Martini, est cité dans la liste du corbeau.

En janvier, l'enquête concernant le compte de Nicolas Sarkozy, accusé de détenir un compte à la Banca popolare di Sondrio, un bourg italien situé au centre des Alpes, sous le nom de « Stéphane Bocsa » et « Paul de Nagy », est fermée. La Banca popolare di Sondrio a en effet répondu à la commission rogatoire du juge Van Ruymbeke réclamant l'identité du titulaire du compte. L'établissement italien a indiqué que le numéro correspondait à un compte de banque ouvert par la société Clearstream, et était utilisé par de très nombreux clients. La Banca popolare réclamait au magistrat français une nouvelle demande désignant la personne visée, mais puisque l'enquête prouvait par ailleurs que les listes avaient été trafiqués, le juge Van Ruymbeke a fermé le dossier, innocentant ainsi Sarkozy[3].

L'attention des magistrats se porte sur un informaticien d'EADS, Imad Lahoud. Il aurait été recruté chez EADS par Jean-Louis Gergorin, sur recommandation du général Philippe Rondot, vétéran des services de renseignements français. Début 2003, Imad Lahoud a collaboré avec la DGSE pour identifier les réseaux financiers d'al Qaïda. À cette occasion, il s'est informé sur le fonctionnement des comptes de Clearstream et a rencontré Denis Robert.

Les juges Pons et d'Huy cherchent à étendre leurs investigations à l'affaire des frégates de Taïwan. En mai 2006, les magistrats ont obtenu communication de l'intégralité de la procédure judiciaire sur les frégates de Taïwan, instruite depuis 2001 par les juges Renaud Van Ruymbeke et Dominique de Talancé et représentant 35 tomes du dossier. Le Figaro conclut donc que « les quelques 35 tomes du dossier, portant sur d'éventuelles rétrocommissions sur le marché des frégates de Taïwan, sont donc officiellement rattachés à l'affaire Clearstream. » Plusieurs sources judiciaires confient au Figaro « ne pas comprendre cette démarche », tandis que le quotidien constate que « les deux juges ont désormais une matière aussi considérable qu'inattendue pour nourrir leurs investigations. »[4]

Protagonistes [modifier]

Nota bene : Les protagonistes de cette affaire sont présumés innocents et nient toute implication.

EADS [modifier]

  • En avril 2006, l'ensemble de l'équipe dirigeante du groupe EADS s'est retrouvé brutalement au centre de l'affaire Clearstream 2 (ou affaire du corbeau des frégates de Taiwan). Deux membres d'EADS semblent être au cœur de cette affaire : Jean-Louis Gergorin et Imad Lahoud. Les bureaux de Noël Forgeard, co-président d'EADS (co-CEO), Gustav Humbert, président d'Airbus et Jean-Louis Gergorin, vice-président d'EADS, ont été perquisitionnés.
  • Le 8 mai 2006, Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC (Mouvement républicain et citoyen), a affirmé que l'origine de l'affaire Clearstream 2 pourrait être à rechercher au sein des instances dirigeantes du groupe EADS. Le 16 mai 2006, Noël Forgeard s'est exprimé au Salon aéronautique de Berlin (ILA). « Ce n'est absolument pas quelque chose qui concerne la société [...] c'est quelque chose qui concerne deux personnes. » « Cela n'a absolument rien à voir avec EADS, même si certains le disent. » A-t-il ajouté.
  • Jean-Louis Gergorin, directeur d'une branche d'EADS chargé de la stratégie, a indiqué dans la presse les 28 et 29 avril 2006 être l'auteur des deux premières lettres anonymes envoyées au juge Renaud Van Ruymbeke en mai et juin 2004. Convaincu que le groupe Lagardère est menacé par un réseau international affairiste, il bénéficie des informations d'une source sur des comptes occultes de Clearstream. Il tente de déclencher une enquête des services spéciaux français en contactant Philippe Rondot en novembre 2003, puis Dominique de Villepin en janvier 2004. En avril 2004, constatant l'inefficacité des investigations, il rencontre en secret Renaud Van Ruymbeke. Refusant de déposer officiellement, il envoie les informations issues de sa source sous forme de plis anonymes au juge Van Ruymbeke.
  • Imad Lahoud est directeur scientifique au centre de recherche d'EADS. Son frère est Marwan Lahoud, nouveau directeur général d'EADS Défense et sécurité (DS), chargé du marketing, de l'international et de la stratégie, nommé en juin 2007, et ancien président de MBDA, leader européen des missiles. Bien que désigné par le général Philippe Rondot et Jean-Louis Gergorin comme la source des informations sur Clearstream, il nie toute implication dans cette affaire.

Personnalités politiques [modifier]

Dominique de Villepin [modifier]

En présence de Jean-Louis Gergorin, Dominique de Villepin, ministre des affaires étrangères demande le 9 janvier 2004 une première enquête au général Philippe Rondot, proche conseiller de Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense, pour vérifier l'existence des comptes bancaires attribués à des personnalités, dont Nicolas Sarkozy. La compétence de Dominique de Villepin à demander une enquête à un officier supérieur est discutée. Fin juin 2004, il informe le premier Ministre Jean-Pierre Raffarin que l'hebdomadaire Le Point va publier des informations mettant en cause un ministre important du gouvernement. Il lui est demandé de mener des investigations. Ministre de l'Intérieur, il demande une deuxième enquête à Pierre de Bousquet de Florian, directeur de la DST, sans l'informer de l'enquête préliminaire de Philippe Rondot et surtout des forts doutes de ce dernier.

En juin 2006, Dominique de Villepin a porté plainte contre plusieurs ouvrages documentant son instrumentalisation de l'affaire : Denis Robert pour Clearstream, l'enquête (Les Arènes), Jean-Marie Pontaut et Gilles Gaetner pour Règlements de compte pour l'Elysée, (Ohéditions) et Airy Routier pour Le complot des paranos (Albin Michel). En octobre 2006, le procureur de la République de Paris n'a pas requis la mise en examen du Premier ministre ou son audition comme témoin assisté mais son audition comme simple témoin [5].

Les 4, 5 et 6 juillet 2007, Dominique de Villepin est mis en cause par Philippe Rondot et Imad Lahoud. En particulier, des notes retrouvées sur l'ordinateur du général Rondot indiqueraient qu'il aurait donné instruction à Jean-Louis Gergorin « de « balancer » Nicolas Sarkozy ». Son domicile et ses bureaux sont perquisitionnés. Au cours d'auditions ayant eu lieu en juillet 2007, et à la suite de la reconstitution de ces notes ayant transité sur l'ordinateur du général Rondot, J-L Gergorin dévoile n'avoir agi que sur ordre de Dominique de Villepin, se réclamant lui-même d'instructions du Président de la République. Il en résulte alors un recentrage de l'enquête autour de l'ex-premier ministre, passé depuis peu du statut de membre du gouvernement à celui de simple citoyen avec la formation d'un nouveau gouvernement consécutif à l'élection de Nicolas Sarkozy constitué partie civile dans ce dossier, et aboutissant dans des délais extrêmement rapides à la mise en examen de l'ancien premier ministre sous pas moins de quatre chefs d'accusation différents.

En effet, le 27 Juillet 2007[6], Dominique de Villepin est mis en examen pour complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux. Il lui est depuis cette mise en examen interdit de rencontrer les principaux protagonistes de l'affaire (source judiciaire). Comprenant entre autre l'ancien président Jacques Chirac. Mi novembre 2008, Dominique de Villepin est renvoyé en correctionnelle[7].

Nicolas Sarkozy [modifier]

L'actuel Président de la République est le plus fréquemment présenté en victime de l'affaire, mais parfois aussi comme ayant, à l'époque, favorisé sa propre victimisation afin de mettre en difficulté ses adversaires politiques. Selon Philippe Rondot, conseiller pour le renseignement du ministre de la Défense, et Stéphane Denis, du Figaro, il aurait été informé de l'enquête en cours dès l'été 2004, alors qu'il occupait le poste de ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie. Le contrôle de la DST aurait d'ailleurs été une de ses motivations pour son retour au Ministère de l'Intérieur, qu'il avait quitté en mars 2004. Aussi, quand il y revint effectivement en juin 2005, une de ses premières demandes fut de réclamer le rapport de la DST sur cette affaire.

Michèle Alliot-Marie [modifier]

Ministre de la Défense des gouvernements Raffarin et Villepin, elle aurait été informée dès la fin de l'année 2003, par son CROS le général Philippe Rondot de l'existence d'un listing comprenant des hauts responsables et des hommes politiques, dont Nicolas Sarkozy, ayant des comptes occultes chez Clearstream. De fait, elle demande au général Rondot d'enquêter. Devant les juges, en mars 2004 et en juillet 2007, le général Rondot affirme que, dès mai 2004, il avait la conviction que ce listing était trafiqué et aurait fait part de sa conviction à Michèle Alliot-Marie. À cette période, toutefois, il doute que la ministre ait prévenu Nicolas Sarkozy. Selon cette dernière, elle n'aurait été informée qu'au début de l'été 2004. [1]

Jacques Chirac [modifier]

Alors président de la République, Jacques Chirac a donné des « instructions » dans cette affaire. Elles sembleraient ne pas porter uniquement sur « la protection des marchés internationaux et la lutte contre les réseaux mafieux », ainsi que l'affirmait l'Élysée le 28 avril 2006. Il demande à Philippe Rondot de lui rendre compte directement ainsi qu'à Dominique de Villepin, au grand dam de Michèle Alliot-Marie.

Le 22 juin 2007, le bureau de l'ancien chef de l'Etat fait savoir dans un communiqué, en invoquant la Constitution, que ce dernier ne peut répondre favorablement à la démarche des Juges d'Huy et Pons qui ont souhaité l'entendre comme témoin dans le cadre de l'instruction. Il rappelle en outre le communiqué diffusé du 28 avril 2006 par l'Elysée, dans lequel le président démentait « catégoriquement avoir demandé la moindre enquête visant des personnalités politiques dont le nom avait pu être mentionné ».

Le 4 juillet 2007, l'expertise judiciaire retrouva des notes du général Rondot sur l'ordinateur de ce dernier. Celles-ci indiqueraient que « Jean-Louis Gergorin aurait, fin avril 2004, reçu instruction de Dominique de Villepin, elle-même formulée par le président de la République [Jacques Chirac], de « balancer » Nicolas Sarkozy ». Ces nouveaux documents accréditeraient l'idée que Nicolas Sarkozy était la cible d'une manipulation dans laquelle Dominique de Villepin et Jacques Chirac auraient tenu un rôle. Lors d'interrogatoires ayant eu lieu en juillet 2007, J-L Gergorin aurait confirmé cette version des faits, tout en soulignant que lui-même et Dominique de Villepin tenaient alors les listings pour vrais.

Ministère de la défense et services de renseignement [modifier]

Philippe Rondot [modifier]

Général de division à la retraite depuis décembre 2005, il est un « vétéran » du renseignement français. Après avoir reçu un listing Clearstream des mains de Jean-Louis Gergorin, il a enquêté sur ordre du ministère de la défense, tout en rendant compte à Dominique de Villepin. Selon Le Monde du 29 avril 2006, il a déclaré aux juges que Dominique de Villepin lui aurait confié le listing mentionnant le nom de Nicolas Sarkozy fin 2003 et lui aurait demandé d'enquêter sur lui et ses prétendus comptes occultes chez Clearstream. Selon le général Rondot, son rapport qui ferait état d'une liste de bénéficiaires de comptes chez Clearsteam serait « bidon ».

Des notes compromettantes pour Dominique de Villepin ont été retrouvées sur son disque dur après avoir été effacées. Le général Rondot a confirmé l'existence de ces notes et qu'elles avaient été effacées à la demande de Dominique de Villepin. Stéphane Queroy, qui est à la fois la nièce et l'assistante du général Rondot, a confirmé le 4 juillet 2007 devant les enquêteurs le contenu de ces notes qu'elle a tapée et que ces notes avaient été effacées à la demande de Dominique de Villepin.[8]

Pierre de Bousquet de Florian [modifier]

Directeur de la DST depuis septembre 2002, il aurait reçu la demande de Dominique de Villepin, alors ministre de l'Intérieur, d'enquêter sur l'affaire Clearstream 2 le 5 juillet 2004. Le commissaire divisionnaire Jean-François Gayraud fut chargé de superviser une cellule d'enquête aujourd'hui dispersée. Dominique de Villepin lui aurait dissimulé l'existence des investigations du général Rondot et des doutes de ce dernier. Nicolas Sarkozy, redevenu ministre de l'Intérieur lui reprocherait d'avoir enquêté sur ses prétendus comptes occultes et d'avoir conclu à une manipulation sans jamais l'en informer. Selon le directeur de la DST, il s'agissait d'un simple « recueil de renseignements ». Pierre de Bousquet a appris à l'automne 2004 par Philippe Rondot que ce dernier avait entrepris des vérifications sur des hauts fonctionnaires de la défense cités dans les listings Clearstream, mais il semble[évasif] avoir ignoré tout le reste. Dans ses notes saisies par les juges, M. Rondot avait écrit, à la date du 27 juillet 2004, avoir lui-même suggéré de « travailler avec P. de Bousquet ». Il ajoutait : « Pour D de V, qui est d'accord, « il manque d'imagination ». » La proposition n'aurait donc été suivie d'effet qu'avec plusieurs mois de retard, et très partiellement. À la DST, on assure n'avoir mesuré l'ampleur des investigations du général qu'à la lecture de la presse en avril-mai 2006. Le 10 juillet 2004, la DST obtient le document publié par le Point. Très vite, la falsification apparaît. Peu après, M. de Bousquet prévient Claude Guéant, directeur du cabinet de Nicolas Sarkozy, de la présence du nom du ministre dans le listing.

Justice [modifier]

Renaud Van Ruymbeke [modifier]

Réputé pour sa grande rigueur et son respect des procédures, le juge Renaud Van Ruymbeke, se serait laissé entraîner dès avril 2004 par Jean-Louis Gergorin dans un arrangement non prévu par le code de procédure pénale : un rendez-vous secret non acté avec le vice-président d'EADS Jean-Louis Gergorin chez son avocat Thibault de Montbrial. Le « corbeau » serait donc connu depuis toujours du magistrat qui aurait voulu protéger la vie de son témoin dans un dossier qui a connu une épidémie de morts subites (Voir Affaire des frégates de Taiwan). Le garde des Sceaux Pascal Clément a demandé une enquête administrative. Renaud Van Ruymbeke postulait ce mois-ci pour une fonction de président de chambre à la cour d'appel de Paris. Le CSM, présidé par le président Jacques Chirac impliqué dans l'affaire, a suspendu sa décision.

Henri Pons et Jean-Marie d'Huy [modifier]

Henri Pons et Jean-Marie d'Huy sont les magistrats instructeurs de l'affaire.

Presse [modifier]

Le quotidien Le Monde [modifier]

Début mai 2006, Le Monde apparaît comme le détonateur de cette affaire d'État en publiant la déposition du général Philippe Rondot auprès des magistrats Henri Pons et Jean-Marie d'Huy. La déposition au format pdf sera massivement diffusée sur les sites Web, les forums et les e-mails d'Internet. Le 11 mai 2006, il publie des extraits des notes privées du général Rondot saisies à ses domiciles montrant à nouveau son accès au dossier d'instruction. Ce même jour, suite à la demande du général Rondot, le garde des Sceaux demande au parquet de Paris d'ouvrir une information judiciaire pour « violation du secret de l'instruction ».

L'hebdomadaire Le Point [modifier]

Le Point, dirigé par Franz-Olivier Giesbert, rend l'affaire publique en juillet 2004 en faisant de l'affaire son titre de couverture. Il parle de ministres et d'anciens ministres sans citer de nom. « Le Point a eu accès à des lettres anonymes envoyées au juge Renaud Van Ruymbeke dénonçant un système de blanchiment d'argent par « la banque des banques », Clearstream. Parmi les personnes « dénoncées », notamment de nombreuses personnalités politiques. » [9]

Le quotidien Le Parisien [modifier]

Le 17 septembre 2004, Le Parisien cite nommément Nicolas Sarkozy dans un article intitulé Le juge enquête sur quatre ministres.

Le quotidien Libération [modifier]

Le 24 septembre 2004, Karl Laske fait part de ses doutes dans l'article Les comptes rêvés des frégates de Taiwan : « La justice retiendra peut-être que, sans être vraie, c'est sûrement l'une des plus belles histoires qu'on lui ait racontées. »

Le quotidien Le Canard enchaîné [modifier]

Le 26 mars 2008, Le Canard enchaîné publie une note d'Yves Bertrand (ancien patron des RG) indiquant qu'il aurait eu une réunion avec Nicolas Sarkozy et Claude Guéant à l'automne 2004, et le 28 février 2005. Dans cette note, Mr Bertrand indique que « M. Sarkozy m'avait en terme très vif, reproché d'avoir été l'un des investigateurs, avec Philipe Massoni, de l'affaire Clearstream » . Mr Sarkozy avait élargi ses accusations à certains membres de l'entourage du Président de la république, qu'il soupçonne de complot contre lui » . Interrogé par Le Canard enchaîné avant la publication de l'article, Mr Guéant avait non seulement confirmé les propos, mais aussi ajouté « Je n'ai pas changé d'avis. » .

L'hebdomadaire Le Journal Du Dimanche [modifier]

Grand reporter chargé des affaires judiciaires, Michel Deléan a suivi le dossier Clearstream pour le Journal du Dimanche (JDD). Il a notamment recueilli l'unique interview du général Rondot en mai 2006. Le JDD et Michel Deléan ont, en mars 2008, gagné le procès en diffamation que leur avait intenté la société Salamandre après la publication d'un article intitulé "Du rififi chez les barbouzes", en juin 2007.

L'hebdomadaire Paris Match et Karl Zéro [modifier]

Ancien pigiste pour Karl Zéro et Paris Match, Stéphane Ravion est apparu dans l'affaire Clearstream suite à l'exploitation par la DNIF du verbatim se sa rencontre avec la société de conseil en stratégie Salamandre en octobre 2006 à l'Ernest Bar du Lutétia.

Dans ce verbatim, Salamandre consigne que Stéphane Ravion, qu'il présente comme un mythomane et un « petit soldat » d'Yves Bertrand, l'ancien Directeur Central des Renseignements Généraux (DCRG), lui a dit avoir « été appelé en 2003 à son retour du Yemen par Bertrand » et que ce dernier lui a proposé de « bosser pour le cabinet noir ». « Il s'agissait de trouver tout ce qu'on peut contre Sarkozy, pour l'abattre !".

Suite à l'audition de Salamandre début 2008, le domicile d'Yves Bertrand a été perquisitionné. La DNIF y découvre 23 carnets à spirale d'Yves Bertrand dans lesquels Stéphane Ravion apparaît comme l'un des indicateurs assidus du policier.

A la date de l'article, il semble que[évasif] Imad Lahoud ai modifié le listing, mais ni lui, ni Jean-Louis Gergorin, ni même Dominique de Villepin connaissaient toutes les personnes qui ont été mis sur le listing. Donc il devrait être utile d'interroger toute personne qui aurait des informations. Mr Bertrand en tant qu'ancien patron des RG, connait par contre toutes ces personnes. De plus, sa plus proche collaboratrice Mme Brigitte Henri a beaucoup travaillé avec Mr Imad Lahoud.

Suite à cet article, les juges d'Huy et Pons ont décidé le 15 mai qu'il n'était pas nécessaire d'interroger Mr Guéant sur cette affaire car cela « n'apparait nullement utile à la manifestation de la vérité » . [2]

Intervenants secondaires [modifier]

Philippe Marland [modifier]

Il est le directeur de cabinet de la ministre de la défense Michèle Alliot-Marie.

François Heilbronner [modifier]

Ancien directeur adjoint et directeur de cabinet du premier ministre Jacques Chirac (1986-1988), il est le père d'Anne-Gabrielle Heilbronner-Lahoud, conseillère de Philippe Douste-Blazy, et le beau-père d'Imad Lahoud, directeur scientifique à EADS. Son domicile a été perquisitionné le 12 mai 2006.

Anne-Gabrielle Heilbronner-Lahoud [modifier]

Conseillère de Philippe Douste-Blazy et ancien directeur de cabinet d'Éric Woerth, elle est la fille de François Heilbronner et l'épouse d'Imad Lahoud.

Alain Juillet [modifier]

Ancien directeur du renseignement à la DGSE et chargé du renseignement économique au SGDN, Alain Juillet est le neveu de Pierre Juillet, ancien conseiller politique de Georges Pompidou et du jeune Jacques Chirac. Il a auparavant eu des responsabilités dans l'industrie agroalimentaire. Ces dernières années il donnait à l'IEP de Paris un cours avec Jean-Louis Gergorin et Renaud Girard (journaliste au Figaro ayant interviewé lui-même J-L Gergorin dans le cadre de l'affaire CLearstream) intitulé : Information et stratégie : le rôle de l'information , du renseignement aux médias, dans la gestion des conflits du 21e siècle. En avril 2006, son bureau au secrétariat général de la défense nationale (SGDN) a été perquisitionné dans le cadre de l'affaire Clearstream 2. Selon des écoutes des téléphones portables de Imad Lahoud et Jean-Louis Gergorin publiées par Le Parisien du 11 mai 2006, son nom a été cité par les époux Lahoud lors de la perquisition des locaux d'EADS le 28 avril 2005. « Madame Lahoud appelle son mari et lui demande si elle doit appeler Alain Juillet, Imad lui répond rapidement que non (opération de perquisition en cours) », notent les policiers. Cette référence à Alain Juillet, ancien directeur du renseignement à la DGSE, responsable de l'intelligence économique auprès du premier ministre, pointe les connexions d'Imad Lahoud au sein des services spéciaux, malgré les dénégations de la DGSE. [10],[11]

Philippe Delmas [modifier]

Philippe Delmas, proche de Noël Forgeard, fut la première victime du corbeau et fut mis en garde à vue en mai 2004. Alpiniste de sang froid, il impressionna fortement la brigade financière en s'endormant profondément au dépôt entre deux interrogatoires de sa garde à vue.

Stéphane Denis du Figaro [modifier]

Ami et parent du général Philippe Rondot, Stéphane Denis est au courant de l'enquête diligenté par Dominique de Villepin en janvier 2004. En mai 2006, il affirme dans Le Point que Nicolas Sarkozy aurait été mis au courant dès septembre 2004, à deux reprises (septembre 2004 et mai 2005) de l'enquête déclenchée par le général Philippe Rondot au sujet de comptes supposés détenus chez Clearstream. Sarkozy dément.[12]. Pourtant, selon Le Monde : « dès le 12 novembre 2004, Stéphane Denis, dans La Lettre de M. Rastignac, la chronique qu'il tient dans l'hebdomadaire Valeurs actuelles, [a] relaté cet épisode »[13].

Salamandre [modifier]

Pierre Sellier est le PDG de la société de conseil en stratégie Salamandre et un spécialiste du jeu de Go.

Pierre Sellier a été entendu par la Division nationale des investigations financières (DNIF) le 30 octobre 2006 au sujet d'une note saisie au domicile du général Philippe Rondot et intitulée "Synthèse des entretiens première quinzaine de mai 2005 - Résumé de verbatim IMALA", raccourci d'Imad Lahoud.

Pierre Sellier, qui a rencontré Imad Lahoud dans le cadre des missions de stratégie que Salamandre conduit pour EADS, la filiale aéronautique et défense du groupe Lagardère, a remis ce verbatim à Jean-François Clair, directeur adjoint de la DST en juin 2005, en présence de Michel Laccarrière, ancien directeur du renseignement de la DGSE de 1989 à 2000 et membre du conseil de supervision de Salamandre.

Dans ce "verbatim", Pierre Sellier consigne qu'« IMALA », qu'il présente comme un « mythomane », « lui a dit avoir manipulé Denis Robert », qu'« IMALA se dit couvert par Alain Juillet, haut responsable de l'intelligence économique auprès du gouvernement, dont il se réclame », qu'il « répète que Michèle Alliot-Marie l'a protégé » et qu'enfin le "cabinet de Villepin" le "soutiendrait".

Pierre Sellier a également été interrogé par la DNIF au sujet d' une note de la DST confectionnée le 1er septembre 2004, plusieurs mois avant la remise du « verbatim IMALA », et détaillant notamment à propos de l'affaire Clearstream : « Interrogé sur les sociétés privées de conseil, la source en cite deux (…) et parmi celles de haut niveau pouvant mener une telle manipulation : spontanément la source n'en voit qu'une : Salamandre ».

En juin 2007, Salamandre a intenté un procès en diffamation au JDD, que le journal a gagné. En janvier 2008, Yves Bertrand, patron de la Direction Centrale des Renseignements Généraux (DCRG) de 1995 à 2005, fera irruption dans l'affaire Clearstream suite à l'exploitation par la DNIF du compte-rendu des propos tenus par un journaliste freelance de Paris Match devant Salamandre .


Références

  • Clearstream: le PDG d'une société de conseil en stratégie entendu, AFP, 30 octobre 2006
  • Du rififi chez les barbouzes, Le Journal du Dimanche, 17 juin 2007, par Michel Deléan
  • Mutation discrète d'un commissaire divisionnaire de la DST, le Monde

7 juillet 2007, par Piotr Smolar

  • Corbeau, couleuvre et Salamandre, Bakchich, 20 juillet 2007, par Xavier Monnier
  • Les mystérieux cahiers d'Yves Bertrand, Le Journal du Dimanche, 20 janvier 2008, par Michel Deléan
  • Clearstream : Yves Bertrand contre attaque, Bakchich, 21 janvier 2008, par Nicolas Beau
  • Clearstream : l'ancien patron des RG Yves Bertrand entendu par la police, AFP, 11 février 2008
  • Affaire Clearstream - Les carnets secrets de l'ex-patron des RG, Le Point, 14 février 2008, par Jean-Michel Decugis, Christophe Labbé et Olivia Recasens
  • Jacques Espérandieu excommunié du «JDD», Libération, 8 mai 2008, par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts.

Intelligence économique et sécurité [modifier]

Le directeur de AB Associates, Alain Bauer a été entendu par les policiers en charge des investigations sur l'affaire Clearstream.

Documents [modifier]

Citations [modifier]

  • « Un jour, je finirai par retrouver le salopard qui a monté cette affaire et il finira sur un crochet de boucher. » Nicolas Sarkozy, tiré de La Tragédie du président, Franz-Olivier Giesbert, 2006.
  • « Cette affaire Clearstream a été montée de toutes pièces, elle est destinée à cacher l'affaire des frégates de Taïwan. Il y a 500 millions de dollars qui sont partis, il y a des morts dans ce dossier. Mais on nous ressort toujours Clearsream, avec une surmédiatisation qui a été encouragée par Nicolas Sarkozy. On m'a mis au pilori. » Renaud Van Ruymbeke sur France Info, le 1er février 2007.

Notes et références [modifier]

Voir aussi [modifier]

Articles connexes [modifier]

Sources [modifier]

  • Stéphane Denis, Clearstream : le général Rondot parle, Le Figaro, 2 mai 2005
  • Laurent Zecchini, Affaire Clearstream : la version du général Philippe Rondot, Le Monde, 2 mai 2005
  • Éric Decouty, Clearstream : le corbeau traqué dans les allées du pouvoir, Le Figaro, 18 avril 2006
  • Clearstream-Sarkozy : le mystère s'éclaircit, L'Express, 19 janvier 2006
  • Les protagonistes, L'affaire Clearstream, portraits, Le Nouvel Observateur, 30 avril 2006
  • Les coulisses d'une affaire d'État, L'Express, 13 décembre 2004
  • Frégates : L'affaire d'État qui fait trembler toute la classe politique, Le Point, 8 juillet 2004

Lien externe [modifier]


Exemple (caricatural mais explicite) :

Une entreprise Française achète une montre à 1 € (n'importe où dans le monde).

Elle revend cette montre 101 € hors taxes et frais (en France).

L'entreprise aura des impôts à payer sur 100 €.

Maintenant, si elle fait acheter cette montre par une société créée par elle dans un paradis fiscal (toujours 1 €).

Que sa société implantée dans le paradis fiscal revend la montre 100 € à la société Française.

L'entreprise revendant la montre toujours 101 €.

Le bénéfice n'est que de 1 €.

La société ne paiera des impôts en France que sur 1 euro au lieu de 100 €.

Les 99 autres euros gagnés par sa société seront soumis à l'impôt très bas du paradis fiscal.

Caractéristiques des paradis fiscaux

L'intérêt des paradis fiscaux ne réside pas seulement dans leur qualité fiscale, mais aussi dans d'autres avantages aussi essentiels. Le rapport Gordon de l'administration fiscale américaine ainsi que les travaux de l'OCDE retiennent un faisceau de caractéristiques communes à la plupart des paradis fiscaux :

* absence ou faible niveau d'imposition pour des dépenses publiques réduites

* liberté des changes accompagnée d'une monnaie liquide

* secret commercial et secret bancaire inébranlable (on parle parfois de « paradis bancaire »)

* secteur financier très développé par rapport à la taille du pays ou la dimension de son économie

* maillage de conventions fiscales faible ou inexistant.

A ces critères on peut ajouter l'impunité judiciaire relativement aux lois nationales contournées qui font dire à l'ONG Survie, membre fondateur d'ATTAC, que les paradis fiscaux sont en fait des paradis fiscaux et judiciaires.

Les paradis fiscaux sont en général de tous petits territoire, souvent des îles, qui peuvent dégager des ressources fiscales suffisantes à leur échelle parce que le faible taux d'imposition est compensé par l'énorme volume d'opérations (la ressource étant de niveau mondial).

Devenir un paradis fiscal est une solution qui peut-être adoptée par des états sans autres ressources, dont l'économie très faible par ailleurs ne supporterait pas une taxation à la hauteur des besoins.

Toutefois, ces critères restent relatifs : la Suisse est un paradis bancaire, mais n'est en général pas considérée comme un paradis fiscal ; le Royaume-Uni ou les États-Unis ne sont pas en général considérés comme des paradis fiscaux bien qu'en pratique ils puissent offrir les mêmes avantages aux particuliers (statut de résident non domicilié au Royaume-Uni) comme aux entreprises (sociétés non résidentes aux États-Unis) ; Andorre est un paradis fiscal avec des infrastructures de communication et de transport limitées du fait de sa géographie, etc.

La Suisse n'est plus un paradis fiscal depuis des années.

Depuis que l'OCDE a mis en place des outils de lutte contre les paradis fiscaux, 33 juridictions ont pris des engagements en matière de transparence et d'échange effectif de renseignements et ont été retirées de la liste.


Exemple de paradis fiscal sous juridiction anglaise...Allez, un extrait du Monde pour finir :

Citation:
Apparemment, aux Bahamas, la bonne moralité semble ainsi à géométrie variable. Le « comte », il est vrai, a presque l'air d'un demi-sel en regard des personnages qu'il côtoie dans les endroits les plus huppés des îles : la St Andrew's School, la piscine du très sélect Ocean Club ou le bar du country club de Lyford Cay, l'enclave ultraprivée des multimilliardaires de l'île de New Providence. Même un Didier Schuller ne fait guère le poids à côté d'autres « célébrités » de la petite communauté offshore des nouveaux flibustiers de Nassau.

Prenez le Canadien David Walsh, par exemple. Fondateur de la sulfureuse Bre-X, une société censée exploiter une mine d'or sans filon à Bornéo, Walsh serait à l'origine de la ruine, en mars dernier, de plusieurs milliers d'investisseurs. Il vit tranquillement à Cable Bay, dans une propriété longeant une plage privée sur plus de 400 mètres.

Sur le green de Lyford Cay on peut aussi croiser le Tchèque Viktor Koczeny. Cet ancien
étudiant de Harvard s'est enrichi grâce à un gigantesque délit d'initié, en rachetant des fonds de pension en couronnes et en les revendant en dollars lors des privatisations en République tchèque. Bénéfice de
l'opération selon l'un de ses proches : plusieurs centaines de millions de francs. Viktor Koczeny, 37 ans, a
débarqué aux Bahamas en 1996. Beau garçon, intelligent et de compagnie agréable malgré l'omniprésence de ses trois gardes du corps, « le Tchèque », comme on le surnomme à Nassau, s'est offert un Boeing 737 aménagé en appartement, qu'il tient prêt au décollage vingt-quatre heures sur vingt-quatre. « Beaucoup de gens cherchent à lui faire la peau, affirme un agent immobilier. Il a intérêt à profiter de la vie, avant de se retrouver au fond du lagon, les pieds pris dans le béton.

Un autre personnage bien plus haut en dollars fait beaucoup parler de lui dans ces îles de rêve. C'est Sol Kerzner, l'empereur des jeux en Afrique du Sud et le propriétaire de cet Ocean Club que fréquentent Didier Schuller et Patrick Campion. Depuis quelque temps, les activités de Salomon, dit Sol, Kerzner, fils de modestes émigrants juifs de Russie, occupent toutes les conversations lors des soirées élégantes de Nassau. Sol a racheté plus de 70% de Paradise Island, et il a investi 700 millions de dollars (4,2 milliards de francs) dans la construction du centre de loisirs le plus grand du monde. C'est ainsi qu'il est devenu l'homme fort des Bahamas. Un homme craint mais respecté.

« Depuis son arrivée, c'est le jour et la nuit, dit une résidente belge. Auparavant, les rues de Nassau ressemblaient à un gourbi. Maintenant, les poubelles sont ramassées, les maisons repeintes. La ville est enfin sûre. Dans « Punch », le journal satirique de l'île, de nombreux articles ont pourtant dénoncé l'origine incertaine, voire mafieuse, de la fortune de Sol Kerzner, fortune accumulée au temps de l'apartheid. On a accusé le magnat de la roulette d'avoir arrosé des dirigeants de quatre anciens bantoustans où il a ouvert ses casinos.

Certains s'interrogent : ne serait-il pas en train de recourir aux mêmes méthodes aux Bahamas ? « Si vous
voulez être tranquille ici, il suffit de payer, dit un financier. Payer ses intermédiaires et surtout payer ses
protections. Pour s'implanter, les grosses sociétés financent par ailleurs des plans de développement
gouvernementaux. Elles mettent ainsi les responsables du pays en porte-à-faux et deviennent vite
incontrôlables. »

Jusqu'à maintenant, un seul de ces richissimes résidents étrangers peut se plaindre d'avoir
cédé à l'appel des bakchichs sous les cocotiers. Il s'agit du Suisse Werner K. Rey. Caché aux Bahamas
depuis la faillite frauduleuse de son empire Omni Holding, en 1992, il a laissé à Berne une ardoise de 4
milliards de francs suisses (16 milliards de francs français). Durant quatre ans, Rey a vécu tel un nabab à
Nassau, persuadé qu'on ne viendrait jamais l'en déloger. En mars 1996, pourtant, le gouvernement suisse a fini par obtenir son arrestation provisoire. Depuis, Rey dort en prison.

Pendant ce temps, pour des dizaines de milliers dollars d'honoraires, ses avocats bahamiens négocient son maintien dans les îles, devant la Cour suprême de Nassau.

Selon « la Tribune de Genève », Werner K. Rey pourrait être extradé au printemps prochain. A moins qu'il ne fasse appel de cette décision en premier lieu à Nassau, puis, s'il le faut, devant le Privy Council de Londres, l'autorité judiciaire suprême du Commonwealth dont dépendent les Bahamas. A Nassau, avec un portefeuille plus rebondi encore que son casier judiciaire, on a la vie devant soi.

Les juridictions qui n'ont pas encore pris d'engagement en matière de transparence et d'échange effectif de renseignements sont [14] :

Europe [modifier]

"Offshore Financial Centers" selon le FMI de 2007[15] [modifier]

Amérique [modifier]

Asie [modifier]

Europe [modifier]

Paradis fiscaux selon ATTAC [réf. nécessaire] [modifier]

Afrique [modifier]

Amérique [modifier]

Asie [modifier]

Europe [modifier]

Moyen-Orient [modifier]

Océanie [modifier]

Autres [modifier]

D'autres territoires ont été parfois qualifiés de paradis fiscaux :

  • la Polynésie Française, où n'existe ni impôt sur le revenu, ni ISF, ni droits de succession. Valable aussi pour Wallis-et-Futuna, le plus secret des paradis offshore français[réf. nécessaire].
  • Belgique Belgique : bien qu'ayant une fiscalité considérée comme assez lourde, le pays n'a pas d'ISF, ni d'impôt sur les plus-values mobilières, un statut avantageux de « centre de coordination » pour les multinationales, anonymat fiscal des revenus d'épargne, etc[réf. nécessaire].
  • Le Liban Liban est aussi considéré comme un paradis fiscal, même si l'instabilité politique actuelle peut rebuter les entreprises ou les investisseurs à s'installer dans ce pays[réf. nécessaire].
  • Le Canada Canada est considéré comme un paradis fiscal pour les mouvements religieux. En effet, dans ce pays, tout mouvement à caractère religieux peut recevoir de nombreux avantages fiscaux, exception de taxes municipales et d'impôt sur le revenu, possibilité d'émettre des reçus fiscaux aux donateurs. Il est relativement facile aux 15 000 organismes religieux basés au Québec d'avoir droit à ces avantages fiscaux[réf. nécessaire].
  • Royaume-Uni Royaume-Uni. Selon le quotidien français L'Humanité[17], mais aussi pour la place historique et prépondérante de Londres dans le marché des eurodollars[18].

  • L'essayiste français Stéphane Denis écrit en 2008 dans le quotidien Le Figaro : « Si l'on tient comptes des services offerts (secret bancaire, absence de taxes, non-résidence, absence de réglementation), le plus grand paradis fiscal de la planète est la City de Londres. Elle a organisé à la fin des années 1950 la non-réglementation en accaparant le marché des eurodollars ; elle pratique le secret bancaire et l'absence de taxes pour les non résidents (…). Elle dispose de relais exotiques (Bermudes, Bahamas, Îles Vierges) battant pavillon britannique mais destinés à tromper sa propre réglementation. La Suisse, désignée ces jours-ci comme le premier paradis fiscal avec le Luxembourg, peut, avec raison, faire remarquer qu'elle n'est qu'un coffre fort de famille, à côté de Londres. »[19][réf. nécessaire].

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
14, ch. des Roches
CH 1010 Lausanne
Suisse, Switzerland

Jean-Paul II a notamment comparé le rapport sexuel chaste entre les époux chrétiens à l'adoration eucharistique.
Admiration.
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à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
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