mardi 29 avril 2008

Les secrets de l’institut d’émission des Etats-Unis, le FED.



par Wolfgang Freisleben, Vienne

Contrairement à une croyance générale, l'institut d'émission des Etats-Unis est, en fait, une machine à fabriquer de l'argent détenue par un cartel bancaire privé, qui gagne d'autant plus que les taux sont élevés. Mine de rien, il imprime des dollars à bon marché et les revend plus cher.
L'institut d'émission des Etats-Unis, appelé aussi «Réserve fédérale» ou «FED», revient constamment en point de mire lorsque le monde financier international se demande, anxieux, s'il va modifier son taux directeur ou non.
L'abréviation FED se rapporte au «Board of Governors of the Federal Reserve System», c'est-à-dire à la conférence des gouverneurs du «Federal Reserve System» érigé il y a 93 ans. Il s'agit non pas d'une ­banque centrale traditionnelle, mais de la réunion de cinq banques privées régionales tout d'abord, de douze banques actuellement, disséminées aux Etats-Unis, habilitée chacune à porter le nom de Federal Reserve Bank, un petit nombre d'initiés seulement sachant à qui elles appartiennent. Un seul point est certain: elles n'appartiennent pas à l'Etat. Néanmoins, elles exercent les fonctions d'un institut d'émission de l'Etat. Elles prennent leurs décisions au sein du Federal Reserve Board, dont le président les représente à l'extérieur et dont les séances ont lieu à Washington dans leur propre et imposant monument historique. La plus importante de ces banques privées est la Federal Reserve Bank of New York, qui contrôle l'énorme place financière de cette ville.

Privilèges d'une machine à fabriquer de l'argent

Ce cartel de banques privées dispose de privilèges incroyables, dont trois doivent être soulignés:
•    En imprimant des dollars, la FED convertit à moindres frais du papier sans valeur en dollars et prête ceux-ci aux Etats-Unis ainsi qu'à d'autres Etats et à d'autres ­banques contre reconnaissances de dettes. Au cours de son histoire, le cartel a donc créé des milliards de créances à partir du néant et encaissé des intérêts en permanence, ce qui lui assure un profit annuel atteignant des milliards. Ainsi, aucun gouvernement américain ne doit se faire des soucis à propos du déficit budgétaire tant que ces messieurs en complet sont à ses côtés et – tel est le cas du financement des guerres durant la présidence de Bush – mettent en branle la planche à billets en cas de besoin.
•    Le privilège des intérêts permet à la FED de fixer elle-même les taux et il est évident qu'elle a le plus grand intérêt à encaisser les plus hauts intérêts possibles. Les taux at­teignent donc un niveau souvent particulièrement élevé et occasionnent périodiquement des crises – ce qui est le cas actuellement et donne l'occasion à la FED d'intervenir ultérieurement comme sauveur. Les intérêts opèrent en permanence une ponction sur le pouvoir d'achat des citoyens américains en faveur des banquiers de la FED, par les intérêts des crédits comme par les impôts transformés en intérêts dus à la FED en raison de l'énorme service de la dette publique. Modifiant constamment les taux d'intérêt, la FED change les conditions cadres de la plus grande économie du globe et de la plus importante bourse des actions, celle de Wall Street, qui, principale bourse du monde, diffuse des signaux en direction des autres bourses.
•    Pour être en mesure de résoudre les crises bancaires, la FED gère les réserves monétaires de ses banques membres (rémunérées à raison de 6% par année), qu'elle remet à disposition du système bancaire lors de l'éclatement d'une de ces crises. Actuellement, la FED s'efforce de prévenir, en fournissant à maintes reprises des liquidités aux banques, une crise financière mondiale causée par le krach du système de financement immobilier américain. Comme de nombreuses banques améri­caines de crédit hypothécaire ont sagement lié leurs crédits à des papiers-valeurs et transmis ainsi leurs problèmes à des banques européennes, celles-ci ont commencé aussi à vaciller.
Mais c'est la FED et son ancien président, Alan Greenspan, qui ont provoqué cette crise. En abaissant rapidement et dramatiquement les taux d'intérêt – après avoir porté le taux directeur jusqu'au niveau exorbitant de 6% –, et avoir approvisionné l'économie américaine excessivement en liquidités, Greenspan avait tenté, à partir du 3 janvier 2001, d'enrayer la plus forte chute boursière depuis 50 ans. Au 25 juin 2003, le taux directeur était tombé à son niveau minimal de 1%, ce qui avait permis aux banques d'octroyer des crédits aux taux extrêmement bas et ce qui avait fait tomber de nombreuses familles dans le «piège du crédit», les incitant à acheter des logements à crédit, à des conditions auxquelles elles ne pouvaient faire face qu'à des taux bas.

Crise provoquée par la FED

A la fin du cycle des taux d'intérêt, Greenspan avait provoqué une situation qui avait déclenché une avalanche. En effet, la FED a majoré douze fois de 0,25% son taux directeur, du 30 juin 2004 au 29 juin 2006, le portant alors à 5,25%. Il dépasse ainsi de 525% le taux fixé il y a quatre ans! Les taux fixés pour les crédits hypothécaires sont montés en conséquence et ont atteint un niveau que toujours davantage de familles ne peuvent pas supporter. Comme la propension à épargner est actuellement négative aux Etats-Unis, que la plus grande partie de la population doit recourir au crédit et que les carnets ­d'épargne ne jouent guère de rôle, la crise s'accentue. Vu que, depuis l'année précédente, toujours davantage de bailleurs de fonds hypothécaires sont – tout comme leurs clients – en retard dans leurs paiements à d'autres banques, le système bancaire est en crise, celle-ci ayant atteint un point culminant en août 2007, lorsque la FED et la Banque centrale ­européenne (BCE) n'ont pu stabiliser le système que par plusieurs injections de liquidités.
La crise des liquidités bancaires s'est immédiatement répercutée sur la bourse, qui réagit généralement de manière sensible aux variations de taux de la FED. En effet, la hausse des taux rend les titres à intérêt fixe plus attrayants que les actions, freine l'économie, est donc un poison pour la bourse et abaisse les cours des actions. Ainsi a commencé septembre 2007.

Les motifs des banques de la FED

Pour comprendre la manière d'agir et les motifs de la FED, qui paraissent parfois curieux, il faut jeter un coup d'œil sur l'histoire de l'institut d'émission.
La proposition d'établir une banque centrale est due au banquier allemand Paul Warburg. La crise financière et bancaire déclenchée en automne 1907 par la faillite de Knickerbocker Trust Co. et la situation menaçante de Trust Company of America a mis en péril 243 banques, car aucune institution n'était en mesure de mettre temporairement des fonds à leur disposition pour surmonter leurs difficultés de paiement. Dans un discours prononcé peu de mois auparavant à la Chambre de commerce de New York, le banquier John Pierpont Morgan avait prévu par hasard cette crise et appelé à fonder une ­banque centrale. La crise se prêtait à merveille au soutien de cette revendication. Par la suite, Morgan a joué un rôle essentiel, à l'arrière-plan, dans la réalisation du projet.
Initialement copropriétaire de la banque Warburg de Hambourg, Paul Warburg avait épousé en 1893, lors d'un séjour aux Etats-Unis, la fille de Salomon Loeb, de la banque new-yorkaise Kuhn, Loeb & Co., qui a fait de lui et de son frère Felix des partenaires de la banque (fusionnée en 1977 avec ­Lehman Brothers).
Pourvu généreusement par la Banque ­Kuhn Loeb d'un salaire annuel de USD 5 000 000, Paul Warburg s'est occupé uniquement, pendant les six ans qui ont suivi la crise bancaire, d'une «réforme bancaire» tendant à ériger une banque centrale d'après le modèle de la Banque d'Angleterre, laquelle appartenait alors à des banquiers privés. Ce faisant, il a été soutenu par le sénateur Nelson D. Aldrich, beau-père du premier héritier milliardaire américain, John D. Rocke­feller junior, connu comme porte-parole du banquier J.P. Morgan au Congrès des Etats-Unis.

Conspiration au yacht-club de Jekyll Island

En novembre 1910 finalement, un groupe de personnes triées sur le volet s'est rassemblé, sous prétexte d'une excursion de chasse, dans un wagon de chemin de fer aux jalousies fermées du yacht-club que possédait le banquier J.P. Morgan à Jekyll Island, en Géorgie. Lors de cette réunion secrète, taxée ultérieurement de conjuration, Paul Warburg, représentant de Kuhn Loeb et d'autres banques ainsi que deux banquiers de J.P. Morgan, représentant aussi les intérêts du groupe Rothschild, et deux du groupe Rockefeller ont décidé d'aider le sénateur Aldrich à rédiger en neuf jours un projet de loi que le Républicain vaniteux entendait présenter en son nom au Congrès. Il s'agissait non pas d'une banque centrale, mais seule­ment d'une société privée nationale de réserve dont plusieurs comptoirs devaient être disséminés aux Etats-Unis et dans lesquels des banques affiliées volontairement de­vaient déposer des réserves monétaires de crise. En raison de ses relations bien connues avec le centre financier et boursier de Wall Street, Aldrich a échoué, la majorité méfiante des députés voyant à juste titre dans son projet un plan tendant à assurer à un cercle restreint de banquiers puissants et liés les uns aux autres une position dominante et, partant, la possibilité de réaliser des profits énormes dans l'économie américaine.
Les requins de Wall Street ne se sont évidemment pas découragés et ont profité des élections présidentielles de 1912 pour faire élire le candidat démocrate ­Woodrow Wilson, qu'ils ont soutenu massivement sur le plan financier. Pendant la lutte électorale, il s'est fait passer pour un adversaire du «Wall Street Money Trust» et a promis au peuple un système monétaire exempt de main-mise des banquiers internationaux de Wall Street. En fait, la conception de la banque centrale a été élaborée par le groupe­ment qui semblait avoir perdu la partie.
En tout cas, les Schiff, Warburg, Kahn, Rockefeller et Morgan avaient misé sur le bon cheval. Sous le titre de «Federal Reserve Act» qui dissimule sa portée et qui prétendument réduit à néant le projet de banque centrale formulé par Wall Street, ils ont déversé le 23 décembre 1913 sur des députés démocrates des mieux disposés et avec le soutien du président Wilson, un projet de loi très peu modifié et ont requis l'approbation du Congrès alors que de nombreux députés non informés prenaient déjà leurs vacances de Noël et que très peu avaient lu le texte du projet.

Le plus grand cartel du monde

Les rares députés qui ont perçu la nature de ce jeu pervers n'ont guère pu se faire entendre. Avec sagesse, le conservateur ­Henry Cabot Lodge senior a prévu «une inflation énorme de moyens de paiement» et que «la monnaie d'or serait noyée dans un flux de papier-monnaie non échangeable». Après le vote, Charles A. Lindbergh senior, le père du célèbre aviateur, a déclaré au Congrès: «Cette loi établit le cartel le plus important au monde […] et légalise ainsi le gouvernement invi­sible de la puissance financière […]. Il s'agit du projet de loi Aldrich déguisé […]. La nouvelle loi provoquera de l'inflation tant que le cartel le souhaitera […].»
Lindberg avait raison, comme le prouve le «privilège du dollar». Avant l'établissement du Système fédéral de réserve, des banques privées avaient déjà imprimé des billets. Dans les années soixante du XIXe siècle, il y avait encore 8000 sortes de billets, émises par des «State Banks» privées avec l'autorisation de l'Etat. A partir de 1880, 2000 banques pourraient avoir encore émis leurs propres billets. Depuis 1914, le chiffre s'est limité à la douzaine de banques privilégiées.
Quand le président Abraham Lincoln a eu besoin d'argent, en 1861, pour financer la guerre civile et que les crédits des ­banques Rothschild, financiers traditionnels des guerres, lui sont devenus trop chers, il a éludé le privilège des banques privées et fait imprimer un billet d'Etat, le «Greenback». Il ne devait pas survivre longtemps à cette démarche téméraire. En 1865, il a été assassiné par un tireur isolé, abattu lui-même lors de sa fuite. Le successeur de Lincoln, Andrew Johnson, a suspendu l'impression de billets pour des raisons inexplicables.
Le prochain président qui a voulu redonner à l'Etat le monopole de l'impression de billets a été John F. Kennedy.

Tentative de Kennedy de priver la FED de son pouvoir

Peu de mois avant son assassinat, John F. ­Kennedy a été semoncé par son père Joseph dans le salon ovale de la Maison Blanche. «Si tu le fais, ils te tueront!» Mais le président ne s'est pas laissé dissuader. Le 4 juin 1963, il a signé l'acte exécutif numéro 111 110, abrogeant ainsi l'acte exécutif 10289, remettant la production de billets de banque dans les mains de l'Etat et privant en grande partie de son pouvoir le cartel des banques privées. Après que quelque USD 4 milliards en petites coupures nommées «United States Notes» eurent déjà été mises en circulation et alors que l'imprimerie de l'Etat s'apprêtait à livrer des coupures plus importantes, Kennedy a été assassiné le 22 novembre 1963, soit 100 ans après Lincoln, par un tireur isolé abattu lui-même lors de sa fuite. Son successeur s'appelait Lyndon B. Johnson. Lui aussi a suspendu l'impression de billets pour des raisons inexplicables. Les douze banques fédérales de réserve ont retiré immédiatement les billets Kennedy de la circulation et les ont échangés contre leurs propres reconnaissances de dette.
Grâce à son monopole de production illimitée d'argent, le cartel bancaire du Système fédéral de réserve dispose d'une énorme machine à fabriquer de l'argent, qui lui permet de gagner énormément. Qui se cache derrière ce système est un secret bien gardé. Car il faut distinguer entre les banques proprié­taires et les simples banques membres, qui déposent des réserves monétaires pour, le cas échéant, être sauvées par la suite. Il y a quelques années, la Federal Reserve Bank of New York a publié les noms de ces banques membres, qui n'ont par ailleurs aucun droit. La rémunération annuelle de leurs dépôts se chiffre à 6%. Mais le niveau de leurs parts est tenu secret comme les noms des propriétaires des banques fédérales de réserve, initialement trois, aujourd'hui quatorze.

Critique après le krach de 1929

Paul Warburg a refusé la présidence du Federal Reserve Board en 1910, alors que ce juif allemand à l'accent prononcé, juste avant le début de la guerre contre l'Allemagne, venait d'acquérir la nationalité des Etats-Unis. Toute­fois, il devint membre du Conseil d'administration et du puissant Council on Foreign Relations, qui passe encore aujourd'hui pour le berceau des politiciens américains et des banquiers de la FED.
Les efforts qu'il a déployés pendant de longues années pour fonder l'institut d'émission américain lui ont valu non seulement de l'argent et des honneurs dans la haute finance, mais aussi la pire expérience de sa vie. En 1928, il a exigé sans succès une limitation de la circulation monétaire afin de freiner la spéculation boursière qui rappelait la ruée vers l'or. Mais ceux qui étaient disposés à l'entendre sont restés rares; on le nommait la Cassandre de Wall Street. Après le krach d'octobre 1929, il devint la cible de ceux qui avaient perdu leur patrimoine. Des rumeurs, des brochures et des articles de presse l'ont décrit, lui qui avait tenté d'entraver les catastrophes financières, comme «l'auteur non américain» de la panique boursière d'alors. On a pu lire que «Paul Warburg avait prêté avec sa bande de l'argent au Système fédéral de réserve afin de mettre en mains juives les finances américaines et d'exploiter l'Amérique jusqu'à son épuisement.» De telles légendes se sont poursuivies jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Aigri par ces attaques, il est décédé en 1932. En 1936-1937, les cours des actions ont baissé de 50%, en 1948 de 16%, en 1953 de 13%, en 1956 de 13%, en 1957 de 19%, en 1960 de 17%, en 1966 de 25% et en 1970 de 25%. Ont suivi le krach ­d'octobre 1987, les chutes de cours de 1990, 1992 et de 1998 ainsi que, finalement, la forte baisse d'avril 2000 à mars 2003 et la crise actuelle qui a commencé en août/septembre 2007 et dont les effets sont incertains.
Aujourd'hui, on répand le bruit – mais ne le confirme pas – que le groupe bancaire Rocke­feller détient 22% des actions de la Federal Reserve Bank of New York et 53% de tout le Système fédéral de réserve. Principal acquéreur de bons du Trésor des Etats-Unis, la Banque du Japon possèderait 8% de ces actions. On attribue 66% aux banques purement américaines et 26% aux vieilles ­banques européennes (dont 10% aux banques Rothschild).     •

Source: International III/2007
(Traduction Horizons et débats)

http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=695

vendredi 18 avril 2008

Avec les fonds Ferraye, le club du Servette n'aurait jamais fait faillite.

Avec les fonds Ferraye, le club du Servette n'aurait jamais fait faillite.

Faillite du Servette FC: Marc Roger reste en détention préventive

Marc Roger, l'ancien patron du Servette FC soupçonné d'avoir précipité la faillite du club genevois, reste en détention préventive à Champ-Dollon. La Chambre d'accusation de Genève a refusé de le remettre en liberté provisoire.

Le Français avait demandé à sortir de prison et avait proposé comme garantie une caution de 40'000 francs. Avant de se prononcer sur une éventuelle libération, la Chambre d'accusation souhaite clarifier la situation financière de l'ex-patron du Servette. Le Français disposerait en effet d'un compte bancaire au Luxembourg.

Une information pour blanchiment d'argent a d'ailleurs été ouverte par la justice genevoise. Le juge Marc Tappolet doit se rendre d'ici à la fin du mois au Grand-Duché pour confirmer l'existence de ce compte bancaire et déterminer le cas échéant combien d'argent y a été déposé et d'où proviennent les fonds.

Robert Assaël, l'avocat de Marc Roger, s'est étonné des lenteurs de la justice dans ce dossier. "La dénonciation du parquet luxembourgeois est arrivée à Genève en janvier et n'a été traitée que récemment", s'est-il indigné. "Je suis choqué que l'on n'ait pas fait les vérifications immédiatement".

Le procès de Marc Roger doit se tenir en septembre prochain. L'ancien agent de joueurs français est inculpé de banqueroute frauduleuse, escroquerie, gestion fautive et faux dans les titres. Sur le banc des accusés se trouveront aussi l'ex-administrateur du club Olivier Maus et l'ex-avocate du club Marguerite Fauconnet.

(ats / 18 avril 2008 17:24)
--

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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mercredi 9 avril 2008

Dossier complet de l'affaire FERRAYE , des milliards volés aux impôts de plusieurs pays.

Dossier complet de l'affaire FERRAYE : ICI



11.04.1991

Brevets d'extinction N° A62C 3/06, E21B 35/00

02.05.1991

Brevet de blocage E21B 33/02

13.05.1991

Michel ROCCARD - Premier Ministre couvre le vol des inventions FERRAYE par STRAUSS KAHN en faveur de l'INP, en le relevant de sa fonction au sein de l'INPI

05.06.1991

Edith CRESSON - Premier Ministre français, négocie illégalement l'invention à l'insu de M. Joseph FERRAYE

26.07.1991

A son tour Dominique STRAUSS KAHN , Ministre qui contrôlait l'INPI (Inst. national de la propriété industrielle) l'INP (Inst. national du pétrole) et ELF traite directement avec le Koweït

01.01.1995

UBS SA Transferts de fonds par la Société SWIFT sur cpte 231.215 et autres transferts par télex pour plus de 10 milliards de Dollars

15.11.1995

Exemple d'une Convention de séquestre certifiée conforme par le Notaire genevois Pierre MOTTU, attestant dans le cas présent, qu'un montant de 1 milliard de Dollars, a été versé par M. Basano sur le compte de l'Etude MOTTU à Genève

16.11.1995

Ordres de virements irrévocables certifiés, sur UBS - BPS / CREDIT SUISSE - BANCA DEL GOTTARDO - etc... en faveur de l'Associé zurichois de Pierre MOTTU, le notaire Mark BRUPPACHER, pour US$ 5.24 mia

16.11.1995

Ordres de virements irrévocables certifiés, sur UBS - SBS - CREDIT SUISSE - DARIE HENTSCH - etc... en faveur de l'Associé zurichois de Pierre MOTTU, le notaire Mark BRUPPACHER, pour US$ 6.3 mia

24.01.1996

Pierre MOTTU confirme la destruction des conventions signées le 16.11.1995, pour faire croire à Joseph FERRAYE que les transactions sont annulées. Parallèlement, comme on le voit sur la convention du 15.11.1995 ci-dessus page 8, il établit ce même 24 janvier 1996, des COPIES CONFORMES pour poursuivre ses transactions à l'insu de l'Inventeur ! Autre preuve de cette magistrale escroquerie, le 25 janvier 2005, MOTTU établit des COPIES CONFORMES des ordres de virements, comme on le voit sur la pièce ci-dessus du 16.11.1995 ! Ca fait beaucoup de copies conformes d'actes sensés ne plus exister !

05.02.1996

Procureur KASPER-ANSERMET ordonne une perquisition du notaire Pierre MOTTU, sur plainte de Joseph FERRAYE.

03.04.1996

Me Pierre MOTTU déclare en audition, que l'Etat de Genève a encaissé 22 millions de droits d'enregistrement...

23.04.1996

Transcription de la cassette enregistrée par André SANCHEZ, retrouvée à son domicile après son "suicide..." ! Le juge d'instruction vaudois Jean-Marie RUEDE n'a jamais voulu instruire l'aspect financier dénoncé dans cette cassette, à la satisfaction de tous les intervenants...

28.04.1997

Le Procureur CROCHET prie Me Pierre MOTTU de trier le dossier de la Justice avant que le plaigant y ait accès, pour retirer tout pièce compromettante... C'est ici la preuve formelle que le Ministère Public genevois est complice des détournements dénoncés !

19.11.2002

Me Eric de la Haye St-Hilaire, Notaire parisien de Joseph FERRAYE confirme dans son audition que lui-même et son associé Me Pierre MOTTU, ont reçu les associés de l'Inventeur à son insu, qu'ils ont présenté les comptes des fonds à disposition et fait signer les avis de virements... Il s'agit des fonds que l'Escroc Pierre MOTTU nie aujourd'hui n'avoir jamais détenus... !!!

06.08.2004

Me André CLERC, avocat à Fribourg, confirme avoir entendu la juge d'instruction genevoise Christine JUNOD déclarer avoir reçu des documents bancaires portant sur un montant de US$ 24.0 mia en faveur de M. Joseph FERRAYE.

13.01.2005

Plainte pénale contre le Notaire genevois Pierre MOTTU Escroquerie - gestion déloyale - abus de confiance - abus de pouvoir faux témoignage - organisation criminelle - blanchiment

25.01.2005

Me Alain MARTI, avocat genevois, confirme la validité de la convention du 15.01.1995 et l'appartenance des fonds à M. Joseph FERRAYE

01.02.2005

Extrait du Registre du commerce d'une Société anonyme dénommée UBS SA mais qui est en réalité un "banque écran" probablement utilisée pour les actions crapuleuses de la vraie UNION DE BANQUE SUISSE

02.02.2005

OCDE - Daniel ZAPPELLI - Un loup dans la bergerie !!! La corruption du Ministère public genevois n'est plus à démontrer et c'est le Procureur ZAPPELLI de GE qui va convaincre l'OCDE que la Suisse n'est pas corrompue... A se rouler par terre !

01.02.2005

Motion Claude MARCET pour la création d'une Commission d'enquête parlementaire sur le fonctionnement de la justice dans l'affaire FERRAYE

10.02.2005

Réponse au communiqué de Presse MOTTU suite à sa plainte...

16.07.2005

Plainte au Ministère Public de la Confédération contre Me Pierre MOTTU + JI GE Carole BARBEY + JI VD Yves NICOLET + Etat de Genève et Etat de Vaud + Inconnu... Abus d'autorité - Faux dans les titres - escroquerie...








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Banques centrales au secours des banques ou des familles ? Si les milliards étaient versés aux familles, elles relanceraient toute l'économie.


Ah, si les responsables comprenaient l'encyclique Vix pervenit de seulement 4 pages qu'ils n'ont jamais ni lue ni comprise, alors tous les pères et mères de famille pourraient recevoir, à titre d'enfants de Dieu, sans aucun mérite et sans conditions, en fonction du nombres d'enfants dès leurs conceptions, au moins une partie de la création monétaire ex nihilo. Les banques et en fait quelques rares personnes s'en accaparent.  Comme le démontre Maurice Allais, prix Nobel d'économie, ce sont des voleurs. Voici des milliers de milliards (sic) de dollars affectés au mal et à la mort, aux guerres et aux manipulations. Cette erreur est l'autre forme d'usure dont parle Rerum Novarum.

Presque dès le début de l'Encyclique de Léon XIII, deux phrases, qui se rapportent certainement à cette voracité de l'argent, nous laissent sur une certaine curiosité, par l'emploi d'une expression non précisée et qui ne revient pas dans le reste du document :

            « Une usure dévorante est venue ajouter encore au mal. Condamnée à plusieurs reprises par le jugement de l'Église, elle n'a cessé d'être pratiquée sous une autre forme par des hommes avides de gain et d'une insatiable cupidité ».

            Qu'est-ce que cette « usure dévorante sous une autre forme ? » En quoi consiste cette nouvelle forme d'usure qui est venue s'ajouter à l'oppression des travailleurs ? C'est cette "création" qui écrase les familles par des intérêts exponentiels et déments sur la durée.

L'abbé Drinkwater rapporte à ce sujet, qu'un comité, siégeant à l'Université de Fribourg, avait préparé des éléments pour la rédaction de Rerum Novarum. Parmi les membres de ce comité, dit-il, s'en trouvait au moins un, un Autrichien, bien au courant de la question monétaire et du crédit bancaire. Un texte préparé par lui, apparemment approuvé par le Comité, devait bien montrer comment la simple monnaie scripturale, qui prend naissance dans une banque et qui tendait déjà à devenir l'instrument monétaire courant du commerce et de l'industrie, n'était en somme qu'une monétisation de la capacité de production de toute la communauté. L'argent nouveau ainsi créé ne peut donc être que social et nullement propriété de la banque. Social, par la base communautaire qui lui confère sa valeur ; social, par la vertu qu'a cet argent de commander n'importe quel service et n'importe quel produit, d'où qu'ils viennent. Le contrôle de cette source d'argent met donc entre les mains de ceux qui l'exercent un pouvoir discrétionnaire sur toute la vie économique.

            Puis, la banque qui prête, non pas l'argent de ses déposants, mais des dépôts qu'elle crée elle-même de toute pièce, du néant, ex nihilo, par de simples inscriptions de chiffres, ne se départit de rien. L'intérêt qu'elle en exige est certainement de l'usure ; quel qu'en soit le taux, c'est plus que du 100 pour cent, puisque c'est de l'intérêt sur un capital zéro de la part du prêteur. Usure qui peut bien être dévorante : l'emprunteur ne peut trouver dans la circulation plus d'argent qu'il y en a été mis. Et c'est ainsi pour le total de tous les remboursements dépassant la somme de tous les prêts. Le service des intérêts ne peut être fait que moyennant une suite d'autres prêts exigeant d'autres intérêts. D'où une accumulation de dettes, de caractère privé et de caractère public, collectivement impayables. Plus de 93 % des dettes publiques au Canada ne sont que le résultat de cette machine infernale et même les soins médicaux sont rationnés pour laisser la "primeur" aux banquiers voleurs.

            Que fut exactement la rédaction de ce texte relatif au monopole du crédit ? Nous ne pouvons le savoir, puisqu'il ne parut pas dans l'Encyclique. Fut-il supprimé à Fribourg même dans la rédaction définitive de l'étude envoyée à Rome ? Fut-il subtilisé entre Fribourg et Rome, ou entre sa réception au Vatican et sa remise au Souverain Pontife ? Ou bien, est-ce Léon XIII lui-même qui décida de le laisser de côté ? L'abbé Drinkwater pose ces questions, mais n'y répond pas.

http://www.michaeljournal.org/causeries/textescauseries/tape_1201_0701.htm

C'est trop facile et criminel de les laisser ruiner les familles en disant que c'est trop compliqué à comprendre.

C'est en effet trop facile à saisir l'horreur économique avec laquelle une trop grande partie de la hiérarchie Kollabore ( sic, Kollabore) en plaçant les fonds des pauvres et leur confiance dans les mains de ces vrais escrocs aux dents longues qui laissent tuer les enfants à naître par milliards, avec le prétexte que la terre est surpeuplée, ce qui est une énorme manipulation. Le SIDA va vider l'Afrique et une partie de l'Asie. La terre peut abriter plusieurs fois la population actuelle. On jette des millions de tonnes de nourriture pour garder les prix hauts. Ils sont complètement fous, stupides, aveuglés par la cupidité et les mensonges ou très méchants.

Le crédit social l'explique assez bien. Il faut lire au moins

Le Crédit Social et la doctrine catholique, étude de neuf théologiens

Crédit Social et catholicisme

Il est urgent de mettre fin au scandale de la pauvreté. Alain Pilote

Le Crédit Social et l'enseignement des Papes. Alain Pilote

Qu'est-ce que le Crédit Social? Le christianisme appliqué! Geoffrey Dobbs

Le Crédit Social est l'application de la doctrine sociale de l'Eglise, dit Mgr Frankowski

Enseignement de l'Eglise

C'est un péché grave de voter pour des politiciens en faveur de l'avortement

Etats-Unis

L'histoire du contrôle bancaire aux Etats-Unis. A. Pilote

Le Crédit Social aux Etats-Unis en 1932. A. Pilote


Banques centrales au secours des banques ou des familles ? Si  les milliards étaient versés aux familles, elles relanceraient  toute l'économie.

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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mardi 8 avril 2008

Près de 1.000 milliards de dollars. Le FMI estime que la crise financière liée aux subprimes va couter 945 milliards

Trou de près de 1.000 milliards de dollars.


Le FMI estime que la crise financière liée aux subprimes va couter 945 milliards, plus précisément. Et, prévient le Fonds Monétaire International, dans un rapport publié aujourd'hui, l'addition pourrait encore augmenter. C'est à la Une des échos demain, Jean Marc Vittori :

« Charles Morris doit être furieux. Cet expert américain de la finance vient de publier un livre au titre qu'il espérait fracassant : " La fonte de 1.000 milliards de dollars ". Or c'est pratiquement le chiffre que donne aujourd'hui le FMI dans un bulletin qui n'intéresse d'habitude qu'une poignée d'experts, son rapport semestriel sur la stabilité financière mondiale. Il y a moins de deux mois, ses experts arrivaient à peine à 400 milliards. A ce rythme, la barre des 1.000 milliards pourrait être allègrement enfoncée dans les mois qui viennent.

Au-delà de ce chiffre spectaculaire, comment apprécier cette crise ?

D'abord, son origine. Les deux tiers des pertes viennent des délires sur le logement aux Etats-Unis. Et les trois quarts sont passrés via les fameux produits structurés, les CDO et autres CMBS inventés par les petits génies des salles de marché.

Ensuite, si la crise est américaine, les banques européennes y perdent presque autant d'argent que leurs collègues américains. Autrement dit, elles se sont fait plumer, comme les entreprises européennes s'étaient fait plumer aux Etats-Unis pendant la bulle Internet.

Enfin, les chiffres du FMI confirment que c'est la plus grande crise financière de l'histoire. Les pertes font deux fois le montant de la crise asiatique des années 1997-1998, et trois fois la crise des caisses d'épargne américaines à la fin des années 80. Encore plus spectaculaire : en neuf mois, c'est davantage que la crise bancaire japonaise qui avait duré dix ans et qui avait causé une profonde récession dans l'archipel nippon.

Décidément, nous avons encore beaucoup, beaucoup à apprendre pour empêcher les crises financières. ...

http://www.france-info.com/spip.php?article120396&theme=22&sous_theme=23

Les vraies solutions ci-dessous:

Presque tout l'argent libre que le Président Kennedy avait
imprimé a été détruit immédiatement par Johnson.

Il reste quelques billets en main de collectionneurs, notamment de Mme Imelda Marcos.

http://www.arecom-geneos.com/monnaie/scr8.php?PHPSESSID=97812cbda95cbf09364af249ea3d4e93

Abraham Lincoln and John F. Kennedy. Melvin Sickler

http://www.dailymotion.com/jamesandre/illuminati/video/x3bdoe_illuminati-1b


La seule solution pour avoir la Paix, suivre les voies du Seigneur et obéir à sa miséricorde.

Preuves:

Lev 25:23

Etats-Unis

L'histoire du contrôle bancaire aux Etats-Unis. A. Pilote

Le Crédit Social aux Etats-Unis en 1932. A. Pilote


L'assassinat de Kennedy

"Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d'anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique."

John F. Kennedy, (A l'université de Columbia, 12th Nov. 1963 - 10 jours avant son meurtre le 22 Novembre 1963.)

Le chauffeur est mort 3 semaines après d'un étrange cancer foudroyant. Nombreux impliqués dans cette affaire seront victimes d'une mort brutale peu de temps après les faits (accidents de la route notamment).
Il faut corriger l'erreur du 23 mars 789 faite par Charlemagne qui n'a condamné que les taux d'intérêts et qui a oublié la remise jubilaire des terres.

Lev. 25: 23
כג וְהָאָרֶץ, לֹא תִמָּכֵר לִצְמִתֻת--כִּי-לִי, הָאָרֶץ: כִּי-גֵרִים וְתוֹשָׁבִים אַתֶּם, עִמָּדִי.23 And the land shall not be sold in perpetuity; for the land is Mine; for ye are strangers and settlers with Me.
23 Les terres ne se vendront point à perpétuité; car le pays est à moi, car vous êtes chez moi comme étrangers et comme habitants.

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Un journaliste parle des pédophiles. Réactions serviles...Presse au Luxembourg : Pauv’s types !

Presse au Luxembourg : Pauv's types !
08/04/2008
Dans un courrier adressé à l'un des journalistes de notre Groupe, le Conseil de presse, sous la plume de la vedette du journalisme localier Infalt et de celle du journalisme de la soumission, Lorent, fait état d'une série de reproches adressées au confrère, à savoir :

-La publication d'articles non signés dans nos journaux. Alors que le plus grand de tous les journaux du Luxembourg, consacre plus de 70% de sa pagination à des articles sans signature !

-La violation de l'obligation de réserve et de « soins ». Il est évident que quand on se permet d'égratigner les puissants et ceux qui nous gouvernent, on pêche contre les sacro-saints principes de la presse luxembourgeoise inféodée.

-La violation de la présomption d'innocence. Il est vrai que quand on réclame une responsabilisation nominative de ceux qui causent du tort à notre pays, on viole la quiétude coupable des Lorent et autres Infalt.

-La violation de la protection de « la sphère privée ». L'argument massue pour éliminer évidemment tout ce qui peut gêner éventuellement ceux qui ont le pouvoir ou qui sont au pouvoir.

-La violation des droits d'auteur. Lire ceci sous la plume de deux pseudo-journalistes qui piquent avec leurs copains et coquins allègrement dans les informations de nos médias, prêterait à sourire si ces deux là ne croyaient pas dur comme fer qu'ils ont raison.

-La violation de la protection des mineurs. Voilà la presse institutionnelle, protectrice de tous les méfaits des puissants contre les enfants, qui nous reproche de l'empêcher de tourner en rond ?

Et les deux rigolos de rajouter que « les plaintes enregistrées par le conseil de presse » témoignent de tous ces reproches. « Rigolos », parce que jamais personne ne nous a transmis la moindre plainte de ce genre. Ceci dit, quitte à nous les transmettre, elles auraient l'effet qu'elles méritent pour un groupe de presse indépendant, qui refuse à la fois l'autorité de ce conseil ronronnant et le joug du pouvoir.

Moi-même, je ne signe pas mes articles dans les journaux du groupe qui porte mon nom, excepté les éditoriaux. Mais j'endosse personnellement et sans me cacher derrière une entreprise anonyme, la responsabilité de tout écrit du groupe qui porte mon nom. Je suis le seul à le faire dans le pays ! Par contre, des articles, enquêtes et reportages dans « Focus », « Spiegel », ARD, France 2, VSD, « Le Parisien », « Guardian », « Sunday Times », pour ne citer que ces ténors de la presse internationale, ont tous porté ma signature. Je défie les deux saltimbanques du conseil de presse de me fournir ne serait ce qu'une ou deux de leurs signatures dans l'un de ces prestigieux médias. Car c'est là que signent les vrais journalistes.

Jean Nicolas



PS : Pour plaire à nos deux lurons, il vaut évidemment mieux cacher ce qui dérange et tronquer l'info tout en fréquentant cocktails et honneurs et en instaurant le communiqué de presse en institution. Mais ont-ils jamais regardé comment fonctionne la presse, la vraie, à l'étranger ? Et ont-ils jamais comparé nos ventes, excellentes sinon révolutionnaires à celles de leurs produits ? Sans ruiner le contribuable, rien qu'en faisant du journalisme, du vrai !

http://www.investigateur.info/www2/modules.php?name=News&file=article&sid=281

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Affaire Ferraye, quelques preuves


http://www.googleswiss.com/fr/geneve/jf/preuves.html#

http://ferraye.blogspot.com/

Edipresse a coulé Servette, Marc Roger fera plus de 18 mois de prison à cause de leurs vilenies.



C'est ainsi que sous « Ferrayé : ça déraille ! », on peut lire dans les torchons d'Edipresse que l'Inventeur génial fait l'objet d'un rapport psychiatrique sans concession… Mieux, la photo est explicite !

De plus, l'extrait fourni par le pouvoir judiciaire est un document sans valeur, le rapport dénoncé ayant été reconnu comme étant une vilénie ! www.googleswiss.com/ferraye  

Preuve :    Le Matin du 29.01.2005 – Ferrayé ça déraille !

Voici encore une décision scandaleuse de la "justice", comme dans l'affaire Conus, on trouve des "experts" "médecins" "psychiatres" petits copains de loges des "juges" francs-maçons pour faire des certificats de complaisance comme quoi tel et tel est fou, SANS JAMAIS AVOIR VU LE PATIENT.

VOICI LEURS MéTHODES à vomir, ON VIT DANS UNE DICTATURE SOURNOISE.

VOICI LES MéTHODES SOVIéTIQUES PRATIQUéES EN SUISSE, ET SOUTENUES PAR EDIPRESSE...

Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
http://desiebenthal.blogspot.com/
http://ferraye.blogspot.com/


Présent :
La femme est, comme toujours, l'avenir de l'homme, et réciproquement. Si qua fata sinant...:-)
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Faillite du Servette FC: Marc Roger reste en détention préventive plus de 18 mois...pour lui faire payer son appui à Ferrayé...

Voici encore une décision scandaleuse de la "justice", comme dans l'affaire Conus, on trouve des "experts" "médecins" "psychiatres" petits copains de loges des "juges" francs-maçons pour faire des certificats de complaisance comme quoi tel et tel est fou, SANS JAMAIS AVOIR VU LE PATIENT. VOICI LEURS MéTHODES éSOTéRIQUES, ON VIT DANS UNE DICTATURE SOURNOISE.

VOICI LES MéTHODES SOVIéTIQUES PRATIQUéES EN SUISSE, ET SOUTENUES PAR EDIPRESSE....

Faillite du Servette FC: Marc Roger reste en détention préventive

08 avril 2008 - 11:13

Marc Roger, l'ancien patron du Servette FC, soupçonné d'avoir précipité la faillite du club de football genevois, reste en détention préventive. La Chambre d'accusation de Genève a rejeté une demande de libération provisoire.

Les juges ont estimé trop importants les risques de fuite du prévenu. Marc Roger avait déjà été libéré sous caution en juillet 2005. Une fois sorti de Champ-Dollon, il s'était réfugié en France, son pays, et ne s'était plus présenté aux audiences d'instruction, invoquant des problèmes de santé.

"Nous allons aller au Tribunal fédéral", a fait savoir Robert Assaël, l'un des avocats de Marc Roger. Selon lui, il n'existe pas de risque de fuite. Son client encourt en effet une peine qui ne devrait pas dépasser les 18 mois de prison, soit le temps que l'ex-président du Servette FC a déjà passé en détention préventive.

Il n'y a de ce fait aucun motif pour que Marc Roger ne vienne pas à son procès, agendé en septembre. Pour M. Assaël, la détention provisoire déjà subie par l'ancien agent de joueurs français est disproportionnée. Le Tribunal fédéral devrait mettre deux mois, au maximum, pour se prononcer sur la question.


SDA-ATS News Service

Affaire Joseph FERRAYE et le Servette

Le dossier de Joseph FERRAYE démontre sans aucune équivoque, que son Notaire, Pierre MOTTU à Genève, a encaissé plusieurs milliards de dollars de royalties qui reviennent à l'inventeur.

C'est sur la base de ces fonds, que Joseph FERRAYE a voulu s'engager à sauver le Servette FC, pour que Genève puisse garder son patrimoine vieux de 115 ans.

» Depuis la conférence de Presse donnée par le Président du Servette FC M. Marc ROGER, le 24 janvier dernier, annonçant la signature d'une convention avec M. Ferrayé pour un investissement de CHF 147 millions sur 5 ans, l'ensemble des Médias Edipresse ont tenté d'empêcher la réalisation de cet accord, par une désinformation abjecte.

» Les actes notariés qui confirment la présence des fonds dans la comptabilité de l'étude de Me Pierre MOTTU à Genève ont été considérés sans valeur sur la seule déclaration orale d'un notaire qui se révèle être un escroc !

» Le fait que l'Etat de Genève ait encaissé, selon les propres déclarations de Me MOTTU, quelque 20 à 22 millions de francs de Droits sur ces capitaux, est écarté sans même que l'on y prête attention. Ces droits ont pourtant été payés indirectement par M. FERRAYE sur des capitaux qui lui appartiennent... Ont-ils été destinés à la Caisse noire du Conseil d'Etat ?

» Le Président du Conseil d'Etat M. Robert Cramer, déclarait à Me Marti lors d'un premier téléphone concernant une offre de M. FERRAYE en 2004 au sujet d'une donation de 2 milliards en faveur de l'Etat de Genève, que le Procureur Zapelli "avait le droit d'être un imbécile, mais qu'il n'avait pas le droit d'être incompétent...".

» Pourtant, quelques jours après, ce même conseiller d'Etat écartait la propositon qui aurait conduit à une manne financière providentielle pour les caisses publiques. M. FERRAYE ne demandait pourtant aucun avantage pour lui... Simplement que la justice fasse pour une fois son travail et débloque ses fonds...

» Y'aurait-il eu alors un déblocage de fonds en faveur du Conseiller d'État pour qu'il rallie la cause de l'Organisation criminelle genevoise ??? Chacun appréciera... Il faut savoir quand même que M. Cramer, ex avocat est aussi un ex-collègue de Me De Preux, qui était lui-même avocat de Mme Carmen Ben Laden, l'épouse de Yeslam Ben Laden qui a reçu dans le cadre de cette affaire, la nationalité suisse contestée à l'époque.

» De là à croire que les Autorités politiques sont aussi corrompues que les Autorités judiciaires dans cette affaire, il y a, pour reprendre l'expression de l'un des protagonistes de ces détournements, Me Marc BONNANT, un pas que je franchis aisément...

» Il faut savoir que Joseph FERRAYE qui est le seul et l'unique inventeur des systèmes d'extinction et de blocage des puits de pétrole a été qualifié toute la semaine de mythomane, de guignol, de pseudo inventeur, etc...

» La Presse Nord Vaudois déclare "Un auto proclamé professeur Tournesol arnaqué par un émir, épaulé par un consultant que son goût exacerbé pour la justice a amené à transformer la ferme familiale en Fort Alamo avant de se lancer à l'assaut du Château cantonal..."
Signé Fridolin WICHSER, voilà un journaliste qui porte bien son nom, mais il devrait un peu moins se masturber le cerveau, il écrirait moins de conneries... Cet article décrit la haine d'un "pseudo" journaliste que nous ne connaissons même pas et qui a pris plaisir à désinformer, à calomnier et à diffamer nos personnes dans une "salade russe" composée de mensonges, d'erreurs et d'interprétations, totalement hors du contexte.

» Une plainte pénale ainsi qu'une plainte au Conseil Suisse de la Presse ont été déposées.

Marc Etienne Burdet sur


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Avec mes meilleures salutations.

François de Siebenthal
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