vendredi 21 mars 2008

Nous cherchons aussi la transcription de l'enregistrement audio du dialogue de Basano


Nous cherchons aussi la transcription de l'enregistrement audio du dialogue de Basano avec son interlocuteur (avec le nom de celui-ci, ainsi que le nom et l'adresse de son site), avec le texte comportant les accusations reportées (par ce duo complices), contre Sarkozy.
 
Je vous souhaite à tous, un très bon Vendredi Saint et une Joyeuse Fête de Pâques, qui nous rappelle la Gloire de la résurrection de notre Seigneur Jésus, qui par Sa Sainte Mort sur la Croix a élevé la création vers son Sauveur Puissant, Glorieux et Miraculeux, ce qui nous glorifie à nous aussi...
 
Joseph

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La femme est, comme toujours, l'avenir de l'homme...:-)
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GDF/SUEZ et l'affaire Ferraye: la face cachée.

Il est important que nous ayons tous les noms des 60 personnalités selon l'article, sachant que ce complot est en relation évidente avec le complot contre nos droits, par le fait que Suez est impliquée dans le blanchiment...

Joseph.

http://www.gaucherepublicaine.org/2,article,1991,,,,,_GDF-SUEZ-la-face-cachee-de-la-fusion.htm

GDF/SUEZ la face cachée 01/03/2008 1 / 7
GDF/SUEZ : la face cachée
1. Les principaux évènements ayant permis la fusion GDF-SUEZ
1995 – Nicolas SARKOZY, mis à l'écart après l'élection de Jacques CHIRAC à la
Présidence de la République, trouve un véritable appui auprès de Paul DESMARAIS. Ce
dernier bâtit une stratégie pour mener Nicolas SARKOZY à l'Elysée.
1996 – GBL filiale de CNP (société faîtière du Groupe FRERE) investit par l'intermédiaire
d'ELECTRAFINA dans SUEZ 13 milliards de francs belges (un peu plus de 322 millions
d'euros).
1997 – GBL toujours par l'intermédiaire d'ELECTRAFINA renforce sa position dans SUEZ
par un investissement complémentaire de 33 milliards de francs belges (près de 818 millions
d'euros).
1998 – GBL toujours par l'intermédiaire d'ELECTRAFINA injecte 10 milliards de francs
belges (un peu plus de 248 millions d'euros) dans SUEZ et procède à un échange d'actions en
apportant à SUEZ les titres détenus par ELECTRAFINA dans la SOCIETE GENERALE DE
BELGIQUE.
1999 – GBL toujours par l'intermédiaire d'ELECTRAFINA acquiert en bourse 145 millions
d'euros d'actions SUEZ afin de ne pas voir diluer sa participation suite à l'augmentation de
capital de SUEZ, au 31 décembre 99, ELECTRAFINA détient près de 8,4% du capital de
SUEZ.
2000 – ELECTRAFINA pour des besoins de liquidités cède 1% de sa participation dans
SUEZ ce qui lui permet de réaliser une plus-value de plus de 500 millions d'euros.
2000 – ELECTRAFINA crée 418 millions d'euros d'obligations échangeables à échéance de
août 2004 contre 2 millions d'actions SUEZ. Cette opération montre un évident manque de
liquidités ainsi que la pré-programmation du renforcement dans SUEZ, en vue de la future
fusion GDF/SUEZ.
2000 – GBL absorbe ELECTRAFINA par fusion.
2004 – Nicolas SARKOZY, ministre de l'Economie et des Finances, décide contre toute
attente d'ouvrir le capital de GDF et prend l'engagement de faire en sorte que l'Etat ne
descende jamais en dessous de 70% de sa participation dans GDF.
2004 – Nicolas SARKOZY doit quitter le Gouvernement sur ordre du Président CHIRAC.
Le Groupe FRERE annonce mettre fin aux négociations avec de mystérieux investisseurs
présentés comme de purs financiers qui s'intéressent à sa filiale QUICK RESTAURANTS
SA. S'agissait-il déjà de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) qui, en 2006,
procédera à ladite acquisition ?
GDF/SUEZ la face cachée 01/03/2008 2 / 7
2005 – SUEZ lance une offre d'achat et d'échange sur ELECTRABEL qu'elle ne détenait pas
encore, GBL soutient cette offre, achète des actions SUEZ et déclare vouloir participer pour
200 millions d'euros à l'augmentation de capital lancée par SUEZ de 2.5 milliards d'euros
pour financer ELECTRABEL. Comme on peut le constater, pendant 5 années consécutives, le
Groupe FRERE-DESMARAIS n'a pas poursuivi son investissement dans SUEZ. Il faut
attendre 2005 pour que l'investissement de GBL dans SUEZ soit repris et il est très curieux
que cette reprise corresponde avec l'ouverture du capital de GDF décidée en 2004 par Nicolas
SARKOZY.
2006 – En mars, la CDC (Caisse de Dépôts et de Consignations) et la CNP prennent chacune
une participation significative dans EIFFAGE.
2006 – Nicolas SARKOZY, en habile stratège, ne soutient pas le projet de fusion
GDF/SUEZ et laisse Dominique de VILLEPIN faire front seul contre l'opposition qui
déposera plus de 130 000 amendements au Parlement.
2006 – Le 20 avril, la CNP acquiert GROUPO BANCA LEONARDO.
2006 – Le 3 juillet, GROUPO BANCA LEONARDO annonce l'acquisition de la banque
d'affaires TOULOUSE & ASSOCIES. Cette acquisition sera capitale dans le dispositif de
fusion GDF/SUEZ, car TOULOUSE & ASSOCIES est la banque-conseil de SUEZ et de
GDF. Conflit d'intérêts : Jean PEYRELEVADE est administrateur « indépendant de
SUEZ », associé de TOULOUSE & ASSOCIES et se retrouve ensuite PDG de LEONARDO
France qui a entretemps absorbé TOULOUSE & ASSOCIES.
2006 – Nicolas SARKOZY est n° 2 du Gouvernement, Président de l'UMP et candidat
déclaré à la Présidence de la République.
Il porte plainte dans l'affaire CLEARSTREAM.
Son influence va croissante et il apparaît comme le favori de l'élection présidentielle.
La stratégie bâtie en 1995 par Paul DESMARAIS est en train de réussir.
C'est le moment que choisissent Messieurs Albert FRERE et Paul DESMARAIS pour réaliser
des opérations « troublantes » avec l'Etat français, opérations qui nécessitent d'évidents
soutiens politiques et qui verront la CDC débourser 1,25 milliard d'euros au profit du
Groupe DESMARAIS-FRERE.
2006 – Le 3 octobre la fusion SUEZ-GDF est votée, grâce au revirement spectaculaire de
Nicolas SARKOZY.
2006 – Le 26 octobre le Groupe DESMARAIS-FRERE accepte l'offre de la CDC d'acquérir
QUICK RESTAURANTS SA au prix de 37,80 euros l'action.
La cession de QUICK devait déjà intervenir en 2004 et les acquéreurs étaient présentés
comme de purs financiers. S'agissait-il déjà de la CDC et serait-ce le départ de Nicolas
SARKOZY du Ministère de l'Economie et des Finances imposé par le Président CHIRAC qui
serait à l'origine du report de cette cession ? Les conditions offertes par la CDC sont tellement
attrayantes que le Groupe DESMARAIS-FRERE donne son accord en quelques heures.
Les résultats de la société QUICK sont depuis des années décevants et les chiffres d'affaires
générés ne sont pas suffisants pour justifier le prix de cession convenu soit 850 millions
d'euros.
GDF/SUEZ la face cachée 01/03/2008 3 / 7
Il est à noter que l'action QUICK est passée de 5 euros en 2002 à 30 euros en 2006 sans
éléments notoires autres que d'habiles effets d'annonce.
A cette hausse de 500% en à peine 4 années la CDC ajoute encore une prime de 23% sur le
dernier cours de bourse !
Le prix de cession représente finalement 300% du chiffre d'affaires réel !
Aussi, Messieurs FRERE et DESMARAIS, pressés de conclure à des conditions si
favorables, vont mettre en place la stratégie suivante afin de ne pas éveiller de soupçons :
a) ING Belgique partenaire habituel du Groupe FRERE devient le conseiller financier de
la CDC pour l'occasion (sans que ce conflit d'intérêts ne soit jamais soulevé et en
accord total avec la CDC).
b) Freshfields Bruckhaus Deringer partenaire habituel du Groupe FRERE-DESMARAIS
devient quant à lui et pour l'occasion conseiller juridique de la CDC et là encore toutes
les parties y consentent. De plus, Freshfields Bruckhaus Deringer est l'avocat de GDF
et à ce titre a d'ailleurs assigné les syndicats de GDF le 18 décembre 2007.
c) Ces deux entités (ING Belgique et Freshfields Bruckhaus Deringer) se dégagent de
toute responsabilité dans le Prospectus de l'OPA du 15 décembre 2006.
d) DELOITTE, réviseur attitré du Groupe FRERE se dégage également de toute
responsabilité en précisant clairement que ces opérations relèvent de la responsabilité
totale et entière des conseils désignés et également du Conseil d'Administration de la
CNP.
e) Nonobstant les précautions prises par la désignation des conseils aux ordres du Groupe
FRERE-DESMARAIS et mandatés par la CDC, une manipulation supplémentaire a
été nécessaire pour valoriser fictivement QUICK afin d'en tirer les 850 Millions
d'euros initialement convenus. Cette précaution a consisté, ni plus ni moins, à
retravailler les bilans de manière rétroactive.
f) Le prix de cession de QUICK sera « vendu » aux autorités et au marché comme égal à
100% du total des ventes à l'enseigne, ce qui veut dire tous chiffres d'affaires
additionnés (franchiseur et franchisés).
Il est incontestable que le chiffre d'affaires de QUICK a été retravaillé dans le rapport annuel
de 2005. Il passe ainsi, rétroactivement, pour l'année 2003 de 263,8 à 483,4 millions d'euros
(+83%), pour l'année 2004 de 286,7 à 468,3 millions d'euros (+63%) et affiche directement
455,5 millions d'euros pour l'année 2005.
Le Groupe Albert FRERE, publiant le bilan de cette cession, affiche un Taux de Rendement
Interne supérieur à 60% en taux annuel composé. Cette présentation est évidemment faite à
dessein pour mieux dissimuler la marge qui est de 85%.
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Extrait des rapports annuels de CNP et communication relative aux informations sectorielles
sur les résultats de QUICK :
QUICK Chiffres clés consolidés (EUR Millions) au 31/12/2003 (page 45)
Libellés 2003 2002 2001
Fonds propres 154.6 75.1 84.4
Ventes et produits de franchises 263.8 256.7 261.9
Résultat net part du Groupe 12.9 (9.2) (45.2)
QUICK Chiffres clés consolidés (EUR Millions) au 31/12/2004 (page 57)
Libellés 2004 2003 2002
Fonds propres 182.9 154.6 75.1
Ventes et produits de franchises 286.7 263.8 256.7
Résultat net part du Groupe 30.2 12.9 (9.2)
QUICK Chiffres clés consolidés (EUR Millions) au 31/12/2005 (page 60)
Libellés 2005 2004 2003
Fonds propres 190.2 172 168.3
Ventes et produits de franchises 455.5 468.3 483.4
Résultat net part du Groupe 27.3 15 11.9
2006 – En décembre, la CDC rachète pour 398 millions d'euros la participation de CNP
dans EIFFAGE, acquise seulement 9 mois plus tôt. Pourquoi la CDC n'a-t-elle pas acheté des
actions EIFFAGE en bourse ? La plus-value serait allée chez les petits porteurs.
Il est donc clair que cette opération est conclue pour apporter des fonds au Groupe Albert
FRERE ainsi qu'une plus-value de 91 millions d'euros.
2007 – En janvier, ayant réussi à faire débourser à l'Etat par le biais de la CDC 1,25 milliard
d'euros au travers des opérations EIFFAGE et QUICK, le Groupe FRERE-DESMARAIS se
renforce dans SUEZ en investissant 798 millions d'euros. Sa position devient
incontournable avec 9.6% du capital assortis de 13,4% de droits de vote.
2007 – En mai, dès l'arrivée de Nicolas SARKOZY à l'Elysée, l'équipe FREREDESMARAIS
s'empresse de verrouiller la fusion GDF-SUEZ en obtenant du Président de la
République qu'il nomme Patrick OUART (ancien secrétaire général de SUEZ et intime
d'Albert FRERE) à l'Elysée et Antoine GOSSET-GRAINVILLE (ancien chef du bureau de
Bruxelles du cabinet d'avocat GIDE, conseil habituel d'Albert FRERE) à Matignon.
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2007 – En août, Albert FRERE se rend à l'Elysée pour obtenir un arbitrage en faveur du
Groupe FRERE-DESMARAIS dans la fusion SUEZ-GDF qui s'enlise.
Les conditions sont arrêtées et présentées comme ne favorisant aucun des grands actionnaires
de SUEZ. En vérité, les conditions sont encore plus favorables pour le Groupe FREREDESMARAIS
qu'initialement car on apprendra plus tard que SUEZ Environnement lui a été
promis pour le deuxième semestre 2008.
2007 – En septembre, l'Etat choisit le cabinet GIDE comme conseil pour la fusion (GIDE est
pourtant le conseil habituel d'Albert FRERE) et Jean-François COPE (ancien Ministre du
Budget exerçant sa tutelle sur la CDC) devient pour l'occasion avocat-associé de GIDE.
2007 – En décembre, le Ministère de l'Economie et des Finances incite Jean-Marie KUHN à
déposer plainte contre le Groupe Albert FRERE, X et autres suite à deux enquêtes internes
confiées respectivement à sa direction juridique et financière.
Cette plainte est grave et importante puisqu'elle vise un très probable pacte de corruption
concernant SUEZ, GDF, EIFFAGE, QUICK et la Caisse des Dépôts et Consignations.
Un projet de la plainte a été transmis à l'Elysée, à Matignon, à la Chancellerie et au Ministère
de l'Economie et des Finances. Bien qu'étant ainsi parfaitement informé des doutes qui pèsent
sur la légalité de ces opérations, l'Etat publie les deux décrets qui vont autoriser la fusion
SUEZ-GDF.
2008 – En janvier, la plainte de Jean-Marie KUHN est classée par la Justice comme
« insuffisamment caractérisée », sans même avoir entendu le plaignant.
2008 – En février, Nicolas SARKOZY remet à Paul DESMARAIS la Grand'Croix de la
Légion d'Honneur lors d'une réception à l'Elysée. A cette occasion, il avoue devoir son
élection pour partie à la stratégie bâtie en 1995 par Paul DESMARAIS.
Quelques jours plus tard, il remet également la Grand'Croix de la Légion d'Honneur à
Albert FRERE en petit comité mais en présence du Premier Ministre François FILLON et du
Garde des Sceaux Rachida DATI.
2. Situation du dossier
Jean-Marie KUHN, dans le cadre d'un important préjudice que lui a fait subir le Groupe
FRERE-DESMARAIS au travers de l'une de ses Sociétés, a découvert l'ensemble de ces
faits. Alertés à plusieurs reprises, dûment informés les divers conseillers, ministres et intimes
de Nicolas SARKOZY ont décidé de pratiquer la politique de l'autruche.
Seul le Ministère de l'Economie et des Finances a diligenté une enquête juridique et une
enquête financière, puis a fortement recommandé qu'une plainte soit déposée par Jean Marie
KUHN. Cette recommandation a été suivie d'effet le 24 décembre 2007 et la plainte a été très
vite classée (le 11 janvier 2008) un record sachant que la reprise judiciaire a eu lieu le 7
janvier 2008.
GDF/SUEZ la face cachée 01/03/2008 6 / 7
3. Opportunités judiciaires offertes à Jean-Marie KUHN
Afin d'obtenir réparation de son préjudice, Jean-Marie KUHN a intérêt et qualité pour
déposer de nouvelles plaintes avec constitution de partie civile en France et/ou en Belgique.
Dans ce cadre seront, bien entendu, soulevés les agissements entre le Groupe FREREDESMARAIS
et la Caisse des Dépôts et Consignations ainsi que l'inévitable responsabilité
politique qui a permis, autorisé ou ordonné ces opérations.
L'Etat français, par le biais de son bras financier la CDC, se serait en effet rendu complice du
Groupe FRERE-DESMARAIS en lui permettant de renforcer sa position dans SUEZ, par le
rachat d'une filiale (QUICK RESTAURANTS SA – société de droit belge) de la société GIB
(société de droit belge) elle-même filiale de CNP (société de droit belge) holding faîtière du
Groupe FRERE.
L'offre publique d'achat volontaire sur l'intégralité du capital de la SA QUICK par la CDC
s'est faite sur la base de bilans « retravaillés » pour l'occasion, pour un prix de 850 millions
d'euros représentant 181% du chiffre d'affaires moyen des 3 derniers exercices et
représentant 300% du chiffre d'affaires réel tel qu'il apparaît dans le rapport annuel de la
CNP de 2003 et 2004.
La norme en la matière étant comprise entre 50 et 70 % du chiffre d'affaire moyen -et c'est
sur cette base que le Groupe FRERE-DESMARAIS achète lui-même des sociétés de
restauration-, la valeur vénale de QUICK serait proche de 200 millions d'euros.
Compte-tenu des résultats actuels de la société QUICK RESTAURANTS SA, il faut compter
au minimum 20 ans avant que la CDC ait un retour sur investissement.
De plus, de l'aveu même de ses dirigeants (audition du 24 janvier 2007 devant la commission
des finances de l'Assemblée Nationale), QUICK n'entre pas dans les critères
d'investissement de la CDC CI (filiale de la CDC dans laquelle a été logée QUICK).
Sitôt la CDC CI devenue propriétaire de QUICK RESTAURANTS SA, par l'intermédiaire
d'une société ad-hoc, ses dirigeants ont pris respectivement la présidence et la vice-présidence
du conseil d'administration de QUICK RESTAURANTS SA.
Cette opération QUICK, inhabituelle pour la CDC, succédait à celle réalisée avec la CNP sur
les titres EIFFAGE, le tout représentant 1,25 milliard d'euros déboursés par la CDC au profit
du Groupe FRERE-DESMARAIS.
Messieurs Albert FRERE et Paul DESMARAIS, dont on connaît aujourd'hui la proximité
avec Nicolas SARKOZY qui est devenu Président grâce à la stratégie mise en place par eux,
ont aujourd'hui une participation incontournable dans SUEZ, et des perspectives mirobolantes
avec la fusion SUEZ-GDF. Sans compter le pôle ENVIRONNEMENT qui doit revenir au
Groupe DESMARAIS-FRERE au second semestre 2008.
Le Cabinet d'avocats GIDE, pourtant Conseil habituel d'Albert FRERE, a été nommé par
Madame Christine LAGARDE en qualité de Conseil de l'Etat pour la fusion GDF/SUEZ.
GDF/SUEZ la face cachée 01/03/2008 7 / 7
Toutes les règles de transparence et d'indépendance sont allègrement bafouées.
Le fait que le Ministère de l'Economie et des Finances ait incité Jean-Marie KUHN à déposer
plainte n'a pas empêché le Premier Ministre de signer les décrets autorisant la fusion en
décembre 2007. De plus, aucune autorité n'est choquée par ce manque de transparence et
d'indépendance, mieux encore, personne n'a osé signaler ces manquements au Parquet
comme pourtant l'article 40 du Code Pénal les y oblige.
Madame Christine LAGARDE a cependant pris la mesure de la gravité de ce dossier, au
point de faire recevoir Jean-Marie KUHN le 05 décembre 2007, par Madame Nicole
PLANCHON, Directrice du Droit Privé au MINEFI. Madame PLANCHON, Magistrate de
formation, a incité vivement Monsieur Jean-Marie KUHN à déposer plainte sans tarder, le
niveau hiérarchique des personnalités impliquées étant, selon elle, un facteur particulièrement
aggravant. La position de Madame PLANCHON a ensuite été confirmée à Monsieur Jean-
Marie KUHN par Monsieur Philippe LOGAK, Conseiller de Christine LAGARDE, qui a eu
la charge de ce dossier et qui était pendant 4 mois l'interlocuteur de Monsieur Jean-Marie
KUHN.
Monsieur Thierry BRETON, prédécesseur de Madame LAGARDE, informé des graves
irrégularités relevées dans cette affaire QUICK a pris soin de se dédouaner en déclarant, lors
de son intervention du 06/10/2007 au Sénat dans le cadre de l'affaire EADS, avoir appris la
cession de QUICK par la presse et non par la CDC dont il était pourtant le Ministre de
tutelle…
Deux Ministres de l'Economie et des Finances concernés jugent ces affaires graves et n'y
adhèrent pas, au point pour l'un de s'en dédouaner en public et pour l'autre d'inciter
Monsieur Jean-Marie KUHN à les porter en Justice en lieu et place du MINEFI.
A quel niveau hiérarchique les autorisations ou ordres ont-ils été donnés à la CDC ?
Le silence de Monsieur Nicolas SARKOZY et de ses collaborateurs qui ont été informés à de
nombreuses reprises tant par Monsieur Jean-Marie KUHN que par la voie hiérarchique
notamment la Chancellerie et le Ministère de l'Economie et des Finances apparaît bien
étrange.
En tout état de cause, il appartient à la Justice de qualifier pénalement ces faits qui pourraient
relever d'un véritable pacte de corruption. A ce propos, le Ministère de l'Economie et des
Finances n'a pas apporté de modification à la plainte de Jean-Marie KUHN, déposée sur son
incitation après une enquête approfondie diligentée par Madame LAGARDE auprès de la
direction juridique et financière du Ministère de l'Economie et des Finances.
Si l'information judiciaire confirmait l'existence d'un pacte de corruption ou l'existence
d'infractions pénales, les conséquences seraient multiples car les fonds issus de ces opérations
pourraient être saisis ainsi que les investissements réalisés grâce à ses fonds. On imagine la
gravité de ces mesures qui pourraient aller jusqu'à poursuivre pour recel d'éventuels associés
de sociétés dans laquelle ont été acquises des actions avec les fonds suspects.
Enfin, l'enquête déterminera les contreparties des uns et des autres car il est impensable que
tous ces éléments troublants aient échappé à un investisseur aussi avisé que la CDC, de même
qu'il est difficile de croire que le pouvoir politique n'a pas, à un moment ou à un autre, donné
son aval à ces transactions.

fin du PDF.


Nous cherchons aussi la transcription de l'enregistrement audio du dialogue de Basano avec son interlocuteur (avec le nom de celui-ci, ainsi que le nom et l'adresse de son site), avec le texte comportant les accusations reportées (par ce duo complices), contre Sarkozy.
 
Je vous souhaite à tous, un très bon Vendredi Saint et une Joyeuse Fête de Pâques, qui nous rappelle la Gloire de la résurrection de notre Seigneur Jésus, qui par Sa Sainte Mort sur la Croix a élevé la création vers son Sauveur Puissant, Glorieux et Miraculeux, ce qui nous glorifie à nous aussi...
 
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samedi 15 mars 2008

Qu’est-ce que l’affaire Ferrayé ?


Révolutionnant plus de 15 000 fois tous les procédés classiques, les systèmes Ferrayé ont été déclarés stratégiques et vendus en fraude à tous les pays producteurs de pétrole sous la couverture de la compagnie Elf, pour le compte du gouvernement de François Mitterrand et des hauts responsables français de gauche et de droite, ainsi que par le biais de la société américano-saoudienne Aramco, commanditée par l’administration Bush père et la compagnie Halliburton.


Système d'extinction - Heller

Système d'extinction Ferrayé en application au Koweït - Photo: Dr. Jack Heller, USACHPPM, Mai 1991.

Brevets des systèmes Ferrayé déposés à l’INPI et l’OMPI :

Système d’extinction

Système de blocage

A l’Office européen des brevets :

http://v3.espacenet.com/textdoc?IDX=WO9219323&QPN=WO9219323

http://v3.espacenet.com/textdoc?IDX=WO9218746&QPN=EP0593503&RPN=EP0593503&DOC=deb45b02a96922da995712cf974ff6c66d

Pour les dates de dépôt visionner les documents dans le registre européen.

A preuve de l’application frauduleuse des systèmes Ferrayé en 1991 au Koweït, voir l’article “How well control techniques were refined in Kuwait” (Comment les techniques de contrôle des puits ont été perfectionnées au Koweït) publié dans le magazine World Oil en mai 1992 par Larry Flak, l’ingénieur texan chargé de coordonner les travaux des extinctions des puits au Koweït du 19 mars au 15 novembre 1991. L’article décrit les caractéristiques techniques des nouveaux systèmes, mais les attribue à ABB VETCO GRAY, dont le PDG n’était autre, à l’époque, que Percy Barnevik et où siégeait, à l’office de Zürich, le futur Secrétaire à la Défense des Etats-Unis, Donald Rumsfeld, qui fit de sa place au conseil d’administration le moyen pour ses complices et lui d’encaisser en toute discrétion une partie des royalties escroqués à Joseph Ferrayé. Notons aussi bien, qu’en tant que membres du Bilderberg Group, organe archi-secret de politique mondiale, Donald Rumsfeld et Percy Barnevik en ont toujours profité pour demeurer en constante collusion avec d’autres de ses membres tels que Loïk le Floch-Prigent et Philippe Jaffre d’Elf, ou pour citer quelques ministres des premiers gouvernements responsables du vol des brevets, Dominique Strauss-Kahn, Lionel Jospin, Bernard Kouchner, Jacques Toubon. Voici comment débute le rapport de Larry Flak : « ABB VETCO GRAY, qui a dirigé l’atelier mécanique de Kuwait Oil Company à Ahmadi, a été capable de réaliser des procédés géométriques. » Puis l’auteur entre dans la description des caractéristiques techniques des nouveaux systèmes de Joseph Ferrayé.

Chargée de vendre les systèmes, la Saudi Aramco, opérant sous l’inspiration du Prince Bandar ben Sultan ben Abd al-Aziz Al Saoud, ambassadeur à Washington et de l’homme d’affaires libanais, artisan des accords de Taëf, Rafic Hariri, faisait en sorte de blanchir en partie les comptes provenant de leur vente par des livraisons de pétrole couvrant les parts des plus hauts responsables. Ainsi, l’Arabie Saoudite et le Koweït fournissaient du pétrole aux sociétés désignées par François Mitterrand (Total, Fina, Elf et x) de manière à couvrir les montants revenant aux plus hauts responsables français, comme aux sociétés désignées par George Bush (Tam Oil et x) pour couvrir les montants revenant aux américains. Pour la France, Total-Fina-Elf renvoyait le prix de ce pétrole au directeur d’Elf Aquitaine International, Alfred Sirven, qui le déposait sur des comptes collectifs dans tous les paradis fiscaux du monde et particulièrement en Asie du Sud-Est.

A cette époque, comme le raconte Naggy Bressot, l’épouse aujourd’hui séparée de l’ambassadeur Jean Bressot, alors en poste au Koweït, les ministres du second gouvernement Rocard, Pierre Joxe (Défense), Roland Dumas (Affaires étrangères) et les autres, avaient coutume de se réunir à son domicile parisien, 7 rue de Javel dans le 15ème, pour discuter des suites de leur escroquerie.

Le 13 mai 1991, deux jours avant qu’il ne présente à Mitterrand sa démission, le Premier Ministre, Michel Rocard, signe le décret complémentaire relatif à l’organisation de l’INPI n° 91-432, légalisant la délégation à l’Institut National de la Propriété Industrielle (INPI), qui s’était prêté au pillage des brevets Ferrayé, des compétences de surveillance et de contrôle dévolues au ministre de l’Industrie. Désormais, le directeur général de l’INPI, comme l’affirme le décret, « peut recevoir délégation de signature du ministre chargé de la propriété industrielle pour exercer les compétences dévolues à celui-ci dans le domaine de la propriété industrielle et des droits annexes à la propriété industrielle ». Ainsi dissociait-on le pillage des brevets de leur exploitation illégale à travers l’Institut Français du Pétrole (IFP) et la compagnie Elf, en préparant à Dominique Strauss-Kahn, par son indépendance de façade à l’égard de l’INPI, des conditions optimales pour succéder au Ministre de l’Industrie Roger Fauroux et poursuivre avec une pleine maîtrise les opérations frauduleuses. Enfin, par le remaniement du gouvernement, Mitterrand croyait tourner la page sur l’abject complot qu’il avait ourdi et les multiples violations légales dont il s’était rendu coupable.

A la demande du Doyen de la Faculté des Sciences de Nice, Guy Turcot, qu’il a contacté le 22 mai, dans l’espoir de faire appliquer ses systèmes au Koweït par l’intermédiaire du Gouvernement français, Joseph Ferrayé se met en contact avec l’escroc Etienne Tillié, lequel se fait passer pour un chercheur, et l’expert-comptable, Christian Basano. Celui-ci, comprenant la nécessité de soudoyer des membres du Gouvernement ayant autorité sur Strauss-Kahn, pour lui retirer la mainmise déjà solide qu’il a sur la gestion du complot, prend, le 4 juin, l’avion pour Paris, pour s’y rencontrer avec Aurélien Garcia, chargé de mission du Premier Ministre, Edith Cresson à qui, sans en avoir avisé Ferrayé, qu’il ne connaissait en personne que depuis la veille, il propose, par l’intermédiaire de Garcia, 500 000 francs français sur chaque puits traité par les systèmes Ferrayé, en échange de sa coopération et de l’éviction de Strauss-Kahn.

Profitant de l’aubaine, Edith Cresson adresse, dès le lendemain, une lettre en trompe-l’œil à Jean-Michel Baroche, dans laquelle elle feint de lui faire croire que la nouvelle technologie inventée par Joseph Ferrayé est prête à passer sous le contrôle exclusif de la Sofremi dépendante du Ministère de l’Intérieur, dans l’intention de rappeler à tous, et surtout à Strauss-Kahn, la priorité de ses propres droits sur les revenus de l’escroquerie. Message auquel ne manque pas de réagir aussitôt le ministre de l’Industrie qui lui promet une commission équivalente à celle qu’offrait Basano mais prélevée sur les fonds occultes de la société Elf.

Cette contre-proposition permet à Cresson de jouer la surenchère et le 17 juin, Christian Basano confirme à Aurélien Garcia l’attribution au Premier Ministre d’un million de francs par puits, de sorte que les accords secrets avec le Koweït étant en passe de changer, cet Etat délègue à l’inventeur et ses nouveaux associés dans la société CONIRA (Compagnie Niçoise de Recherche Avancée), Etienne Tillié, Christian Basano et François Colonna, le général Mohammed Al Bader, en charge du Comité de sécurité de l’Etat du Koweït, qu’ils reçoivent officiellement avec Garcia, présent en qualité de représentant du Gouvernement, le 8 juillet 1991, au célèbre Hôtel Negresco à Nice.

Mais des divisions qu’ils surent adroitement susciter entre les ministres, les associés de Joseph Ferrayé n’avaient nulle intention de le faire profiter : aussi ne tardent-ils pas à se rallier à Strauss-Kahn, devenu le principal maître d’œuvre du complot, lorsque Mitterrand, comme l’a rapporté Naggy Bressot chez qui toutes les tractations mafieuses se déroulaient, parvient à réconcilier les deux camps du gouvernement.

Puisque le système d’extinction était depuis le 7 mai 1991 frauduleusement appliqué au Koweït par les quatre principales compagnies d’extinction des puits : Red Adair, Boots and Coots, Safety Boss et Wild Well Control, sous la direction logistique de Bechtel, dont l’ancien chef du FBI et de la CIA, William Webster, signait les contrats, et la haute main de l’administration Bush, avec qui le gouvernement français l’avait partagé (voir ici ce reportage du journal télévisé d’Antenne 2, daté du 7 mai précisément, où l’entreprise américaine Boots & Coots le met à l’essai avec succès dans le champ pétrolifère d’Al Ahmadi au Koweït), il ne restait plus qu’à détourner le système de blocage, en vue de quoi, Dominique Strauss-Kahn remit, le 26 juillet 1991, à François Colonna, l’un des perfides associés de l’inventeur, une lettre adressée au ministre koweïtien du pétrole, par où d’une part il attestait son rôle prépondérant dans la gestion du complot et de l’autre accréditait les négociateurs associés de Ferrayé comme ses loyaux acolytes.

Système de blocage

Système de blocage Ferrayé en application à Rumaylah en Irak sous la surveillance d'Aisa Bou Yabes, chef de l'équipe d'extinction de la Kuwait Oil Company - Photo: Peter Menzel, 1991.

Il ne fait aucun doute que les lettres du 5 juin 1991 d’Edith Cresson, Premier Ministre, à Jean-Michel Baroche et du 26 juillet 1991 de Dominique Strauss-Kahn, Ministre de l’Industrie et du Commerce Extérieur, à Hmoud Al Raqaba, Ministre koweïtien du Pétrole, constituent des preuves de leur implication consciente et résolue dans l’escroquerie.

Edith Cresson à Jean-Michel Baroche :

« J’ai pris connaissance du dossier que la société S.B.A. de Châtellerault m’a remis à propos de l’équipe française que vous avez formée autour de M. FLANDRE, bien connu de notre Sécurité Civile, pour participer à l’extinction et la maîtrise des puits de pétrole au Koweït. Je souhaite vivement que la qualité de cette technologie, que la société du Ministère de l’Intérieur Français SOFREMI s’apprête à prendre sous sa responsabilité, vous permette de mener à bien vos négociations avec les autorités koweïtiennes. »

(CM/EC/n° 897/GP , Châtellerault, le 5 juin 1991)

[N.B. Il faut avoir en tête que la Sofremi, qui sert ici d’épouvantail, était étroitement contrôlée comme l’Institut Français du Pétrole, par les politiques de droite au premier rang desquels Charles Pasqua, qui par l’intermédiaire de son homme de paille en Suisse, Patrick Chamarre, n’aura de cesse de blanchir les royalties astronomiques de Joseph Ferrayé. Le complot qui a commencé avec les chiraquiens, comme on le verra se continuera sous leur constante surveillance.]

Dominique Strauss-Kahn à Hmoud Al Raqbah (Al Raqaba) :

« J’ai été informé de l’intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par HORWELL en vue d’éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers de votre pays. Le gouvernement français est très sensible à cette intention. Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu’il a dans les capacités de ce consortium à mener à bien une telle mission. »

(CAB. n° 7702 Paris, le 26 juillet 1991)

[N.B. HORWELL est une filiale de l’IFP (Institut Français du Pétrole), spécialisée dans le forage horizontal. En 1991 la société obtient de la Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) le Prix de l’Environnement pour la « remise en état de puits de pétrole en feu au Koweït » grâce à la technologie dérobée à Joseph Ferrayé. Quelle ironie quand on pense d’ailleurs, que pour en cacher l’utilisation et le partage frauduleux avec d’autres puissances au mépris des intérêts de la France, où les brevets en étaient déposés, le Gouvernement français et l’Institut Français du Pétrole avaient exclu la possibilité, malgré le danger encouru par les soldats français stationnés au Koweït, d’une mission d’évaluation et de maîtrise du risque écologique et sanitaire inhérent à l’incendie des puits de pétrole, quoique celle-ci ressortît en propre aux attributions de l’IFP et fût tout à la fois d’un intérêt vital et national. Auditionné le 22 novembre 2002 par des membres de la Commission de la défense nationale et des forces armées dans le cadre d’un rapport d’information sur les conditions d’engagement des militaires français dans la Guerre du Golfe, le Directeur de l’environnement à l’IFP, Alain Feugier n’avait ou su ou voulu, à la consternation déjà grande de ses intervieweurs, fournir d’éclaircissement significatif sur la question des puits incendiés au Koweït en 1991 et sur le rôle imparti à l’IFP à cette occasion, d’autant que le gouvernement français avait veillé à ce que le Koweït et ses champs pétrolifères en particulier fussent « hermétiquement fermés » pour reprendre les mots du député Aloyse Warhouver à toute mission publique d’intérêt général.]

Les comptes provenant du Koweït furent séquestrés au printemps 1995 au nom de Joseph Ferrayé, et ceux provenant de la vente des systèmes aux autres pays pétroliers en juillet 1995 au nom de la société Wildrose Investors Group, société désignée dans le mandat établi le 3 octobre 1995 par le notaire genevois auxiliaire des escrocs, Pierre Mottu, enregistrée au Panama et gérée par Jean-Marie Ghislain, qui apparaît par ailleurs dans les société d’Oussama Ben Laden, dans le but prétendu de restituer tous ses droits à Joseph Ferrayé.

Suite au dernier séquestre, les gouvernements impliqués dans l’escroquerie s’entendirent pour verser à Joseph Ferrayé, au travers de conventions, ou cessions de droits, signées en l’Etude de Me Mottu les 16 et 23 novembre 1995, près de 17 milliards de dollars (une partie des royalties provenant de l’application de ses systèmes au Koweït) en l’escroquant du même coup, par ces mêmes accords que les notaires suisses à leur solde lui firent abusivement signer, des centaines de milliards provenant de la vente de ses systèmes aux autres pays pétroliers.

De même avaient-ils escroqué l’Irak en multipliant par 2.7, selon les propres aveux de Pierre Mottu et les révélations du Procureur de Genève Bernard Bertossa au banquier André Strebel, l’offre proposée par Joseph Ferrayé au Koweït pour l’application de ses systèmes (offre envoyée le 16 juin 1991 à Issam Al Sager), passant à plus de 80 millions de dollars par puits en feu au lieu de 30, devant être officiellement prélevés, par la United Nations Compensation Commission (UNCC), sur les ventes de pétrole de l’Irak, c’est-à-dire aux dépens du peuple irakien : 1164 puits x 30 millions = 34 920 milliards x 2.7 = 94 284 milliards de dollars.

Une plainte fut alors déposée en Suisse par Joseph Ferrayé le 29 janvier 1996, suite à laquelle la Kuwait Oil Company, à l’instigation du procureur Bertossa, du notaire de Genève Pierre Mottu et des avocats Marc Bonnant et Dominique Warluzel (tous deux décorés de la légion d’honneur, par Jacques Chirac, pour services rendus au Crime Organisé) réduisit à 610 millions de dollars (Cf. Rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU, S/AC.26/1996/5 du 18 décembre 1996, par le Comité de Commissaires chargé d’examiner la demande d’indemnisation de la Kuwait Oil Company des frais afférents à la maîtrise des éruptions de puits : Résumé du rapport en anglais, Rapport complet en anglais, Résumé du rapport en français), correspondant soi-disant aux montants versés aux sociétés de services (Red Adair, Wild Well Control, Safety Boss, Boots & Coots, Horwell, etc.), sa demande d’indemnisation pour les frais engagés dans la remise en état des puits de pétrole du Koweït – que le Prof. Tahir Husain, de la King Fahd University of Petroleum and Minerals de Dhahran en Arabie Saoudite, estimait en 1995, pour les seuls efforts d’extinction, à 1,5 milliard de dollars (Kuwaiti Oil Fires : Regional Environmental Perspectives, Pergamon Oxford, 1995, p. 68.) –, en reportant la différence, avec la complicité active de l’UNCC, qui prétendit à faux dans le rapport précité que la Kuwait Oil Company avait réclamé en 1993 un dédommagement de 951 millions de dollars, sur des réclamations fictives à l’Irak, du reste éloquemment documentées par les soins, ô combien louables, de l’ancien Chef adjoint de la Bibliothèque de l’ONU à Genève, aujourd’hui décédé, Theodore Dimitrov.

La surfacturation au départ imaginée par l’ancien associé de Joseph Ferrayé, Etienne Tillié, passé au service des escrocs, fut découverte par Daniel Levavasseur, le détective et ancien agent de la DST que Ferrayé avait mandaté pour récupérer son dû et qui bénéficiant de l’aide du cabinet d’investigation Kroll Associates, avait retracé quelques 100 milliards de dollars de comptes bancaires provenant du détournement des royalties de son mandant, selon sa déposition officielle du 24 novembre 1999 à la juge d’instruction et présidente du Collège des juges de Genève, Christine Junod, confirmée d’ailleurs par les déclarations d’un des principaux escrocs de l’affaire, le notaire de Genève, actuel patron du groupe Rolex, Pierre Mottu, dans sa déposition à la Brigade financière de Genève, le 6 février 1996. Joseph Ferrayé, quant à lui, ne vit jamais la couleur d’un centime.

Puis, en octobre 1999, sans qu’il la connût auparavant, quoiqu’elle fût en liaison permanente avec Daniel Levavasseur, il reçut un coup de téléphone de la commissaire des Renseignements Généraux, Brigitte Henri : de sa voix grave, celle-ci l’avertit qu’elle avait reçu instruction de tous les hauts responsables de l’Etat et du Président Chirac en particulier, de lui proposer 800 millions de dollars, sans imposition, pour qu’il retire sa plainte générale déposée le 29 janvier 1996 contre les commanditaires et les exécuteurs du complot. Joseph Ferrayé, auquel les conventions signées précédemment donnaient droit au moins à 17 milliards de dollars, et qui répugnait à se laisser acheter par une organisation criminelle, rejeta son offre.

En février 2003, soit un mois avant son audition par Christine Junod, à qui Levavasseur avait en 1999 remis des documents bancaires concernant 24 milliards de dollars provenant de l’utilisation frauduleuse des systèmes Ferrayé au Koweït, cet enquêteur était assassiné dans le Var, près de Saint-Raphaël et son assassinat, probablement dû aux services secrets français, maquillé en accident de varappe. Christine Junod, bien qu’elle eût attesté devant témoins, que les documents de Levavasseur étaient en sa possession (Cf. déclaration de l’avocat André Clerc), s’empressa de les faire disparaître.

Les investigations menées jusqu’à présent ont déjà permis d’identifier 14 000 sociétés de blanchiment d’argent, parmi lesquelles les réseaux financiers de l’organisation Al Qaïda qui tira profit d’une partie des fonds détournés, notamment à travers la BCCI et la financière suisse SBA, contrôlées par Khaled ben Mahfouz, le beau-père d’Oussama ben Laden, et via les comptes suisses de Yeslam bin Laden, le frère d’Oussama.

Pour conclure, cette escroquerie a permis à ses auteurs de faire main basse sur l’économie mondiale en extorquant avec la complicité active de l’ONU plus de 100 milliards de dollars au peuple irakien, en outre de plusieurs centaines de milliards aux contribuables de tous les pays pétroliers.

De plus, elle a rendu possible aux dirigeants d’Al Qaïda, dont les réseaux financiers servirent, en connaissance de cause, à blanchir une partie des sommes détournées, de financer leurs nombreux attentats, parmi lesquels ceux du 11 septembre 2001.

Enfin, si l’on en croit les révélations de l’homme d’affaires américain, Tullio Ponzi à Joseph Ferrayé, elle ne serait pas non plus étrangère à la décision prise par l’administration américaine d’envahir l’Irak en 2003, comme la preuve lui en fut donnée, lorsque cet affidé de William Webster, pour se crédibiliser, l’avertit, plus de deux mois avant, de la date secrètement fixée pour l’entrée en guerre officielle des Etats-Unis en Irak, à savoir le 19 mars 2003.

De tous ces crimes, association de malfaiteurs, escroquerie, corruption, falsification de documents, abus de pouvoir, homicides, jusqu’à l’impardonnable extorsion des ressources vitales de l’Irak, et jusqu’au financement du terrorisme islamiste, la preuve est faite que les responsables politiques français de gauche et de droite sont pleinement coupables et doivent en conséquence subir la juste sanction.

POUR EN SAVOIR PLUS, vous trouverez à votre disposition sur la page internet : www.googleswiss.com/fr/geneve/f/index.html des centaines de documents officiels propres à donner à ceux qui le souhaitent les moyens de combattre les criminels qui nous gouvernent

“Je sais qui a tué le juge Bernard Borrel !” »

Les pieuvres cachées qui nous dévorent.

"Je n'ai pas le pouvoir, la France comme le reste du monde est assujettie à une dictature financière qui gère tout."
François Mitterand, cité par la Tribune de Genève, le 22.11.2007 dans l'article au sujet de Danielle Mitterand par M. van Berchem, Paris.
Quelques images en vidéo pour mieux saisir les enjeux...
Cliquer le lien ci-dessous, les autres ont été à nouveau censurés...
http://video.google.fr/videoplay?docid=-7751407403451499540
Vidéo ( trop souvent censurée...)
« Sans aucun doute »
Julien COURBET - TF1 12 mai 2000
Emission censurée sur ordre de Dominique Strauss Kahn, alias DSK, maintenant PDG du FMI, le jour même de sa diffusion prévue et annoncée ! Bernard Nicolas, qui était présent sur le plateau de « Sans Aucun Doute » ... Julien COURBET - TF1 12 mai 2000, censurée... Julien Courbet: Vers quelles pistes il va falloir se diriger ? Réponse de Bernard Nicolas à 13:10 Et bien, écoutez, Jacques Martin et Kader Ben Riba, qui ont commencé à travailler sur ce dossier ont vu, au travers des documents qu'ils ont pu consulter et des gens qu'ils ont pu contacter par téléphone qu'il y avait une foultitude de personnages, c'est-à-dire vous avez d'anciens policiers de la DST, devenus détectives privés, des hommes d'affaires qui sortent d'on ne sait où, attirés par le gâteau financier apparemment et surtout des comptes ouverts dans plusieurs grandes banques dans le monde entier. L'argent s'est tout d'un coup évaporé, escamoté. Et, à l'évidence, il faut, comme le disait feu le juge Falcone, en Italie, un des grands magistrats anti-corruption italien qui a payé de sa vie son courage. Il disait: " Pour trouver le criminel, il faut suivre la piste de l'argent, donc il va falloir que vos deux journalistes suivent la piste de l'argent pour essayer de trouver qui s'y intéresse aujourd'hui et qui va tenter de retirer le maximum du magot. 14:27 Me Vergés... Autre source, plus tard... Bernard Nicolas, journaliste d'investigation , interrogé par Sophie Coignard (Le Rapport OMERTA 2 - page 261) - Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ?
« Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… »

Plus une deuxième vidéo de 17 minutes d'entretien entre l'inventeur et M. Burdet pour vous expliquer les grandes lignes de la corruption des pouvoirs judiciaires et politiques.
Cliquer le lien ci-dessous, les autres ont été à nouveau censurés...
http://video.google.fr/videoplay?docid=-698047735755472484&q=ferraye
Et attendre quelques minutes le chargement des images, merci.
http://www.googleswiss.com/fr/geneve/jf/video.html Pour large diffusion, merci.
Des prisonniers politiques en Suisse...Une "démocrature sournoise"...La corruptocratie subtile au pouvoir ? Les mafiacraties mondialistes unies.La cupidité mesquine régit-elle tout et tous ? L'argent idole domine-t-il tout et tous ? Le FMI, Fonds Monétaire International, alias Fonds des Misères Internationales..., fondé le 27 décembre 1945, période proche de Noël, comme celle du Fed, La création de la banque centrale américaine, la FED, en fait une banque privée appartenant à quelques actionnaires, a été fondée sous l'administration Taft et la loi a été furtivement signée par Woodrow Wilson en 1913 le jour de Noël, pour écarter les chrétiens qui étaient en famille...Ce Federal Reserve Board n'est pas public, c'est une société privée comme Federal Express, qui recherche le maximum de profit pour quelques actionnaires, au détriment du bien commun de tous... Le FMI est maintenant sous la coupe de DSK...
http://www.michaeljournal.org/sign34.htm
http://www.michaeljournal.org/sign49.htm
http://www.michaeljournal.org/sign42.htm
3 VICTOIRES que nous avons célébrées ce 23 novembre, rens. au 079 261 41 54:M.Burdet est libéré et a terminé sa grève de la faim...M. Simonin, "webmaster", a été libéré de tous les actes d'accusation ce 14.11.2007...Certains VIP, politiques, journalistes et juristes commencent à comprendre
Corruptions ou blanchiment international d'argent dans le cadre du Servette, de Swissair, Fareas, Ferrayé, UBS, Bin Laden, BCGe, BCV, Fonds de pension, Expo 01, Expo 02, des milliards et des milliards partent dans des paradis fiscaux anglo-saxons...mais travaillons surtout l'affaire Ferraye...
La "justice" est aussi trop souvent aux ordres de forces obscures...Internet censuré en Suisse, comptes bancaires vidés, brevets, royalties ou copyrights volés, votes truqués, juges, experts, fiduciaires et avocats achetés, etc...
en allemand: http://www.c9c.net/ch/demokratie/mhx.html
... et des personnes emprisonnées...en Suisse...
MEB qui a dénoncé notamment les vols de royalties ( affaire FERRAYE www.googleswiss.com/corruption ) et des fraudes électorales...
Personnes dans la clandestinité ou l'exil par arbitraire ...
http://www.swissjustice.net/martyre/index.htm
Le 13 et 14 novembre 2007, au Trib. de Montbenon à Lausanne en Suisse, a eu lieu un procès politique du site internet qui dénonce les abus de la "justice" suisse, avec au moins 6 plaignants contre M. Jean-Claude Simonin de Bienne et avec comme témoins MM. M-E. B. et M. G.

MEB, prisonnier politique en Suisse, vient d'être libéré, alors qu'il avait été incarcéré le 6 juillet 2007 et condamné à 22 mois de prison à la suite d'un abus d'autorité du "président" Bertrand Sauterel, magistrat du Canton de Vaud en Suisse, et des " juges" Marianne Higy et Daniel Hupka, Mme Michèle Lebrun agissant comme greffier. Sa grève de la faim avait commencé le 6.09.2007 et a duré 56 jours. Merci du fond du coeur à toutes les personnes courageuses qui nous ont aidé. Le combat continue.
Il était prisonnier aux EPO, un complexe concentrationnaire dans la plaine de L'Orbe en Suisse, suite à une machination d'une MAFIA SUISSE et internationale qui nous exploite presque tous... rares sont ceux qui en tirent vraiment profit, et au prix de vie humaines et de graves coûts sociaux ( dépressions, suicides, drogues, alcools, dépendances diverses...)
Vu les iniquités des différents jugements le concernant, il a fait une grève de la faim du 6 septembre au 3 novembre. Il a déjà perdu plus de douze kilogrammes.
Notamment à cause des corruptions ou blanchiment international d'argent dans le cadre du Servette, de Swissair, Fareas, Ferrayé, UBS, Bin Laden, BCGe, BCV, appel au peuple...ainsi que des fraudes lors de votations et élections... Nous saluons à ce titre la délégation de l'OSCE qui va vérifier le processus, notamment dans le canton de Vaud...(voir les rubriques nouvelles et questions de ce site)
Les vrais responsables de ces corruptions sont souvent des "copains" francs-maçons ou d'autres sociétés, sectes et ententes secrètes sur le dos des citoyens.

Vous pouvez voir sur notamment http://www.viplift.org/f/info/harrypotter.html que le "juge" Bertrand Sauterel qui l' a condamné et fait mettre en prison séance tenante a déjà abusé de ses pouvoirs.

L'avocat de Marc Roger du Servette, Me Alain Marti, a accepté d'être sur la sellette pour probablement cacher la vérité que vous pouvez trouver sur www.googleswiss.com/ferraye

Scandale, internet censuré pour des raisons politiques. http://www.c9c.net/swissinfo/4sim/simonin.html http://www.swissjustice.net/fr/affaires/be101_webmaster/be101__fr.html http://www.swissjustice.net/censure/acceuilcensure.html Censure et espionnage d' internet en Suisse notamment par bluewin, propriété de la Confédération, qui encourage le porno ! (avec la bénédiction des autorités ?). Le bien commun volé légalement http://www.michaeljournal.org/sign50.htm

Affaire Kennedy : Quand JFK mettait en garde contre une "conspiration monolithique"..

Classé dans: Organisations secrètes — admin @ 11:35 le Dimanche 3 février 2008

Voici une vidéo très intéressante (mais en anglais) de John Fitzgerald Kennedy lors d'un discours public prononcé à New-York devant l'Association des Editeurs de Journaux, le 27 Avril 1961 alors qu'il était Président des Etats-Unis en exercice depuis plusieurs mois, à propos des sociétés secrètes et de leurs plans d'infiltration, de menaces, de conspirations, voire de domination mondiale.

Voici quelques extraits importants traduits en français de cette vidéo édifiante de John Fitzgerald Kennedy :

Les médias se plaisent à railler les conspirationnistes qui s'intéressent de trop près aux conditions plus qu'étranges de sa mort et de la mort de son assassin présumé… et dans le même temps, ces médias omettent de rappeler que JFK s'intéressait tout particulièrement aux agissements néfastes des sociétés secrètes et aux conspirations de tous ordres menaçant son pouvoir et le pouvoir du Monde libre.

Voici un extrait traduit de son discours :

"Notre mode de vie est attaqué. Ceux qui se font notre ennemi s'avancent autour du globe. La survie de nos amis est en danger. Et pourtant on n'a déclaré aucune guerre; aucune frontière n'a été traversée par des troupes en marche; aucun missile n'a été tiré. Si la Presse attend une déclaration de guerre avant qu'elle n'impose l'autodiscipline des conditions de combat, alors je peux seulement dire qu'aucune guerre n'a jamais posé une menace plus grande à notre sécurité. Si vous attendez une découverte de danger clair et présent, alors je peux seulement dire que le danger n'a jamais été plus clair et sa présence n'a jamais été plus imminente. Cela exige un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par chaque homme d'affaires, chaque leader de travail et par chaque journal. Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d'influence par l'infiltration plutôt que l'invasion, la subversion plutôt que les élections et l'intimidation au lieu du libre arbitre. C'est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d'une machine étroitement soudée et d'une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n'est mise en question, aucune rumeur n'est imprimée, aucun secret n'est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu'aucune démocratie n'espèrerait jamais vouloir égaler… C'est pourquoi le législateur athénien décréta comme criminel tout citoyen se désintéressant du débat… Je sollicite votre aide dans l'immense tâche qui est d'informer et d'alerter le peuple américain avec la certitude qu'avec votre aide l'homme deviendra ce pour quoi il est né libre et indépendant." - Extraits du discours de John F. Kennedy du 27 Avril 1961 à New York


Ainsi, JFK a prononcé un discours exposant des machinations dans les coulisses qui ne sont jamais publiées, et son discours en 3 partie continue sur des révélations tout aussi étonnantes, comme on peut le lire en anglais sur le site internet du Musée JFK.

Ce discours, déterminé, précis, prononcé devant un parterre extrêmement important de journalistes afin sans doute de lui donner la portée la plus large possible, n'est jamais repris par les médias alignés, et même Wikipédia ne le mentionne pas dans sa fiche dédiée à JFK, alors qu'il constituerait un mobile évident pour un complot destiné à l'éliminer.

Lorsqu'il est repris, il est ramené à la menace communiste, alors que si on lit bien le texte, on voit qu'il ne peut pas s'agir de cette menace-là uniquement : dans son discours, JFK appelle à révéler la conspiration secrète monolithique d'une part en révélant les informations cachées, tout en prenant garde à ne pas exposer le pays à ses ennemis tels que le Communisme, et reconnait qu'il est difficile de concilier les deux.

Les complots sont prouvés, à nous d'en tenir compte

Les initiés volent sans scrupules

Il existe des complots d'initiés destructeurs:
Exemples: Contre Kennedy, Ferrayé
Les vraies raisons du meurtre de JFK,